Le blog de EVINA

Son talent est indéniable, mais il est aussi un pur sang au sens propre du terme. Paul-Georges Ntep, camerounais de naissance, qui a immigré en France à l’âge de huit ans, a été formé dans son pays d’accueil. Ses débuts dans le football professionnel sont tonifiants. Il est annoncé comme la future grande vedette. Déjà, il avait ébloui dans les différentes catégories de football jeune. Il avait un choix, celui de représenter soit la France, soit le Cameroun en équipe A. Il va choisir son pays d’accueil conscient que c’est ce pays qui l’a formé.

Comme cela se passe souvent, il a été appelé en sélection de France pour s’assurer de "le fidéliser", donc de lui enlever l’option Cameroun s’il arrivait à faire une grande carrière. Il a joué des matchs amicaux avec la France.

Mais il est plus qu’à son tour blessé et ses multiples récidives ne pardonnent pas. En trois ans, il a changé 3 fois de club sans parvenir à se stabiliser.

L’option Cameroun est toujours possible. Les autorités aimeraient bien le rapatrier, et mettre la main sur un talent à l’état brut pour notre sélection nationale. À 24 ans, et avec toutes les options à la disposition de la sélection de France, il y a peu de chance qu’il s’y insère.

Transféré à Saint-Etienne lors du mercato hivernal, il a très peu joué (cinq apparitions en Ligue 1 pour 243 minutes). Mais ce samedi, il devrait être présent à Nantes après avoir soigné ses douleurs à la cuisse. Jean-Louis Gasset, son entraîneur, a confirmé vendredi en conférence de presse que son joueur allait « mieux ». « Je l’ai vu sprinter sans retenue », a soufflé le coach stéphanois, reconnaissant toutefois que Ntep n’avait probablement pas un match entier dans les jambes

On déplore des disparus. Selon les informations glanées dans le cadre de cette tragédie, deux véhicules, un de type Mercedes et une fourgonnette, roulant dans le sens Dabou-- Abidjan, parviennent à hauteur du pont défectueux et complètement dégarni. À ce moment, déboule à l'opposé, un gros camion qui tente de dévier un nid de poule. De peur de rentrer en plein dans ce camion, les deux véhicules choisissent de se jeter dans la rivière en crue. Si le conducteur de la fourgonnette a eu plus de chance en immobilisant l'engin un peu après la berge, ce n'est pas le cas de celui de la Mercedes qui a complètement sombré dans les eaux tumultueuses avec ses occupants. Combien sont-ils exactement ?

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Les villageois, à bord de leurs pirogues, volent à leur secours. Mais mystère, ceux-ci sont introuvables. D'ailleurs, ils ne parviennent pas à localiser le véhicule, encore moins les occupants. Les sapeurs-pompiers alertés arrivent un peu plus tard pour tenter de les ressortir. C'est peine perdue car pendant des heures et ce, jusqu'à la nuit tombée, les usagers de la Mercedes demeurent introuvables. C'est la consternation. Le 3 août, jusqu'à ce que nous mettions sous presse, les sapeurs-pompiers revenus sur les lieux, n'avaient pas encore eu gain de cause. Qu'est-il advenu de ces usagers ? C'est cette interrogation qui plonge les populations dans la consternation

 

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