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24 octobre 2018 3 24 /10 /octobre /2018 20:30
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Côte d'Ivoire : Mort brutale de Marcel Gossio, Lida Kouassi suspecte une mort non naturelle et réclame une autopsie
 
Côte d'Ivoire : Mort brutale de Marcel Gossio, Lida Kouassi suspecte une mort non naturelle et réclame une autopsie
Mardi 23 Octobre 2018 - La mort brutale de l'ancien directeur général du port autonome d'Abidjan a surpris plus d'un.


Marcel Gossio est décédé d'une crise cardiaque selon ses proches.

Cette mort soudaine que beaucoup n'arrivent pas à comprendre suscite des interrogations dans l'opinion publique.

Ce mardi 23 octobre 2018, Lida Kouassi Rechercher Lida Kouassi Moïse, ancien ministre de Laurent Gbagbo a réclamé qu'une autopsie Rechercher autopsie soit faite pour déterminer les causes exactes de la mort de l'ancien DG du port d'Abidjan.

Pour l'ex-ministre de la défense de Gbagbo, la mort de Marcel Gossio Rechercher Marcel Gossio est loin d'être une mort naturelle.

« J'ai ressenti une grande tristesse en apprenant la mort de notre frère Marcel Gossio. Cette mort est pour le moins, curieuse, inquiétante et inacceptable. Nous devons exiger, pour une fois, l'autopsie du corps pour que les choses soient claires. Il nous faut comprendre l'origine de cette curieuse série de morts subites par arrêt cardiaque! », a-t-il fait savoir.

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24 octobre 2018 3 24 /10 /octobre /2018 20:27

RFI et France 24 confirment leur plébiscite dans les pays d’Afrique francophone et leurs positions en tête des classements de notoriété et d’audience, selon la dernière vague 2017/2018 de l’étude Africascope* réalisée par Kantar TNS à Abidjan (Côte d’Ivoire), Bamako (Mali), Brazzaville (Congo), Dakar (Sénégal), Douala et Yaoundé (Cameroun), Kinshasa (RDC), Libreville (Gabon), Ouagadougou (Burkina Faso). Dans ces neuf villes, près de 60% des habitants déclarent aujourd’hui écouter au moins l’un des deux médias chaque semaine. RFI enregistre sur cette vague des audiences en hausse auprès du grand public comme des cadres et dirigeants. La radio conforte ainsi son statut de première radio internationale dans la région, se maintient dans le Top 5 des radios les plus écoutées (toutes radios confondues) et voit sa durée d’écoute progresser de 3 minutes à 1h09 chaque jour. France 24 consolide quant à elle ses audiences et conserve largement son statut de première chaîne d’information internationale en Afrique francophone, toutes cibles confondues. Dans le paysage télévisuel de 7 des 8 pays étudiés, la chaîne figure parmi les 10 plus regardées par l’ensemble de la population et dans le Top 5 des cadres et dirigeants. RFI et France 24 voient également leurs offres numériques progresser sur la période, l’Afrique francophone représentant désormais près d’un quart du trafic numérique total de France Médias Monde. Avec une moyenne de 6,4 millions de visites mensuelles cumulées en provenance de la zone, RFI et France 24 enregistrent une progression de plus de 10% au premier semestre 2018 vs 2017. RFI  conforte ses positions en Afrique francophone, enregistrant sur cette vague des audiences en hausse. Sur l’ensemble des 8 pays, la radio internationale est écoutée chaque semaine par 40% du grand public (+ 3 points) et par 81% des cadres et dirigeants (+ 4 points). En audience quotidienne, elle figure dans le Top 5 des radios les plus écoutées par l’ensemble de la population et conserve la première place à Abidjan, Libreville et Brazzaville. À Kinshasa, cette première vague complète après le rétablissement de sa diffusion en FM, montre l’attachement des auditeurs congolais à RFI avec une audience hebdomadaire portée à 41,9% du grand public (+ 7,4 points) et 91,5% des cadres et dirigeants (+ 9,8 points). La radio marque ainsi son retour parmi les stations en tête des classements d’audience du paysage radiophonique dans le pays. Sur le numérique, avec près de 3,9 millions de visites chaque mois en moyenne et une hausse continue de son trafic, RFI confirme son succès en Afrique francophone. France 24 confirme ses excellents scores d’audience en Afrique francophone depuis la vague précédente et conserve son statut de première chaîne d’information internationale. Dans la région, 45% des habitants la regardent chaque semaine et la chaîne conforte sa position de leader auprès des cadres et dirigeants avec 83% d’audience hebdomadaire. Sur cette cible, France 24 est même l’une des trois chaînes les plus regardées chaque jour, toutes chaînes confondues, dans la quasi-totalité des villes sondées. Au premier semestre 2018, les environnements numériques de France 24 ont encore séduit les publics connectés de la région et comptabilisé en moyenne 2,5 millions de visites chaque mois en Afrique francophone.

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24 octobre 2018 3 24 /10 /octobre /2018 20:23

L’occasion d’effectuer quelques petits rappels historiques. Au début des années 1990, l’Etat camerounais manifeste le désir de se désengager de la gestion des aéroports et la volonté de mettre en œuvre une structure de gestion autonome des principaux aéroports du Cameroun. D’où la création de la Société Aéroports Du Cameroun S.A. (ADC S.A.) qui a pour mission la gestion, l’exploitation, l’entretien, le renouvellement, la réhabilitation et le développement des sept aéroports de la concession. Elle est également chargée de l’assistance en escale des aéronefs.

Aéroports Du Cameroun S.A. ambitionne de faire figurer les aéroports internationaux de Douala et Yaoundé-Nsimalen parmi les aéroports de référence en Afrique Subsaharienne.

Cette vision se décline en plusieurs axes stratégiques. Après les travaux de réhabilitation déjà effectués au cours des dernières années, la société entend franchir une étape décisive dans le projet de rénovation de l’aéroport International de Douala.

L’organisation de la Coupe d’Afrique des Nations 2019 (CAN) qui se déroulera en terre camerounaise du 15 juin au 13 juillet 2019 ne laisse aucune personne ou institution indifférente. Qu’on soit directement impliqué ou pas, chacun doit mettre la main à la pâte, afin que cette grand-messe du football africain connaisse un succès éclatant.

C’est dans cette optique que la société Aéroports du Cameroun (ADC) a fait peau neuve en réalisant un certain nombre de travaux. Il s’agit, entre autres, du dégommage de la piste d’atterrissage, de l’acquisition des loaders (appareil permettant de charger ou de décharger les conteneurs d’un avion), des chariots, des scanners, …

Sous la supervision de Monsieur Paul Limbo Bikoï, chef de service de la maintenance opérationnelle à l’ADC S.A, les hommes et femmes de médias ont été conviés à l’Aéroport international de Douala, le 2 octobre, pour une visite d’inspection

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24 octobre 2018 3 24 /10 /octobre /2018 20:18

 

Président emblématique de Diamant de Yaoundé (1985 – 1992), il a, comme tant d’autres, marqué l’histoire du football camerounais. Agé de 57 ans (il est né le 3 juin 1952 à Mbalmayo), il vit aujourd’hui en retrait du milieu du football, mais en reste toujours aussi passionné. Dans l’entretien qui suit, Claude Ndzoudja revient sur ses années à la tête de Diamant de Yaoundé et fait une critique sans concession du fonctionnement du football camerounais pour lequel il a investi et s’est aussi tant investi. Claude Ndzoudja clame aussi sa nouvelle vie, celle-là plus spirituelle, loin des stades de football.

Ce que beaucoup de gens savent de vous, c’est que vous avez été président de Diamant de Yaoundé. Pourtant avant d’en arriver là, vous avez aussi été un sportif de haut niveau…

Effectivement, j’ai commencé comme tout le monde au collège. Dans ma tendre jeunesse, à Douala, dans les matchs inter-quartiers, j’étais le gardien de buts que tous les quartiers sollicitaient. On m’appelait Yachine. Tokoto Jean-Pierre, lui-aussi était gardien de buts et il y avait une grande rivalité entre lui et moi. L’Union de Douala, dont mon père fut l’un des fondateurs, lui a toujours reproché de ne m’avoir pas permis de jouer dans ses rangs. Lui, il privilégiait mes études, parce qu’à cette époque, être footballeur s’assimilait à avoir raté sa vie.

J’ai aussi été international de hand-ball, découvert par l’entraîneur national Tchatchoua quand je venais jouer à Yaoundé. C’est quand je suis allé en Europe que je me suis affirmé au football. J’ai été le premier gardien africain à jouer dans une équipe professionnelle en Europe. J’ai fait un test dans le Red Star, l’équipe de football de Saint-Ouen, dans la région parisienne. Le test avait été concluant. Roger Lemerre, l’entraîneur de cette équipe à l’époque, tenait absolument à m’avoir dans son équipe. Compte tenu d’une altercation que j’avais eue avec Laudu, le gardien vedette du club qui ne supportait pas ma présence, j’ai préféré signer avec Fontainebleau, un club de deuxième division.

Comment arrivez-vous à la tête de Diamant de Yaoundé ?

J’arrive à la tête de Diamant en 1985. Je revenais de France et j’étais cadre supérieur d’une société française, SER-Cameroun, une filiale du Groupe SEREL France, qui m’a affecté ici comme directeur général. Féru de football, j’allais régulièrement voir les entraînements de Diamant de Yaoundé. Au cours de ces entraînements, j’ai fait la connaissance du président Zeufack, qui avait quelques difficultés. Il m’a donc proposé de prendre le club et, tout bêtement, sans savoir ce qui m’attendait, j’ai accepté. Comme je suis un psychorigide, selon les cas, j’ai fait tout ce que j’ai pu pour que Diamant soit ce qu’il est devenu sous ma présidence. En une année seulement, nous avons accédé en première division. Une fois en première division, nous avons joué deux coupes d’Afrique, bref un bon parcours dont je ne me souviens plus très exactement. Je suis resté à la tête de Diamant jusqu’en 1992, si je ne me trompe.

Comment financiez-vous cette équipe ?

C’était un sacrifice personnel. J’étais assez nanti à travers ma société Etracam que j’avais fondée entre temps et qui employait près de 1200 personnes. Et pour avoir moi-même été footballeur, j’ai beaucoup de respect pour les footballeurs. C’est eux qui font le jeu. J’ai aussi beaucoup de respect pour les entraîneurs, parce que c’est eux qui détiennent la science du jeu. Malheureusement, quand je suis arrivé à Diamant, je me suis rendu compte que les gens n’avaient aucun respect pour ces personnes sans lesquelles il n’y aurait pas de football. Ils étaient les plus mal lotis, à cause de la malhonnêteté des dirigeants de clubs et même de la fédération. J’ai donc fait une révolution à mon niveau, en essayant de remettre les choses à leurs places. C’est-à-dire donner au footballeur et à l’entraîneur la place qui leur revenait en tant qu’acteurs majeurs du jeu. Aujourd’hui encore, je suis révolté par la manière dont les joueurs et les entraîneurs sont traités, alors que le football génère abondamment d’argent, suffisant pour leur donner le statut financier qu’ils méritent.

Il se dit que vous avez dépense beaucoup d’argent pour vous attacher les services d’un joueur comme Mbouh Emile…

Tous ces joueurs le méritaient. C’était des porteurs de valeur. Je vous donne un exemple. Quand j’ai fait monter Diamant en première division, chaque joueur a touché comme prime, une somme de 5 millions de Fcfa. Vous pouvez le vérifier, ils sont encore vivants. Et tout cet argent sortait de ma poche. J’adore le football. C’est pour cette raison que j’y ai mis de mon argent, avec tout ce que j’ai eu comme conséquence : la méchanceté féroce des gens, l’ingratitude, etc. N’eût été ma croyance en Dieu, aujourd’hui, je ne serais plus rien. Mais grâce à Dieu, et grâce aux investissements qu’il m’a inspirés à l’époque, j’ai encore beaucoup de réserves…

Comment une telle aventure a-t-elle pu prendre fin ?

Quand je suis arrivé dans le football, j’avais une certaine vision, un peu comme celle que Gilbert Kadji a aujourd’hui. Je voudrais en profiter pour dire que si les gens aiment le football…

Si vous permettez, nous y reviendrons…

Voilà. Donc, je disais que tous les joueurs de Diamant avaient un salaire à la fin du mois. Les meilleurs joueurs du Cameroun étaient donc obligés de venir au Diamant pour avoir les meilleurs salaires et les meilleures conditions de travail. En coupe du monde 90 par exemple, j’avais six joueurs dans l’équipe camerounaise et qui étaient presque tous titulaires. Je peux citer Kana, Mbouh, Massing, Angibeau, etc. C’est pour dire que j’avais une vision que les footballeurs appréciaient.

Et comment donc l’aventure a-t-elle pris fin ?

En fait, quand j’ai pris le Diamant, j’y ai tellement mis de moyens que j’ai été combattu par des énergies négatives. Mes adversaires ont donc tout fait pour que mes affaires tombent. Ils ont détruit mes affaires et comme je n’avais plus de quoi financer le club, il ne pouvait que tomber. J’ai donc démissionné, quelqu’un d’autre a pris le club, un charlatan, qui a vendu les joueurs que nous avions formés, pour s’enrichir. Or, ces joueurs n’étaient pas destinés à la vente. On les formait pour le développement du football camerounais. Il a dilapidé les fonds qui restaient au club et le club a disparu. C’était devenu son commerce.

Est-ce que vous regrettez d’avoir tant investi dans le football camerounais ?

Non. Je ne le regrette pas, pour une seule raison : j’ai donné du bonheur aux gens. Seulement, si c’était à recommencer, je n’aurais plus fait confiance à certaines personnes dont j’ai découvert la malhonnêteté pendant et après qu’ils soient partis du Diamant. Je suis toujours un passionné de foot. La preuve, je regarde régulièrement les matchs du championnat anglais, italien, français, espagnol, etc.

Vous citez tous le championnats, sauf celui du Cameroun…

Je ne le regarde pas. Parce qu’il ne m’intéresse pas. Vous savez, je suis toujours aussi passionné du football comme je l’ai dit, mais il se trouve simplement que je suis déçu et écœuré par la gestion du football camerounais au plus haut niveau, c’est-à-dire la fédération. Je suis choqué de la manière dont on traite les joueurs, les entraîneurs et même les arbitres. Je suis choqué de voir que la plupart des gens qui entrent dans le football, c’est essentiellement pour leurs intérêts égoïstes. Quand ils veulent par exemple faire la politique, ils commencent par le football pour se faire connaître. Je n’ai pas encore vu quelqu’un qui aime véritablement le football pour le football et non pour ses intérêts égoïstes. Après le départ de Issa Hayatou de la Fécafoot, la gestion du football camerounais a commencé à connaître son déclin.

 

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24 octobre 2018 3 24 /10 /octobre /2018 20:16

Dans le Groupe H de l’UEFA Champions League, on ne vendait pas chère la peau des Young Boyz de Berne de Jean pierre Nsamé et de Moumi Ngamaleu. Mais mardi lors de leur rencontre contre Valence, seul le sort a décidé de l’issue tellement les joueurs de Young Boyz ont eu plusieurs occasions de conclure. Ngamaleu aussi, même s’il ne venait que de rentrer dans le jeu, aurait pu mieux orienter cette balle de la tête en fin de partie.

Nsamé a lui aussi fait son entrée en fin de match, en remplacement du buteur maison Hoarau.

Le séquences de la partie, en vidéo...

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24 octobre 2018 3 24 /10 /octobre /2018 20:15

L'in

Sénégal : Sall inaugure le premier Institut du pétrole et du gaz d'Afrique de l'Ouest et interdit ses étudiants de grève
 
Sénégal : Sall inaugure le premier Institut du pétrole et du gaz d'Afrique de l'Ouest et interdit ses étudiants de grève

stitut apporte aux ingénieurs, techniciens et agents de l'État une profession connexe et des formations spécialisées pour adapter leur savoir-faire à une industrie qui est nouvelle dans notre pays », a dit Aguibou Ba Rechercher Aguibou Ba .

Poursuivant dans ce même ordre d'idées, le DG de l' INPG Rechercher INPG a souligné que l'Institut qu'il dirige n'a pas vocation à se substituer aux écoles et centres de formation qui sont dans le domaine des sciences et techniques, mais plutôt d'offrir une formation complémentaire, spécialisée et compétitive « qui permettra à nos compatriotes d'être au cœur de l'exploitation de nos ressources nationales ».

S'adressant aux étudiants « pionniers de cet établissement », le chef de l'État, Macky Sall Rechercher Macky Sall a indiqué que ces derniers ont « le privilège » de contribuer à la construction de ce « nouveau chapitre » qui constitue à son avis un maillon important du système de l'enseignement supérieur.

Par ailleurs, le chef de l’État a invité les étudiants de l' INPG Rechercher INPG à renoncer à leur droit de grève estimant qu'une formation de qualité n'est pas compatible avec « cette pagaille ».

 «J’avais demandé qu’on inscrive dans les statuts qu’il n’y a pas de droit de grève à l’INPG. Je ne badine pas », a t-il martelé, rassurant que tout sera fait pour qu'ils soient dans de bonnes conditions d'études.

Macky Sall estime que l’apprentissage de ce module ne rime pas avec la grève. C’est pourquoi, il a demandé à ce que l’école mette les moyens pour mettre les étudiants dans de bonnes conditions.-Mercredi 24 Octobre 2018 – Le chef de l’État sénégalais Macky Sall Rechercher Macky Sall a procédé, mardi à Diamniadio, au lancement de la première promotion du Master spécialisé Rechercher Master spécialisé en Ingénierie pétrolière et gazière de l' Institut Rechercher Institut national du pétrole Rechercher pétrole et du gaz Rechercher gaz (INPG). Cet institut est le premier du genre en Afrique de l'Ouest, a constaté KOACI.COM.

L’établissement va former ses 22 premiers pensionnaires issus du Sénégal et de la diaspora dans cinq programmes diplômant et certifiant « pour répondre aux besoins complets de l'industrie pétrolière et gazière », a expliqué son directeur général, Aguibou Ba Rechercher Aguibou Ba .

Ainsi, l' INPG Rechercher INPG dispensera-t-il une formation en Master spécialisé Rechercher Master spécialisé en ingénierie pétrolière et gazière ; une certification en techniciens et opérateurs offshores ; une formation spécialisée des agents de l'État et des acteurs économiques ; une formation Hygiène, Sécurité et Environnement (HSE) et une dernière formation en anglais technique.

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24 octobre 2018 3 24 /10 /octobre /2018 20:13

Côte d'Ivoire : Revalorisation  des salaires  du  corps préfectoral, voici leurs nouveaux traitements et avantages
 
Côte d'Ivoire : Revalorisation des salaires du corps préfectoral, voici leurs nouveaux traitements et avantages

Mercredi 24 Octobre 2018 Les membres du corps du corps préfectoral perçoivent , outre le traitement et les avantages Rechercher avantages en nature, les indemnités ci-après : Une indemnité représentativité de frais indexée aux fonctions occupées par les bénéficiaires ; Une indemnité de sujétion attribuée qu’aux membres du corps exerçant en circonscription, une indemnité compensatrice , de souveraineté , une indemnité contributive aux charges locatives, dite indemnité de logement incluant une charge forfaitaire des frais d’eau et d’électricité de leur résidence ou domicile et enfin , ils perçoivent une indemnité de déplacement et de tutelle des collectivités territoriales.

Concernant les primes, les taux gradués s’établissent selon les distinctions ci-après : A-Hors Grade (100%) ; B-Grade I (85%) ; C-Grande II (75%) ; D-Grade III 60 %.

A compter du 1er octobre 2018, les membres du corps du corps préfectoral, exerçant en administration centrale ou en administration territoriale percevront 50% des indemnités et primes prévues par le présent décret. A compter du 1er janvier 2019, ils percevront 80% des indemnités et primes prévues. A compter du 1er janvier 2020, ils percevront 100 % des indemnités et primes prévues.
-Le décret (No 2018-794) pris par le chef de l’Etat, Alassane Ouattara, le 19 octobre dernier, fixe les traitements Rechercher traitements , les indemnités et les avantages Rechercher avantages de toutes natures alloués aux membres du corps préfectoral exerçant en circonscription ou dans toute administration de l’Etat, en fonction de leurs grades, pendant l’exercice ou à l’occasion de l’exercice de leurs fonctions ainsi que pendant leur retraite.

Le traitement soumis à retenues pour pensions et fiscalités servi au corps préfectoral est constitué de : « Un salaire de base ou indiciaire ; l’indemnité de résidence déterminée par référence au salaire de base ; la prime. »

Les avantages Rechercher avantages en nature reconnus pour ceux qui exerçant dans les circonscriptions : Ils sont logés par les soins de l’Etat, avec prise en charge des frais d’eau et d’électricité, au lieu de résidence de fonction. Un véhicule de commandement de type 4x4 où une berline. Ils ont droit à la charge de l’Etat, d’un téléphone fixe à leur résidence de fonction ou domicile. Il est délivré aux membres du corps préfectoral du hors grade ainsi qu’à leurs conjoints et à leurs enfants jusqu’à l’âge de 25 ans un passeport diplomatique. Aux membres du corps préfectoral des autres grades, ils bénéficient des passeports de service.

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24 octobre 2018 3 24 /10 /octobre /2018 20:11

Mercredi

Côte d'Ivoire : Miss CI « écartée » au profit de sa 1ère dauphine à un concours international,  le COMICI s'explique
 
Côte d'Ivoire : Miss CI « écartée » au profit de sa 1ère dauphine à un concours international, le COMICI s'explique

24 Octobre 2018 -La Côte d’Ivoire ne sera pas présente à l’édition au concours Rechercher concours Miss Monde, apprend de source proche du Comité Miss Côte d’Ivoire (COMICI).

Elle fera néanmoins son retour à Miss international le 9 novembre prochain à Tokyo. Mais le fait surprenant, c’est que ce n’est pas la Miss élue en 2018, Suy Fatim, qui représentera le pays, mais plutôt sa première dauphine, Jemima Gbato.

Selon les explications de ce choix, « toutes les élues sont toutes des figures de Miss Côte d’Ivoire. Donc au même pied d’égalité. Du coup, elles sont toutes aptes à participer aux concours Rechercher concours internationaux. »

C’est donc Mlle Jemima, ingénieure en génie pétrolier et danseuse professionnelle qui représentera la Côte d’Ivoire 9 novembre prochain à Tokyo au Japon.

On nous rappelle aussi que, ce n’est pas la première fois qu’une dauphine ivoirienne participe à un concours Rechercher concours international. Plusieurs cas sont légions notamment Kamara Madoussou Fineh, 2e dauphine Miss Côte d’Ivoire 1999 qui représentait la Côte d’Ivoire au concours Rechercher concours Miss international au Japon et la première dauphine 2015 Hyllen Légré avait été élue Miss Fespam 2015 au Congo. Et dans sa politique de varier, c’est Mlle Jemima Gbato Rechercher Jemima Gbato qui a été choisie par le COMICI Rechercher COMICI pour hisser haut les couleurs de notre pays à la 58è édition du concours Rechercher concours International Miss.

Pour rappel, le concours Rechercher concours « Miss International Beauty Pageant » a pour but de promouvoir la Paix dans le monde, la bonne volonté et la compréhension des autres, notre représentante démontrera ses qualités de tendresse, de dévouement, d’amitié, de beauté, d’intelligence, d’esprit d’entreprise, et le plus important, démontrera sa grande sensibilité à l’international.

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24 octobre 2018 3 24 /10 /octobre /2018 20:09

Poursuivant dans son discours, il a dévoilé certaines mesures Rechercher mesures prises par l’Etat, pour booster le secteur. Notamment, « La création le guichet du Compte de mobilisation pour l’habitat (Cdmh), la baisse du taux du crédit acquéreur établi désormais à 5,5% l’an (assurance y compris) pour les acquéreurs de logement social et économique ; celui de refinancement pour les banques au guichet du Cdmh à 2%, avec un barème de refinancement de 90% et 95% en fonction de la durée du prêt. »Il a recommandé une bonne sécurisation et la bonne gestion du foncier ; l’industrialisation de la chaîne de production des logements Rechercher logements ; avoir des promoteurs compétents et crédibles ; la redynamisation des instruments financiers dédiés au secteur de l’habitat, plus précisément, le Cdmh, le Fsh (Fonds de Soutien à l'Habitat) et le Ctu (Compte des Terrains Urbains), pour réaliser ces 10.000 logements.Mercredi 24 Octobre 2018 -La problématique des logements Rechercher logements sociaux préoccupe le gouvernement ivoirien.

À l’ouverture de la 34e conférence annuelle l’Union africaine pour financement du logement (Auhf), à Abidjan, le ministre de la Construction, du Logement et de l'Urbanisme, Bruno Koné, a annoncé la réalisation de 10.000 nouveaux logements.

Côte d'Ivoire : La construction de 10.000 nouveaux logements sociaux annoncée  par Bruno Koné
 
Côte d'Ivoire : La construction de 10.000 nouveaux logements sociaux annoncée par Bruno Koné
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24 octobre 2018 3 24 /10 /octobre /2018 20:07
– Mercredi 24 Octobre 2018 - La branche du front populaire (FPI) que dirige Abou Drahamane Sangaré Rechercher Abou Drahamane Sangaré a envoyé le lundi 22 octobre dernier une mission à Accra Rechercher Accra pour rencontrer des exilés pour leur probable retour après la loi d'amnistie prise par le chef de l'État le 6 août dernier.
Sur la volonté d'un noyau d'anciens hauts cadres de l'administration Gbagbo, de rentrer, accompagnés forcément de tous les autres réfugiés, l'émissaire de Sangaré, eu égard au contexte, a réaffirmé que le FPI Rechercher FPI ne pouvait pas garantir, en l'état actuel de la situation, ni la réinsertion sociale, ni la sécurité physique, ni la prise en charge financière de tous les réfugiés, sauf à ceux-ci d’apprécier souverainement, et de faire pression sur la direction du parti, en vue d'un "retour triomphal".

Pour rappel, ces derniers jours l’on évoque le probable retour des ex-ministres de Laurent Gbagbo, Justin Katinan Koné et Emile Guirieoulou en Côte d’Ivoire.

Ces derniers ont réitéré auprès de l'émissaire de Sangaré leur désir de rentrer au pays.
Côte d'Ivoire : Le FPI de Sangaré envoie une mission à Accra pour le retour des exilés
 
Côte d'Ivoire : Le FPI de Sangaré envoie une mission à Accra pour le retour des exilés


Comme constaté par , c'est la secrétaire nationale chargée des réfugiés, Victoire Bouabré Rechercher Victoire Bouabré qui a été missionnée par Sangaré pour aller échanger avec les réfugiés au Ghana.

Après plusieurs heures d'échanges entre Victoire Bouabré Rechercher Victoire Bouabré et la direction du FPI Rechercher FPI en exil, l'on note que si certains sont pour un retour actuel, d'autres émettent encore des réserves.

Des cadres du FPI Rechercher FPI en exil, ont émis de sérieuses inquiétudes quant aux dispositions sécuritaires et sociales devant encadrer le retour des exilés et réfugiés. Ils estiment que la direction de leur parti n'a encore reçu aucune réponse de la part des dirigeants ivoiriens.

Pour eux, aucune suite n'a été donnée à la déclaration en date du 16 août 2018 de la direction de leur parti par laquelle elle avait formulé des observations préjudicielles demandant que l'ordonnance portant amnistie soit transmise au parlement pour ratification selon les dispositions de l'article 106 de la Constitution, à l'effet de conférer une valeur légale à l’ordonnance n°2018-669 du 6 août 2018.

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