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24 novembre 2013 7 24 /11 /novembre /2013 09:54

C’est en principe le 6 décembre prochain, que le Cameroun connaitra ses trois adversaires pour la phase de poule de la Coupe du monde de football, Brésil 2014, à l’occasion du tirage au sort final de la compétition, prévu à Bahia (Brésil). Trente deux (32) sélections d’Afrique, d’Asie, d’Europe et d’Amérique sont en lice. Les prétendants au titre sont classés en quatre Pots contenant chacun huit nations.

 
 

Le Cameroun partage le troisième Pot avec le Chili, la Côte d’Ivoire, la France, l’Equateur, le Ghana, l’Algérie et le champion d’Afrique, le Nigeria.
Selon les principes du tirage au sort de groupe de la Coupe du monde de football, deux sélections appartenant au même Pot ne peuvent pas se retrouver dans la même poule. Par conséquent, ni le Cameroun, ni aucune autre nation africaine ne pourront s’affronter au premier tour. Les Lions Indomptables seront plutôt logés dans la même poule que l’une des têtes de série que forment le Brésil, pays organisateur, l’Espagne tenant du titre, l’Allemagne, l’Argentine, la Colombie, la Belgique, l’Uruguay et la Suisse. Encore quelques semaines, Samuel Eto’o et ses coéquipiers seront fixés.


Pot 1 (têtes de séries)

Brésil, Espagne, Allemagne, Argentine, Colombie, Belgique, Uruguay, Suisse.

Pot 2

Pays-Bas, Italie, Angleterre, Portugal, Grèce, Bosnie, Croatie, Russie.

Pot 3

Cameroun, Chili, Côte d’Ivoire, France, Equateur, Ghana, Algérie, Nigeria.

Pot 4

USA, Mexique, Costa Rica, Honduras, Japon, Iran, Corée du Sud, Australie.

 


 

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24 novembre 2013 7 24 /11 /novembre /2013 09:51

Belgique-Cameroun,Devoir d’enquête:14 Belges morts au Cameroun (Texte et vidéo) :: BELGIUM

Belge Mort Cameroun:Camer.beNon, ce n’est pas le titre d’une nouvelle comédie britannique, mais bien celui d’un reportage de Catherine Lorsignol pour le compte du magazine judiciaire Devoir d’enquête de la RTBF 1. La journaliste s’est intéressée à la mort mystérieuse d’une quinzaine d’hommes belges, tous partis au Cameroun pour refaire leur vie. Le modus operandi est toujours le même : une première rencontre sur internet, un voyage au Cameroun, une maladie «bizarre» et une mort inexpliquée. La vidéo

 

 

P
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24 novembre 2013 7 24 /11 /novembre /2013 09:48

Cameroun,Direction régionale du Centre I Impôts: Au coeur du marché des quittances :: CAMEROON

Franc Cfa:Camer.beComment les cadres et agents des services de la Direction régionale du Centre I vendent ces factures et narguent les opérateurs économiques.Le jeudi 21 novembre 2013 en mi-journée, Madame madeleine Mache sort du bureau des impôts n°5 de Mvog-Ada à Yaoundé en colère. Monsieur Minkou, de la division des impôts à Mvog-Ada, vient de lui faire savoir qu’un agent du Pool II de la Direction régionale des Impôts du Centre I lui a révélé qu’il refuse de traiter son dossier parce qu’’il y a eu des éclats de voix. Pardon ? A quel moment, et où ? interroge la dame. C’est ce qu’il m’a dit, rétorque monsieur Minkou en lui rendant la chemise contenant ledit dossier. Cette opératrice économique a été recommandée à monsieur Mvondo par Minkou qui lui aussi l’a reçu pour satisfaire la demande d’un collègue dont elle est la parente. Une fois dans le bureau de monsieur Mvondo, il a demandé à ce qu’elle appelle un des agents de la cellule spéciale d’enregistrement des marchés, pool 3 bénéficiaire de ce paiement. A cette heure là une seule dame est dans le service, elle tire la quittance d’une pille d’autres portant un papillon sur lequel est marqué "retard", qui sont contenues dans plusieurs chemises. 
 
Les deux femmes se sont rendues ensemble chez monsieur Mvondo qui assure à ce moment là la coordination par intérim des Pool 2 et 3, en l’absence du chef. «Vous avez effectué votre paiement très tard, plus d’un mois après la dated’émission», lui a-t-il dit en feuilletant son dossier. Puis il rend les papiers à sa collaboratrice en lui conseillant d’aller avec le contribuable vois ça au pool 3. Mais  l’employée réclame au moins la moitié du montant total, sans quoi elle mettrait les données dans la machine et dans ce cas, le prestataire  devra payer les 48.000 FCFA de pénalités requises. Mais dame Mache n’a que 10.000 FCFA sur elle, et son interlocutrice a décliné l’offre. Monsieur Minkou est intervenu pour demander à son collègue de prendre ce dont disposait la cliente, une enveloppe de 10.000 FCFA, qui a été refusée en fin de compte. Le pool 3 avait émit l’ordre de paiement des frais d’enregistrement pour le marché du Ministère de la Santé Publique attribué à cette dame le 09 septembre, l’argent a été versé par Afriland First Bank dans les caisses de l’Etat le 8 octobre, c’est à-dire 29 jours après.C’est-à-dire dans les délais impartis d’un mois établis règlementaire comme on peut le lire sur les documents. Mais monsieur Mvondo a lu autre chose, le paiement des frais d’enregistrement a été fait plus d’un mois après, selon ses dires, le 9 octobre alors que l’ordre a été émis le 05 septembre. La procédure normale est la suivante, la quittance est délivrée une semaine après le dépôt du reçu du versement desdits frais dans une banque de la place. Madame Mache a été informée par téléphone le mercredi 13 novembre 2013 par une dame du pool 3 qui  l’informait de ce qu’«il y a un problème sur son dossier». Elle devait s’y rendre rapidement, avait martelé l’agent au téléphone. Le lendemain, son directeur commercial y était allé, et là il avait appris que le paiement des impôts n’avait pas été fait dans les délais, et qu’il y avait des pénalités de 100% à payer pour que la quittance lui soit remise. Mais il ne disposait pas de cette somme sur lui, mais de seulement 15.000 FCFA. Mais monsieur Mvondo voulait le double, sinon rien, a-t-il ajouté. 

C’est la raison pour laquelle madeleine Mache est allée elle-même sur place pour négocier cette transaction le jeudi 21 novembre. A en croire les agents des impôts qui ont suivit la scène, cet argent qu’ils revendiquent va dans quelle caisse puisque la quittance est déjà émise ? «Ils ont émis l’ordre de paiement, vous avez payé, ils ont accepté le reçu de la banque, ils ont traité le dossier, que veulent-ils encore», ont-ils questionné. Des éclats soulevés par monsieur Mvondo, il n’en est rien, puisque cette chef d'entreprise parlait toute seule en descendant les escaliers après l’échec de sa concertation avec l’agent du pool 3. J’«ai trop de problèmes économiques disait-elle, vous allez seulement manger ce dossier puisque je n’en ai pas plus», susurrait-elle en marchant. C’est à ce niveau que monsieur Mvondo, qui lui remontant dans son bureau l’a entendu parler. Il peut témoigner de ce que ces propos ne lui étaient pas adressés puisque leur rencontre à cet endroit là était fortuite.

Dame Mache est retournée ensuite dans son bureau pour lui demander à quel moment elle a levé le ton, «en tout cas, si quelqu’un lève le ton dans mon bureau, je le fais évacuer», a-t-il lancé à son contribuable en pianotant sur son clavier. Là vous m’insultez, a dit la dame en s’éloignant, pour aller au pool 3 poser la même question à l’autre agent. C’est Monsieur Mvondo qui m’a dit que vous avez a parlé dans les escaliers, a-t-elle déclaré en levant les deux bras les paumes bien ouvertes.  Cette même dame lui révélera qu’ils ont tenté de l’appeler à plusieurs reprises durant des semaines sans succès, jusqu’à ce mercredi 13 novembre, plus d’un mois plus loin il faut le relever, lorsque le miracle s’est produit, et qu’ils ont enfin pu lui parler de son problème. 

ROUP
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22 novembre 2013 5 22 /11 /novembre /2013 19:18

Cameroun,Panique sécuritaire:L’étau se resserre autour de Paul Biya :: CAMEROON

Biya Securite:Camer.beDès son arrivée au Cameroun et après sa prise de fonction, Christine Robichon fait déjà face aux rapts perpétrés sur les français dans la partie septentrionale du Cameroun. S’étant rendue à Maroua récemment, le seul message qu’elle a pu donner a été de dire aux français de quitter la région compte tenu de la dangerosité dont elle revêt. Mesure sécuritaire ou probable déchéance d’un régime d’Etoudi qui tire à sa fin ? Plusieurs indices portent à croire que le roussi sent. Plusieurs grands rendez-vous attendent Paul Biya pour se réconcilier avec la France. Le bras de fer va-t-il continuer ?

Selon plusieurs sources, le dernier voyage en terre camerounaise de l’ancien premier ministre français François Fillon avait déjà mis sur la table une probable création d’une base militaire française au Cameroun. Fier de sa souveraineté « hérité » de son prédécesseur, M. Paul Biya, n’avait pas daigné accepter l’offre. Les réalités vont alors le rattraper quelques années plus tard avec le rapt de la famille Moulin-Fournier qui constituera pour la France le premier ballon d’essai d’une mise en garde perpétuelle.

Aujourd’hui un autre Français, prêtre de surcroit s’est encore fait enlever dans l’extrême-nord ; affinant la volonté définitive de la France d’accélérer les négociations pour l’installation d’une base militaire. En les annonçant selon un certaine presse déjà à l’Est, tout penche vers la prochaine confirmation de leur installation en terre camerounaise.
Le pouvoir d’Etoudi, selon un document confidentiel a déjà un peu lâché du leste en permettant tout de même à « une mission de reconnaissance de l’armée française » de sillonner le pays dans trois régions afin de voir laquelle pourrait être propice. Il s’agit des régions de l’Extrême Nord, de l’Est et du Sud. Pour ce qui est du Sud, un refus catégorique a été émis par les autorités d’Etoudi en expliquant que plusieurs mesures avaient déjà été prises pour équiper cette région d’une puissance de feu considérable. Restera alors l’Extrême Nord et l’Est.  

Au regard des évènements récents du côté de l’Est, à la frontière avec la RCA, avec une énième attaque de rebelles du Front Démocratique du Peuple Centrafricain (FDPC), le Cameroun va être contraint dans quelques jours d’accepter cette « présence utile» sur son sol avec très certainement l’arrivée d’une technologie militaire sophistiquée de la 4e puissance militaire mondiale. Pour cela, une participation au Sommet France/Afrique du Président Biya en Décembre 2013 sera décisive pour parapher des accords de défense. 
 
La France : point focal ?

D’après des extrait d’un rapport français retraçant la relation de la France avec l’Afrique, plusieurs précisions sont faites : « Sur le plan sécuritaire, l’opération SERVAL est venue rappeler avec force à l’opinion publique française et internationale que la France disposait d’une présence sans équivalent en Afrique. « Vous étiez la seule Nation occidentale à être capable d’intervenir sur le terrain malien comme vous l’avez fait » nous a dit Michel Battle, Ambassadeur des Etats-Unis auprès l’Union Africaine, « non seulement vous avez des bases qui vous permettent d’intervenir en premier sans délai à la demande d’assistance d’un pays ami, mais vous avez des soldats aguerris à la réalité africaine. »
 
Le conflit Malien est venu rappeler que les intérêts de la France était d’abord en Afrique, là où ses ressortissants sont ; là où son histoire s’écrit depuis quelques années ; là où ses intérêts stratégiques se situent. Selon des chiffres révélés, la présence des forces militaires Françaises en Afrique ne couterait pas moins de 300 millions d’Euros annuel. Un coût considérable qui met au premier plan l’intervention de la France dans les conflits en Afrique. D’après le General  Didier Castres, Sous-chef d’Etat-major « Opérations » au Ministère de la Défense de France, « L’Afrique est probablement la seule zone dans laquelle nous pouvons peser sur une crise dans ses différents volets (politique, militaire, développement, gouvernance), mais également susciter un effet d’entrainement diplomatique et militaire sur les partenaires européens. Des exemples récents en témoignent, de la RCI au Mali en passant par la RCA et le TCHAD. Tous nos alliés nous reconnaissent comme étant parmi les seuls à comprendre et à connaître l’Afrique. »

A ce jour une trentaine d’interventions militaires importantes ont été répertoriés par la France en Afrique. Sur les 10 dernières années, l’ont peut citer sans se tromper quelques unes.

-    2002 : Début de l’opération licorne, force de maintien de la paix en Cote d’ivoire suite à une rébellion qui menaçait le pouvoir de Laurent Gbagbo. Cette intervention va entrainer les accords de Marcoussis entre les forces politiques et militaires ivoiriennes en Janvier 2003 ;
-    2003 : Mise sur pied de l’Opération « Artémis » en RDC ;
-    2004 : Destruction de la flotte de l’armée Ivoirienne suite à un bombardement dans lequel 9 soldats de la force licorne trouveront la mort avec 35 blessés graves. Ce jour-là comme actuellement dans le cas du Nord Cameroun, la France appellera ses ressortissants à décamper ;
-    2006 : Soutien à l’armée tchadienne suite à la montée en puissance d’une rébellion armée venant en colonne du Nord. La flotte française grâce à des tirs bien ciblés avaient détruis une bonne partie de l’équipement militaire des rebelles qui se trouvaient déjà à 250 Km de N’Djamena ;
-    2008 : Après des troubles, l’armée française assiège l’aéroport de Ndjamena et proc-de à l’évacuation des ressortissants français ;
-    2008 : Création de l’operation Europpéenne Eufor-Tchad-RCA qui sera dissoute un an plus tard en 2009 ;
-    2008 : Après une attaque de l’armée de la base de l’armée Djiboutienne, le France enverra un soutien logistique important ;
-    2008 : Début de l’opération de lutte contre la piraterie dans le Golfe d’Aden dénommée « Atalante » ;
-    2011 : Bombardements décisifs de la flotte de l’armée de Mouanmar Kadhafi en Mars après que le vote favorable d’une intervention militaire aux fins de protéger les civils que le régime du Guide Libyen tuaient. L’OTAN quelques jours plus tard viendra prêter main forte à la rébellion qui permettra de renverser définitivement le pouvoir de Tripoli ;
-    2011 : Après des élections très controversées en Cote d’Ivoire, Laurent Gbagbo va s’accrocher au pouvoir. La France grâce à son armée prêtera main forte à Alassane Ouattara pour vaincre l’ancien Président qui se trouve de nos jours à la Haye.

Aujourd’hui en Afrique, en 2013, l’armée Française compte 10 000 hommes, 8 bases ou points d’appui, 52 attachés de défense, 24 accords de défense ou de coopération ; tout ceci pour un coût annuel d’un milliard d’Euros. Le Gabon, Djibouti et le Senegal qui compte à eux seul 5 000 hommes viennent derrière le Tchad, la Cote d’Ivoire, la RCA et le Mali avec environ 5 700 hommes. Qu’est ce qui empêchera « d’annexer » le Cameroun ?

« Sage » Chef de l’Etat comme le pense Ali Bongo et bien d’autres Chefs de l’Etat nouvellement arrivé à la tête de leurs Etats, Paul Biya à l’apogée de son « règne » n’a probablement pas mesuré l’ampleur de la chose. Les évènements s’enchainant, Just Wait and See.

R GROUP
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22 novembre 2013 5 22 /11 /novembre /2013 19:00
Communiqués
La BAD appelle à nomination des membres du comité d’appel de la politique de Diffusion et d’accès à l’information (DAI)

TUNIS, Tunisie, 22 novembre 2013/African Press Organization (APO)/ — Le Groupe de la Banque africaine de développement (BAD) (http://www.afdb.org) lance un appel à candidatures en vue de la nomination de personnes qualifiées pour siéger au Comité d’appel de la politique de Diffusion et d’accès à l’information (DAI) du groupe de la Banque.

Logo : http://www.photos.apo-opa.com/plog-...

Un communiqué publié par Mme Cecilia Akintomide, Vice-président et Secrétaire générale du groupe de la Banque, indique que les candidats au panel doivent avoir une solide expérience en matière de gouvernance, de transparence, d’accès à l’information et domaines connexes. Ils doivent également avoir une bonne connaissance pratique des politiques sur la liberté de l’information aux niveaux national, régional ou international, une bonne compréhension du fonctionnement des institutions financières multilatérales de développement, un jugement indépendant et une intégrité démontrée.

Selon le communiqué, la citoyenneté d’un Etat membre de la BAD est obligatoire et, une préférence sera accordée aux candidats ayant une maîtrise courante de l’anglais ou du français et une bonne connaissance de l’autre langue. Une expérience africaine sera jugée favorablement dans le cadre du processus d’évaluation.

La politique de Diffusion et accès à l’information (DAI) réaffirme l’engagement du Groupe de la Banque en faveur des principes de bonne gouvernance, en particulier la transparence, la responsabilité, l’accès accru à l’information et la communication active dans ses activités.

Dans ce contexte, la politique DAI donne au public la possibilité de soumettre une demande de revue de la décision de rejet d’information par la Banque à travers un processus d’appel à deux niveaux. La première étape est conduite par le Comité de Diffusion de l’Information (CDI) du Groupe de la Banque, constitué de membres de la direction. La deuxième étape est conduite par un Comité d’appel constitué de trois personnes, dont au moins deux d’entre elles doivent être extérieures au Groupe de la Banque. Le Comité d’appel rend compte directement au Président du Groupe de la Banque et fonctionne indépendamment du CDI. Toutefois, son mandat ne s’étend pas aux décisions du Groupe de la Banque concernant les demandes de déroger aux dispositions de la Politique DAI. Les décisions du Comité d’appel sont définitives et le recours, le cas échéant, serait de mettre à disposition du demandeur les informations demandées.

Les candidats retenus seront nommés par le Président du Groupe de la Banque, en consultation avec les Conseils d’administration afin de siéger au cas par cas pour une durée de deux ans renouvelable une fois.

Les candidatures doivent être adressées à Mme Cecilia Akintomide, Vice-présidente et Secrétaire Général, Banque africaine de développement.

Adresse : Banque africaine de développement, Agence Temporaire de Relocalisation, Avenue du Ghana, Angle Rues Hedi Nouira et Pierre de Coubertin, BP 323 Tunis, 1002 Tunis Belvédère, Tunisie. Tel : (216) 71 10 20 05 ; télécopieur : (216) 71 10 37 51 ;

E-mail : c.akintomide@afdb.org et dai@afdb.org

Seules les demandes reçues avant le 31 décembre 2013 seront prises en compte.

Les informations sur la politique de DAI sont disponibles à :

http://www.afdb.org/fr/about-us/dis...

Distribué par APO (African Press Organization) pour la Banque Africaine de Développement (BAfD).

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22 novembre 2013 5 22 /11 /novembre /2013 18:46

CAMEROUN::SOCIETE

Cameroun - Primature : Cimetière des nominations :: CAMEROON

Cameroun - Primature : Cimetière des nominations:CameroonLes propositions de mouvements dans différents départements ministériels peuvent attendre plusieurs années dans les tiroirs de l’immeuble étoile.

Récemment, le ministre des finances, Alamine Ousmane Mey a nommé par décision « à titre intérimaire » des responsables dans   certains  services déconcentrés  de la Direction générale des impôts dans la Région du Littoral.  Notamment  une quinzaine d’inspecteurs des impôts, responsables dans les Centres régionaux des impôts du Littoral 1 et 2 (Liste ci-contre). Un acte administratif apparemment anodin.  Mais au ministère des finances, nombreux sont les cadres qui savent pertinemment que le patron du département qui veut plus d’efficacité dans l’action de ses collaborateurs, doit compter sur certaines ressources humaines dont il a lui-même apprécié les compétences. 

Or, travailler avec les compétences dont on a besoin et qui sont disponibles, n’est pas   toujours à la portée des membres du gouvernement du Renouveau. Parce que les propositions de nomination,  notamment, doivent d’abord aller  quémander le visa du premier ministre, après que ses  collaborateurs, avec tous les réseaux filiformes qu’on peut imaginer à ce niveau de la haute administration, aient d’abord cuisiné les listes, généralement dans  le sombre dessein de positionner les innombrables protégés. Régulièrement, la cuisine est tellement laborieuse que les listes n’en ressortent même plus jamais.

Souvent, pour contourner cette lourdeur doublée d’inertie au premier ministère, le ministre, en lieu et place du décret, peut prendre des décisions pour remplacer des retraités ou des personnes temporairement empêchées. Malheureusement, avec une portée limitée à la désignation des seuls  intérimaires,  question de se conformer aux textes.

En réalité, les décisions sont prévues pour résoudre des  situations de faible amplitude. Mais face à l’envergure de l’inertie, les décisions prises en «  petits lots » peuvent finalement représenter un vaste mouvement. Le ministre des finances, par exemple- et il n’est pas seul dans cette posture- a été contraint de prendre  cette décision dans  le Littoral  qui n’est déjà pas une petite région. Demain, il peut l’étendre ailleurs, si la nécessité s’impose. La pratique se généralisant, va donner lieu à une armée d’intérimaires dans les administrations publiques. Pourquoi ? Personne n’ignore pourtant où sont logés les goulots d’étranglement dans le cheminement des dossiers. 

Des informations que La Nouvelle Expression a pu glaner auprès de plusieurs administrations publiques indiquent que certains responsables sont en poste depuis plus de dix ans, confortés par l’absence les décrets de nomination de nouveaux responsables ; ou des retraités encore maintenus en fonction par des lobbies mafieux.

L’inertie que décrie Paul Biya à longueur de discours (on se rappelle les fameuses feuilles de route) est bel et bien présente. Surtout pas du tout loin de lui. Et ce n’est pas être antipatriote que de remarquer que   de telles pratiques datent. Et  durent depuis 31 ans. Un repère chargé d’une histoire que chacun peut commenter. Selon son bord

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22 novembre 2013 5 22 /11 /novembre /2013 09:54
Selon des sources introduites au sein de la Présidence de la République, Paul Biya a refusé d'ordonner des poursuites judiciaires contre l'ex-ministre des finances, Essimi Menye, à la demande du ministre de la Justice, Laurent Esso. Le Chef de l'Etat se serait offusqué des nombreuses relances de Laurent Esso dans ce sens. Une note confidentielle datée d'avril 2013 et relayée par la presse en août dernier attribue à l'ex-MINFI aujourd'hui ministre de l'Agriculture et du développement rural, le détournement en 2008 de 5 milliards de F Cfa à la Trésorerie Générale de Douala. Ayant reçu la bonne information par d'autres sources, le Chef de l'Etat aurait demandé à Laurent Esso de surseoir à ce projet. Cliquer sur une image pour agrandir
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22 novembre 2013 5 22 /11 /novembre /2013 09:44
* Agent Fifa, licencié de la fédération française de football, consultant sur la réglementation Fifa et FFF dans une école de management de sport business, à Paris, l’ancien footballeur jette un regard sur les Lions Indomptables et fait un diagnostic du football et surtout l’encadrement des jeunes au Cameroun. En même temps qu’il fustige la réglementation de la Fifa sur la protection des jeunes qui n’est pas avantageuse pour Le jeune footballeur Africain. Interview... Le 21 novembre 2013 20 commentaires Qu’est-ce qui justifie votre présence en ce moment au Cameroun ? Je suis bien Camerounais. Et je suis venu regarder le match Cameroun - Tunisie et encourager les frères. Qu’avez-vous retenu de ce match ? Ce qui m’a marqué, au-delà de l’envie, c’était l’état d’esprit. Je pense que ça fait un moment, on n’a pas vu, même ceux qui sont sur le banc de touche, jubiler après un but ou encourager les autres après une action manquée. Je crois que l’état d’esprit était tel que les joueurs de l’équipe nationale avaient vraiment envie de se qualifier pour la Coupe du Monde. Au-delà de la manière, il y a eu cet état d’esprit. Le football est avant tout un sport collectif et quand on n’est pas solidaire en football, on a beau avoir tous les talents, on ne peut pas passer. Je reviens de la coupe du Monde des U-17 aux Emirats Arabes Unis, et quand on voit que le Mexique a éliminé le Brésil qui était attendu en finale, avec son potentiel intrinsèque individuel. Mais, le Mexique a joué solidaire et a éliminé le Brésil. Dans ce match des Lions Indomptables de dimanche dernier, et au-delà de la solidarité, qu’est-ce qui vous aura marqué sur le plan technique ? J’ai vu une équipe qui a essayé de jouer au ballon, malgré l’état difficile du terrain, il faut le dire, qui n’était pas bon. Les actions ont été menées à terme et à la fin le score parle pour lui-même. Qu’y a à travailler encore dans cette équipe avant la Coupe du Monde ? Il y a plein de choses à revoir. Le sport de haut niveau est une remise en question permanente. On prépare une Coupe du monde. Cela veut dire qu’on va rencontrer les meilleures équipes et tout le temps, il faut se perfectionner, il faut y mettre du sérieux et rechercher l’excellence afin d’aller le plus loin possible. Pour vous qui connaissez beaucoup de joueurs camerounais qui évoluent en Europe, y en a-t-il qui peuvent apporter quelque chose à cette équipe et qui n’ont pas encore eu cette chance d’être appelés ? Bien sûr. Je pense au jeune Paul Georges Ntep. J’avais amené les dirigeants camerounais le rencontrer à Auxerre. Ça traîne un peu et on ne sait pas où ça coince. Je vous parle de ce qui s’est passé il y a trois mois. Je pense que le petit a attendu un moment et comme au football aujourd’hui, ça va tellement vite, il est titulaire chez les Espoirs Français. Mais, je pense qu’il a la possibilité de jouer une Coupe du Monde avec le Cameroun. Je ne pense pas qu’avec la France ce sera possible pour lui aussi aisément. Le Cameroun est un pays de 22 millions d’habitants. La France a plus de 60 millions d’habitants. Avec le Cameroun, il a plus de chance de participer à une Coupe du Monde qu’avec la France. On parle d’aller au Brésil. Je pense qu’en ce moment, ça doit cogiter dans sa tête. Je lui passerais un petit coup de fil quand je vais retourner sur Paris pour en parler avec lui. JPEG - 83 ko Quel regard jetez-vous sur la qualité de l’encadrement technique de cette équipe du Cameroun ? Est-il à même de faire l’affaire pour la Coupe du Monde ? Je ne parle que de ce que je connais. Je sais que le Cameroun a dans son staff un certain Sylvain Monkam que je connais depuis une dizaine d’années. C’est un technicien très compétent. Quand j’ai appris sa nomination en équipe nationale, j’ai été très content, parce que c’est quelqu’un qui connaît son métier et c’est une très bonne chose pour le Cameroun d’avoir ce préparateur physique. Vous avez l’habitude de prospecter les jeunes ici au Cameroun et finalement ils sont toujours sur place. Que se passe-t-il par la suite ? Qu’est-ce qui bloque ? J’étais ici au Cameroun pendant dix jours avec les Girondins de Bordeaux. J’ai été un peu surpris par le manque de qualité des jeunes footballeurs camerounais tant sur le plan technique que sur le plan football. Le football est devenu aujourd’hui un sport spécifique. On joue à des postes bien précis qui ont des préparations spécifiques. Le Camerounais en lui-même est déjà très sportif. Une ville comme Yaoundé a des collines. Je vois des footballeurs qui, chaque jour, vont courir pendant une heure de temps. Je vous prends un petit exemple : Quand ils vont courir une heure, au-delà des entraînements qu’ils font, je ne vois pas trop en quoi ça sert. Un terrain réglementaire, c’est 110m/90m. C’est des courses spécifiques, intermittentes du footballeur. Pour un attaquant, c’est 5, 10, 15 mètres, par exemple. Un milieu de terrain ou un défenseur, on va chercher dans les 40 ou 50 mètres. On est ici dans la recherche des fibres musculaires rapides, celles qui nous aident dans une action pour aller marquer un but. L’objectif sur un terrain, c’est de marquer un but. Et pour le faire, il faut sauter plus haut, courir plus vite et plus bon techniquement. Comme Benjamin Moukandjo dans son action de but. C’est une action qui dure 10, au maximum 15 secondes. Ce n’est pas en allant courir une heure tous les jours qu’il fait une action pareille. C’est pour dire qu’il y a un effort à faire sur la formation des encadreurs au Cameroun. La volonté du travail y est, parce que, pour qu’un gamin aille courir tous les jours, il lui faut être volontaire. Le talent y est aussi. Je compare souvent le Cameroun au Brésil. Et je me le permets, parce qu’en prenant la théorie de séparation des cinq continents, si vous ramenez les continents, vous allez voir que le Brésil et le Cameroun sont des pays voisin. Ce sont des pays amis. Je justifie souvent le talent au Cameroun par cette proximité. Je pense qu’au Cameroun on a un problème de mentalité, de remise en question, parce que le football évolue. Ce n’est pas normal qu’on n’explique pas à un gamin qu’aller courir tous les jours ne sert pas à grand chose. Il y a le footing d’avant et d’après saison, où on prépare le corps à recevoir un effort et celui de toute la saison, qui est l’oxygénation. Le reste, c’est beaucoup des courses spécifiques, qui vont aider à mener à bien les actions sur un terrain de football. La Fifa dans sa réglementation sur la protection du jeune footballeur n’est pas venu arranger les choses pour les Africains. Comment voyez-vous cela ? Vous parlez de l’article 18 sur la protection des mineurs. J’enseigne la réglementation FFF et Fifa dans une école de management et de sport business à Paris. J’ai souvent en face de moi des gens qui veulent être agent de joueurs, directeur sportif, journaliste sportif. C’est un article qui est, à mon avis, un handicap pour les Africains. Je vais parler de l’Afrique en général. Quand vous regardez la dernière Coupe d’Afrique des nations et celles à partir de 2009. En 2009, la Fifa a créé une sous-commission du statut du joueur qui doit valider tous les transferts de mineurs. A ce jour, pour être mineur en tant que petit Camerounais, il faudrait que ses parents se déplacent pour une raison extérieure au football. Ou alors, il faudrait que la gamin arrive en Europe et soit enregistré comme si c’était sa première licence, pour dire qu’il n’a jamais joué au football. D’un autre côté, cet article, pour ma part, devrait être remis en question. Quand on regarde en Europe par exemple, entre 16 et 18 ans, les gamins sont transférables au sein de l’Union européenne. Un gamin de 16 ans part de la France pour aller jouer à Manchester City, William Ntcham, par exemple, qui est un Français d’origine Camerounaise. Manchester City a payé 1,5 million d’Euros à 16 ans pour qu’il rejoigne son académie. Mais, c’est impossible pour un gamin d’Afrique. C’est un gros handicap. Landy Nguemo, par exemple, est arrivé à Nancy à 15 ans. Il a eu trois ans, maximum cinq ans, sachant que pour signer un contrat professionnel, c’est à 20 ans. Landry a eu cinq ans pour apprendre le métier de footballeur. Avec cet article-là, un jeune Camerounais arrive en France à 18 ans et n’a que deux ans pour essayer de gommer tous les défauts et lacunes qu’il a. Et je pense qu’à 18 ans, c’est un peu tard. Quelle est, selon vous, la solution pour les jeunes qui ont moins de 18 ans, pour qu’ils soient prêts, sans lacune à combler, une fois arrivé en Europe ? Il faut trouver la solution au Cameroun. Il faudrait que les politiques en place fassent un effort pour améliorer le cadre de vie des jeunes footballeurs. Un passeport footballistique pour un footballeur commence à 12 ans. Il faudrait un championnat des jeunes. Ça n’existe pas au Cameroun. Avec l’urbanisation dans la ville de Yaoundé par exemple, il n’y a même pas de terrain de foot, comme partout dans le pays. Il faudrait faire un effort pour l’encadrement des entraîneurs, des préparateurs physiques. On prépare ainsi l’équipe nationale de demain. Après la génération actuelle, ça va être un peu compliqué. Je vais vous poser une question : avez-vous un nom de jeune footballeur prometteur au Cameroun ? Je suis sûr que ça existe et il ne joue même pas. Il est au quartier. Je suis né à Yaoundé où j’ai grandi et je me rappelle qu’il y avait les compétitions inter lycées. On jouait au football pratiquement toute l’année, on jouait le championnat Ossuc.
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19 novembre 2013 2 19 /11 /novembre /2013 19:28

 

 





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Plusieurs recommandations ont été faites au terme de l'atelier de définition de stratégie d'intervention de l'Agence nationale d'appui au développement rural (Anader), pour les Ressources animales et halieutiques, samedi.

Sur insistance du ministre des Ressources animales et halieutiques, Kobenan Kouassi Adjoumani, évoquant une impérieuse nécessité d'une synergie d'actions entre tous les acteurs du secteur des ressources animales et halieutiques, l'atelier a recommandé la mise en place d'un mécanisme de financement pérenne au profit dudit secteur.

Les 67 participants ont demandé la création de conditions pour une cohabitation pacifique entre agriculteurs et éleveurs, la prise de mesures incitatives pour réduire le coût des intrants aux producteurs, ainsi que la mise en place d'une fiscalité adaptée et d’en assurer la diffusion auprès des éleveurs, des pêcheurs et des aquaculteurs.

L'atelier a exhorté le ministère des Ressources animales et halieutiques à renforcer les capacités de l'administration centrale, en vue d'une meilleure application de la règlementation en productions animales et halieutiques et de réaliser le recensement des acteurs à l'intérieur des filières desdits secteurs.

Le rapport de synthèse a encouragé le ministère de l'Agriculture à finaliser la loi d'orientation agricole et le Centre national de recherche agronomique (Cnra) à organiser un atelier de réflexion sur la problématique de la recherche en matière de ressources animales et halieutiques.

Il a enfin été suggéré à l'Anader de dynamiser ses interventions, dans le secteur des ressources animales et halieutiques.
Le ministre des Ressources animales et halieutiques, Kobenan Kouassi Adjoumani, avait insisté, jeudi, à l'ouverture de l'atelier, sur l'impérieuse nécessité d'une synergie d'action entre tous les acteurs des différentes filières, agissant sous la tutelle dudit ministère.

L'objectif de l'atelier est de mettre en place une stratégie d'intervention de l'Anader au profit des acteurs concernés dans chacune des filières des ressources animales et halieutiques et de proposer des axes d'amélioration des prestations de l'Anader en faveur des secteurs desdites filières.

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19 novembre 2013 2 19 /11 /novembre /2013 19:26
Espoirs : Ntep et les progrès des Bleuets
Publié le 19 novembre 2013
 
 
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Buteur contre les Pays-Bas lundi soir en amical avec l’équipe de France Espoirs (1-1), Paul Georges Ntep se félicite des progrès affichés par les Bleuets. L’attaquant de l’AJ Auxerre estime que l’équipe n’a plus à avoir peur des sélections majeures en Europe.
"Notre génération progresse. Déjà parce qu’en terme de vie de groupe, on s’entend bien ensemble. Ça permet d’avoir plus d’affinités sur le terrain. Vu la qualité des joueurs de notre groupe, vu le niveau où on évolue tous, je pense qu’il n’y a pas de raison de craindre des pays comme l’Allemagne ou les Pays Bas. Ouais, on n’a pas les craindre", a-t-il affirmé après la rencontre.

Les Tricolores sont toujours invaincus sous les ordres de Willy Sagnol.


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