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13 novembre 2013 3 13 /11 /novembre /2013 16:05

 

 

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Le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique a offert aux universités de Nangui Abrogoua d’Abobo, Félix Houphouët-Boigny de Cocody et Alassane Ouattara de Bouaké, des lecteurs optiques, instruments importants dans l’organisation des examens et la correction des copies d’examens. Les dons ont été faits le lundi 11 novembre 2013 à Nangui Abrogoua par Mme Viviane Krou Adohi, Directrice générale de l’Enseignement supérieur et des Œuvres universitaires (DGES). Elle a indiqué la correction manuelle des copies est désormais souvent longue et fastidieuse, est remplacé par les QCM (Questions à choix multiples) et QCD (Questions à choix directs). Ces deux types de questionnement, font l’objet d’évaluation numérique, et non, par des personnes. Le lecteur optique QCM et QCD est une innovation dans l’évaluation et la correction des copies d’examens. Ces lecteurs optiques, que l’Etat de Côte d’Ivoire a mis à la disposition des universités, sont de dernières générations pour la correction de QCM, et ne nécessitent pas de connaissances informatiques particulières. Ils sont à la fois faciles à utiliser, et, capables de noter avec une parfaite précision. L’automatisation de la correction des évaluations sans compromis pédagogique sera vvulgarisée dans la majorité des UFR (Unité de Formation et de Recherche) des universités ivoiriennes. Le Pr. Adohi a indiqué que le lecteur optique peut corriger entre 50 à 60 copies à la minute, donc environ 15 000 copies en cinq (5) heures. Cette forme de correction permet d’éviter les soupçons ou suspicions de fraude, parce les résultats sont classés par ordre de mérite, en temps réel. Ce don d’une valeur de 70 millions de FCFA répond au souci d’inscrire les universités sous le sceau du ‘’départ nouveau’’, souhaité par le gouvernement. A la suite de ce don aux trois universités, Mme la DGES a visité un certain nombre de laboratoires où elle a pu vérifier qu’ils sont tous dotés de matériels de dernières générations, prêts pour l’emploi et la formation de pointe des étudiants.

 

 

LIENS PROMOTIONNELS

 


 


 

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13 novembre 2013 3 13 /11 /novembre /2013 16:01

Cameroun : Les funérailles de l'Université des Montagnes programmées :: CAMEROON

Cameroun : Les funérailles de l'Université des Montagnes programmées ::CameroonUne université se substitue à l'Etat pour l'aider à remplir ses devoirs régaliens et ne lui demande aucun financement et au lieu de s'en réjouir, le gouvernement du Renouveau trouve plutôt les voies et moyens pour l'anéantir.

Ce qui laisse penser que le véritable problème est ailleurs, surtout dans un pays qui dit encourager l'investissement privé.
 
La seule idée de créer une université privée de médecine était déjà un projet salutaire pour un Cameroun où la situation sanitaire est plus que déplorable, avec un déficit chronique de médecins selon les normes admises dans la plupart des pays. C'était aussi une aubaine pour parents et enfants qui n'avaient pas d'autres alternatives en de¬hors du Cuss ou d'aller faire médecine ou pharmacie en Afrique de l'Ouest et en Occident.
 
Malheureusement très tôt, l'Université des montagnes (l'Udm) de Bangangté, qui est en réalité une initiative de la société civile dont le but est d'offrir une éducation de qualité à la jeunesse, dans un domaine essentiel pour le développement du pays, s'est heurtée à une tracasserie incompréhensible de la part de l'administration. Il lui a fallu beaucoup de temps pour être reconnue et obtenir un agrément délivré par les pouvoirs publics qui semblaient même douter jusqu'à la qualité des enseignants, bien que cette institution soit l'une des rares, sinon la seule au Cameroun à être entièrement gérée «par des professionnels de l'enseignement supérieur, tous soucieux de la qualité de la formation, de l'innovation et du partenariat avec des pairs de haut niveau à l'international».
 
C'est ainsi que créée en 2000, ses premiers étudiants sont allés présenter leur thèses dans certaines universités africaines, notamment à l'ex-Zaïre, qui ont bien voulu les ac¬cueillir. Aujourd'hui, la réputation de l'Udm traverse déjà les frontières. Soucieuse de s'atteler à la construction de ses infrastructures et de mobiliser les énergies sous forme d'équipements, cette institution vient de bénéficier d'un prêt concessionnel de 5 milliards de Fcfa de l'Agence française de développement (Afd). C'est curieusement à ce moment que le gouvernement choisit d'intervenir sur les admissions, les frais de scolarité, etc. Bref, de lui imposer des étudiants selon ses propres conditions.

Une réforme-obstacle à la promotion des valeurs

Le Cameroun n'a-t-il pas autre chose à offrir que la médiocrité? C'est la question que se posent les observateurs au regard de ce qui passe aujourd'hui avec l'Udm. Tout a commencé le 18 avril 2013, date à laquelle la Commission ad hoc d'évaluation des facultés et instituts privés d'enseignement supérieur de formation médicale au Cameroun, dirigée par le Pr Maurice-Aurélien Sosso, inspecteur général des services au Ministère de l'enseignement supérieur.
 
A la suite d'une descente sur le terrain, un rapport accablant concernant aussi bien les enseignements d'Etat que les instituts privés a été dressé. C'est ainsi qu'il a été décidé de la fermeture de 4 institutions sur les 6 que comptait le Cameroun. «Les 2 institutions qui restent fonctionnelles à savoir l'Institut supérieur des sciences de la santé (lsss) de l'Université des montagnes (Udm) à Bangangté et Institut supérieur des technologies médicales (lstm) de Nkolondom sont astreintes à une réglementation qui s'appliquera désormais aux institutions exerçant dans ce domaine», avait-on appris. De même, il a été reconnu que l'Udm était pionnière dans plusieurs domaines dont notamment celui d'odontostomatologie où elle est la seule à disposer d'un laboratoire répondant aux normes académiquement admises.
 
Une telle initiative est certes louable dans un pays normal; mais au Cameroun, il serait très naïf de voir les choses dans ce sens. Rien d'étonnant que la réforme de l'enseignement supérieur dans le domaine de la santé qui s'en suit ait créé et crée encore beaucoup de remous au sein de l'opinion nationale quant aux «thérapeutiques appropriées ou que la Commission Sosso a proposées: l'instauration d'un examen national où les institutions privées n'assistent pas aux délibérations; l'attribution d'un «numerus clausus» que l'Etat fixe unilatéralement et arbitrairement à chaque établissement... Par conséquent, dès lors qu'aucune institution ne peut désormais garantir la qualité des étudiants qu'il recrute, les institutions privées se retrouvent avec des étudiants qui n'ont pas le niveau qu'elles souhaiteraient les voir avoir.
 
L'Udm nationalisée?

En clair, l'accès à l'Udm est désormais un «patrimoine de l'Etat», et c'est lui qui fixe unilatéralement et de manière discrétionnaire le nombre d'étudiants à former, avec les dérapages en vigueur qu'on relève dans les autres concours de la fonction publique dans un pays où des critères de quotas iniques priment sur le mérite. De là à se demander si l'Udm est une initiative privée ou étatique, il n'y a qu'un pas à franchir.
 
Du coup, des questions fusent de toute part autour de cette réforme apparemment orientée. Comment comprendre le bien-fondé de telles mesures qu'on fait subir à l'Udm cause de l'échec des autres, alors qu'il a été reconnu unanimement que dans certaines filières, l'Udm était pratiquement la seule université à en dispenser au Cameroun?
 
Par ailleurs, la précipitation dans l'application de cette réforme n'est pas la moindre des curiosités. «Comment peut-on rendre publics des entités ministériels transformant radicalement le paysage universitaire camerounais en Sciences de la santé avec une entrée en vigueur en brais mois», se demande un observateur pour qui «on se serait attendu que le ministère donne au minimum un an, voire deux, à tous les établissements concernés soit pour se conformer, soit pour fermer, de manière et permettre aux étudiants qui y sont inscrits de se recaser ailleurs. Et ce, à défaut d'avoir entamé une concertation avec tous les acteurs concernés».
 
Autant d'incongruités qui laissent libre-court à des arrière-pensées, dans la mesure où la publication du fameux rapport Sosso relève bien que l'Udm se situe au peloton de tête des institutions publiques et privées offrant des formations de même type. Sur un autre plan, la nouvelle mesure fixe les frais de scolarité à 600 000 FCFA. Cela est d'autant plus incompréhensible qu'il a été établi que la formation d'un étudiant en médecine au Cameroun coûte au minimum 1 200 000 FCFA avant investissement et 1 500 000 FCFA en Afrique centrale.
 
Au-delà de ce constat, il est tout à fait curieux d'imposer des frais de scolarité à une institution privée qui a un plan de développement et des investissements qui lui sont propres. Surtout dans le cas de l'Udm qui aura maille à continuer avec ses multiples partenaires. Quelle sera la réaction de ces derniers si ce n'est renoncer à une collaboration dont ils ne maîtrisent plus les fondamentaux?
 
Malheureusement, ce n'est pas la préoccupation du ministre de l'enseignement supérieure, Jacques Fame Ndongo: S'agissant des droits universitaires ayant trait à la formation médicale, pharmaceutique et odontostomatologique (600.000FCfa par an et par étudiant), le ministère de l'Enseignement supérieur (dans le cadre de la prime à l'excellence académique octroyée par le chef de l'Etat, S.e. Paul Biya aux meilleurs étudiants du système universitaire camerounais) a pris les dispositions suivantes: Chaque étudiant paiera, par an, 50.000 FCFA (à l'instar des autres candidats admis dans les facultés de médecine d'Etat).
 
Le ministère de l'Enseignement supérieur complète les droits universitaires, à hauteur de 550.000FCfa l'an, par étudiant. Pour optimiser l'assurance qualité au bénéfice de l'étudiant, le ministre de l'Enseignement supérieur octroie à l'établissement privé (pour la qualité des laboratoires, etc.) 400.000FCfa par an et par étudiant».
 
Mais comme tout observateur, l'un de ses dirigeants de l'Udm, Ambroise Kom est inquiet, à dessein: «Les 950.000 Fcfa qui seront payés par le gouvernement sont incertains comme tous les paiements attendus de l'Etat camerounais. Or l'Udm fonctionne sur la base du cash que versent les étudiants. Simple manière de dire, vous pouvez fermer les portes. Telle est la rançon d'une expérience presque réussie au Cameroun». L'exemple du paquet minimum dans les établissements publics qui arrive quelquefois plusieurs mois après la rentrée en est une illustration parfaite.
 
Cela s'appelle niveler vers le bas. Non?

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13 novembre 2013 3 13 /11 /novembre /2013 15:58

CAMEROUN - INONDATIONS DE 2012 : Le Nigeria va enquêter sur le barrage de Lagdo :: CAMEROON

CAMEROUN - INONDATIONS DE 2012 : Le Nigeria va enquêter sur le barrage de Lagdo::CameroonLe 5 novembre 2013, la Chambre des représentants de la République fédérale du Nigeria a décidé de la mise sur pied d’un comité ad-hoc pour déterminer l’impact du barrage de Lagdo sur l’environnement, le commerce, l’agriculture, le commerce, et surtout les désastres causés par ses eaux  au Nigeria. Selon les parlementaires nigérians, le comité devra déterminer le degré de négligence du gouvernement fédéral, par rapport à la construction même du barrage, lequel cause de nombreux dégâts chaque année.

Le comité qui sera mis sur pied sera composé des membres des commissions chargés de l’agriculture et du développement, des ressources halieutiques, de l’environnement, du commerce, des affaires étrangères, des catastrophes, des sciences et technologies, du transport maritime, et des affaires spéciales. Au terme de l’investigation, le comité devra être capable d’évaluer le coût de la compensation que le Cameroun va verser au Nigeria, à la suite des inondations qui ont ravagé plusieurs villages.

Cette nouvelle étape initiée par les parlementaires nigérians intervient seulement trois mois après la visite au Cameroun de Sarah RengOchekpe, ministre fédéral des Ressources hydrauliques. Le 25 juillet 2013, une délégation venue du Nigeria s’était rendue au barrage hydroélectrique de Lagdo, accusé jusqu’ici d’être à l’origine des graves inondations ayant causé au moins 49 morts et 91.000 déplacés l’année dernière.

Les autorités nigérianes estiment que le mauvais contrôle des lâchages des eaux au niveau du barrage de Lagdo est à l’origine de la destruction de 117.978 maisons, ainsi que de 16 bâtiments gouvernementaux, principalement dans l’Etat de Taraba selon le bilan de l'Agence nationale de gestion des urgences.

Au cours de cette visite du 25 juillet, le ministre de l’Eau de l’Energie, Basile Atangana Kouna, avait expliqué que les inondations qu’a connues une partie du Nigeria, n’ont pas été causées par le barrage de Lagdo. «Il y a le Faro, le Mayo Kebi qui se versent dans la Bénoué. Les inondations connues en 2012 provenaient des fortes pluies et de ces rivières suscitées, qui se versent dans la Bénoué. Le barrage de Lagdo a plutôt aidé à anéantir les effets de ce débordement. Le barrage a joué les rôles de réception et de régulateur, il n’y a donc pas de quoi l’accuser», avait expliqué Basile Atangana Kouna à la ministre nigériane.

Pour rappel, le barrage de Lagdo a été construit dans la cuvette de la Bénoué, de manière à pouvoir servir de réservoir. Son rôle de régulateur a  permis d’empêcher l’immersion d’une bonne partie de la région du Nord, avec des conséquences tout aussi terribles pour les autres pays adossés au Bassin du Niger, dont le Nigeria.

A titre d’exemple, alors que les exceptionnelles crues de 2012 apportaient environ 10.000 m3 par seconde, Lagdo qui en absorbait environ 6.400 et n’en relâchait que moins de 4.000 m3. «Le barrage de retenue ayant une contenance maximale de 216 mètres, le niveau d’eau retenue n’aurait pu être intégral sous peine d’atteindre ce point de rupture avec des conséquences dramatiques», ont expliqué les experts camerounais, pour justifier le rôle de régulateur que le barrage a joué.

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13 novembre 2013 3 13 /11 /novembre /2013 15:54

Cameroun - Chine - Coopération : Avions MA60, un curieux don chinois au Cameroun :: CAMEROON

Cameroun - Chine - Coopération : Avions MA60, un curieux don chinois au Cameroun:CameroonPour acheter ces deux aéronefs chinois, c'est la Chine qui a encore prêté de l'argent à la partie camerounaise.

Même celui qui a un degré de sensibilité plus ou moins égal à zéro peut tiquer à propos des deux aéronefs que la Chine vient de vendre au Cameroun. Et pour cause, non seulement le Cameroun avait reçu en cadeau, avant même l'achat desdits avions, un aéronef similaire (un MA60), mais même au moment d'acheter les deux MA 60, c'est encore la Chine qui prête de l'argent au gouvernement camerounais à travers la signature d'un accord-cadre d'un «prêt préférentiel» d'un montant de 34,4 milliards de FCFA, le 11 novembre 2013, à Yaoundé par M. Emmanuel Nganou Djoumessi, Ministre en charge de l'Economie, de la planification et l'aménagement du territoire (Minepat).
 
Les deux nouveaux avions sont sensés, selon le Minepat, renforcer la flotte de Camair-co. Ce qui permettra à cette entreprise camerounaise «d'assurer efficacement la desserte domestique et régionale et partant générer les externalités d'emploi et des recettes». Au sortir de la signature de cet accord-cadre, l'ambassadeur de Chine au Cameroun, M. Wo Ruidi, a beaucoup communiqué mais n'a pas forcé¬ment convaincu. Revenant sur la polémique qui a porté sur la qualité approximative des MA60 chinois, M. Wo Ruidi, déclare: «ces paroles sont sans fondement. Ces avions ont sauvé une compagnie chinoise au Congo: Il y a eu un accident en Indonésie mais c'était à cause d'une manœuvre technique».
 
Le MA60 est un hi-turbopropulseur de transport commercial chinois construit par Xian Aircraft Industrial Corporation. Il s'agit en fait d'une version allongée du Xian Y7-200A (un bi-turbopropulseur pouvant transporter 44 à 52 passagers fabriqué en ex-URSS). Le MA60, qui a été introduit en 2000, est le seul avion de ligne régional développé par la Chine actuellement en service.
 
Le 7 mai 2013, un avion de ligne MA60 qui effectuait la liaison entre la ville de Sorong et Kaimana dans la province indonésienne de Papouasie occidentale s'est abîmé en mer, tuant les 25 passagers et les membres d'équipage. Une enquête préliminaire suggère qu'une erreur du pilote serait à l'origine de l'accident. Il s'agit du premier accident mortel d'un avion MA60.
 
Mais le Cameroun veut se rassurer à l'idée que les avions MA60 ont été livrés à quatorze pays en Asie, en Afrique et en Amérique du Sud et sont en service sur une centaine de lignes aériennes. Dans le pays, cet avion a servi à ramener, le 19 avril 2013, les otages Tanguy Moulin-Fournier de la partie septentrionale où ils avaient été enlevés par le groupe islamiste nigérian Boko Haram en février. Les trois appareils au total sont le résultat de la visite d'Etat de M. Paul Biya en Chine en 2011 à la veille de l'élection présidentielle.

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13 novembre 2013 3 13 /11 /novembre /2013 15:52

Cameroun - Pénurie : Des députés sans eau à Yaoundé :: CAMEROON

Cameroun - Pénurie : Des députés sans eau à Yaoundé : CameroonLeur hôtel est victime de coupures.

Une petite visite dans la chambre d’un élu de la nation logé à l’hôtel des Députés à Yaoundé dévoile une curiosité. Dans les toilettes, un seau d’une contenance de 20 litres est rempli d’eau. A côté, est posé un récipient plus petit. Il est vide. D’emblée, la présence de ces contenants ne suscite pas plus d’interrogations que ça. Seulement, elle prend du sens lorsque l’on s’aperçoit que rien ne coule du robinet de la cuvette des toilettes. A peine croyable, mais vrai ! Il y a coupure d’eau dans l’hôtel. Et ce n’est pas la première.

D’après un député, c’est la deuxième fois en deux semaines que les chambres sont privées d'eau. Celui-ci dit avoir été prévenu de ces coupures par le personnel de l’hôtel. Il lui a par ailleurs été conseillé de faire des réserves en cas de disponibilité de cette denrée. Cette suggestion a sans doute été communiquée aux autres élus logés ici. Ledit député n’a d’autre choix que de suivre ces conseils, entre autres, parce qu’il aide l’hôtel à économiser ses réserves en eau. C’est ce qui explique donc ce seau rempli d’eau mentionné plus haut, juste assez pour tenir une demijournée.

Une journée pour les plus économes. Les élus de la nation logés à l’hôtel depuis quelques semaines (pour la session ordinaire de novembre, entre autres) ne sont donc pas épargnés par les coupures d’eau. Ils vivent ainsi les mêmes galères que les populations qu’ils représentent à l’Assemblée

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13 novembre 2013 3 13 /11 /novembre /2013 15:48
Fecafoot : Ngassa Happi veut voir les diplômes de Tombi A Roko Sidiki
Ngassa Happi

Le membre du Comité de normalisation de la Fecafoot qui a la charge de la modernisation de l’administration à la Fecafoot a demandé à tous les employés de cette institution de présenter les diplômes qui ont motivé leur recrutement. Du coup, c’est la panique totale à l’immeuble siège de la Fecafoot à Tsinga.

Depuis près de dix jours, le secrétariat général de la fédération camerounaise de football est en ébullition. La faute au Prince Emmanuel Ngassa Happi, le vice-président du Comité de normalisation, en charge de la gestion et de la modernisation de l’administration de la Fecafoot. En effet, l’ancien président de l’Union de Douala des années de gloire a demandé à tous les employés de l’immeuble siège de la Fecafoot de présenter leurs diplômes et autres attestations de réussite ou de formation qui ont guidé leur recrutement dans la maison de football de Tsinga.

Les salaires mirobolants des employés de Tsinga ont donc poussé Emmanuel Ngassa Happi à fouiller dans le profil de ces compatriotes qui vivent sur le dos du football camerounais. Depuis le déclenchement de cette affaire, c’est la panique totale à Tsinga où plusieurs employés ont perdu le sommeil. Le plus embêté c’est d’ailleurs le patron de ce secrétariat général de la Fecafoot, Tombi A Roko Sidiki. Selon des sources concordantes à Tsinga, le dossier de recrutement de Tombi A Roko Sidiki qui dort dans les tiroirs à la Fecafoot ne contient que la photocopie de sa carte nationale d’identité. Il avait été recruté en son temps contre la volonté du Comité exécutif de la Fecafoot. Iya Mohammed qui cherchait quelqu’un qui lui était fidèle pour lui confier le secrétariat général de la Fecafoot n’avait pas mis l’accent sur l’aspect académique de l’« élu ». Aucun diplôme et aucune attestation de formation pour quelqu’un qui émarge tous les mois sur le compte de la Fecafoot près de deux millions de nos francs.

Selon nos sources à Tsinga, le SG qui dit avoir un MBA par correspondance aux Etats-Unis veut fabriquer une fausse attestation du diplôme de licence pour introduire dans son dossier, il aurait contacté un des membres du Comité de normalisation qui enseigne dans nos universités pour l’aider à fabriquer le sésame. Tombi A Roko Sidiki a raison d’être inquiet parce qu’Emmanuel Ngassa Happi a clairement indiqué que s’il n’a aucune qualification, il va rembourser les 5 ans de salaires qu’il a touchés à Tsinga. En plus du salaire qu’il toucherait indûment, l’actuel SG de la Fecafoot devra également s’expliquer sur plus de 75 dossiers de transferts de joueurs auxquels il est directement ou indirectement rattaché. Des transferts qu’il a effectués en utilisant un club fictif qu’il a créé dans la Ligue de la Mefou-Afamba.

Il faut tout de même signaler que Tombi A Roko Sidiki est soutenu par Joseph Owona dans cette affaire de faux transferts. Le président du Comité de normalisation ne souhaite pas que son collègue du Comité réveille cette affaire de faux transferts qui peut ébranler plusieurs personnes dans le milieu du football parce que c’est une chaine qui s’étend jusqu’à certains présidents de clubs.

Il faut croire que le cas de Tombi A Roko Sidiki n’est pas unique car plusieurs personnes qui travaillent à Tsinga ont été recrutés simplement sur la base de leurs affinités avec des responsables de la maison. Quelques-uns peuvent quand même se gargariser d’avoir un petit parchemin. Dans ce registre on cite le Directeur administratif et financier, Henri Emmanuel Epacka qui est titulaire d’un BTS, Jean Jacques Mouandjo de la cellule de communication qui a un diplôme de l’ESSTIC, Eugene Patrick Ebodé Tsanga, le patron de la cellule juridique qui a un diplôme en droit, Sali Issa qui est maitre adjoint d’EPS et Joseph Edgard Diboko qui a un baccalauréat G2. Le cas de Faustin Blaise Mbida présenté comme le « nègre » de service de Tombi A Roko est un peu spécial. C’est un fonctionnaire, conseiller de jeunesse et d’animation au ministère de la Jeunesse mais il travaille depuis près de deux ans à Tsinga alors que son recrutement n’avait pas été accepté par le Comité exécutif de la Fecafoot, malgré l’insistance et le lobbying de Tombi à Roko Sidiki. Ce dernier l’a malgré tout gardé à ses côtés et lui donne quand même 800.000 F CFA tous les 30 jours.

Prince Emmanuel Ngassa Happi veut donc élucider toutes ces affaires de copinage qui plombent le bon fonctionnement du secrétariat général de la Fecafoot. La tâche ne sera pas facile puisque Joseph Owona, le normalisateur en chef de la Fecafoot qui a toujours refusé de faire l’audit à Tsinga, n’est pas prêt à voir Tombi A Roko Sidiki en difficulté parce que ce dernier a été coopératif en lui montrant comment on peut facilement se faire de l’argent dans le foot.


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13 novembre 2013 3 13 /11 /novembre /2013 15:47
Mondial des clubs : Le calendrier complet

A la suite de la victoire d’Al Ahly en finale de la Ligue des champions, le tableau final de la Coupe du monde des clubs 2013, qui va se dérouler au Maroc du 11 au 21 décembre, est désormais connu. Champion du Maroc, c’est le Raja Casablanca qui va ouvrir le bal avec son match de barrage face à Auckland City. De son côté, le récent champion d’Afrique est directement qualifié pour les quarts de finale où il affrontera la formation chinoise de Guanghzou Evergrande. Les choses vont se corser pour les Diables Rouges en cas de qualification car se serait alors le Bayern Munich qu’il faudrait affronter en demi.

- Le tableau de la compétition

Barrage, 11 décembre à Agadir
Raja Casablanca - Auckland City

Quarts de finale, 14 décembre à Agadir
Guanghzou Evergrande - Al Ahly (1)
Vainqueur du barrage - Monterrey (2)

Demi-finales, 17 décembre à Agadir et Marrakech
Vainqueur (1) - Bayern Munich
Vainqueur (2) - Atletico Mineiro

Match pour la 5e place, 18 décembre à Marrakech
Perdant (1) - Perdant (2)

Match pour la 3e place, 21 décembre à Marrakech
Perdant demie 1 - Perdant demie 2

Finale, 21 décembre à Marrakech
Vainqueur demie 1 - Vainqueur demie 2


 
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13 novembre 2013 3 13 /11 /novembre /2013 15:40
13 novembre 2013 / Mis à jour à 14:58 - Paris  Newsletter  Alertes e-mail  
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DHL contribue à protéger les léopards menacés en Afrique

JOHANNESBURG, Afrique du Sud, 13 novembre 2013/African Press Organization (APO)/ — DHL (http://www.dhl.com), la plus grande société de logistique au monde, a conclu un accord avec Panthera (https://www.panthera.org), la plus grande organisation mondiale de protection des grands félins, pour expédier de fausses peaux de léopard en Afrique afin de contribuer à protéger cette espèce menacée dont la fourrure est portée de manière cérémonielle par les adeptes de l’église de Shembe en Afrique du Sud. Au nom de Panthera, DHL expédiera bénévolement des fausses peaux de léopard fabriquées en Chine vers l’Afrique du Sud, dans le cadre d’un contrat qui s’étend jusqu’en mai 2015.

Logo : http://www.photos.apo-opa.com/plog-...

Photo : http://www.photos.apo-opa.com/index... (Greg Lomas déballe les faux rouleaux de fourrure)

Infographie : http://www.photos.apo-opa.com/plog-...

Photo : http://www.photos.apo-opa.com/plog-... (Charles Brewer, Directeur Général de DHL Express pour l’Afrique subsaharienne)

Charles Brewer, directeur général de DHL Express Afrique subsaharienne, déclare : « La préservation des espèces menacées est une question majeure en Afrique, et également pour DHL dans cette partie du monde. Énormément de passion entoure les « cinq grands » animaux africains (éléphant, rhinocéros, lion, buffle d’Afrique et léopard), et les éléphants comme les rhinocéros obtiennent beaucoup d’attention. Cependant, de nombreuses espèces en danger, comme le léopard, bénéficient de peu de publicité ou d’aide ».

Ce projet innovant de protection animale, conçu pour protéger une espèce menacée d’extinction tout en perpétuant une longue tradition sud-africaine, a été monté par une ONG américaine, Panthera, à laquelle s’est associé DHL dans le cadre de son programme de responsabilité sociétale d’entreprise. Selon ce contrat, DHL fournira un soutien logistique de manière complémentaire, en défrayant les coûts associés à l’expédition internationale et à la distribution aux adeptes de Shembe en Afrique.

Brewer ajoute : « L’initiative de Panthera est fantastique et innovante : elle respecte les cultures et traditions humaines tout en protégeant un animal magnifique. Et nous aussi, en offrant notre expertise logistique et en éveillant les consciences quant à un problème complexe grâce à notre réseau et nos ressources. Ce partenariat entre Panthera et DHL est tout naturel, et l’expertise des grands félins de Panthera associée à la portée mondiale de DHL est une solution gagnante pour la protection animale. »

La fourrure de léopard est le costume cérémoniel traditionnel porté par les plus de cinq millions d’adeptes de l’église de Shembe, qui fait partie du riche paysage culturel sud-africain depuis plus de 100 ans. Autrefois portées par la royauté et les chefs zoulous, les fourrures de léopards, ou amambatha comme on les appelle là-bas, forment une parure religieuse rituelle qui symbolise la beauté, le pouvoir et le prestige. Ces amambatha sont maintenant l’objet de convoitise d’un nombre croissant d’hommes adeptes de Shembe. Lors d’un simple rassemblement Shembe, plus de 1 000 peaux de léopards peuvent être portées par les membres. Bien que beaucoup de ces peaux soient anciennes et transmises de génération en génération, les nombreuses nouvelles peaux sont la conséquence de braconnage, ce qui réduit le nombre des léopards.

Luke Hunter, Président de Panthera, explique :« À ce jour, 2 000 amambatha ou capes traditionnelles en faux léopard ont été livrées par DHL pour notre projet. Les Shembe

ont montré qu’ils étaient prêts à adopter l’utilisation de nos alternatives de grande qualité au lieu de vraies peaux de léopards, ce qui signifie 2 000 léopards sauvés des griffes des braconniers. Nous n’aurions pas pu réaliser ces avancées majeures pour protéger ce magnifique animal sans la coopération des Shembe et le soutien de DHL. »

DHL participe activement à des projets de protection des animaux dans toute l’Afrique, comme le mouvement pour les rhinocéros en Tanzanie et celui pour les gorilles au Gabon, et soutient aussi d’autres causes locales, comme un éléphanteau orphelin, Mr Brrr.

Le doyen et conseiller juridique des Shembe, Lizwi Ncwane, déclare : « En tant que dirigeant de la communauté Shembe, j’ai pu voir de mes yeux à quel point ma communauté était réceptive à l’idée d’utiliser des fausses peaux. Elles ont non seulement l’aspect et le toucher de vraies peaux de léopards, mais en plus, elles durent plus longtemps. Nous sommes reconnaissants à Panthera d’avoir travaillé avec nous pour trouver une solution qui entremêle la préservation des léopards et les coutumes des Shembe. »

Panthera travaille avec les instances du Shembe pour faire prendre conscience à ses membres de la crise du léopard dans tout le sud de l’Afrique et travaille avec des créateurs numériques et des sociétés d’habillement pour créer une fausse peau de léopard abordable et de grande qualité à utiliser lors des cérémonies. Le projet de Panthera, qui a remporté l’adhésion des dirigeants du Shembe, a été salué par CNN et National Geographic en tant que solution de préservation innovante, respectant les pratiques culturelles locales.

La responsabilité sociétale d’entreprise fait partie intégrante de la stratégie commerciale de Deutsche Post DHL et se concentre principalement sur des programmes de protection de l’environnement (GoGreen), de réponse et de gestion des catastrophes naturelles (GoHelp) et de promotion de l’éducation et de la formation professionnelle (GoTeach).

Distribué par APO (African Press Organization) pour Deutsche Post DHL.

Contact pour les médias :

DHL Asie Pacifique & EEMEA

Communication et Responsabilité de l’Entreprise

Anita Gupta

Tél. : +65 6771 3333

Fax : +65 6771 3322

E-mail : apeemeamediarelations@dhl.com

http://www.dhl.com/en/press.html

DHL – La société de logistique du monde (The Logistics company for the world)

DHL (http://www.dhl.com) est le leader mondial du marché de la logistique et « La Société de logistique du monde (The Logistics company for the world) ». DHL met son expertise dans le domaine des services express internationaux, du fret aérien et maritime, du transport routier ou ferroviaire, de la logistique contractuelle et du courrier international, au service de ses clients. Un réseau mondial composé de plus de 220 pays et territoires, et d’environ 285 000 salariés dans le monde entier, offre à ses clients un service de qualité de haut niveau et une connaissance du terrain, permettant de satisfaire aux exigences dictées par leurs chaînes d’approvisionnement. DHL assume sa responsabilité sociale en soutenant la lutte contre le changement climatique, la gestion des catastrophes naturelles et l’éducation.

DHL fait partie de Deutsche Post DHL. Le groupe a enregistré des recettes d’un montant supérieur à 55 milliards d’euros en 2012.

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13 novembre 2013 3 13 /11 /novembre /2013 15:36

Cameroun : le DG de Camtel pourrait être inquiété par « l’Opération Epervier » :: CAMEROON

Cameroun : le DG de Camtel pourrait être inquiété par « l’Opération Epervie r» :Cameroon Le mois dernier, David NKoto Emane, le directeur général de l’opérateur historique Cameroon Telecommunications (Camtel), a répondu à une lettre de convocation du procureur près le Tribunal criminel spécial (TCS). L’entretien a porté, à en croire nos sources, sur sa gestion de l’entreprise des télécommunications.

Selon le journal l’Epervier, le Dg pourrait être inquiété dans les prochains jours par l’opération nationale de lutte contre la corruption et les détournements de deniers publics, qui a déjà emporté plusieurs hauts commis de l’Etat. Depuis plusieurs années, de supposés dossiers de mauvaise gestion auraient été accumulés par David Nkoto Emane, qui serait aussi soupçonné de distractions de fonds. C’est ce qui expliquerait pourquoi Camtel, chargé de gérer la fibre optique, peine à dominer le marché local des télécommunications.

Depuis son arrivée à la tête de l’entreprise en 2005, le Dg de Camtel a considérablement augmenté le personnel de la société, dont les femmes sans qualifications professionnelles seraient les plus nombreuses grâce à la «promotion canapé», soutient le journal l’Epervier, ceci au détriment d’ingénieurs parfois renvoyés en masse au ministère des Postes et Télécoms.
 
C’est le cas de Godfroid Ondoua Ella, qui a adressé le 5 juillet 2011 une correspondance au chef de l’Etat camerounais, avec ampliation à la justice, à la police judicaire, aux services du Contrôle supérieur de l’Etat, à l’Agence nationale d’investigation financière, à la Commission nationale anti-corruption… pour dénoncer la gestion de M. Nkotto Emane.
 
Dans ce brulot, l’ingénieur et ancien collaborateur du Dg de Camtel révèle par exemple qu’à cause de la piteuse qualité du service offert aux abonnés, «plus d’un abonné Ctphone sur deux abandonne le réseau, (…) près de 500 abonnements à Internet ne sont pas renouvelés chaque mois ; et l’on est obligé de maintenir dans la base de données, des années durant, des abonnés qui ont depuis longtemps oublié qu’ils ont jamais souscrit un abonnement au réseau Ctphone, dans un souci de maquillage des chiffres officiels, tactique que l’on retrouve d’ailleurs sur le réseau fixe, où des dizaines de milliers d’abonnés continuent de recevoir des factures mensuelles, alors que leurs lignes sont hors service depuis de nombreuses années déjà». Résultat des courses : depuis plus de 6 ans, Camtel revendique invariablement un parc de 220 000 abonnés.
 
Pourtant, dans le même temps, apprend-on dans cette correspondance, les recettes de l’entreprise publique de téléphonie «dépassent difficilement 30 milliards de Fcfa/an, le Ctphone [produit phare de l’entreprise] ne parvenant même pas à faire des recettes de 500 millions de Fcfa/mois, soit moins de 6 milliards/an, sur un budget annuel de plus de 100 milliards, budget néanmoins continuellement révisé à la hausse, visiblement pour tromper la vigilance du Chef de l’Etat».
 
Alors que dans les faits, la situation est alarmante. Selon des sources internes à l’entreprise, en effet, Cami Toyota a dû retirer de nombreux véhicules à Camtel, pour non payement des traites, la Sgbc rechigne désormais à faire des avances de trésorerie à Camtel à cause de l’insolvabilité de cette entreprise, de nombreux fournisseurs de la société attendent le payement de leurs factures depuis des mois. Selon les employés de cette entreprise des télécommunications, les salaires sont de plus en plus payés en retard, pour cause de tensions de trésorerie.
 
On apprend également dans la correspondance de Godfroid Ondoua Ella, que malgré «de nombreux rapports dénonçant la violation systématique des règles de l’art lors de la conduite des travaux de pose de plusieurs centaines de km de câbles à fibres optiques en régie (…) et en dépit du refus systématique des opérateurs Gsm que sont Mtn et Orange [manque à gagner de plusieurs milliards pour Camtel] d’emprunter une infrastructure visiblement de qualité douteuse», le Dg de Camtel a poursuivi ces travaux d’un montant de 38 milliards de Fcfa, rendant ainsi «la situation des près de 6.000 km d’infrastructures de câbles à fibres optiques hautement précaire».

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13 novembre 2013 3 13 /11 /novembre /2013 15:35

Cameroun - Communiqué du MANIDEM : Inauguration du 2è PONT SUR LE WOURI :: CAMEROON

Cameroun - Communiqué du MANIDEM : Inauguration du 2è PONT SUR LE WOURI:CameroonLe Président de la République va procéder ce jeudi 14 Novembre 2013 à douala, à la pose officielle de la première pierre pour la construction du 2ème Pont sur le fleuve Wouri. Au delà du caractère officiel et stratégique de cette manifestation, la construction  de ce pont revêt une importance politique et économique pour notre pays.

D'une part, Douala, le poumon économique du Kamerun trouvera dans cette réalisation un stimulant de l'activité économique. D'autre part, ce pont  sera, en réalité, le 1er pont sur le Wouri du Kamerun indépendant, l'actuel ayant été construit par l'administration coloniale.

Au delà de nos divergences politiques fondamentales, cet événement mérite d'être célébré par l'ensemble de la communauté nationale et principalement par les habitants de la métropole cosmopolite de Douala.

Habitant de Douala, et dirigeant du Manidem, j'invite les militants et sympathisants du Manidem, et les populations du Littoral à participer massivement aux différentes cérémonies prévues pour cet événement.

Il est important de ne rater aucune occasion de célébrer tous les évènements qui  implémentent notre destin commun et renforcent l'intégration nationale.                                                                                   

Douala, le 13 Novembre 2013

Pour le Bureau Politique du MANIDEM

Anicet EKANE

Membre du Bureau Politique 

© MANIDEM : Anicet EKANE
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