Le Cameroun a hérité du pays organisateur, et devra lutter pour obtenir l’un des deux tickets qualificatif. Le Mexique, et la Croatie seront les autres adversaires des Lions Indomptables.
Les 32 qualifiés pour la coupe du monde 2014 retiennent leur souffle. Dans quelques minutes aura lieu le tirage au sort de la compétition et chacun sera fixé sur son sort. Il y aura certainement des déceptions et des espoirs. L’Iran, a déjà anticipé en abaissant les attentes. Le Cameroun, lui attend, de se voir offrir la chance de se refaire après le loupé monumental de 2010 en Afrique du Sud.
Le Cameroun a hérité du pays organisateur, et devra lutter pour obtenir l’un des deux tickets qualificatif. Le Mexique, et la Croatie seront les autres adversaires des Lions Indomptables.
1 Le 6 décembre à 16:44, par tino zoe
Brésil - International - Pan Afrique
La composition des groupes
Groupe A : Brésil, Cameroun, Mexique, Croatie.
Groupe B : Espagne, Pays Bas, Chili, Australie.
Groupe C : Colombie, Côte d’Ivoire, Japon, Grèce.
Groupe D : Uruguay, Costa Rica, Angleterre, Italie.
Groupe E : Suisse, Equateur, France, Honduras.
Groupe F : Argentine, Nigeria, Iran, Bosnie Herzégovine.
Groupe G : Allemagne, Ghana, Etats Unis, Portugal.
Groupe H : Belgique, Algérie, Corée du Sud, Russie
Le tirage au sort de la coupe du monde a été de haut niveau pour les LIC, ils héritent le Brésil pays organisateur pour le dernier match pour le mondial 2014. Il faut dire que la tache s’annonce rude pour les coéquipiers de Samuel Eto’o, mais pas impossible, le Cameroun ayant déjà vaincu le Brésil 2 fois à savoir lors des jeux olympiques 2000 à Sydney et lors de la fameuse coupe de confédérations en France qui a vu la mort de Marc Vivien Foe.
Cette dernière fois là, c’est la capitaine Eto’o qui avait marqué un but à Nelson Dida sur une passe de Mbami qui lui-même avait marqué le but en or en 2000 contre le Brésil.
Groupes tirés :
Groupe A : Brésil, Croatie, Mexique, Cameroun
Groupe B : Espagne, Pays-Bas, Chili, Australie
Groupe C : Colombie, Grèce, Côte d'Ivoire, Japon
Groupe D : Uruguay, Costa Rica, Angleterre, Italie
Groupe E : Suisse, Equateur, France, Honduras
Groupe F : Argentine, Bosnie, Iran, Nigeria
Groupe G : Allemagne, Portugal, Ghana, Etats-Unis
Groupe H : Belgique, Algérie, Russie, Corée du sud
Critiqué par ses détracteurs pour ne plus faire appel à Demba Ba alors que l’équipe du Sénégal connaît des soucis sur le plan offensif, Alain Giresse a tenu à faire le point sur les relations qu’il entretient avec l’attaquant de Chelsea. Pour le sélectionneur des Lions, il n’y a pas de problème particulier avec l’ancien de Newcastle. "Je ne peux aller au secours des joueurs en difficulté en clubs. Si j’avais convoqué Demba Ba pour les matches de juin on m’aurait étranglé après le match que le garçon a fourni à Conakry (il avait notamment manqué un penalty contre l’Angola, ndlr). Aujourd’hui il n’y a pas de problème particulier qui m’empêche de décrocher mon téléphone et de discuter avec Demba Ba", a indiqué le technicien français au quotidien Stades, avant de poursuivre : "On peut s’attendre à tout, il peut revenir comme tant d’autres aussi peuvent retrouver la tanière. J’ai appelé Demba Ba avant les matches du mois de juin. Comme je l’ai toujours fait. C’est l’exercice le plus délicat d’appeler un joueur pour lui dire qu’on le prenait pas. Il m’a dit qu’il prenait acte. franchement, je ne m’attends à rien je fait mon travail."
LE CAP, Afrique du Sud, 6 décembre 2013/African Press Organization (APO)/ — Les services financiers sud-africains du groupe Sanlam (http://www.sanlam.co.za) ont annoncé aujourd’hui avoir ouvert leur prestigieux prix pour la presse financière qui récompense pour la première fois les reporters dans toute l’Afrique. Le groupe souhaite récompenser et célébrer la contribution apportée par les journalistes de tout le continent à l’histoire de la croissance africaine. Les Prix de l’Excellence Sanlam récompensent les reportages d’exception dans le domaine de la presse financière en Afrique du Sud depuis 1974.
Logo : http://www.photos.apo-opa.com/plog-...
Avec la création d’un nouveau prix, Sanlam récompensera des reportages d’exception, bien travaillés qui mettent en valeur et contribuent à l’essor économique du continent. Les nouvelles valeurs, la rigueur dans la réalisation des reportages, l’originalité, l’impact et le style de rédaction sont quelques uns des critères pris en compte par le jury du prix pour l’« histoire de la croissance africaine ». Cette catégorie est ouverte aux journalistes de tout le continent qui travaillent pour les médias africains (par ex. l’imprimerie, la télévision, la radio ou les médias en ligne implantés en Afrique et qui visent un public africain).
Créé il y a 96 ans, Sanlam est un groupe de services financiers sud-africain coté à la JSE qui n’a cessé d’acrroître sa présence sur tout le continent africain. Il peut se vanter d’être aujourd’hui l’un des plus importants groupe de services financiers sud-africain de toute l’Afrique, avec une présence marquée dans 10 pays africains - largement au-dessus de l’Afrique du Sud - notamment le Kenya, le Botswana, le Nigeria, le Ghana, l’Ouganda, le Malawi, la Namibie, la Zambie et la Tanzanie
Dr Johan van Zyl, directeur général au siège de Sanlam au Cap, exprime l’enthousiasme du groupe d’étendre cette invitation aux journalistes de toute l’Afrique. « Notre propre croissance nous a permis de prendre pleinement conscience de l’aventure extraordinaire que le continent est en train de vivre. Nous croyons au potentiel de l’Afrique et à la contribution apportée par un journalisme de bonne qualité vers la libération de ce potentiel, c’est pourquoi nous sommes fiers de nous servir de la remise de ce prix comme d’une opportunité pour rendre hommage aux reportages d’exception. »
Cette catégorie spéciale vise à récompenser les reportages qui traitent et mettent en valeur l’histoire de la croissance africaine spécifiquement, qui parle de manière efficace et significative de son développement économique et de l’essor du continent dans son ensemble. Les histoires doivent porter sur la croissance du continent en termes d’investissements, de développement des infrastructures, de politiques économiques et monétaires et des enjeux et défis qui y sont associés. Les histoires peuvent être présentées du point de vue d’un pays en particulier, mais doivent traiter des questions ayant une portée plus large pour le continent.
Les Prix de l’Excellence Sanlam dans le domaine de la presse financière seront décernés par un panel indépendant de juges, parmi lesquels figureront des experts des médias, un universitaire et un économiste. Les journalistes désireux de soumettre leur travail peuvent le faire en ligne sur le site http://www.sanlam.co.za/journoawards, où ils trouveront tous les détails nécessaires.
Distribué par APO (African Press Organization) pour Sanlam Group Communications.
Contact presse :
Sanlam
• Ainsley Moos, responsable : communication du Groupe
+27832964697 ou ainsley.moos@sanlam.co.za
• Pearl Majola, communication externe du Groupe Sanlam
+27832867476 ou pearl.majola@sanlam.co.za
Atmosphere
• Marissa Visagie, directrice principale de comptes
+2771146 7941 ou marissa@atmosphere.co.za
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Camfoot
Le président de l’association camerounaise des agents de joueurs explique pourquoi il a mis en place une plateforme permettant permettant aux jeunes d’être recrutés sur place au Cameroun. Ce faisant, les joueurs quittent le Cameroun avec un contrat de travail en main, avant de voyager en bonne et due forme pour l’Europe.
De quoi est-il question en ce moment ?
C’est la deuxième édition du tournoi de détection du G8 (Association de huit centres de formation du Cameroun, ndlr). Le travail consiste à faire venir des scouts des clubs européens, pour voir à l’oeuvre nos jeunes talents locaux.
Comment se fait la sélection ?
C’est un long processus, parce que nous avons mis en place un réseau de collaborateurs que sont des éducateurs, des dirigeants de clubs dans les dix régions, qui nous signalent par catégorie d’âge les meilleurs jeunes. Et deux fois par an, nous faisons venir des recruteurs à Yaoundé où nous prenons en location des infrastructures pour que ces jeunes soient bien observés.
Quelle est votre stratégie de travail ?
Nous avons la chance désormais au Cameroun que des clubs européens sérieux, comme l’Olympique de Marseille, Monaco et bien d’autres aient un programme avec le G8 et ces équipes viennent sur place deux fois par an pour voir les joueurs. Il y a beaucoup de structures de formation au Cameroun, comme Njalla Quan dans la zone anglophone, Coton sport de Garoua dans le septentrion, Kadji Sport Academy, les Brasseries du Cameroun, la Fundesport et beaucoup d’autres. Les enfants et leurs familles doivent rester fidèles à ces structures et à leurs dirigeants, parce qu’ils investissent d’énormes moyens, d’énergie pour cette passion qu’est le football. Quand les enfants vont bien travailler, bien se développer, on viendra sur place les recruter, ils auront un contrat de travail et un visa en bonne et due forme. Ils entreront en Europe, comme travailleur.
Dans ce métier, il y a beaucoup de gens qui vous mentent. Tout le monde est appelé mais il y a toujours peu d’élus. Tout le monde ne peut pas être Samuel Eto’o ou Nicolas Nkoulou. Mais, il faut donner le meilleur de soi-même en étant à l’écoute de ses éducateurs en étant discipliné, travailleur et humble.
En Amérique du Sud, comme par exemple en Uruguay ou au Brésil, quand on prend un joueur pour l’Europe, il ne fait pas d’essai. Je ne vois pas pourquoi en Afrique et au Cameroun en particulier, nos jeunes talents feraient des essais. La stratégie pour nous consiste en ce moment à faire comprendre à ces recruteurs que ce qu’ils font dans les pays d’Amérique du sud, ils peuvent aussi le faire chez nous en Afrique.
On accuse souvent les agents de joueurs d’arnaquer des parents pour leur miroiter un voyage des enfants. Comment appréciez-vous cela ?
Il faut que le monde football au Cameroun comprenne que l’aventure avec des intermédiaires douteux ne doit plus être d’actualité. J’aimerais avoir la preuve formelle que ce sont des agents de joueurs agréés à la Fécafoot ou à la Fifa, qui prennent cet argent aux familles des joueurs. Je vais vous édifier un peu. Un agent de joueurs agréé à la Fécafoot ou à la Fifa, n’a aucun droit de prendre un centime à quelque famille ou joueur que ce soit. Sachez que l’agent est là pour s’occuper du joueur de A à Z. C’est-à-dire gérer le quotidien du joueur en le mettant dans des conditions idoines, morales et physiques pour qu’il puisse atteindre son objectif de devenir professionnel. Donc, toutes les personnes qui prennent de l’argent aux familles déshéritées des joueurs ne sont pas de vrais agents de joueurs. Si vous êtes en face d’un cas pareil, veuillez contacter dans de brefs délais la Fécafoot pour porter plainte ou alors notre association et nous nous ferons le plaisir de mettre hors d’état de nuire ces imposteurs qui salissent la profession d’agent de joueur.
Quel est votre programme d’action pour 2014 ?
Ce sera la surprise. Vous serez informés le moment venu. Mais, pour l’instant, silence ! On travaille.
Le match d'ouverture de la Coupe du monde 2014 est d'ores et déjà connu. Pays organisateur, le Brésil débutera son Mondial devant la Croatie, le 12 juin à Sao Paulo. Le Mexique et le Cameroun seront également au programme des Auriverdes.
La Coupe du monde est la plus belle compétition à disputer pour un joueur avec sa sélection et elle a également un intérêt économique pour les fédérations.
Les nations éliminées en phase de groupes empocheront 5,8 millions d'euros. Les équipes battues en 8es de finale toucheront quant à elles 6,6 M€. Les sélections qui s'arrêteront en quarts de finale obtiendront 10,2 M€, puis 16,1 M€ pour les malheureux demi-finalistes. Enfin, le vainqueur du Mondial gagnera 25,6 M€ contre 18,3 M€ pour le finaliste.
Pour le cas du Cameroun, c’est plus de 3 milliards de francs CFA qui sont certains d’entrer en poche. Et si le LIC progressent, les gains augmenteront. Un joli pactole qui servira peut être à améliorer le football au pays.
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Londres a proposé une "aide logistique limitée" à la France qui a reçu ce jeudi le feu vert du Conseil de sécurité de l’ONU pour intervenir en République centrafricaine (RCA), a annoncé le ministère britannique de la Défense. Suite à la résolution de l’ONU, autorisant une intervention militaire française en Centrafrique, "le Royaume-Uni est en discussion avec la France pour apporter une aide logistique limitée", a précisé un porte-parole du ministère britannique de la Défense.