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24 février 2018 6 24 /02 /février /2018 17:07

Le directeur général de MTN Côte d’Ivoire, Wim Vanhelleputte, vient de démissionner au terme de 6 ans de présence à la tête de l’opérateur de télécoms. La direction du groupe sud africain de téléphonie mobile, surprise par cette décision inattendue, aurait demandé à M. Vanhelleputte d’observer un mois et demi de présence pour préparer sa succession. L’on ignore les raisons qui ont poussé le patron belge à jeter l’éponge. Les jours à venir nous situeront davantage sur cette démission subite et inattendue.
 
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24 février 2018 6 24 /02 /février /2018 16:58
 
 
 
 

 

L’Association des banques centrales africaines se penche sur le projet de création de la Banque centrale africaine. Un projet que ladite association s’est engagée à réaliser avec la Commission de l’Union Africaine.

Il s’agit pour l’Association des banques centrales africaines (ABCA) "d’évaluer la mise en œuvre des décisions prises par le Conseil des Gouverneurs de l’ABCA, en sa session tenue le 15 août 2017 à Pretoria, en Afrique du Sud".

"L’ABCA et la CUA vont mettre en œuvre à partir de 2018, des actions visant la création de la Banque Centrale Africaine (BCA). A cet égard, la CUA a inscrit dans le budget de l’Union Africaine pour l’année 2018 les ressources nécessaires à la création de l’Institut Monétaire Africain (IMA). L’IMA sera créé pour entreprendre toute la préparation technique, statistique, institutionnelle et juridique pour la création de la Banque Centrale Africaine", souligne un document officiel de l’Association.

C’est le siège de la Banque Centrale des États de l’Afrique de l’Ouest (BCEAO), à Dakar, qui a abrité, vendredi, la réunion ordinaire de l’Association des banques centrales africaines (ABCA).

La réunion du Bureau de l’ABCA a été présidée par, Monsieur Lesetja Kganyago, Gouverneur de la South African Reserve Bank, Président en exercice de l’ABCA.

Le Gouverneur de la BCEAO, Tiémoko Meyliet Koné a également pris part à la réunion.

Deux autres sujets étaient également inscrits à l’ordre du jour de la réunion de l’Association des banques centrales africaines (ABCA). Il s’agit de "la mise en œuvre du Programme de Coopération Monétaire en Afrique" et de l’"intégration des systèmes de paiement en Afrique".

La rencontre s’est tenue en présence de neuf autres banques centrales membres du Bureau de l’ABCA, à savoir la Central Bank of Egypt, la Banco Central de São Tomé e Principe, la Banque Centrale du Congo, la Bank of Mauritius, la Central Bank of Sudan, la Central Bank of Swaziland, Banky Foiben’I Madagasicara, la Central Bank of The Gambia et la Central Bank of Sierra Leone

L’ABCA vise, entre autres, à "favoriser la coopération dans les domaines monétaires, bancaires et financiers en Afrique", à "contribuer à la formulation de principes pour l’application des accords conclus entre les pays africains dans les domaines monétaires, bancaires et financiers".

L’Association des banques centrales africaines (ABCA) envisage "à l’issue d’un processus chronologique bien défini de convergence, l’avènement d’une monnaie unique et d’une Banque Centrale commune en Afrique
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24 février 2018 6 24 /02 /février /2018 16:53
 

Bientôt un nouveau renfort chez les Eperviers ? De père ghanéen et de mère togolaise, le milieu de terrain de Saint-Trond en Belgique, Samuel Asamoah, se rapproche du Togo. "Toujours à la recherche de renforts pour les Éperviers du Togo, Claude Le Roy a rencontré ce jeudi 22 février à Bruxelles Samuel Asamoah", a annoncé la Fédération togolaise de football (FTF). Formé à l’Académie Aspire au Qatar, le natif d’Accra accomplit sa deuxième saison en Jupiler League (21 matchs, 1 but).

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24 février 2018 6 24 /02 /février /2018 16:50
 
Burkina Faso: La première Journée des légumineuses tenue à Koumbané
 
Burkina Faso: La première Journée des légumineuses tenue à Koumbané
 
 
 
 
Le président Kaboré s'exprimant à l'issue du lancementd e lajournée des légumineuses (ph)
africapress.com – Mardi 20 février 2018 - Le Burkina Faso a organisé le lundi 19 février 2018 à Koumbané, commune rurale de Namissiguima dans le Yatenga la première édition des Journée des légumineuses, en présence du Roch Marc Christian Kaboré Rechercher Roch Marc Christian Kaboré et Directeur général de l’Organisation des Nations unies pour l’Alimentation et l’Agriculture (FAO), José Graziano da Silva, et du président de la Confédération mondiale des légumineuses (GPC), Huseyin Arslan.

Cette Journée des légumineuses produites au Burkina Faso, essentiellement le niébé, le voandzou, le soja et l’arachide, première du genre était placée sous le thème : ‘’Promouvoir les légumineuses pour la création d’emplois au profit des jeunes et des femmes et l’amélioration de la sécurité alimentaire et nutritionnelle’’.

Selon le maire de la commune de Namissiguima, Amadé Belem, la région du Nord où se tient cette première journée a une grande capacité de production des populations de la région du Nord, en atteste la production de niébé de 106 786 tonnes, 27 465 tonnes d’arachides et 5 765 tonnes de voandzou et se classe 3e au niveau national après la Boucle du Mouhoun et le Centre-Ouest.

En février 2016, le Burkina Faso a abrité la cérémonie commémorative officielle de l’année internationale des légumineuses. En 2017, ce fut la tenue d’une rencontre internationale sur la thématique ayant abouti à la « Déclaration de Ouagadougou », a rappelé le Directeur général de la FAO, José Graziano da Silva.

Cette Déclaration a été adoptée par l’ensemble des pays membres de la FAO Rechercher FAO au cours de leur assemblée générale, a-t-il indiqué, invitant le Burkina Faso à porter le dossier à la prochaine Assemblée générale de l’Organisation des Nations unies (ONU) visant à « l’institutionnalisation d’une Journée internationale des légumineuses ».

« La célébration de la Journée des légumineuses n’est pas uniquement burkinabè. Le Burkina Faso a été à la base d’une conférence qui a demandé à ce qu’au plan international, il soit institué cette Journée internationale des légumineuses. La FAO Rechercher FAO a endossé l’idée, il reste aux Nations unies de prendre la dernière décision », a soutenu le président Roch Marc Christian Kaboré.

Au Burkina Faso, la culture des légumineuses est pratiquée par 69,2% des ménages agricoles et 46,5% des femmes responsables de parcelles y tirent une grande partie de leurs revenus, a souligné le Ministre de l’Agriculture et des Aménagements hydrauliques, Monsieur Jacob Ouédraogo.

Selon lui, l’institutionnalisation d’une Journée internationale des légumineuses permettra de solliciter l’appui des partenaires pour le financement et le développement des filières, de promouvoir la valeur et l’utilisation des légumineuses dans l’ensemble du système alimentaire, ainsi que leurs avantages dans la fertilité des sols, de lutter contre le changement climatique et contre la malnutrition.

Cette institutionnalisation vise aussi, a-t-il ajouté, à encourager les connexions tout au long de la chaîne alimentaire pour favoriser la production, la recherche, une meilleure utilisation de la rotation des cultures, relever les défis de leur commercialisation et enfin d’attirer l’attention sur leur importance pour une production alimentaire durable et une alimentation équilibrée.

‘’La Journée des légumineuses a plusieurs objectifs : sécurité alimentaire et nutritionnelle, création d’emplois pour les jeunes et les femmes. Et ces objectifs sont majeurs pour tout gouvernement dans le monde et en particulier au Burkina Faso’’, également soutenu le président Kaboré
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24 février 2018 6 24 /02 /février /2018 16:48
          
 
Unanimement les chiffres de la pauvreté ont reculé ces deux dernières décennies. L’Institut canadien Fraser, qui, depuis plus de 20 ans réalise un index de la liberté économique, montre que la courbe du recul de la pauvreté rejoint celle de l’amélioration de la liberté économique. C’est une bonne raison pour militer pour elle en Afrique. Dans son article, Daniel Press, montre à travers plusieurs exemples concrets comment la liberté économique peut avoir rapidement un impact positif sur la création de richesse. Il montre, entre autres, comment le paiement par téléphone mobile a révolutionné la vie des plus pauvres au Kenya. Quand on connaît les entraves du système bancaire traditionnel, on comprend l’impact d’un système plus simple et à la portée de tous !
 

Au cours des dernières décennies, des centaines de millions de personnes sont sorties de la pauvreté pour constituer une classe moyenne mondiale puissante. Cette avancée sans précédent est le résultat d’une plus grande liberté économique. Celle-ci consacre le choix personnel, l’échange volontaire et la protection des droits de propriété. C’est un développement bottom-up (du bas vers le haut) par des individus, pas de haut en bas via l’Etat.

Liberté économique dans les pays en voie de développement

Au fil des ans, la liberté économique s’est avérée être un déterminant incroyablement robuste de la prospérité actuelle ou future des pays. L’Institut Fraser a constaté que les pays économiquement plus libres ont des niveaux de revenus plus élevés, une croissance économique plus rapide et une réduction plus importante des taux de pauvreté. Par exemple, en 2015, les pays situés dans le quartile supérieur dans le classement de la liberté économique (de l’Institut Fraser) avaient un PIB moyen par habitant ajusté de plus de 40 000 dollars, contre environ 5 000 dollars pour les pays du quartile inférieur.

La montée de la Chine et de l’Inde est une preuve supplémentaire. Après la libéralisation partielle de leurs marchés - la Chine après 1978 et l’Inde après 1991 - ont commencé à croître de manière exponentielle, de 7 à 12%, contre 2% environ auparavant. Bien qu’aucun de ces pays ne soit presque entièrement libre sur le plan économique, même leur modeste amélioration a permis la réduction de la pauvreté absolue la plus spectaculaire que le monde n’ait jamais connue.

Les réformes du marché libre ont ouvert la voie à la prospérité pour des millions de pauvres dans le monde. Mais les gouvernements et les organisations internationales peuvent-ils vraiment planifier « d’en haut » une économie de marché ? La réponse courte est : « Non ». Les institutions libres ne peuvent pas être conçues de haut vers le bas et elles ne peuvent être soutenues par l’aide étrangère. Des milliards de dollars d’aide au développement ont été transférés au cours des 60 dernières années, mais les résultats ont été lamentables. Les économistes ont souvent constaté que l’aide étrangère n’avait aucune influence sur la croissance économique, alors que d’aucuns ont constaté qu’elle avait même une influence négative. C’est parce que, comme l’a fait valoir l’ancien économiste de la Banque mondiale, William Easterly, il ne s’agit pas de trouver les bonnes personnes ou le bon plan pour résoudre la pauvreté de haut vers le bas. La pauvreté, est à la base le résultat d’une pénurie de droits, de libertés et des institutions de qualité.

Le pouvoir du laisser-faire et la propriété privée

Les institutions de marché sont plus efficaces lorsque les Etats adoptent une approche non interventionniste. Un bon exemple de cela a été l’augmentation de l’argent « mobile » au Kenya. Il y a un peu plus de 10 ans, la société de télécommunications Safaricom a lancé M-Pesa, un service d’argent mobile au Kenya qui permet aux utilisateurs d’envoyer et de recevoir des paiements numériques. En 2015, Safaricom a indiqué que les paiements M-Pesa représentaient environ 44% du PIB du pays avec plus de 25 millions de comptes.

La clé du succès de M-Pesa était que l’environnement réglementaire du Kenya était relativement accommodant. Alors que les banques et les institutions financières sont fortement réglementées, M-Pesa, en tant que service de télécommunication, était exempt de nombreuses réglementations contraignantes. Le manque d’accès au financement au Kenya a été résolu grâce à « l’innovation ».

L’un des plus grands problèmes sur le continent est celui des économies informelles, où les entreprises opèrent en dehors du cadre juridique d’un pays, et représentent environ 50 à 80% du PIB. Cette économie souterraine est une réponse naturelle aux restrictions étouffantes que les gouvernements ont imposées aux entreprises et aux entrepreneurs, forçant les gens à quitter l’économie formelle. Le dernier rapport du Doing Business de la Banque mondiale a estimé que l’Afrique était la région la plus difficile au monde pour lancer une entreprise. Un autre facteur est le manque de droits de propriété sécurisés. Les nations garantissant la plus forte protection de la propriété privée ont un revenu par habitant cinq fois plus élevé que celles qui n’ont que des protections modérées. Sans titres fonciers formels, les individus cravachent pour obtenir des financements, créer des entreprises ou accéder au système judiciaire. Les nations africaines sont parmi celles où les droits de propriété sont les moins sécurisés au monde. Si les particuliers et les entreprises n’ont pas de titre officiel sur leurs terres ou d’autres biens, comment peuvent-ils être intégrés dans l’économie formelle ?

Comment aider l’Afrique ?

Les pays africains, et non les gouvernements étrangers, doivent mettre en œuvre des réformes favorables au libre marché. Mais cela ne signifie pas qu’il n’y a rien que les pays occidentaux puissent faire pour les aider.

Accueillir le libre-échange et les flux de capitaux : L’un des obstacles les plus importants au développement agricole africain ce sont les subventions agricoles occidentales. Ainsi, quelques 10 millions de personnes en Afrique de l’Ouest qui dépendent des exportations de coton perdent jusqu’à 250 millions de dollars par an à cause des subventions occidentales. Ce n’est que la pointe de l’iceberg en matière de subventions agricoles, et ce sont des opportunités à portée de main qui profiteront aux économies les plus et les moins développées.

Libéraliser l’immigration : Les immigrants sont une ressource fantastique pour les économies occidentales, mais ils représentent aussi une formidable opportunité pour les pays d’immigration eux-mêmes. La facilitation et la flexibilisation des procédures de visas et des permis de travail aideront à améliorer la qualité du capital humain des immigrants qui bénéficiera ensuite à leurs pays d’origine à leur retour.

Arrêtez les interventions destructrices : Les pays occidentaux devraient cesser de chercher à obtenir des résultats sociaux grâce à l’aide au développement. C’est un exemple de bonnes intentions entraînant des conséquences inattendues. Mais peut-être le plus grand problème est que ce genre d’interventions a encouragé un cadre politique hostile au type de liberté économique nécessaire au développement. Tout programme qui contribue à planifier le développement de haut vers le bas bas empêche les pays d’adopter la liberté économique. Ils devraient être fortement repensés.

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24 février 2018 6 24 /02 /février /2018 16:47
 
 
 
 
 
 
Burkina Faso: La gendarmerie à la recherche d'une «jauge radioactive»
 
Burkina Faso: La gendarmerie à la recherche d'une «jauge radioactive»
 
africapress.com – vendredi 23 février 2018 – La gendarmerie burkinabè a publié un communiqué d’un avis de recherche d’une jauge Rechercher jauge radioactive et hautement dangereuse, dérobée lors du cambriolage l’Agence Nationale de la Radioprotection Rechercher Radioprotection et de Sûreté Rechercher Sûreté Nucléaire ( ANRSN Rechercher ANRSN ).

la Gendarmerie Nationale porte à la connaissance de la population qu’une jauge Rechercher jauge radioactive utilisée pour mesurer la densité et l’humidité du sol, de marque Troxler, numéro série M39119181, a été emportée, suite au Cambriolage du magasin de l’Agence Nationale de la Radioprotection Rechercher Radioprotection et de Sûreté Rechercher Sûreté Nucléaire (ANRSN) dans un quartier périphérique de la ville de Ouagadougou, informe la gendarmerie dans le comunqiué. 

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 ‘’En raison de sa dangerosité, qui pourrait causer des lésions irréversibles à toute personne en contact avec cet appareil voir entraîner la mort’’, poursuit la gendarmerie, invitant ‘’toute personne qui aurait des informations permettant de retrouver ce dispositif radioactif ‘’ à contacter les services compétents
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24 février 2018 6 24 /02 /février /2018 16:45
 
Burkina Faso: Un directeur provincial de police arrêté pour «atteinte aux bonnes mœurs»
 
Burkina Faso: Un directeur provincial de police arrêté pour «atteinte aux bonnes mœurs»
africapress.com - Samedi 24 février 2018 - Le directeur provincial Rechercher directeur provincial de la police Rechercher police du Ziro, une province de la région du centre ouest, accusé d'"atteinte aux bonnes moeurs", a été placé sous mandat de dépôt, selon un communiqué de la police Rechercher police nationale.

Au cours de la semaine du 19 février, la police Rechercher police nationale avait été saisie de "faits d'atteinte aux bonnes moeurs dont le présumé auteur serait le directeur provincial Rechercher directeur provincial de la police Rechercher police nationale de Ziro.

Selon des habitants de la région, le responsable provincial de la police Rechercher police se serait rendu coupable d'un viol sur une adolescente, dont l'âge n'a pas été précisé.

"En réaction à cette information, la police Rechercher police a aussitôt ouvert une enquête et à titre de mesures conservatoires, le mis en cause a été suspendu de ses fonctions et mis à la disposition de la justice", explique la hiérarchie policière dans le communiqué.

Dans la soirée du 22 février, l'intéressé a été "placé sous mandat de dépôt par les autorités judiciaires", souligne le communiqué, précisant qu'en ces circonstances," la police Rechercher police nationale, résolument engagé dans la lutte contre les atteintes à l'éthique et à la déontologie de la profession, dit condamner avec la plus grande fermeté cet acte"
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24 février 2018 6 24 /02 /février /2018 16:43
 
Côte d'Ivoire: Depuis Yamoussoukro, Dagri Diabaté au PDCI, «Je leur dit de venir avec nous pour travailler aux choses qui peuvent améliorer la Côte d'Ivoire»
 
Côte d'Ivoire: Depuis Yamoussoukro, Dagri Diabaté au PDCI, «Je leur dit de venir avec nous pour travailler aux choses qui peuvent améliorer la Côte d'Ivoire»
 
 
 
 
Le RDR samedi à  Yamoussoukro Rechercher Yamoussoukro (ph KOACI)
 
africapress.com-  Samedi 24 février 2018 - Il se tient en ce moment à la Fondation Félix Houphouët Boigny de Yamoussoukro, un séminaire sur la Communication du Rassemblement des républicains (RDR).
 
Avant l'ouvert des travaux de ce séminaire dont le thème central s'articule autour de la « communication innovante pour le RDR nouveau », la Direction de cette formation politique au pouvoir depuis 2011 a dépôt une gerbe de fleurs sur la tombe du père fondateur de la Côte d'Ivoire moderne, dans son caveau familiale.
 


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Côte d'Ivoire: Depuis Yamoussoukro, Dagri Diabaté au PDCI, «Je leur dit de venir avec nous pour travailler aux choses qui peuvent améliorer la Côte d'Ivoire»
Au sortir de cette visite du Caveau, la Présidente du RDR, le Professeur Henriette Dagri Diabagaté a appelé les alliés du RHDP, principalement le PDCI, sans nommément le citer, à venir travailler avec son parti et faire en sorte que le message laissé par feu-Félix Houphouët soit une réussite.

«Je leur dit bonjour. Je leur dit de venir avec nous pour travailler aux choses qui peuvent améliorer la Côte d'Ivoire et faire en sorte que nous ayons positivement réussit le message que nous a laissé Houphouët Boigny, » a déclaré le Professeur.

La Présidente avait quelques minutes plus tôt donné le sens de la pose de la gerbe de fleurs sur la tombe du Premier Président de la Côte d’Ivoire.

Elle avait indiqué que c’est avec beaucoup d'émotion que la Direction du parti est venue saluer l'esprit du Président Houphouët Boigny avant d'entreprendre toute activité sur place.

«Nous sommes venus, je pense que nous ressortons avec la force de faire ce que nous venons faire, notre séminaire et j’espère que son esprit nous accompagnera pendant tout notre séjour ici. Nous sommes venus aussi parce que Houphouëtiste et que nous pensons et nous que ce passage nous permettra de renforcer ce que nous entendons par Houphouëtistes » a-t-il conclu
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24 février 2018 6 24 /02 /février /2018 16:42
 
Tchad:  Un directeur de publication  arrêté  2 jours après la parution de son journal
 
Tchad: Un directeur de publication arrêté 2 jours après la parution de son journal
africapress.com- Vendredi 23 Février 2018 – Un directeur de publication tchadien a été interpellé deux jours après la parution de son nouveau journal, a rapporté jeudi la police.

Martin Inoua Doulguet, directeur du journal trimestriel d’information et d’analyse, Salam Info a été arrêté par la police pour "faux et usage de faux".

Les autorités lui reprochent d’avoir lancé son journal à N'Djamena, alors que l’autorisation lui a été octroyée à Bongor, dans le sud du Tchad.

Auditionné par le procureur de la République depuis le 22 février, il est actuellement détenu à la coordination de la police judiciaire de N’Djamena

Dans un communiqué , Reporters sans frontière a exigé sa libération immédiate.

Le Tchad occupe la 121ème place sur 180 dans l’édition 2017 du Classement de la liberté de la presse établi par RS
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24 février 2018 6 24 /02 /février /2018 16:38
 
Côte d'Ivoire: Lutte contre le trafic d'espèces, l'ampleur du trafic d'animaux sauvages est choquante, déplore une ministre Britannique
 
Côte d'Ivoire: Lutte contre le trafic d'espèces, l'ampleur du trafic d'animaux sauvages est choquante, déplore une ministre Britannique

africapress.com – Samedi 24 Février 2018 -La ministre britannique pour l’Afrique du ministère des affaires étrangères et coopération Internationale, Madame Harriett Baldwin a visité à Abidjan, le siège de l’unité de lutte contre la Criminalité Transnationale organisée (UCT).

Elle est venue en Côte d’Ivoire pour s’imprégner du résultat de l’opération « stop ivoire », réalisé du 18 au 21 janvier dernier par l’UCT avec l’assistance technique du Projet EAGLE-Côte d’Ivoire qui a vu la saisie record de 469.15 kg d’ivoire et 576 kg d’écailles de pangolin.

La Ministre britannique a félicité pour le travail abattu par l’UCT avant de déclarer : «L’ampleur du trafic Rechercher trafic d’animaux sauvages est choquante. Je suis très impressionnée par le travail effectué ici en Côte d’Ivoire pour empêcher la contrebande de la faune vers les marchés étrangers, et je suis heureuse que le Royaume-Uni puisse soutenir ces efforts ».

Le mode opératoire du réseau criminel en Côte d’Ivoire était de cacher les défenses à l'intérieur des bûches. Ensuite, elles étaient scellées avec de la colle et mélangées avec d’autres bûches de bois ordinaire dans des conteneurs pour l’Asie. Cette même méthode a été observée lors de récentes saisies au Kenya et au Mozambique, démontrant sans équivoque le caractère international du trafic Rechercher trafic d’espèces sauvages intégralement protégées. Sur ce point, la ministre martèle que : « une coopération régionale et mondiale renforcée est nécessaire pour empêcher les trafiquants de tirer profit de ce commerce. C’est la raison pour laquelle le Royaume uni entend organiser une conférence en octobre 2018 pour rassembler les pays afin de garantir que nous agissions collectivement pour lutter contre le méprisable commerce illégal des espèces Rechercher espèces en voie de d’extinction ».

La Ministre Harriett Baldwin a par la suite profité de cette visite pour offrir du matériel de dernière génération britannique servant à détecter les produits de contrebandes tels que la drogue, les armes et autres produits illicites.

Dans le commerce du trafic Rechercher trafic d’espèces protégées, la Côte d’ivoire serait la plaque tournante du trafic Rechercher trafic illicite d’espèces sauvages. Selon Rens Ilgen, coordinateur du Projet EAGLE-Côte d’Ivoire, cette situation est rendue possible pour plusieurs raisons : Tout ’abord, la Côte d’Ivoire est devenue un épicentre commercial pour toute l’Afrique de l’Ouest. Ensuite, les réseaux criminels utilisent cette infrastructure existante la distribution des produits légaux. D’autre part, pendant la crise, beaucoup de criminels sont venus et ont profité l’instabilité en Côte d’Ivoire. Enfin les sanctions prévues par la loi faunique ivoirienne n’ont pas l’effet dissuasif nécessaire.

Au total, dans le cadre « stop ivoire » six trafiquants dont le chef du réseau criminel d’origine vietnamienne ont été arrêtés ; puis déférés devant le parquet d’Abidjan où ils sont en attente de jugement. « C’est là où devraient être…ces criminels » a déclaré Ofir Drori, Directeur et fondateur d’EAGLE Network.
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