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19 février 2018 1 19 /02 /février /2018 08:27

 

Abidjan– Le Premier ministre ivoirien a assuré que le taux d’endettement de la Côte d’Ivoire, établi à 42,8% en 2017, est en deçà de la norme communautaire de 70% du produit intérieur brut (PIB).
Le chef du gouvernement qui voulait rassurer tous les ivoiriens sur la politique d’endettement de la Côte d’Ivoire, et citant les taux d’endettement du Sénégal (55,4%), du Kenya (54,4%), du Ghana (72,4%), a rassuré de la "bonne gestion" de la politique d’endettement du pays pour le bien-être actuel et futur des ivoiriens.
Pour le Premier ministre, les grands succès enregistrés par les eurobons lancés par la Côte d’Ivoire et les taux relativement bas obtenus sur les marchés internationaux, constituent un signal positif pour la révision à la baisse à moyen terme, des cours sur le marché financier régional.
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19 février 2018 1 19 /02 /février /2018 08:23

Soucieuse de préparer au mieux le Mondial 2018, la Tunisie effectue des rassemblements spécifiques à destination de ses gardiens locaux. Dans ce cadre, Makrem Bdiri (US Monastir), Rami Jeridi (CS Sfaxien), Ali Kalai (JS Kairouan), Achraf Kerir (Etoile du Sahel) et Ali Ayari (AS Gabès) vont entrer en stage pour 3 jours à partir de lundi.

Deux autres rassemblements spécifiques pour les gardiens sont programmés du 23 au 25 avril et du 30 avril au 2 mai. Dans la liste des 23, une place semble encore à prendre derrière l’inamovible Aymen Mathlouthi (Al Batin) et Farouk Ben Mustapha (Al Shabab), qui évoluent en Arabie Saoudite.


 

 
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19 février 2018 1 19 /02 /février /2018 08:21
          
Adama Barrow, Président de la Gambie
 
Adama Barrow, Président de la Gambie depuis tout juste un an, semble entretenir le flou autour du respect de sa promesse de diriger un gouvernement de Transition, avant d’organiser des élections au bout de trois ans. Suffisant pour que des Gambiens voient en lui un Yahya Jammeh bis, avide pouvoir.
 

Alors que la Gambie célèbre un double anniversaire, ce dimanche 18 février 2018, l’incertitude plane et la colère enfle chez les populations. La commémoration de son indépendance acquise le 18 février 1965, par cette ancienne colonie britannique, couplée à l’anniversaire de la prestation de serment du nouveau chef de l’Etat, Adama Barrow, en 2017, soulève nombre d’inquiétudes. Pourquoi ?

Pour se faire élire, le candidat Barrow avait accepté un accord des partis de coalition d’opposition, qui lui prévoyait seulement 3 ans au pouvoir, en lieu et place des 5 ans d’un mandat normal. Lors d’un congrès exceptionnel tenu en fin 2016, sept partis d’opposition prennent l’option d’affronter Yahya Jammeh avec un candidat unique. Le congrès d’opposants décide alors que s’il est élu, le candidat de l’opposition ferait un mandat de trois ans avant d’organiser une Présidentielle anticipée pour remettre tous les partis sur la ligne de départ de la course au palais.

Sauf qu’après un an passé au sommet de l’Etat, Barrow semble avoir pris goût au pouvoir. En effet, appelé à gouverner juste le temps de jeter les bases de la transition, avant d’appeler à de nouvelles élections pour que chaque parti puisse présenter son propre candidat, Barrow, selon RFI, insiste : « Mais la Constitution indique 5 ans », avant d’ajouter que « ce sera au peuple gambien de décider, on lui demandera son avis ».

Adama Barrow, selon certains Gambiens, cultive le doute et l’ambigüité sur sa promesse de ne faire que 3 ans au State House, le palais présidentiel, synonyme d’une trahison politique de l’accord entre opposants par l’ex-candidat. Si certains membres de son gouvernement de coalition sont même d’avis que Adama Barrow doit rester au pouvoir un mandat entier, d’autres voient ce revirement comme une trahison de l’accord qui a permis à Adama Barrow d’accéder au pouvoir. Le flou est aussi total sur la limitation du nombre de mandats.

Entre autres griefs des autres partis de la coalition, la nomination « anticonstitutionnelle » de sa Vice-présidente, la traque des biens et proches de Yahya Jammeh. Mieux, certains rappellent qu’avec l’arrestation de l’universitaire Ismaila Ceesay pour « incitation à la violence » pour une interview, la traque des dignitaires de l’ancien régime qui a épargné des soutiens du nouveau Président, les interdictions de marches, Adama Barrow suit les pas de Yahya Jammeh.

Les suspicions sont d’autant plus grandes que l’accord de la coalition prévoyait aussi d’inscrire dans la Constitution une limite de deux mandats présidentiels. Réforme qui n’a pas encore été réalisée par le nouveau chef de l’Etat de ce pays d’Afrique de l’Ouest

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19 février 2018 1 19 /02 /février /2018 08:18
 

 

Photo précédente 
Lagos Business School (LBS) est un institut de formation de référence en Afrique basé au Nigéria. LBS est une communauté de personnes engagées dans la création et la transmission de connaissances en management et en affaires basées sur une conception chrétienne de la personne humaine et de l’activité économique. Elle se veut une école de commerce de classe mondiale avec un impact significatif sur la pratique de la gestion. Elle a un important réseau d’écoles partenaires parmi lesquelles on peut citer IESE Business School (Espagne), IESEG School of Management (France), IPADE Business School (Mexique) et MDE Business School (Côte d’Ivoire).

Depuis sa création Lagos Business School offre aux professionnels à haut potentiel une formation en gestion générale qui met l’accent sur l’éthique professionnelle et le service à la communauté par la pratique de la gestion.

En plus de la qualité de la formation, LBS offre un campus qui s’étend sur 10 hectares avec verdure magnifiquement entretenus le long de la voie rapide Lekki-Epe. Un mélange unique de luxuriance et de sérénité font du campus un cadre propice à l’apprentissage et au perfectionnement professionnel.

La dynamique de LBS est de diversifier la nationalité de ses étudiants en facilitant les recrutements sur plusieurs pays en Afrique dont la Côte d’Ivoire dont elle compte déjà quelques alumnis. A travers, la MasterClass qu’elle organise le 22 Février 2018 à Seen Hôtel Abidjan, Lagos Business School partagera sa vision l’entrepreneuriat et le digital et présentera également ses programmes de formation.

C’est une réelle opportunité pour les étudiants et professionnels qui souhaitent booster leurs études et carrières
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19 février 2018 1 19 /02 /février /2018 08:17
 
La mort d’un jeune conducteur de moto-taxi à Bloléquin, dans l’ouest de la Côte d’Ivoire, a déclenché des émeutes qui ont débouché sur le meurtre d’un gendarme. Le calme est revenu, ce dimanche.
 

Le calme est revenu dimanche à Bloléquin, dans l’ouest de la Côte d’Ivoire, où un gendarme et un civil ont été tués, samedi 16 février 2018. Selon Anadolu qui cite une source sécuritaire, à l’origine des incidents, la mort d’un jeune autochtone, un conducteur de taxi-moto, attribuée à un gendarme de la ville, après une tentative de racket, au corridor sur l’axe Bloléquin-CIB.

Le site, qui évoque un témoin sur place, poursuit en indiquant que le refus du jeune de payer la somme de 1000 francs CFA, a débouché sur un échange de coups et « le gendarme a tiré à bout portant sur le jeune, le tuant sur le coup ». En guise de représailles, les populations très en colère, ont lynché le gendarme à mort. Suite à leur forfait, les populations ont érigé des barricades et incendié la gendarmerie ainsi que la résidence du préfet, avant de saccager les résidences du secrétaire général de la préfecture et du sous-préfet.

Des témoins de la scène ont par ailleurs révélé qu’un civil a été blessé par balle puis transporté d’urgence à un centre Hospitalier Régional de Guiglo. Plusieurs dégâts matériels dont un véhicule incendié sont signalés. Pour sa part, inquiète de la situation, la Commission Nationale des Droits de l’Homme de la Côte d’ivoire a appelé les populations au calme, demandant aux autorités de prendre les dispositions nécessaires afin de faire baisser la tension

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19 février 2018 1 19 /02 /février /2018 08:16
Accident
 
 
 
 
 
 

 

Cinq personnes ont été tuées et deux autres blessées dans un accident de la circulation sur l'axe Abidjan - Yamoussoukro (240km au nord d'Abidjan), a appris Xinhua vendredi de source sécuritaire.

Pour des raisons non encore élucidées, un véhicule transportant des membres d'une même famille a chuté dans un ravin, occasionnant cinq décès dont deux adolescents et deux enfants.

Les deux rescapés du drames, blessés, ont été conduits dans un centre de santé.

En Côte d'Ivoire, l'imprudence des conducteurs qui s'adonnent à des excès de vitesse et la dégradation des voies constituent les principales causes des accidents de la route qui surviennent de manière récurrente dans le pays.

Officiellement, les facteurs humains pèsent pour 94% dans les causes des accidents de la circulation.

Selon les statistiques de l'Office national de sécurité routière (OSER), la Côte d'Ivoire enregistre chaque année 6.000 accidents de la route qui occasionnent 600 morts et plus de 13.000 blessés.
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18 février 2018 7 18 /02 /février /2018 19:18

Deux poids, deux mesures ? En début de mois, la FIFA avait dissuadé la CAF d’accorder son soutien formel à la candidature du Maroc pour l’organisation du Mondial 2026 au cours de son assemblée générale en raison d’un principe de neutralité à respecter. Pourtant, dans le même temps, le rival du Maroc, le trio USA-Mexique-Canada, a pu présenter son dossier au cours d’une réunion de la zone COSAFA (Conseil des Associations de Football en Afrique Australe). Face à la polémique, le président de l’instance dirigeante du ballon rond, Gianni Infantino, est sorti du silence.

"Il ne faut pas tomber dans des théories de conspiration. Pour cette Coupe du monde 2026, on a décidé d’établir un règlement strict et très clair. Les candidats n’ont pas le droit de présenter leur candidature aux événements des confédérations. A moins qu’ils en fassent une demande spécifique à la FIFA en détaillant toute leur présentation. Ceci n’a pas été fait lors du congrès de Casablanca et c’est pour cette raison que la présentation n’a pas eu lieu. Pour ce qui s’est passé à la COSAFA, une demande a été faite. Il y a des règles et il faut s’y tenir," a affirmé le dirigeant dimanche en marge du Sommet de la FIFA en Mauritanie. "La COSAFA nous a assuré qu’ils vont donner la possibilité au Maroc de présenter sa candidature afin que tous les candidats soient traités de la même façon." Fin du débat ?


En savoir plus sur http://www.afrik-foot.com/mondial-2026-infantino-repond-a-la-polemique-maroc-cosafa#HWQAJIW4qSxcbGgo.99
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18 février 2018 7 18 /02 /février /2018 19:16
 

 

 
Serie A : la Juve plus forte que Nkoulou et le Torino

 

Pour le compte de la 25e journée de la Serie A, la Juventus Turin a remporté le derby face au Torino (0-1) ce dimanche. Dans un match engagé, la Vielle Dame a assuré l’essentiel grâce notamment à un but d’Alex Sandro (33e).

Le 18 février 2018
 
 
 
commentaires

S’il a fait un bon match en se montrant sérieux défensivement, Nicolas Nkoulou (27 ans) ne pouvait malheureusement pas être présent dans tous les duels et toutes les occasions dangereuses. Assez vif pour contenir certains assauts adverses, le Camerounais ne devrait pas se reprocher grand-chose. Même si le centre de Bernardeschi passe devant lui avant d’arriver sur Alex Sandro (0-1, 33e). Au classement, Torino reste 9e et la Juve (65 points), 2e, à un point du leader Naples (66 points).

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18 février 2018 7 18 /02 /février /2018 19:14
Cinéma:
© Autre presse par DR
Cinéma: le réalisateur burkinabè Idrissa Ouedraogo est mort
Cinéma:
© Autre presse par DR
Cinéma: le réalisateur burkinabè Idrissa Ouedraogo est mort
 
 

 

Ouagadougou - Le réalisateur et producteur burkinabè
Idrissa Ouédraogo est décédé dimanche à Ouagadougou à l’âge de 64 ans, a annoncé l’Union nationale des cinéastes du Burkina dans un communiqué transmis à l’AFP.

Figure emblématique du cinéma africain des années 1980-2000, auteur d’une quarantaine de films, Idrissa Ouédraogo a été récompensé dans les plus grands festivals, obtenant le Grand Prix du Jury à Cannes pour "Tilaï" en 1990.

Il est mort "ce matin à 5h30 (locales et GMT) des suites de maladie" dans une clinique de Ouagadougou, précise le communiqué de l’Union des cinéastes. Idrissa Ouédraogo avait débuté sa carrière cinématographique en 1981 avec une fiction intitulée "Poko" qui avait obtenu, la même année, le prix du
meilleur court-métrage au Festival panafricain du cinéma et de la télévision de Ouagadougou (Fespaco).

Après avoir complété sa formation à l’Institut des hautes études
cinématographiques (Idhec) de Paris et à la Sorbonne, il réalise en 1986 son premier long métrage "Yam daabo" (Le choix), suivi deux ans plus tard de "Yaaba" (Grand-mère).

En 1990, il sort "Tilaï", transposition d’une tragédie grecque dans
l’Afrique contemporaine, qui triomphe au festival de Cannes et au Fespaco, qui le récompense de l’Étalon de Yennenga.

Il présidera le jury du fespaco en 2003. Idrissa Ouédraogo s’est aussi essayé au théâtre. En 1991, il avait mis en scène "La Tragédie du roi Christophe" d’Aimé Césaire à la prestigieuse Comédie-Française à Paris.

"Le Burkina Faso vient de perdre un réalisateur à l’immense talent", qui "aura beaucoup oeuvré au rayonnement du cinéma burkinabè et africain hors de nos frontières", a réagi le président du Burkina Faso Roch Marc Christian Kaboré, dans un communiqué dimanche.
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18 février 2018 7 18 /02 /février /2018 19:11
 

SARA

© Abidjan.net par Marc Innoncent
SARA 2015: le Président Soro Guillaume visite le salon
Mercredi 8 Avril 2015. Abidjan. le sixième jour du salon de l`agriculture et des ressources animales a été marque par la présence de nombreuses personnalités dont le président de l’assemblée nationale Guillaume Kigbafori Soro accompagné d`une centaine
Le président de l’Assemblée nationale de Côte d’Ivoire, Guillaume Soro, a appelé samedi à Krindjabo (sud-ouest) la classe politique au pardon et à la réconciliation et invité les Ivoiriens à “se retrouver’’ pour tourner la page de la crise post-électorale de 2010-2011.

“Quand on est au pouvoir, on n’écrase pas, on relève l’autre, on pardonne et on avance. Dieu ne donne pas le pouvoir pour qu’on opprime’’, a déclaré M. Soro, dans son discours, face à des jeunes, lors de la troisième étape de son “crush party’’.

Un cadre d’échanges directs qu’il a initié afin de répondre sans faux-fuyant aux questions liées à la vie du pays de ses abonnés sur les réseaux sociaux. Les deux premières parties du “crush party’’ avaient eu lieu en octobre puis en décembre 2017 à Abidjan.

Face à quelques 300 jeunes, triés sur le volet parmi les nombreux abonnés de M. Soro sur les réseaux sociaux et habillés pour la plupart en t-shirts à son effigie, le président de l’Assemblée nationale dit regretter de constater, sept ans après la fin de la crise post-électorale, qu’il y a encore “trop de gens qui respirent la haine et de méchanceté’’ dans leurs écrits sur la toile.

“Quand est-ce que ce cycle prendra fin ?’’, s’est interrogé l’ancien Premier ministre.

“Ne vous pressez pas, je mourrai un jour mais vous me suivrai aussi et vous pouvez même me devancer’’, a-t-il lancé à l’endroit de ses détracteurs sur la toile, qui dit-il, “souhaitent nuit et jour (sa) mort’’.

A l’ensemble des Ivoiriens, le président de l’Assemblée nationale, invite à tourner la page de la crise post-électorale qui a fait près de 3.000 morts en Côte d’Ivoire : “Je suis venu ici pour dire aux ivoiriens qu’il est l’heure de passer à autre chose, qu’il est l’heure de se retrouver’’.

Depuis la fin de la crise post-électorale de nombreux partisans de l’ancien chef de l’Etat Laurent Gbagbo, lui-même incarcéré à la Cour pénale internationale (CPI), sont encore en exil et d’autres emprisonnés en Côte d’Ivoire.

En octobre, Souleymane Kamaraté dit Soul To Soul, le directeur de protocole de M. Soro, a été interpellé et incarcéré à la Maison d’arrêt et de correction d’Abidjan (MACA) pour son lien présumé avec des armes de guerre découvertes dans une maison à Bouaké (centre).
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