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29 septembre 2016 4 29 /09 /septembre /2016 09:33

Le gardien international camerounais n’a pas loupé Hugo Broos et son adjoint, dans une interview publiée ce matin par le Quotidien Le Jour. Réagissant à sa non-convocation pour le premier match des éliminatoires du Mondial 2018 prévue le 9 octobre en Algérie, le sociétaire de Malaga se livre sans modération.

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Plus rien ne va entre Hugo Broos et Idriss Carlos Kameni. Le technicien belge n’a pas convoqué le gardien de Malaga pour affronter l’Algérie le 9 octobre dans le cadre de la première journée du dernier tour des éliminatoires de la Coupe du monde, Russie 2018. Et le prétexte serait que c’est au gardien champion olympique 2000 de le contacter pour lui si oui ou non, il est prêt et disposé à venir en sélection nationale. « Je ne vais plus téléphoner Kameni. Parce qu’il a montré avec son attitude, qu’il n’est pas à 100% pour le Cameroun. La balle est dans son camp », avait alors indiqué le technicien belge.

Or, répondant aux questions de nos confrères du Quotidien Le Jour, le gardien réagi. « Quand le coach a confectionné sa liste, tous les 23 joueurs ne lui ont pas passé un coup de fil (…) Il sait pourquoi il le dit. Ils savent à quoi ils jouent », rétorque-t-il. Pour Idriss Carlos Kameni, Hugo Broos et son adjoint expatriés s’en iront un jour ou l’autre, mais l’équipe des Lions Indomptables restera au Cameroun. « Je suis Camerounais. Je suis né Camerounais. Je resterai Camerounais. Ils (les entraîneurs expatriés, Ndlr.) viendront et passeront et nous resterons avec notre nation. Il ne faut pas qu’ils se foutent de la gueule du monde et qu’ils nous fassent passer pour des gens qui n’aiment pas leur patrie ».

Et si sa situation ressemble légèrement à celle des joueurs comme Samuel Eto’o ou Alexandre Song qui ont ensuite pris leur retraite internationale, Idriss Carlos Kameni, n’envisage pas une même fin. « Ça ne me fait pas réfléchir autrement. J’ai ma nation et la patrie dans le sang et personne ne m’enlèvera cela. Tant que je prendrai du plaisir, que je pourrai offrir ce que Dieu m’a donné comme talent pour le mettre au service de mon pays, je le ferai avec grand plaisir. Personne ne m’empêchera de le faire ; sauf quand le Seigneur décidera de tout arrêter. Et comme le disais quelqu’un, personne n’a un titre foncier à l’équipe nationale. On passera tous et on souhaite que derrière, il y ait des jeunes avec beaucoup de talents qui puissent nous remplaces de fort et belle manière. J’ai 16 ans au sein de cette équipe nationale du Cameroun et j’en ai vu passer. Nous passerons tous. Mais, il faut que tout se passe selon les règles de l’art », a-t-il conclu.

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29 septembre 2016 4 29 /09 /septembre /2016 09:31

Réuni ce mardi au Caire, le comité exécutif de la CAF a précisé les procédures du tirage au sort de la phase de groupes de la CAN 2017 qui se tiendra le 19 octobre à Libreville. Dans ce cadre, 4 pots ont été définis. Les groupes seront constitués par une équipe issue de chacun d’eux.

La CAF a précisé qu’elle a réparti les équipes en tenant compte des résultats des trois précédentes CAN (2012, 2013 et 2015), des éliminatoires des CAN 2013, 2015 et 2017, ainsi que pour la première fois des éliminatoires du Mondial 2014. Au vu de la répartition, des poules très relevées sont envisageables. Pays-hôte confirmé par la CAF malgré les inquiétudes sur les conditions sécuritaires, le Gabon a évidemment été placé dans le premier chapeau.

La composition des quatre chapeaux :

Pot 1 : Gabon, Côte d’Ivoire, Ghana, Algérie
Pot 2 : Tunisie, Mali, Burkina Faso, RD Congo
Pot 3 : Cameroun, Sénégal, Maroc, Egypte
Pot 4 : Togo, Ouganda, Zimbabwe, Guinée Bissau

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29 septembre 2016 4 29 /09 /septembre /2016 09:30

Ville de Bertoua, Chef-lieu de la Région de l'Est Archives

Il s’agit en fait d’une pétition pour réclamer entre autres le bitumage des axes routiers, la création des facultés annexes des universités Yaoundé et Douala à Abong-Mbang.

160 chefs traditionnels de la Région de l’Est viennent d’adresser une correspondance à Paul Biya, le Président de la République. Il s’agit des chefs de quatorze unités administratives. Réunis à Doumataing les 3 et 4 septembre derniers, dans le cadre du conseil départemental des chefs traditionnels du département du Haut-Nyong, leur correspondance écrite sous forme de pétition contient les revendications qui n’ont pas été du tout au goût des élites de la Région de l’Est. «Cette pétition des chefs traditionnels du Haut-Nyong a irrité l’élite gouvernementale et politique» du coin, rapporte le quotidien Mutations numéro 4232.

Dans ladite correspondance, les 160 chefs traditionnels demandent «le bitumage des axes Abong-Mbang-Angossas, Mampang-Angossas-Mboma, Mbet-Doumaintang Nguelemendouka et Abong-Mbang-Mindoumou-Lomié, la création des facultés annexes des universités de Yaoundé et de Douala à Abong-Mbang, la restitution des 10% de la redevance forestière dont les populations ne bénéficient plus depuis deux ans». Outre cela, ces gardiens de la tradition estiment que «Paul Biya doit intercéder auprès du Saint-Siège pour qu’un de ses fils prélat soit élevé à la charge d’évêque».

Pour le quotidien l’élite du coin n’a pas du tout aimé cette correspondance. Surtout qu’au cours du gigantesque meeting de remerciement au Président de la République pour avoir nommé Cyrus Ngo’o au poste de Directeur Général du Port Autonome de Douala, ces chefs n’ont pas fait publiquement mention d’une quelconque correspondance. C’était le 24 septembre dernier. Le journal dit toutefois que, pour des observateurs de la scène politique de l’Est, «l’attitude de l’élite locale est fondée sur l’égoïsme. «Ces élites veulent tout pour elles seules. C’est pour cela qu’elles veulent à tout prix montrer au Président de la République que tout marche bien à l’Est».

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29 septembre 2016 4 29 /09 /septembre /2016 09:28

Ville de Douala Archives

La promotrice de l’espace d’art contemporain «Doual’art» a tenu à le faire savoir au cours d’une conférence de presse organisée le mardi 27 septembre 2016, jour de la célébration de la journée mondiale du tourisme.

La célébration de la Journée mondiale du tourisme, le mardi 27 septembre 2016, a été l’occasion pour la Princesse Marilyne Douala Manga Bell, patronne de Doual’art, un centre d’art contemporain basé au quartier Bonanjo à Douala, de revenir sur les potentialités touristiques de la capitale économique du Cameroun. La descendante de Rodolphe Douala Manga Bell, héros national exécuté en 1914 par l’administration coloniale allemande s’est exprimée au cours d’une conférence de presse organisée en partenariat avec l’entreprise Jumia Travel, spécialisée dans les réservations d’hôtels en ligne. La causerie avait pour thème: «l’art contemporain dans la promotion du tourisme».

Selon la princesse Douala Manga Bell, l’institution qu’elle dirige a déjà fait construire près d’une quarantaine d’œuvres d’art pour contribuer à rendre la ville de Douala plus attractive sur le plan touristique. Parmi les plus connues, il y a la statue de la Nouvelle Liberté qui trône au lieu-dit «Rond Point Deido», construite par l’artiste camerounais Joseph-Francis Sumégné à base des objets issus de la récupération. Le «Théâtre-Source» bâti au quartier Ndogpassi III, par l’artiste belge Philip Aguirre y Otegui; «La colonne pascale» au Carrefour Shell New-Bell, œuvre de Pascale Marthine Tayou, «L’arbre à palabres de Bonambappe» de Frédéric Keiff, le Monument funéraire des Rois Bell, «La cheminée de Bonakouamouang» sont quelques autres lieux susceptibles d’attirer des touristes, fait-elle savoir.

Doual’art, créé en 1991, offre en plus au moins une exposition par mois dans son espace et organise tous les trois ans, le Salon Urbain de Douala (SUD) dont la prochaine édition aura lieu en 2017.

Outre le fait d’attirer des visiteurs dans la capitale économique du Cameroun, les œuvres d’art offertes par Doual’art ont pour objectif de faciliter l’accès à l’histoire du Cameroun. «Ces œuvres d’art ont non seulement une dimension artistique et esthétique, mais elles sont aussi utiles pour la ville», relève la promotrice culturelle. Consciente que les sites touristiques ne sauraient à eux seuls rendre la ville attrayante, Doual’art a recruté et formé plusieurs médiateurs socioculturels pour aider à garantir entre autres l’hospitalité à l’égard des visiteurs étrangers. «Plus il y aura d’art dans la ville, plus nous réussirons à créer une société doualaise qui se sent responsable de la qualité de vie et de la qualité d’accueil dans cette ville de Douala», a conclu Marilyne Douala Manga-Bell.

Son partenaire Jumia Travel revendique au moins 150 structures hôtelières basées à Douala dans son portefeuille. Il se dit déterminé à faire connaitre tous les lieux d’intérêt dans l’ensemble du Cameroun. Mais aussi, «les trésors cachés de Douala». «Quel meilleur lieu que Doual’art et l’art contemporain pour faire connaitre les trésors de Douala et toutes ses merveilles», a indiqué Alexandre Dubuisson, Directeur de Jumia Market Cameroun.

La journée mondiale du tourisme 2016 avait pour thème: «Tourisme pour tous: Promouvoir l’accessibilité universelle en faveur d’un tourisme pour tous». Cette année, Madrid et Bangkok ont été retenus comme les hôtes officiels de l’évènement.

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29 septembre 2016 4 29 /09 /septembre /2016 09:27

Le nouveau PM reçu l’année dernière à Yaoundé par Paul Biya Archives

Daniel Ona Ondo n'est plus Premier Ministre du Gabon. Après deux ans d’exercice, il a été remplacé par Emmanuel Issoze Ngondet, qui était jusqu'à sa promotion Ministre des Relations extérieures.

La décision de nommer un nouveau Premier Ministre a été prise mercredi 28 septembre 2016 par le Président Ali Bongo, fraîchement réélu pour un nouveau mandat de sept ans. «Le Président de la République Ali Bongo Ondimba a nommé aujourd’hui Monsieur Emmanuel Issoze Ngondet Premier Ministre du Gouvernement de la République Gabonaise, avec pour première mission de former un Gouvernement d’ouverture. Il aura pour tâche de poursuivre la conduite du Plan Stratégique pour le Gabon Émergent, pour un Gabon plus juste, plus prospère et plus solidaire» a annoncé un communiqué publié hier par le service presse de la Présidence du Gabon

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29 septembre 2016 4 29 /09 /septembre /2016 09:25

En froid avec le sélectionneur du Cameroun, Hugo Broos, le gardien Carlos Kameni a démenti sa version des faits et assuré qu’il n’a jamais décliné de convocation. Mais le portier de Malaga n’entend pas faire le premier pas.

C’est toujours la guerre ouverte entre le sélectionneur du Cameroun, Hugo Broos, et son ancien gardien numéro un Carlos Kameni ! Tout a commencé en juin lorsque le portier de Malaga n’a pas répondu à l’appel de la sélection pour palier la défection d’André Onana. En raison d’un problème de santé de son fils selon l’intéressé. Sauf que le technicien belge soutient une autre version des faits voulant que l’ancien Havrais ait mal digéré de se retrouver zappé dans la liste initiale et qu’il ait refusé sa convocation. Des mensonges selon Kameni, plus sélectionné depuis cet incident.

"Je n’ai jamais refusé de venir jouer pour l’équipe nationale. Le team manager, Alphonse Tchami, m’a fait savoir que j’allais être sélectionné pour les éliminatoires de la Coupe du monde, donc pour ce match contre l’Algérie (le 9 octobre, ndlr). Ce qui n’est pas le cas aujourd’hui. Je l’accepte sportivement. Ça veut dire que les gardiens de buts qui ont été convoqués sont censés être les meilleurs par rapport à moi", a taclé le Lion Indomptable dans les colonnes du quotidien Le Jour.

"Nous faire passer pour des gens qui n’aiment pas leur patrie"

Alors que Broos a clairement indiqué qu’il attendait un signe du joueur avant d’envisager de faire à nouveau appel à lui, Kameni n’a aucune intention de faire le premier pas. "Je pense qu’il faut être raisonnable. Quand le coach a confectionné sa liste, tous les 23 joueurs ne lui ont pas passé un coup de fil. C’est à lui de faire ses choix. Je ne pense pas une seule fois avoir appelé le coach pour lui dire que je n’étais plus sélectionnable, et qu’aujourd’hui, je dois l’appeler pour lui dire que je le suis", a ironisé le portier, avant de se faire encore plus virulent.

Je suis né camerounais. Je resterai camerounais. Ils (les entraîneurs expatriés, ndlr) viendront et passeront et nous resterons avec notre nation. Il ne faut pas qu’ils se foutent de la gueule du monde et qu’ils nous fassent passer pour des gens qui n’aiment pas leur patrie", a grondé le gardien andalou. En attendant que ce scénario se réalise un jour, difficile d’imaginer Kameni retrouver la Tanière après cette sortie…

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29 septembre 2016 4 29 /09 /septembre /2016 09:24

Nommés par le ministre des Finances, les responsables chargés d’accompagner le comité local d’organisation dans sa gestion à savoir le régisseur et son adjoint, ainsi que le comptable matières, entendent gérer les deniers publics débloqués pour la circonstance avec rigueur et transparence.
Patrick Bertin Oyono.

C’est le nom du régisseur de la Can féminine 2016 « Cameroun 2016 ». Cet inspecteur du Trésor, désigné par Alamine Ousmane Mey, le ministre des Finances, est le gendarme des deniers publics qui vont servir à l’organisation de cette compétition qui démarre le 19 novembre prochain. L’homme discret au crane rasé qui a été officiellement présenté à la presse hier 27 septembre 2016 lors de la réunion de coordination du Comité central d’organisation, est à en croire ses collaborateurs au Minfi, un administrateur d’une rigueur irréprochable ; surtout lorsqu’il s’agit de la gestion des fonds. Ce n’est donc pas un hasard si le patron des Finances a jeté son dévolu sur sa modeste personne pour cette délicate mission. D’ailleurs, ce dernier, lors de la lecture du cahier de charges relatif à l’organisation et l’engagement des dépenses allouées à ce tournoi, a annoncé des couleurs.

Relations incestueuses avec l’argent

D’un ton ferme et solennel, Patrick Bertin Oyono a martelé à l’endroit des responsables des 14 commissions techniques, qu’aucun copeck ne sera dépensé sans présentation des pièces justificatives, encore moins sans l’aval du régisseur qu’il est. « Aucune mauvaise dépense ou des dépenses non prévues ne seront tolérées… les décaissements par procuration sont proscrites », prévient-il. Pour l’accompagner dans cette lourde tâche, son adjoint Yvonne Ndene et Bonaventure Oliver Souley comme comptable matières, vont s’assurer de l’exécution du budget de la Can qui s’élève à 4.888.246.000 Fcfa. Avis aux gestionnaires indélicats dont les relations incestueuses avec l’argent, sont devenus une obsession. L’Epervier rôde. Les différentes rubriques dudit budget connues, Pierre Ismaël Bidoung Mkpatt recommande discipline et transparence. « Afin d’améliorer le travail a sein desdifférentes commission, je prescris à la commission de finances en collaboration avec les experts mis a disposition par le ministère des Finances, de prendre toutes les dispositions nécessaires pour permettre l’implémentation des actions urgentes des différentes commissions techniques ».

Synergie de compétences

En bon chef d’orchestre, le président du Cocan demande aux nouveaux hommes d’éviter les goulots d’étranglements qui pourraient plomber l’organisation générale de cette Can pour laquelle il attend un succès retentissant. Parmi les actions urgentes a mettre en œuvre, énumère-t-il, « la célérité dans le respect des procédures ; la répartition des responsables compétents dans les différents sites et le travail en équipe des responsables du Cocan dans ces sites ; le paiement des primes pour faciliter le travail des commissions, conformément aux prescriptions de la haute hiérarchie ». Bidoung Mkpatt prescrit également aux responsables de commissions, le respect des dispositions du cahier de charges de la confédération africaine de football (Caf), sous la diligence de la Fédération camerounaise de football (Fécafoot). D’où la nécessité d’une synergie de compétences et des expertises nécessaires à la contribution aussi modeste soit-elle, des citoyens patriotes volontaire, « pour que dans un élan de solidarité nationale, nous assurions le succès des activités de la Can féminine pour accroitre davantage le rayonnement national et international de notre pays, consolider le génie et l’honneur du peule camerounais ». On attend de juger les maçons au pied du mur

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29 septembre 2016 4 29 /09 /septembre /2016 09:18

Nouvelle Carte d'Identité Archives

Gemalto, la société en charge de la fourniture et de la mise en service du système d’identification au Cameroun, est rattrapée par le passif de l’ancien opérateur Sacel, et ne peut se déployer comme annoncé.

«Le nouveau partenaire du Gouvernement dans la sécurisation des titres identitaires au Cameroun ne veut pas enregistrer les anciennes erreurs laissées par l’ancien opérateur» renseigne Jean-Claude Ohandza, Officier de police principal, dans les colonnes du journal Intégration paru lundi 26 septembre 2016.

«Une Carte Nationale d’Identité (CNI) informatisée avec puce, le nom sonne si joliment qu’il pourrait être celui d’un bonbon. Les gens qui vont la produire sont actuellement en stage à l’École de police et dès lors qu’ils seront aptes, les cartes «nouvelle formule» seront produites. Tous les retards constatés sont dus au souci d’évacuer le passif de la Société camerounaise électronique, plus connue sous le label Sacel», ajoute l’Officier de police principal.

Sacel est en rupture de contrat avec le Gouvernement camerounais depuis 2015. C’est Gemalto qui est désormais la société en charge de la fourniture et de la mise en service du système d’identification au Cameroun. Le journal indique que la société est rattrapée par le passif de son prédécesseur Sacel et ne peut se déployer comme annoncé. «Elle a repensé un mode de délivrance des CNI autre que l’ancien, outrageusement malmené par les doublons», peut-on lire.

Pourtant, au cours d’une conférence de presse tenue récemment à Yaoundé, Dominique Baya, le Secrétaire Général de la Délégation Générale à la Sûreté Nationale (DGSN), avait été clair: «Je vous rassure, lançait-il alors, que si vous vous faites enregistrer en début de semaine, vous pourrez rentrer en possession de votre carte la semaine qui suit». Seulement, la réalité est toute autre sur le terrain.

«J’ai dû me lever à 3 heures pour figurer parmi les premières personnes. Cela m’a valu une grippe sévère doublée d’une atteinte sérieuse de mes cellules nerveuses», relate un usager, brandissant son récépissé, au poste d’identification du Commissariat de sécurité publique du 1er arrondissement de Yaoundé. Pour obtenir ledit récépissé, explique-t-il, a fallu attendre de longues heures

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29 septembre 2016 4 29 /09 /septembre /2016 09:16

Pierre Ismaël Bidoung Mkpatt Archives

Le Ministre des Sports et de l’Éducation physique leur demande de ne plus donner la parole à ceux qui critiquent les actions du Comité d’organisation qu’il dirige.

Au cours d’une réunion tenue le 27 septembre 2016 au Ministère des Sports et de l’Éducation physique, le Ministre Pierre Ismael Bidoung Mkpatt n’a pas loupé les détracteurs du Comité d’organisation de la Coupe d’Afrique des nations féminine 2016 qu’il préside. Dans son discours, il est revenu sur les critiques formulées contre la réduction drastique du budget sollicité par son comité, l’hymne officiel du tournoi qu’accueille le Cameroun dès le 19 novembre prochain entre autres.

Bidoung Mkpatt dénonce «les débats insolites découverts à travers les médias sur les causes des réductions de ce budget et même sur les visuels pourtant validés par les autorités nationales et la CAF, débats qui tendent à détourner et à dénaturer le travail patriotique remarquable abattu par les commissions». L’occasion pour lui de «rappeler à l’intention des représentants de la presse, qu’après l’installation le 13 mai 2016 des membres du Comité d’organisation de la Coupe d’Afrique des Nations «Cameroun 2016», nous avons instruit les membres des différentes commissions techniques, de se mettre immédiatement au travail et de soumettre au Comité central d’organisation, dans un délai de 20 jours, leurs plans d’action assortis de leurs projets de budget. La sommation de ces budgets s’est élevée à 23 milliards de FCFA».

Et d’ajouter: «pour réduire ledit budget et recadrer le travail des commissions techniques, des séminaires ont été organisés et animés par les services financiers et la Fédération camerounaise de football qui ont permis de ramener ce projet de budget dans des proportions raisonnables, compatibles avec les exigences du cahier de charges de la CAF et l’environnement économique de notre pays», martèle-t-il avant de poursuivre cette fois-ci à l’endroit des hommes de médias:

«La présence des journalistes m’offre l’occasion de rappeler à une portion de la presse les commentaires pernicieux parfois développés sur les laborieuses organisations des commissions techniques du Cocan par quelques détracteurs invétérés en mal de sensationnalisme ne doivent pas endormir certains d’entre vous. À cet effet, je vous demande d’ignorer ces manœuvres de diversion pour rester concentrés sur l’essentiel», suggère-t-il.

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22 septembre 2016 4 22 /09 /septembre /2016 09:38

Côte d'Ivoire: Cornet, le franco-ivoirien dit non pour le moment aux éléphants

africapresscom – Mercredi 21 Septembre 2016 - Courtisé par le sélectionneur Michel Dussuyer, Maxwell Cornet 19 ans, de l’Olympique Lyonnais se sent mieux pour le moment avec les espoirs Français avec lesquels il compte déjà 5 capes.

«Récemment, alors que j'étais en équipe de France Espoirs, le sélectionneur ivoirien (Michel Dussuyer, ndlr) m'a appelé, mais, pour l'instant, je suis bien avec les Espoirs et tant que cela se passe bien, je continue», a –t-il révélé ce mercredi dans la presse sportive française (L'équipe, ndlr).

L’attaquant rêve de faire partie un jour du groupe de Didier Deschamps. «Je dis oui direct ! (Sourires.) Quand on a fait toutes ses classes en France et en sélections de jeunes, on attend ça avec impatience. Mais je me concentre sur l'OL. Le reste, ça viendra quand ça viendra, mais il ne faut pas se tromper. »

Maxwell Cornet né en 1996 dans la localité de Bregbo Rechercher Bregbo à proximité de Bingerville n’est pas encore perdu pour la Côte d’Ivoire. Il a encore jusqu’à l’âge de 21 ans, selon le règlement de la FIFA, pour choisir entre les Bleus et les éléphants.

Il est passé par Metz avant de rallier les Gones avec lesquels il a joué 5 matchs cette saison en ligue 1, pour un but marqué

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