Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
29 avril 2016 5 29 /04 /avril /2016 08:53

Décédé dimanche dernier alors qu’il prestait sur scène à Abidjan en Côte d’Ivoire, le chanteur à succès, Papa Wemba, a entamé depuis hier mercredi 27 avril 2016, son dernier voyage vers la terre de ses ancêtres. Avant l’inhumation de ce monstre sacré de la musique congolaise, ses proches et ses compatriotes continuent de recevoir des témoignages et des messages de condoléance. Parmi les personnalités émues par la mort de Papa Wemba, il y a Paul Biya, le président camerounais qui a adressé le télégramme officiel ci-dessous, à Joseph Kabila Kabange, son homologue du Congo démocratique.


Télégramme officiel de Paul Biya à Joseph Kabila Kabange

Monsieur le Président et cher frère, j’ai appris avec tristesse la nouvelle du décès de Monsieur Jules Shungu Wembadio Pene Kikumba dit Papa Wemba, survenu sur scène à Abidjan, le 24 avril 2016, où il participait en qualité d’invité d’honneur au Festival des musiques urbaines d’Anoumabo (Femua). Musicien talentueux et inspiré, Papa Wemba fut assurément l’un des plus grands Ambassadeurs de la musique africaine. Sa disparition est une grande perte pour la culture africaine et pour votre pays. En cette douloureuse circonstance, je vous adresse ainsi qu’à sa famille et à la Nation congolaise affligée, mes sincères condoléances.

Veuillez agréer Monsieur le Président et cher frère, les assurances renouvelées de ma très haute considération.

Paul Biya

Partager cet article
Repost0
29 avril 2016 5 29 /04 /avril /2016 08:51

Sur le principe, il s’agit d’user de ruses pour obtenir des informations ou des images compromettantes sur des internautes et de les utiliser pour en faire du chantage. Egalement au Gabon, les cas similaires ont connu une recrudescence et le gouvernement s’est récemment doté d’une législation en la matière. Pour mieux comprendre le phénomène, TIC Mag est allé à la rencontre de Christelle N. (qui a souhaité garder l’anonymat), une cadre d’une grande structure bancaire camerounaise qui s’est retrouvée pris au piège d’un réseau de cybercriminel.

D’après elle, tout a commencé un soir lors d’une sortie entre amies : « J’ai fait la connaissance d’un homme qui m’a dit être Gabonais et s’appelait Joël Kanga. Deux jours après notre rencontre, il m’a contacté sur Facebook et tout est allé vite. Au départ, c’était juste des conversations amicale. A un moment, il a commencé à m’envoyer des photos de lui, et à réclamer que j’en fasse autant. Au départ, j’étais méfiante, mais il m’a convaincu, au point où je lui ai envoyé des photos et vidéos compromettantes.

Après les avoir obtenu, il a coupé contact et ne répondait plus à mes messages. Deux mois après, je reçois un mail avec mes photos et vidéos compromettantes en pièce jointe. Dans le corps du message, l’expéditeur menace de publier ces documents si je ne lui fais pas un transfert d’argent d’un montant de 700 000F. Dans un environnement comme le mien, si la hiérarchie en vient à être au courant, je peux être certaine de perdre mon boulot ».

Christelle N. explique par la suite que face à la peur, elle a cédé en envoyant de l’argent au cybercriminel via Western Union. Alors qu’elle pensait avoir classé pour de bon ce dossier, elle reçoit un autre mail du même genre six mois plus tard. Cette fois l’adresse n’est plus la même, et le cybercriminel réclame un million de francs. Pourtant, ce sont les mêmes photos et vidéos : « J’ai d’abord pensé à payer à nouveau. Mais rapidement j’ai compris que cela ne s’arrêtera jamais, et j’ai décidé d’en parler à la police ».

Même si son pourfendeur est aujourd’hui aux arrêts, Christelle N. n’est toutefois pas en complète sécurité et dit s’attendre à de nouveaux rebondissements : « c’est vrai qu’on l’a arrêté. Mais, malgré les garanties des forces de l’ordre, je n’ai aucune garantie qu’il n’avait pas fait des copies de ces images, ou qu’il n’a pas de complices à qui il aurait donné. Et chaque jour, je crains une éventuelle vengeance, et de retrouver mes photos ou mes vidéos sur des sites à caractère pornographique ».

Quelques conseils pour ne pas tomber dans le piège de ces arnaqueurs et brouteurs

  1. Ne jamais envoyer ses photos ou vidéos nues ou dans des positions compromettantes à des connaissances ou ami (e)s via le web (elles peuvent être interceptées par des tiers lorsqu’un individu par mégarde de votre conjoint a accès à ses comptes sur le web)
  2. Eviter autant que possible de se filmer dans des positions compromettantes
  3. Baisser l’écran de son laptop pendant les ébats (On peut avoir oublié de se déconnecter sur Skype ou sur tout autre programme de chat alors qu’on est encore connecté)
  4. Quand on est victime, ne pas verser d’argent à l’arnaqueur et prévenir la Police (Rien ne garantit qu’une fois l’argent versé, une nouvelle demande ne fera pas surface comme avec le cas de Christelle. La police dispose des techniques pour appréhender ce genre d’escrocs)
Partager cet article
Repost0
29 avril 2016 5 29 /04 /avril /2016 08:48

Membres du Gouvernement du Cameroun

Photo: (c) Archives

Au titre de l’exercice budgétaire 2016, le Gouvernement va s’arroger un montant de 55,9 milliards de FCFA pour les frais de «bouche et de mission», nous apprennent les colonnes du Quotidien de l’Économie en kiosque ce jeudi 28 avril 2016.

Par rapport à l’année 2015, ce montant a subi une baisse de 10 milliards de FCFA et descend en dessous des 60 milliards de l’année 2014. «Malgré tout, la Présidence de la République garde le haut du pavé avec 7,6 milliards de FCFA consacrés aux frais de bouche, de représentation de mission. Ce montant dépasse les 8,4 milliards de FCFA lorsqu’on y ajoute la dotation des services rattachés. Toutefois, ce montant est en baisse par rapport à 2015, où 9,5 milliards de FCFA avaient été attribués pour ce chapitre au bénéfice d’Etoudi», peut-on lire.

Le ministère des Sports arrive juste derrière la Présidence avec 6 milliards de FCFA de frais de bouche et de mission. Cette somme est, apprend-on, en baisse de 1,5 milliard de FCFA. Malgré tout, ce montant représente la moitié du budget de fonctionnement de ce ministère fixé à 13,2 milliards de FCFA. «Ce montant se justifie également pour des raisons de prise en charge de la participation des équipes nationales du Cameroun aux compétitions internationales». La Coupe d’Afrique des Nation (CAN) féminine de Football qui se tiendra au Cameroun en novembre 2016 et la prochaine CAN masculine de football nécessiteront le paiement des primes aux joueurs.

Le ministère des Enseignements Secondaires occupe la troisième place avec 2,8 milliards de FCFA, «une forte baisse de 2 milliards de FCFA», nous dit-on. Ensuite arrive le Ministère de la Défense avec 2,7 milliards de FCFA contre 2,3 milliards en 2015. «Une légère augmentation qui s’explique par le contexte de guerre». Le Ministère de l’Agriculture vient alors en cinquième position avec un montant de 2,1 milliards de FCFA contre 3,4 milliards en 2015

Partager cet article
Repost0
29 avril 2016 5 29 /04 /avril /2016 08:47

Photo: (c) Archives

La récompense est énorme pour les chercheurs de l’IRAD et l’honneur grand pour le Cameroun. Quatre variétés de produits agricoles développées par les chercheurs de cet institut de recherche agricole ont été distinguées à Genève lors du 44e Salon international des inventions de la capitale tenu du 13 au 17 avril 2016. Il s’agit du sorgho, le manioc, la patate douce, et le maïs. Les chercheurs camerounais ont été classés parmi les meilleurs.

africapress.com (LNE) en kiosque, jeudi 28 avril 2016 revient sur les spécificités des différents produits. D’abord le Sorgho. «L’IRAD a mis en place une variété CS54, présentant un rendement élevé, et disposant de dérivés en zone soudano-sahélienne du Cameroun. La denrée alimentaire, très prisée dans les Régions du Nord et de l’Extrême-Nord, a une production insuffisante. En cause, les conditions climatiques peu favorables dans les zones de production, mais aussi l’appétit croissant des agro-industries, qui préfèrent désormais le Sorgho dans la fabrication des boissons gazeuses et alcoolisées au détriment de l’orge, issu de l’importation. En 2015 par exemple, DIAGEO, la multinationale propriétaire de Guinness, a lancé un programme d’investissement d’environ 3 milliards de FCFA dans un projet visant la promotion de la culture du sorgho dans la région de l’Extrême-Nord. Les investissements cumulés vers cette denrée alimentaire devraient permettre de porter la production nationale d’un million de tonnes à 2 millions de tonnes d’ici à 2020».

Ensuite le manioc. À ce sujet, le journal indique à Genève, «la communauté scientifique a également succombé aux charmes de la variété de manioc 8034, présentée comme étant adaptée à différentes zones agroécologiques du Cameroun. Cette trouvaille de l’IRAD survient alors que le Cameroun est engagé dans un vaste plan de relance de la production de manioc. Le plan, lancé en 2015 avec l’accompagnement de la Banque mondiale, vise la construction de six usines de transformation du manioc dans les localités d’Edéa et de Dibombari (Littoral), Muyuka (Sud-Ouest), Obala (Centre), pour ne citer que celles-là. Coût du projet, 50 milliards de FCFA».

«La troisième denrée en Or de l’IRAD a été attribuée à la variété de patate douce Tlb1 à très large adaptabilité écologique et à haut potentiel de rendement. Pour le Cameroun, cette innovation déterminante, notamment pour l’industrie boulangère, plombée par la montée des cours mondiaux du blé. D’après des chiffres publiés par l’ACDIC, en 2013, les boulangers ont importé plus de 163 000 tonnes de blé. Ce qui représente un peu plus de 33,5 milliards de FCFA. Pour réduire ce déficit, les boulangers tentent d’équilibrer leurs coûts, en intégrant la patate douce dans la fabrication de la farine de pain», explique LNE.

Enfin, le maïs avec son composite Coca SR. À en croire un chercheur de l’IRAD, c’est «une variété améliorée de maïs tolérante aux maladies foliaires d’altitude et à la striure et dont les semences sont disponibles aux Centres IRAD de Bambui et Dschang»

Partager cet article
Repost0
29 avril 2016 5 29 /04 /avril /2016 08:46

Stade de Bafoussam : Des rituels avant l’inauguration

Au-delà du côté physique des préparatifs de la cérémonie d’inauguration du stade omnisport de Bafoussam qui aura lieu le 30 avril prochain, il y a aussi un côté métaphysique. Celui-ci a été confié à sa majesté Njitack Ngompé Pélé, roi du peuple Fussep. Avec ses notables, membres des sociétés sécrètes des « 9 » et des « 7 », il a engagé depuis dimanche 24 avril dernier, à un ensemble de rituels. Lesquels ont permis au monarque et les autres gardiens de tradition Bafoussam, de se rendre à divers lieux sacrés que compte ce groupement.

2

Mardi 26 avril 2016, ils se sont notamment rendus à la rive gauche du fleuve Noun et à l’entrée du stade flambant neuf, où un ensemble d’invocations marquées de sacrifices de bélier et de poule, a été opéré. D’après Sa Majesté Njitack, ces rituels ont but d’invoquer les ancêtres, afin d’implorer non seulement leur bénédiction, mais aussi la protection de l’ouvrage réalisé. « Nous sommes descendus avec les tenants de nos us et coutume, à savoir les sept et les neufs notables pour conjurer l’esprit de nos ancêtres au niveau du pont du Noun où nous avons de hauts lieux sacrés, pour qu’il protège ce stade que le gouvernement nous a offert et dont le ministre des sport et de l’éducation et les autres membres du gouvernement, les autorités administratives et traditionnelles, les forces vives de la région de l’Ouest et du Cameroun, viendront inaugurer le 30 avril prochain. Nous sommes venus apporter notre bénédiction pour que ce haut lieu de sport, soit un haut lieu de réjouissance non pas seulement des fils de toute la région de l’Ouest, mais aussi de tout le Cameroun, et que règne dans ce stade un esprit de vainqueur, un esprit de fair-play que nous avons toujours inculqués à nos Lions indomptables », a-t-il déroulé.

Après les rituels, la population sortie en masse vivre ces rarissimes moments, a été invitée à partager des denrées alimentaires cuisinées selon les exigences de ce type de cérémonie, ainsi que de la boisson. Après s’être remplies l’estomac, ces populations ont reçu d’autres denrées à cuisiner elles-mêmes. Elles étaient constituées de riz, de sel, de viande de bœuf et de porc… Sm Njitack Ngompé Pelé a invité les chefs de villages et quartiers avoisinants du stade à prendre l’engagement ferme, de veiller avec leurs populations à la sécurité de l’infrastructure.

Ces rituels du chef Bafoussam, auront-ils réellement l’effet escompté ? Si d’aucuns répondent par l’affirmative, en se basant sur le fait que ce stade soit situé dans son groupement, d’autres sont par contre dubitatifs. En raison du fait, soutiennent-ils, qu’une belle initiative devrait impliquer à défaut de tous les grands chefs de la région de l’Ouest, au moins ceux du département de la Mifi. Or Sa Majesté Njitack Ngompé Pelé a préféré y aller tout seul. Ce qui présage, poursuivent les détracteurs, d’une envie dévoilée du monarque de faire main basse sur cette infrastructure construite pour les populations de la région.

Partager cet article
Repost0
29 avril 2016 5 29 /04 /avril /2016 08:44

Elles sont restées indifférentes à la tournée du Minader.

Le ministre de l’Agriculture et du Développement rural (Minader), Henri Eyebe Ayissi, a entamé sa tournée dans le Nord par l’arrondissement de Lagdo, le 20 avril 2016. Au cours de cette première étape, Henri Eyebe Ayissi a procédé à la visite de la ferme semencière du Minader, du périmètre irrigué de Gounougou et à la remise des tracteurs au chef du «pool engins» du Nord.

Pour le Minader, cette étape de Lagdo était très importante parce que l’Etat a décidé de booster la production du riz de la région. Après des visites de travail dans les localités de Tonga et de Ndop, autres localités productrices du riz, Lagdo constituait donc une autre étape fondamentale dans sa visite.

Après cette étape, il s’est rendu à Garoua dans les installations de la Sodecoton et a poursuivi dans la région de l’Extrême-Nord. La visite du Minader à Lagdo a cependant présenté quelques curiosités. D’abord au niveau de la mobilisation du public. Pour venir recevoir ce qui constituait un apport important du gouvernement pour le développement de l’agriculture, moins moins de 500 personnes se sont mobilisées à la place des fêtes de Lagdo.

Un membre de la délégation du ministre a même fait remarquer que la tribune officielle, qui abritait les autorités administratives et locales, avait plus de monde que les populations attendues.

OTAGES DE LAGDO

A quelques encablures de la place des fêtes pourtant, les populations de ville de Lagdo vaquaient tranquillement à leurs occupations. «Vous, les hommes de médias, vous ne pouvez pas venir tout le temps nous poser les mêmes questions. Qui ne sait pas que la question des otages de Lagdo est une vraie préoccupation pour nous ?

Ils viennent se pavaner ici et personne ne peut nous donner des nouvelles de nos frères et parents. Franchement, de qui veut-on se moquer ? Ça fait plus d’un an, les mêmes gens, qui doivent nous donner des nouvelles de nos parents, nous regardent comme des fous. La meilleure, c’est qu’on fait clairement savoir aux familles des otages qu’elles recevraient des représailles si elles persistent à manifester leur ras-le-bol publiquement.

Même le sous-préfet qui était à l’origine de cette affaire et qui a promis, il y a un an, aux familles des otages qu’il fera libérer leurs parents avant le 20 mai 2015, préfère aujourd’hui célébrer son affectation à Batcham», a fulminé un conseiller municipal de la commune de Lagdo.

En effet, le 31 août 2015, lors d’une visite de travail du Dr Taïga, les familles des otages avaient déployé une banderole où on pouvait y lire : «Nous, les enfants, épouses et époux des otages de Lagdo, demandons au gouvernement de faire quelque chose pour la prompte libération de nos parents, épouses et époux pris en otage depuis le 19 mars 2015». Les porteurs de cette banderole avaient pris le soin de suivre le ministre Taïga à toutes les étapes de sa visite

Partager cet article
Repost0
29 avril 2016 5 29 /04 /avril /2016 08:43

Au Burkina Faso, tous les mandats d’arrêt émis dans le cadre du putsch manqué de septembre 2015, notamment contre Guillaume Soro et autre Blaise Compaoré, sont annulés pour vice de procédure.

A Ouagadougou,

La Cour de cassation du Burkina Faso a annulé ce jeudi, les mandats d’arrêt émis dans le cadre du putsch de septembre 2015, y compris les mandats d’arrêt contre Blaise Compaoré ; Fatoumata Diendéré et Guillaume Soro, le président de l’Assemblée nationale de Côte d’Ivoire.

Cette décision a été prise lors d’une audience, ce jeudi 28 avril 2016. Attaqués devant la juridiction, celle-ci a constaté que les procédures pour lancer ces mandats n’ont pas été respectées. Il s’agit notamment des « réquisitions du Procureur » qui n’ont pas été demandées par le juge d’instruction avant d’émettre les mandats d’arrêt. Ces actes sont « obligatoires », précise le Procureur. Le cas contraire, leur manquement est sanctionné. Cette annulation ne concerne cependant pas le bien-fondé des mandats mais plutôt la forme.

Le mandat contre Guillaume Soro avait été émis le 8 janvier dernier. Mais le commissaire du gouvernement reprochait au juge d’instruction de n’avoir pas été saisi dans l’émission du mandat. Ce qui, selon lui, est une violation de l’article 130 du Code de procédure pénale. Selon le code, ce type de mandat doit requérir l’avis du Procureur avant son émission. Le procureur a donc estimé que ces formalités n’avaient pas été respectées dans l’émission du mandat contre le président du Parlement ivoirien ainsi que tous les autres mandats émis dans le cadre putsch de septembre 2015.

Il avait donc déposé une requête aux fins d’annulation devant la Cour de cassation. Ce jeudi, cette juridiction lui a donné raison en décidant de l’annulation de tous les mandats. Selon le Procureur, cette décision sera notifiée à la justice militaire. Mais le juge d’instruction peut, s’il le juge nécessaire, renouveler les mandats en tenant compte des formalités. Le Procureur général précise cependant qu’il ne s’agit pas d’une levée des mandats mais d’une annulation et que lesdits mandats peuvent être reformulés. Par ailleurs, « cette annulation n’affecte en rien la détention des prévenus », a ajouté le Procureur concernant la conséquence de la décision sur les personnes déjà incarcérées.

Partager cet article
Repost0
29 avril 2016 5 29 /04 /avril /2016 08:41

Le gaz domestique de marque SCTM introuvable à Ebolowa

Photo: (c) Archives

La pénurie court depuis le 1er février 2016. Près de trois mois sans gaz SCTM (Société Camerounaise de Transformation Métallique), pour les ménages de la ville d’Ebolowa. À en croire africapress.com, les bouteilles vides sont amassées au seul lieu de ravitaillement situé en face de l’École Publique groupe 2.

Une situation embarrassante pour les utilisateurs du gaz SCTM qui est le numéro 1 sur le marché camerounais. Le journal relaie des plaintes de ménagères. «Depuis que mon gaz SCTM est fini, j’ai désormais du mal à faire la cuisine. En lieu et place du gaz, je suis obligée de faire recours au bois de chauffe», affirme Hortense Mbida, une couturière du quartier Nko’ovos.

«Au quartier Ekombité, l’absence du gaz SCTM dans la ville a également modifié les habitudes de Catherine. Institutrice dans une école primaire de la ville, l’enseignante dit avoir trouvé comme alternative au manque du gaz SCTM dans la ville, le four. Mais ce n’est pas toujours facile, avoue l’enseignante. Catherine déclare en effet éprouver des difficultés à faire la cuisine sans gaz lorsqu’elle rentre du travail», écrit le journal.

Certains, pour s’en sortir, ont recours au réchaud à kérosène. Tous espèrent pourtant le retour à une situation normal dans les plus brefs délais. Même si rien pour l’instant ne donne être optimiste

Partager cet article
Repost0
29 avril 2016 5 29 /04 /avril /2016 08:40

Aimé Robert Bihina, Meilleur journaliste du Cameroun

Photo: (c) Aimé Robert Bihina

Aimé Robert Bihina, meilleur journaliste de télévision au Cameroun en 2015. C’est le verdict du concours de la catégorie Meilleur journaliste télé 2015 de la 6e édition des «Ascom prize», un événement qui récompense chaque année les meilleurs acteurs du domaine de la communication au Cameroun. Le Rédacteur en Chef Délégué à la rédaction centrale de la CRTV-Télé est récompensé pour la façon dont il présente l’émission de débat d’actualité du dimanche soir «Scènes de presse».

Il a devancé les non moins brillants Jean-Jacques Zé (Vision 4), lauréat des éditions 2013 et 2014 et Éric Kouamo (Equinoxe TV) au décompte des voix du jury. «C’est une passion que nous partageons depuis l’enfance. Et pour nous, c’est une consécration. C’est enfoncer une porte ouverte que de dire qu’on fait une émission radio pour être écouté, on écrit un article pour être lu et on fait une émission de télévision pour être regardé. Et lorsqu’à travers ce prix on a l’adoubement de la communauté des téléspectateurs, nous sommes heureux, nous sommes comblés, nous sommes honorés», a réagi le journaliste après son sacre dans la soirée du vendredi 22 avril 2016 à Douala.

«Bihina a été noté sur les critères de talent, de professionnalisme, de pertinence des sujets abordés lors des émissions et/ou reportages réalisés en 2015 aussi il fallait tenir compte de la prestation, la prestance, la diction, l’articulation, l'éloquence et la hiérarchisation et le traitement de l’information par les différents nominés proposés par Ascom», nous explique le président du comité d’organisation des «Ascom prize», Duvalier Kamdoum Soh.

Le président de la section camerounaise de l’Union de la Presse Francophone dédie son trophée à l’ «équipe de production dévouée» qui fait le programme Scènes de presse. Le présentateur considère que cette récompense l’incite à travailler plus pour continuer de mériter la confiance des téléspectateurs. Au cours de la 6e soirée des Ascom Prize, d’autres journalistes ont été récompensés. Tout comme des entreprises, primées pour leurs actions en rapport avec la communication.

La soirée des Ascom Prize prime l'excellence en communication des entreprises classées par secteur d'activité. Ces entreprises sont récompensées sur les critères de l'originalité, la pertinence et la responsabilité des campagnes de communications publicitaires réalisées durant une année écoulée. Ascom Prize récompense aussi depuis 2013 les acteurs de communication qui se sont distingués durant une année donnée par leur talent, leur professionnalisme et la pertinence des sujets abordés dans l'exercice de leur profession. L’événement est parrainé et soutenu par le ministre de la Communication

Robert Ndonkou

Meilleur journaliste TV: Aimé Robert Bihina

Meilleure journaliste radio: Sandrine Yamga (Radio Equinoxe)

Meilleur journaliste presse écrite: Georges Alain Boyomo (Mutations)

Meilleur animateur radio: Berty Bertrand (Radio Balafon)

Meilleur promoteur culturel: Chinois Yangeu

Meilleur communicateur culturel: Joe Matrix

Meilleur animateur TV: Jason Black

Meilleur fournisseur Internet: Nexttel

Meilleure entreprise de transfert d'argent et meilleure campagne promotionnelle avec sa campagne « voisin et joue gagne": Express Union

Meilleur distributeur de téléphones: TECNO

Meilleur site de vente en ligne: CDISCOUNT

Meilleure entreprise de nettoyage industriel: BEST NET

Meilleure cimenterie: DANGOTE CEMENT

Meilleur distributeur de boisson alcoolisée: SABC

Meilleur distributeur de boissons gazeuses: SABC

Meilleure entreprise de gestion Relations Presse: SABC

Meilleur prêt à porter: Super boy's

Meilleure journal: LE QUOTIDIEN DE L’ECONOMIE

Meilleure radio: RSI

Partager cet article
Repost0
27 avril 2016 3 27 /04 /avril /2016 09:58

Roumanie : l’incoyable but de Patrick Ekeng

Le 20 Avril dernier, Patrick Ekeng a frappé un gros coup dans l’un des derbiy les plus chauds en Europe de l’Est. Pour demie finale retour de la Coupe de Roumanie, le Steaua et le Dinamo s’affrontaient dans la capitale (2-2). Une rencontre palpitante, une qualification et un but d’anthologie inscrit par le milieu de terrain Camerounais.

Les buteurs :

Gabriel Enache (17’) et Alexandru Chipciu (52’) pour le Steaua
Patrick Ekeng Ekeng (51’) et Ante Puljic (75’)

Partager cet article
Repost0