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20 juin 2014 5 20 /06 /juin /2014 21:16

Coupe du Monde 2014 : Cameroun-Croatie

Brésil 2014 : Jean Bruno Tagne revient à la charge

 

Il a écrit un livre, "Programmés pour échouer", après la dégelée en Afrique du Sud en 2010 . J B Tagne était dans les tribunes de l’Arena Amazônia de Manaus où, il a vécu la déculotée des Lions Indomptables. Quatre ans après, rien ne semble avoir bougé. Dans une interview qu’il nous a accordé, il revient à la charge.

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20 juin 2014 5 20 /06 /juin /2014 21:09

Cameroun: CFAO EQUIPEMENT à la conquête de la ville de YAOUNDE :: CAMEROON

CFAO Yaounde:Camer.beLa structure spécialisée dans la vente des engins motorisés a inauguré son agence dans la capitale politique du Cameroun ce jeudi 19 juin 2014 avec pour objectif d’être plus proche de sa clientèle. CFAO Equipement de plus en plus gagne du terrain au Cameroun. Après le lancement de la branche Afrique en 2011, de celle du Cameroun en 2012, c’est autour de Yaoundé d’accueillir les installations de ce géant de l’industrie automobile et de l’ingénierie mécanique en général. L’agence Cfao Equipement de Yaoundé a été inaugurée ce jeudi 19 juin 2014 au quartier Ayene. 

Dans son allocution de bienvenue, le délégué général du groupe Cfao Cameroun, Emmanuel Ugolini, a indiqué que « cette nouvelle agence marque la volonté de Cfao de continuer à investir au Cameroun pour se rapprocher de ses clients et pour répondre aux attentes de ses fournisseurs majeurs en termes de développement ». 

Les produits du Cfao Equipement

Les clients du Cfao se recrutent aussi bien dans le secteur privé que dans l’administration camerounaise en passant par les représentations diplomatiques et les organismes internationaux. Grâce à ses partenaires que sont  JCB, Massey Ferguson, Otis, Loxea et Avis et Culligan, Cfao Equipement offre des produits tels que les engins BTP, le matériel agricole, les ascenseurs et escalators, les produits d’adoucissement et de filtration d’eau, etc. 

Selon Emmanuel Ugolini, l’entité Cfao Equipement offre également des services que sont l’assistance et la gestion complète de parcs. Cfao a pour activité principale la vente et la maintenance d’engins lourds, de matériel agricole et de groupe électrogène, la location de véhicule et d’équipement, l’installation des ascenseurs, etc.
Cfao, un gisement d’emploi au Cameroun
 
A en croire les pointages faits dans le discours du directeur général de Cfao Equipement Cameroun, Erwan Cato, l’entreprise gère une flotte de 1300 véhicules en contrats sur l’ensemble du territoire, 150 camions, 220 ascenseurs, 180 tracteurs, groupes électrogène et engins de travaux publics. 

Depuis sa création en 2012 au Cameroun, les activités du Cfao Equipement progressent de 30% chaque année. 

Le groupe Cfao est présent dans 34 pays dont 31 pays d’Afrique et emploie 9240 personnes dans le monde, selon les chiffres de 2010. Au Cameroun, le groupe emploie 990 personnes.

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20 juin 2014 5 20 /06 /juin /2014 21:06
Cameroun : retour au calme chez les Lions Indomptables

Battu par la Croatie lors de son 2e match de cette Coupe du monde, le Cameroun a montré une bien triste image en raison du comportement de certains des joueurs présents sur le terrain. 48 heures après l’élimination, la tension est retombée chez les hommes de Volker Finke.

Parmi les premières nations éliminées de cette 20e édition de la Coupe du monde, le Cameroun est sans doute le pays dont le nom revient le plus souvent dans la bouche des amateurs de ballon rond ces dernières heures. Même si l’Espagne, tenante du titre et déjà au tapis, fait énormément jaser, les Lions Indomptables sont parvenus à leur ravir la vedette. Pas pour leur prestation collective sur le terrain -hélas- mais bien pour leur comportement condamnable.

Song : "Le sentiment d’avoir laissé tombé mon pays"

Du coup de coude d’Alex Song sur Mario Mandzukic, qui lui a valu un carton rouge, à l’altercation entre Benoît Assou-Ekotto et Benjamin Moukandjo, les Lions Indomptables ont montré une bien mauvaise image du football camerounais. Et si leur sélectionneur, Volker Finke, parlait légitimement de "honte" après ce "spectacle", ses hommes sont revenus à de meilleurs sentiments.

Premier à sortir de son silence, Alex Song a regretté son geste qui lui a valu un carton rouge."J’ai le sentiment d’avoir laissé tombé mon pays et de m’être laissé emporté. C’était un geste vraiment stupide et je suis sincèrement désolé. Si je pouvais faire n’importe quoi pour revenir en arrière, je le ferai. Je vous demande pardon", a regretté le milieu de terrain du Barça en zone mixte.

Assou-Ekotto et Moukandjo réconciliés

De retour au camp de base de l’équipe à Vitoria, Assou-Ekotto est également revenu sur sa prise de bec avec son coéquipier. "Nous avions une occasion à l’approche du but croate. Je fais un appel de balle à moins de quatre mètres, il choisit de dribbler. Finalement il perd le ballon", a confié le latéral gauche à Footafrica365, avant de poursuivre : "Je vais vers lui pour essayer de lui faire comprendre que ce n’est pas sérieux de sa part. D’un geste de la main, il m’envoie balader. Cette attitude est inacceptable venant d’un petit frère."

Revenus à de meilleurs sentiments, les deux hommes ont fait la paix devant leurs coéquipiers et sont désormais tournés vers le match du 23 juin contre le Brésil. Si le résultat de la rencontre sera anecdotique pour l’équipe, une réaction d’orgueil est au moins attendue par les supporters, histoire de tenter de redorer l’image d’une sélection pas tout à fait comme les autres.

 

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20 juin 2014 5 20 /06 /juin /2014 21:03

CAMEROUN - CAMAIR-CO : LE DG, MBOTTO EDIMO LIMOGE :: CAMEROON

CAMEROUN,CAMEROON - CAMAIR-CO : LE DG, MBOTTO EDIMO LIMOGEIl a été remplacé par Jean Paul Nana Sandjong au cours d’un conseil d’administration extraordinaire  qui s’est tenu ce vendredi à Yaoundé. Selon des sources concordantes, la mésentente entre le Président du conseil d’administration, Akame Mfoumou et Frédéric Mbotto Edimo est à l’origine du départ de ce dernier.

Des chuchotements entre membres du conseil d’administration. Le directeur général sortant, Mbotto Edimo, qui débarque à l’hôtel Mont Fébé dans un habillement quelconque (gandoura de couleur kaki, sandales en cuir aux pieds) et quitte l’hôtel avant la fin des travaux. Autant de clichés qui témoignent du caractère extraordinaire du conseil d’administration de la Cameroon Airlines Corporation (Camair-co) qui s’est tenu ce vendredi 20 juin à l’hôtel Mont Fébé de Yaoundé.
 
Il a suffit juste d’une trentaine de minutes pour que le conseil d’administration extraordinaire de Camair-Co, auquel assistait le ministre des Transports, Robert Nkili, sorte le nom du nouveau directeur général de son chapeau. Le nouveau pilote de Camair-Co s’appelle Jean Paul Nana Sandjong, ancien maire de Bazou, dans le département du Ndé, à  l’Ouest du Cameroun et expert en aéronautique.

Son prédécesseur, Frédéric Mbotto Edimo, aura passé moins d’un an à la tête de Camair-Co (il a été installé dans ses fonctions en septembre 2013). Nana Sandjong est le 5e directeur général de Camair-Co depuis sa création en mars 2011. Aucune raison officielle n’a été avancée pour justifier le limogeage de Mbotto Edimo.

Mais d’après des sources dignes de foi,  ce changement brusque réside dans la mésentente entre le Pca Edouard Akame Mfoumou et le désormais ex-Dg et. Ce dernier, rapporte notre source, ne supportait plus les méthodes d’Akame Mfoumou ainsi que son omniprésence au sein de la compagnie. Le nouveau Dg quant à lui dit avoir le regard tourné vers le redressement de cette compagnie qui a tout le mal du monde à décoller.

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20 juin 2014 5 20 /06 /juin /2014 21:00

Cameroun : Vers des bruits de bottes au bataillon d’Intervention rapide :: CAMEROON

Cameroun : Vers des bruits de bottes au bataillon d’Intervention rapidePrésenté comme un corps exceptionnel d’élite des forces nationales de Défense, le Bataillon d’Intervention rapide (Bir) semble aujourd’hui être en proie à certaines dissensions internes. Sa réputation dans ses nombreuses composantes (Bir Delta, Bir I, II, III, IV et V) n’est en effet pas surfaite. Elle a fait positivement le tour du monde, surtout qu’à sa tête trônait le très énergique et avant-gardiste Colonel Avram Avi Sirvan, Conseiller technique militaire à la présidence de la République en charge de la formation des unités spéciales, officier retraité du Tsahal, l’armée israélienne, précocement et tragiquement disparu le 22 novembre 2010 aux larges de Boumnyebel dans un crash d’héluicoptère.

Ce Bir a en outre, sur le plan national, fait rêver les jeunes décidés de faire partie, coûte que vaille, de ses effectifs. Mais cette forteresse pour imprenable qu’elle paraisse recèle, comme tout ouvrage, des failles que certains de ses éléments, manifestement exaspérés se sont décidés àporter à l’attention de leur haute hiérarchie.

Des fragments de ces récriminations et autres incompréhensions qui essaiment ces lieux sécuritaires de premier ordre ont échoué à la rédaction de Le
Courrier. Leur teneur revêt assurément de l’importance, et il nous a semblé opportun de la révéler. Si tant il est avéré qu’on ne saurait être à la fenêtre et se voir passer dans la rue, notre entreprise ne vise nullement à porter sur la place publique les stratégies militaires, surtout en ce moment où l’actualité est dominée par les exactions du groupe islamiste intégriste et terroriste Boko Haram, mais d’attirer l’attention de la très haute hiérarchie des Forces de Défense nationales sur la gestion des biens et des hommes de cette unité d’élite dont les états de services sont assez éloquents, et qui peut imploser et déboucher sur d’assourdissants bruits de bottes.

Dans la foultitude de ces récriminations, certains éléments du bataillon d’intervention rapide fustigent l’attitude quelque peu laxiste, voire démissionnaire du général Mayer Erez, officier israélien, remplaçant de son très illustre compatriote à la tête du commandement des Bir, le colonel Avram Avi Sirvan, qui ne serait à leurs yeux qu’un « figurant dans l’administration des troupes » et qui semble avoir abandonné ses prérogatives et fonctions à certain officier supérieur.

Ce serait ce dernier, lui aussi officier de réserve issu du Tsahal du grade de Commandant, au regard du fonctionnement opérationnel proprement dit, qui serait le véritable patron du bataillon d’intervention rapide. Cependant, la trajectoire de cet officier interpelle la troupe, qui manifestement serait au courant du profil de carrière de leur commandant au forceps. Celui-ci serait au centre des polémiques et des potins au sein de la Garde présidentielle (Gp) et du Bataillon d’Intervention rapide (Bir). De fait, de multiples reproches et curiosités qui mettent en doute son grade remettraient en question ses capacités. Pour autant, celles-ci ne sauraient en souffrir, s’agissant de celles autour de l’enrichissement personnel.

Aussi, ces soldats courroucés mettent à l’actif de cet officier supérieur des possessions telles que Ringo, Expresso, ou le snack night club Safari, établissements mondains basés à Yaoundé et à Douala. Ces lieux à en croire ces « renégats » qui s’interrogent sur la vraie nature de la fonction de leur officier, « militaire au service du chef de l’Etat ou businessman » ( ?), seraient malheureusement des temples d’activités interlopes tels que tous les trafics abjects et les déviances sexuelles réprimées par la législation et dédaignées par les moeurs traditionnels. Le respectable temps passé en terre camerounaise semble pour ses adversaires, justifier ces agissements qui sont perpétrés selon eux, en toute impunité. De plus, l’officier « crésus » tablerait sur le prestige de l’uniforme et la force financière tirée de partout, en l’occurrence des primes destinées mais supprimées aux éléments du Bir.

Connections
On apprend de ces éléments que cet officier supérieur le commandant Hiran, a mis en place un réseau de détournement des primes à la tête duquel il aurait placé un homme lige en la personne du Colonel Francis Oyongo. Ce serait avec cet officier supérieur qui n’aurait suivi aucune formation de commando que les deux comparses auraient entrepris de ponctionner les primes des éléments. Ils seraient en effet sevrés de leur argent depuis plusieurs mois.

La méthode mise en place par le Colonel Francis Oyongo pour siphonner leurs primes selon ces soldats, serait de coller aux infortunés éléments des motifs disciplinaires de tous ordres. Ce mode opératoire qui ne serait nullement répertorié dans le fonctionnement qui régit les armées,serait connu sous le jargon interne de « B2 » ou « Fingon », vocables qui ne seraient ignorés de quiconque en interne. Il est reproché à ce duo de choc, la non application d’une mesure appelée « Rdg » (Règlement de discipline générale) et reconnue par l’Armée, en lieu et place de cette suspension de primes qui ne semble que leur profiter grassement.

En effet, mises les unes à côté des autres, cette mesure décriée par la troupe génèrerait un pactole astronomique. Sur plus de 3500 éléments qui forment les effectifs du Bataillon d’Intervention rapide(Bir) disséminés sur l’ensemble du territoire national, quelque 500 d’entre eux perdraient mensuellement leurs primes, sacrifiées sur l’autel de l’abus d’autorité. En prélevant ainsi à cet important nombre d’éléments entre 80.000 et 95.000 F Cfa mensuels, la cagnotte personnelle de ces officiers connaitrait de ce fait des mouvements d’entrées de quelques 50 millions de F Cfa. Certains prélèvements y seraient opérés pour le fonctionnement de ce réseau truffé d’espions à sa solde et dévoués à sa cause. Les soldats délateurs qui livrent leurs camarades à la vindicte du haut commandement de ce réseau engrangeraient de 20.000 à 30.000 FCfa, selon la teneur du « tuyau ».

Cette autre regrettable attitude ferait le lit de la division des troupes et favoriserait un certain ostracisme qui aurait achevé d’installer un climat d’animosité et de méfiance au sein de la troupe qui pourrait se démobiliser à tout instant. Toute chose dangereuse pour la « foi et l’engagement» qui est l’un des leitmotive cher aux Armées. Les conséquences néfastes de ce traitement d’un genre particulier auraient irradié jusque dans les unités installées aux frontières où les troupes seraient mal logées et mal entretenues. Abandonnées à elles-mêmes, coupées du contact avec leur commandant, elles seraient contre leur gré, l’objet d’un deal maffieux entre les chefs militaires et les chefs des villages. Ces auxiliaires de l’Administration territoriale accepteraient, contre modeste rétribution, de les loger dans leurs baraquements de fortune.

Alerte rouge
Il résulte de cet état de choses que plusieurs éléments désormais aux abois et en proie à une existence incertaine et déjà très difficile, perpétuent des contrôles illégaux et intempestifs. Ils sont parfois couronnés d’exactions qui n’honorent pas l’uniforme de cette unité d’élite des forces nationales de Défense. Si on prête le flanc à certaines indiscrétions qui fusent du côté de cette unité d’élite, une correspondance serait en préparation active qui relate
au menu toutes ces dérives. Il s’agit notamment de contester la gestion des fonds débloqués par le chef de l’Etat et chef des Armées pour le fonctionnement du bataillon d’intervention rapide.

Il se raconte également qu’un soutien intéressé de cet officier commandant le Bir en lieu et place du Général Mayer Erez, aurait été apporté au Commandant de la Garde présidentielle. Le Lieutenant colonel Raymond Jean Charles Beko’o Abondo agirait également de la même manière que son protecteur en coupant lui aussi les primes de ses éléments. En contrepartie, et en guise de reconnaissance le «Com/Gp » lui verserait quelques subsides pour continuer à bénéficier de son soutien. Tous les 15 du mois, apprend-on, l’argent destiné au fonctionnement du Bataillon d’Intervention rapide et de la Garde présidentielle, déchargé à la Présidence de la République serait acheminé en direction du quartier Bastos à Yaoundé au Quartier général du Bir.

On y procéderait à toutes sortes de manipulations susceptibles de renflouer les poches personnelles. Des machinations seraient donc par la suite opérées dans la suspension illégale et à l’envi des primes. Ces dérives auraient conduit à bien d’autres qu’il serait loisible d’observer au sein de la troupe. Plusieurs éléments de ces deux corps de ce fait auraient basculé dans les rangs des malfaiteurs, braqueurs et autres dangereux délinquants. Rompus au maniement des armes, il est à redouter de ces derniers, l’enracinement de l’insécurité dans le pays et une déferlante d’exactions notoires dont le flot sera difficile à endiguer.

 

 
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19 juin 2014 4 19 /06 /juin /2014 20:33

CAMEROUN :: Mboma : « Je suis révolté » :: CAMEROON

 

CAMEROUN::Mboma : « Je suis révolté »::CAMEROONPatrick Mboma, membre de la Dream Team RMC Sport, regrette l’élimination du Cameroun dès le premier tour de la Coupe du monde. Les Lions Indomptables ont été corrigés 4-0 par la Croatie ce mercredi à Manaus.

Patrick Mboma, membre de la Dream Team RMC Sport, ne cache pas sa déception après l’élimination du Cameroun de la Coupe du monde. Surclassés par la Croatie, les Lions Indomptables se sont inclinés 4-0 ce mercredi à Manaus.

« Je suis révolté. Je suis ennuyé pour ces joueurs, explique-t-il. On a vu une scène où Eto’o n’arrivait même pas à consoler Assou Ekotto malgré leur belle affinité. Les joueurs sont passés à côté de leur match. C’est sûr que l’expulsion coupable d’Alexandre Song autour de la 40e minute n’a pas aidé.

Mais s’il sont passés à côté, c’est parce qu’il fallait repartir sur d’autres ambitions avec l’obligation de gagner. On a vu une équipe qui tentait pour la première fois quelque chose de nouveau donc c’était compliqué. En face, la Croatie a géré la situation malgré la chaleur. Ils ont été assez tranquilles et malins pour laisser passer l’orage.

Le Cameroun reste dans l’imaginaire un grand symbole du football africain. Mais pour moi, aujourd’hui, le football africain est porté par la Côte d’Ivoire. L’équipe et la fédération les plus cohérentes sur le continent se trouvent aujourd’hui en Côte d’Ivoire. »

« Les dirigeants ont fait les malins »

« Concernant les primes, il faut comprendre le problème en amont. Moi, j’aurais voulu qu’ils prennent l’avion vite. Ils sont partis trop tard du Cameroun. Mais les primes, c’est quelque chose qui avait été demandé par les joueurs depuis de longues semaines. Et les dirigeants ont voulu faire les malins. Les joueurs ont mis la pression et avec nos dirigeants, la meilleure pression c’est malheureusement celle-ci. Ça nous a coûté cher… »


R

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19 juin 2014 4 19 /06 /juin /2014 20:31

A

Dona Ndoh : « Découvrir autre chose »
 
 
commentaires

Meilleur buteur du National en 2013-14 avec 22 buts en 31 matches sous les couleurs de Luzenac, l’attaquant camerounais Andé Dona Ndoh grimpe d’un échelon et évoluera en Ligue 2 la saison prochaine, avec Niort. Pour francefootball.fr, il livre sa première réaction.

« Quel sentiment prédomine après cette signature ?

C’est exactement ce que je cherchais. Je suis assuré d’un contrat de trois ans, avec de la stabilité et dans un club qui vient de finir cinquième de Ligue 2.

Niort n’a retrouvé la Ligue 2 que depuis deux saisons, pensez-vous pouvoir réussir ici ?

L’équipe est sur une bonne lancée. Ils ont fini cinquième cette saison, pourquoi pas chercher le podium maintenant ! J’ai vu ça comme ça, ils sont sur une progression qui tient la route, j’ai senti ce club comme un club familial.

Qu’est-ce qui vous a convaincu de venir ici ?

Le coach (NDLR : Régis Brouard qui vient d’arriver de Clermont). Il m’a longuement appelé et parlé du projet, de ce qu’il compte faire. C’est ce qui m’a vraiment attiré.

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« Il y avait sept clubs de Ligue 2. Niort a fait pencher la balance par son projet et la confiance du coach »

Vous quittez Luzenac après deux saisons totalement différentes, 5 buts la première et 22 la seconde...

Je ne suis pas déçu. Je quitte ce club la tête haute, avec je pense une bonne image. J’ai fait ce qu’il fallait là-bas. Après voilà c’est le football, l’aventure, découvrir autre chose.

Luzenac a-t-il tenté de vous retenir ?

Oui, leur priorité était que je reste. On n’a pas trouvé d’accord, il ne faut pas rester sur ça.

Le fait qu’ils aient du mal à valider leur montée en Ligue 2 a-t-il fait pencher la balance ?

Non. Pour eux, je suis sûr que ça va passer, ils vont mettre tout ça à plat et les choses vont rentrer dans l’ordre, je ne suis pas inquiet, ils sont capables d’évoluer en Ligue 2.

Niort était-elle la seule équipe à vouloir vous faire signer ?

Il y avait sept clubs de Ligue 2. Niort a fait pencher la balance par son projet et la confiance du coach. La priorité était de rester en France pour franchir les étapes. J’ai eu des contacts en Suisse, Espagne, Italie. Mais il n’y a qu’en Suisse qu’on me proposait un club de première division. »


 

R

 

o
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19 juin 2014 4 19 /06 /juin /2014 20:28

Cameroun,Jean André Manga,un auteur, trois romans, trois titres :Paradoxe. Ma vie est une blessure. Naître fille est-il une condamnation ? :: CAMEROON

Livre Jean Andre Manga:Camer.beCes trois ouvrages ont été dédicacés mardi 17 Juin à l'institut français de Douala par l'auteur.1, 2 et 3 ne sont pas des chiffres. Il s'agit plutôt du nombre des livres de Jean André Manga édités par les éditions l'harmattan a-t-on appris l'ors de la cérémonie de dédicace  à l'institut français de Douala. C'était en présence de plusieurs panélistes aux rangs desquels; Roger Mondoué le Directeur général des éditions l'harmattan Cameroun, Labussiere Ngon 2 Dr Etom Empime et Timothée Mvondo pour ne citer que ceux là. En lisant les deux ouvrages dédicacés à Douala on se retrouve soit même. Paradoxe. Ma vie est une blessure. Naître fille est-il une condamnation ? Sont des ouvrages de l'esprit. 

L'auteur, Jean André Manga, né en 1962 à Missock 2 en service à l'hôpital général de Douala à travers ces romans, s'est baladé dans l'esprit de l'être humain. Dans ses livres l'on retrouve la brillance de l'écriture, la flamboyance des thématiques et la turgescence problématique. Dans "ma vie est une blessure" l'auteur peint la vie d'un jeune homme devenu quelqu'un d'important après avoir subit la maltraitance de son beau père. En lisant ce roman préfacé par Timothée Mvondo, le deuxième après " paradoxe" un roman de 220 pages paru en 2012, on découvre la prétention de l'être humain. Luc Noah est un jeune et riche fonctionnaire, très tôt blessé par la vie. Il entreprend sa vengeance et retrouve la "famille unie" de ses rêves. Hélas, pour combien de temps ? Sa vengeance s'est soldée par l'assassinat sauvage de sa mère et du coup sa vie bascule dans une tourmente irréversible. Que faire ? Dans le même ouvrage Jean André Manga évoque la situation de l'épouse. Il réintroduit le lecteur dans la dimension de l'espèce humaine. 

Et dans "naître fille est-il une condamnation?" son troisième roman paru en novembre 2013, préfacé par Laboussier Non II, l'auteur qui pense que l'écriture est une tâche solitaire, parle de la fille sur un mode interrogatif. Il désapprouve l'orientation prise par notre société. Dans cet ouvrage, l’auteur propose, face au fonctionnement du monde actuel, un repère où l'on apprend, comprend et agit en toute responsabilité. "Le hasard n'existe pas". L'impunité n'est qu'une illusion. De même que de toute loi transgressée résulte une punition, une malédiction, toute action bonne est récompensée. Il se présente d'abord comme enquêteur; il livre les doutes,  plonge ses racines dans la société; dénonce la dictature de l'immoralité et l'amour présenté en déviance sentimentale. Puis comme quêteur, l'auteur pose la problématique de devenir sujet; il ouvre une porte fermé. 

L'auteur dans cet ouvrage "naître fille est-il une condamnation?" fait le portrait entier de la femme, et le portrait succinct des hommes. Selon Jean André Manga, "avec ce roman, nous ouvrons les portes de l'avenir fermé". Dr Roger Mondoue des éditions l'harmattan, le présente comme un écrivain de l'antithèse qui peint le bien et le mal. Pour le directeur des éditions l'harmattan Cameroun qui existe depuis huit ans, "les romans de JAM sont à consommer sans modération". Le Dg a d'ailleurs rappelé lors de son intervention que l'harmattan produit 12 000 manuscrits chaque année et les textes de Jean André Manga sont passés à travers le tamis des experts avant de retenir leur attention. Il décrit l'auteur de "ma vie est une blessure et naître fille est-il une condamnation" comme l'écrivain du bistouri qui fait rêver. Pour Roger Mondoué et tous les autres panélistes, Jean André Manga est un penseur futuriste qui introduit le lecteur dans la gestion des problèmes de notre époque.

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19 juin 2014 4 19 /06 /juin /2014 20:24
Côte d’Ivoire
Sochaux : Doubai est libre

Après deux ans et demi à Sochaux, Thierry Doubai quitte le club franc-comtois, relégué en Ligue 2. Le milieu de terrain international ivoirien de 25 ans reste sur deux saisons compliquées et gâchées par les blessures (15 matches joués dont 7 comme titulaire en 2013/14). Les Lionceaux se sont mis d’accord avec l’Eléphant pour une rupture du contrat à l’amiable. Il est l’un des nombreux Africains à quitter le FCSM cet été.



 
 



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19 juin 2014 4 19 /06 /juin /2014 20:20

Cameroun,Transport ferroviaire:Camrail bat un nouveau record :: CAMEROON

Camrail:Camer.beRévélation a été faite lors de la tenue de la 19e session du COMIFER (Comité Interministériel de renouvellement des infrastructures ferroviaires) présidé par Robert Nkili, Ministre des transports.Dans la mise en service du train Intercity, Camrail sous-traitant du Groupe Bolloré concessionnaire du rail a révélé qu’actuellement les voitures 1ere classe sont en saturation. Avec 5 000 voyageurs enregistrés la semaine dernière contre 2 000 la 1ere semaine de lancement, un nouveau record vient d’être battu. Si la joie était perceptible sur toutes les lèvres lors de la tenue de ce COMIFER hautement stratégique pour le Cameroun qui ne voudrait pas rater le train de son émergence à l’horizon 2035, il sera noté dans l’ensemble le satisfecit total de la partie camerounaise. 

En dehors de cette fréquentation record, le Directeur General de Camrail M. Quentin Gerard affirmera qu’en terme de temps, le train Intercity ferait en moyenne 3 h 40 min de route pour sa destination avec une observation d’un de ces records de 3 h 17 min lors d’un voyage. L’objectif étant de réduire au maximum les accidents de la route. 
Estocade chinoise

Dans la feuille de route de ce Comité figure en point d’honneur le renouvellement des infrastructures. Raison pour laquelle le projet de renouvellement de 175 Km de voie sur le tronçon Nka-Belabo a retenu une attention particulière. 

Les travaux se situant actuellement à 6% d’exécution contre 12% attendu selon la Direction de la Camrail ont eu pour cause un retard suite à une incompréhension des parties qui aboutira à l’attribution d’une pénalité contractuelle de 140 millions Fcfa et à la convocation du Directeur General qui se trouvait au Bénin.

En effet, selon le Directeur General de Camrail, le retard observé dans la réalisation des travaux est du fait du non-respect des conditions humaines sur le chantier par la société chinoise. Selon des explications faites devant les membres du COMIFER, le DG Camrail Quentin Gerard arguera ; « il était inadmissible que cette société ne s’acquitte pas de certaines obligations vis-à-vis de ses travailleurs » faisant allusion à la non immatriculation CNPS, à la non délivrance aux travailleurs des bulletins de paye, etc. Des conditions qui semblent avoir été corrigées mais se butent encore à la non communication des documents demandés par Camrail pour vérification.

L’entourloupe des sociétés chinoises qui sont impliquées dans la réalisation de plusieurs travaux des projets émergents, va se voir démasqué avec ce cas d’école qui n’est pas isolé. D’après Robert Nkili, l’exemple de contrainte dans le respect de certaines exigences contractuelles effectué par Camrail dans le cadre de certains marchés devrait inspirer et permettre de contraindre à temps réel plusieurs autres à se conformer dans d’autres marchés. Affaire à suivre.

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