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25 juin 2014 3 25 /06 /juin /2014 19:43
CS Sfax : Troussier en approche ?

Toujours en quête d’un successeur à Hammadi Daou, qui partira après la finale de la Coupe de Tunisie, le CS Sfax semble enfin avoir déniché la perle rare. Alors que Roger Lemerre, entraîneur de l’Etoile du Sahel, a longtemps fait figure de favori, c’est désormais Philippe Troussier qui tiendrait la corde, selon gnet.tn. Le technicien français connaît bien le continent africain. Il a notamment été le sélectionneur du Maroc, du Japon et de la Côte d’Ivoire.



 
 



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25 juin 2014 3 25 /06 /juin /2014 19:41
Afrique du Sud : Cannavaro, Carlos et Kluivert candidats pour le poste de sélectionneur

Alors que le contrat de Gordon Igesund, qui arrive à terme le 31 août, ne sera pas pas renouvelé, la Fédération sud-africaine est à la recherche de son remplaçant pour le poste de sélectionneur. A la suite de l’appel à candidature lancé, l’instance a annoncé avec reçu une liste de "14 techniciens expérimentés comme Carlos Queiroz, Stephen Keshi, Giovanni Trapattoni et Dick Advocaat, d’après le président Danny Jordaan, avant d’ajouter : "Nous avons aussi les CV de jeunes entraîneurs comme Patrick Kluivert, Roberto carlos et Fabio Cannavaro." Toutes ces candidatures vont être étudiées et une short-list dit être constituée avant le choix final du futur sélectionneur.

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25 juin 2014 3 25 /06 /juin /2014 19:39


Cameroun : Les Lions sont rentrés à Yaoundé riches de 60 millions FCFA

 

Samuel Eto’o et quelques uns de ses coéquipiers sont à Yaoundé. Ils regagnent ainsi le pays après leur humiliante élimination du mondial, Brésil 2014. Ils font pire que celle qu’ils ont infligés au peuple Camerounais en 2010. Mais tout n’est pas perdu pour eux puisque malgré les deux semaines de travail en terre brésilienne, ils reviennent avec une bonification substantielle de leur compte en banque de 60 millions de FCFA, qui fait d’eux les joueurs les mieux rémunérés du mondial brésilien.

 
 
commentaires

Même si l’avion a une fois de plus quitté Vitoria avec pratiquement trois heures de retard en majorité dû au fait que les invités du monistère des sports et de la Fédération jouaient leur habituelle partition, le vol nolisé de la compagnie portugaise a quitté Rio De Janeiro à 18h, heure locale, soit 22h au Cameroun. Il a atterri sur le tarmac de l’aéroport international Nsimalen de Yaoundé à 6h21 minute.

Le capitaine des troupes a raccompagné ses coéquipiers au bercail. Tel n’était pas le cas pour le porte-étendard du Cameroun au Brésil, Volker Finke. Le technicien allemand a rallié directement son Allemagne natale.

Matip, Choupo, Assou, Chedjou, Enoh, Itandje, Aboubakar, Njock, Song sont également rentrés en marge du groupe pour diverses raisons.

Pratiquement partis sur des hués après leur mouvement d’humeur, le retour a été tout aussi triste. Il n’y a désormais que le grand déballage promis et par Samuel Eto’o Fils, et par le président du Comité de normalisation de la fédération, Joseph Owona, qui est attendu. Mais seulement, y en aura t-il ?


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25 juin 2014 3 25 /06 /juin /2014 19:36

Cameroun - Route Montée Kondengui-Carrossel : les populations dénoncent les abus de la société Mag :: CAMEROON

Cameroun,Cameroon - Route Montée Kondengui-Carrossel : les populations dénoncent les abus de la société MagLes riverains  revendiquent toujours leurs droits d’indemnisation.
 
Les travaux de la nouvelle route ‘’montée Kondengui-Carrossel’’  constituent un sujet de grogne et de protestation pour les habitants de ce quartier. Pour cause,  depuis le lancement du chantier en décembre, les fonds prévus pour le dédommagement des riverains tardent toujours à aller dans les poches des ayant-droits. D’autant plus que les travaux, dont la fin est prévue pour mi- août, sont à leur phase finale.

Ce qui justifie la grogne des riverains désabusés. Ils ne cessent de manifester leur mécontentement vis-à vis de la société Mag, une entreprise privée chargée du bitumage dudit tronçon et appartenant au sénateur  et ancien Premier ministre Peter Mafany Musongue.

Désarroi.

Face à leurs biens détruits (terrain, champs, arbres fruitiers, clôtures), les concernés, pour la plupart à la condition sociale précaire, ne savent plus à quel saint se vouer afin de rentrer en possession de leur dû. Dans le souci que justice leur soit rendue, ils comptent se battre jusqu’au bout. « Regardez vous-mêmes  l’état de ma maison fragilisée  par la démolition de ma clôture, et je n’ai même pas encore reçu 5 F Cfa depuis près de 7 mois pour construire rapidement une autre clôture qui pourrait protéger ma concession d’une violente tempête »,  affirme M. Ottou Arsène, un riverain visiblement dépité.

Déjà exacerbés par les multiples promesses d’indemnisation non tenues par les responsables de la Communauté urbaine de Yaoundé et ceux de l’entreprise Mag, les populations sinistrées se plaignent également des montants dérisoires enregistrés à  la préfecture du Mfoundi. Mme Atangana Claire, qui a perdu ses arbres fruitiers, dénonce dans un élan de colère ce trafic: « ils ont coupé mes 12 arbres pour un montant estimé à 350 000 Fcfa. Mais bizarrement, aujourd’hui  ces bandits veulent me donner 102 000 Fcfa. Est- ce logique ça ?».  Selon des indiscrétions, les montants enregistrés au départ par la Commission chargée d’inventorier les biens détruits ont «par enchantement » diminué.  
 
Camionneurs.

Outre les réclamations d’indemnisation, les habitants du quartier Kondengui 1-Est, dénoncent  la mauvaise conduite des chauffeurs de camions et autres engins lourds. Lesquels ne tenant pas compte des établissements scolaires situés à proximité du chantier, roulent à tombeau ouvert. Question pour eux, de pouvoir achever les travaux à temps. Le caractère incivique de ces employés a, plusieurs fois, plongé le quartier dans l’obscurité .Par leur conduite inconsidérée, les camionneurs et autres conducteurs d’engins lourds  ont à plusieurs reprises renversé les poteaux électriques d’Aes-Sonel.

«Toujours sous l’emprise de l’alcool et du tabac, ils vont un jour, poser un acte irréparable », regrette un résident du quartier. Selon lui, les ouvriers du chantier multiplient des  altercations avec les jeunes du quartier. « Au mois de mars dernier, une bagarre a éclaté dans un bistrot entre les jeunes du quartier et ceux de la société Mag.

N’eût été l’intervention des forces de l’ordre on aurait peut-être  assisté à une tragédie », finit par lâcher notre interlocuteur. Bien plus, l’entreprise qui recrute des adolescents inexpérimentés, les fait travailler dans des conditions ne respectant aucune règle de sécurité du travail. Si pour certains habitants, le chantier est source de désagréments, pour d’autres, c’est de la joie  « Enfin finies la boue et la poussière » lance dans la mêlée, une dame, visiblement contente de la nouvelle route. Même réaction pour ce riverain déguerpi, et indemnisé : « j’ai eu près de 300 000 pour ma maison »

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25 juin 2014 3 25 /06 /juin /2014 19:32

Cameroun, Point de vue: Les Camerounais souhaitent un Cameroun qui parle de progrès économique et social :: CAMEROON

Vincent Fouda:Camer.beUn jour, en entretien sur Equinox TV, le journaliste Valentin Siméon Zinga me dit qu’il n’y a pas d’Institut de Sondage ni d’Enquête au Cameroun, ce qui est partiellement vrai parce que ça ne veut pas dire que les enquêtes de terrain ne se font guère! J’en fais énormément. Les Camerounais participent très peu à la vie politique de leur pays. Ceci n’est cependant pas une preuve qu’ils ne s’intéressent pas à ce qui se passe dans ce pays au quotidien. J’en veux pour preuve le nombre de Camerounais que l’on retrouve devant les kiosques à journaux tous les matins. Ils ne les lisent certes pas, mais ils parcourent les unes, se font leur idée avant de se retrouver en petit comité pour en débattre. Une enquête Facebook-MCPSD, le parti politique que je préside, effectuée il y a quinze jours sur « l’intérêt que les Camerounais portent à la vie politique du Cameroun » montre des résultats encourageants. Ainsi sur un échantillon large de 100 000 internautes interrogés sans tenir compte de leur résidence, mais en s’assurant qu’ils sont camerounais, il ressort que 73 % des sondés s’intéressent à tout ce qui touche le Cameroun. 64 % affirment n’avoir voté ni pour la présidentielle ni pour le scrutin couplé législative et municipale. Ce pourcentage n’est pas différent de celui de Transperency International et de la CODEG (Coalition For Democratic Governance) qui situent le taux de participation aux deux scrutins à 37 % pour ce qui est de la présidentielle et à 43 % pour les législatives/municipales.

Les Camerounais nous adressent donc un message. Dans leur immense majorité, ils souhaitent un Cameroun qui parle de progrès économique et social. La montée en puissance de la misère est en contradiction avec l’insolence dans laquelle vivent les dirigeants et une minorité de fonctionnaires. Ainsi 67 % de Camerounais interrogés pensent que le Cameroun n’est pas en crise, mais que ce sont les dirigeants qui installent la population dans la misère. 86 % des Camerounais interrogés ne font pas la différence entre l’Etat, le Pouvoir, les Dirigeants et les Fonctionnaires. Ainsi, de leur point de vue, tous ces nominatifs sont interchangeables : un fonctionnaire est l’Etat, il est le pouvoir, il est aussi un dirigeant. Les signes d’amélioration contenus dans les discours notamment du Président de la République et repris par tous ceux qui parlent en son nom ne sont visibles nulle part. Les Camerounais sont passés de l’état de pauvreté à l’état de misère! P Aujourd’hui, peu de familles arrivent à scolariser les enfants ou à leur donner un repas par jour. Dans les villes, de nombreuses familles vivent avec moins de 500 Fr par jour. De nombreuses familles notamment à Douala et Yaoundé ont perdu leur maison sans espoir de se reloger.

Ainsi donc au Cameroun aujourd’hui, de nombreuses familles sont sans domicile fixe! Mais effectivement, faute de statistiques et d’études fiables, le chercheur ne peut se fier qu’à l’observation directe. Une autre statistique fiable est la raréfaction de plus en plus présente de l’eau potable et de l’électricité dans les villes et les campagnes. Si dans les villes la distribution de l’eau incombe à une société de droit privé avec l’Etat qui détient 51 % des actions, dans les campagnes, l’exode rural de la jeunesse a obligé les vieillards abandonnés à ne plus

entretenir les ruisseaux qui hier, leur donnaient de l’eau potable. 73 % des villages camerounais ne sont pas électrifiés et les populations utilisent des lampes à pétrole ou à huile. De cette petite enquête d’opinion auprès des ménages il ressort que nous devons construire notre économie, aider les entreprises à s’implanter, à entrer dans une dynamique de création des emplois. Voici l’urgence pour le Cameroun, là est la priorité!

Il nous faut créer un Cameroun de l’investissement. C’est la clé de notre avenir!

Pour cela, il nous faut d’abord créer un Cameroun de l’investissement. C’est la clé de notre avenir! Ce moteur est aujourd’hui quasiment à l’arrêt, alors même que les défis auxquels nous faisons collectivement face appellent au contraire une véritable politique industrielle camerounaise, mais aussi dans la zone CEMAC, pour préparer l’avenir.

Or, le triste constat est qu’aujourd’hui dans notre pays, l’argent public semble faire la course dans les poches et les comptes des particuliers. Les investisseurs privés manquent de confiance, alors même que notre épargne est abondante. Face à cette situation, nous devons recréer les conditions pour favoriser l’investissement dans l’économie camerounaise et sous-régionale. Cela passe avant tout par la construction d’un marché interne avec la libération des devises pour favoriser la consommation. Le premier échelon de consommation étant celui des ménages. L’achèvement de la construction du marché commun de la sous-région avec des rapports privilégiés avec le Nigéria qui appartient à l’Afrique de l’Ouest.

Le Cameroun a l’obligation d’attirer les capitaux vers certains domaines clés comme l’énergie, les télécommunications, la recherche et l’innovation, le numérique.

L’agriculture de seconde génération n’est pas pour demain, il faut une agriculture intermédiaire et nos ingénieurs agronomes, les techniciens agricoles ont un rôle important à jouer ici. Elle est plus facile, plus réaliste, plus attractive et moins coûteuse et épouse les configurations de nos villages.

Notre pays se doit de cultiver la confiance monétaire et financière pour rendre le crédit accessible au plus grand nombre. Le COBAC doit fonctionner et s’installer définitivement à Libreville comme cela a été décidé par le Sommet des Chefs de l’Etat de la CEMAC depuis 2009 et l’inauguration des locaux depuis 2011. Nous pouvons construire ici un tissu financier viable si nous combinons avec agilité fonds publics, épargne privée, dans la rigueur et le sens du bien public.

Mettons le Cameroun au service d’un modèle économique et social, bâtissons le Cameroun de l’investissement, pour la croissance et l’emploi.

Pendant cinquante ans, le Cameroun a fait du mensonge l’action politique par excellence.

Aujourd’hui, les résultats sont là : pas d’eau, pas d’électricité, pas de routes, des hôpitaux mouroirs, une main-d’œuvre qualifiée qui ne veut plus se mettre au service du pays, un tissu bancaire en déroute… Le Cameroun, qui hier dans la tête et les revendications des Pères de l’indépendance, était la solution, est devenu aux yeux de beaucoup le problème. Je n’accepte pas cette fatalité!

Remettons plutôt le Cameroun au service d’un modèle économique et social qui lui soit propre, mais qui tienne compte de la mondialisation tout en restant collé à la réalité de notre économie. Bâtissons le Cameroun de l’investissement, pour la croissance et l’emploi.

Je suis prêt à y jouer mon rôle, je tends sans cesse la main au peuple, afin d’être porté par son énergie et sa volonté de voir enfin sa misère derrière lui. Un avenir est radieux si aujourd’hui il y a un engagement vrai!

nées.

 

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25 juin 2014 3 25 /06 /juin /2014 19:29

Cameroun:OFFRE SPECIALE DE FORMATION :: CAMEROON

Image Erela:Camer.beLe Centre ANACLAC de Linguistique appliquée organise au mois de juillet 2014 un workshop sur le thème : Conception des fiches de travail comme support de cours, analyse et conception du manuel scolaire et initiation aux TIC et à la programmation en langues nationales. 

Objectifs : 
-    Sensibiliser, encourager et former les acteurs de l’éducation à la conception autonome des fiches de travail
-    Renforcer les capacités dans le domaine de l’engineering de l’éducation
-    Aiguiser l’esprit d’analyse et de critique dans le choix du matériel didactique
-    Inaugurer une tradition d’analyse, de critique et de conception de l’outil didactique en langues nationales pour nos écoles et Universités

Dates du workshop : du 07 au 19 juillet 2014

Profil des participants : 
Etudiants, élèves, doctorants, enseignants de langues nationales, membres des comités de langues camerounaises, Inspecteurs pédagogiques, et toute personne intéressée par la problématique de la promotion des langues nationales.
Modalités de participation : 
La formation est gratuite, d’une durée d’un mois environ.
Frais d’inscription : 5000 F CFA
Renseignements : Centre ANACLAC, Situé à côté de Express Union, carrefour Obili

Contacts utiles : Pr. Etienne SADEMBOUO : 74 69 62 26 / 99 61 07 67
                            Pr. Gabriel MBA : 76120987 / 99621323
                            Mme Laurence NGOUMAMBA : 79 81 54 49 / 98 43 41 95
                             Etoundi (étudiant LAL 5)
Date limite de l’offre : 30 juin 2014
N.B. : Les animateurs du workshop sont des diplômés de l’Université de Kassel, Allemagne

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25 juin 2014 3 25 /06 /juin /2014 19:24

Côte d'Ivoire-Cameroun:Au-delà de la visite … Guillaume Soro, un homme d’Etat et du peuple :: CôTE D'IVOIRE

Guillaume SORO:Camer.bePrès d’une semaine après le départ du Cameroun de Guillaume Soro, il continue néanmoins de faire l’actualité chez nous, ne serait-ce qu’à en juger par la diffusion dimanche dernier, de la grande interview qu’il accorda à nos confrères de média audiovisuels.

A l’évidence, Guillaume Soro aura incontestablement marqué les esprits, autant par son éloquence que sa parfaite maîtrise des dossiers et singulièrement ceux relatifs à son pays : la Côte d’Ivoire. Aussi d’aucuns n’ont-ils pas hésité d’accoler à sa visite des qualificatifs essentiellement positifs résumés en une opération de charme qu’il aurait ainsi menée au Cameroun. A la vérité, c’est que l’homme aura surpris par son franc-parler qui dénote d’une assurance certaine, mais qui atteste davantage de sa volonté non pas à confondre ses détracteurs, mais à leur faire entendre raison afin de délaisser les préjugés inhibiteurs de toute objectivité. Du coup, il a ainsi suscité au sein de l’opinion camerounaise une sympathie aux antipodes des récriminations ayant précédé son arrivée dans notre pays. Un pays dans lequel il se sera ressenti à l’aise, au point de clamer qu’en tant qu’Africain, il serait de bon ton qu’il ait également la nationalité camerounaise, tant la chaleur des populations mais aussi des autorités qu’il aura rencontrées l’aura édifié. Signe qu’il aura conséquemment assimilé à son adoption de fait, surtout qu’il n’a pas hésité un seul instant d’aller au contact du peuple en arpentant les circuits et autres lieux publics qu’on croyait plutôt proscrits eu égard aux exigences protocolaires inhérentes au caractère officiel de sa visite. Mais l’homme de terrain qu’il est devenu du fait de sa posture de président de l’assemblée nationale, Guillaume Soro a certainement compris qu’il faille raffermir ses rapports avec le peuple, pour mieux en appréhender les préoccupations et aspirations légitimes.

Passionné de football

Autant on dit fort à propos que notre pays voue un véritable culte au football, autant il se sera laissé prêter au jeu en visionnant la première rencontre des Lions Indomptables à la coupe du monde dans un lieu populeux de Bastos, en compagnie du légendaire des mêmes Lions Indomptables, Roger Milla. Bien évidemment si le score ayant sanctionné ce match était à la désolation des Camerounais, il trouva les mots justes pour en altérer la portée, non sans clairement révéler sa passion pour le football et pour les Lions Indomptables dont il se dit fier. Mais au-delà du match et de l’honneur que lui fit à l’occasion l’ambassadeur itinérant Roger Milla, c’est davantage la facilité avec laquelle il a littéralement embrassé les Camerounais et ce, sans distinction de strate sociale. Toutes choses qui, au-delà de la passion pour le sport en fait inéluctablement non plus l’homme d’Etat qu’il est, mais plutôt l’homme du peuple qu’il ne cessera certainement d’être. Sinon, comment comprendre qu’au lieu de s’autoriser quelque repos bien mérité au sortir de cinq jours de travail intense au Cameroun, il ait plutôt repris son bâton de pèlerin pour retrouver les Eléphants de Côte d’Ivoire au champ de bataille de Brésil, question de galvaniser davantage cette équipe en laquelle l’Afrique place de grands espoirs d’une prestation plus qu’honorables en accédant tout au moins au second tour. Preuve suffisante qu’il a pris véritablement à bras le corps sa nouvelle posture au travers de laquelle il se doit constamment de trouver des solutions probantes aux préoccupations des siens.

Sport fédérateur par excellence, il compte certainement faire du football une autre rampe de lancement de sa mission de réconciliation des Ivoiriens avec eux-mêmes et entre-eux. Car, autant la solidarité agissante d’une équipe est garante de performances mélioratives de celle-ci, autant le peuple ivoirien tout entier peut s’en inspirer pour taire ses dissensions politiques et œuvrer à la restauration rapide de l’aura perdue de ce pays durant les années de crise. Dans sa optique, la passion du football qui est la sienne, ne saurait se limiter au supporter des Eléphants ou des Lions Indomptables qu’est Guillaume Soro, elle devrait plutôt s’entendre comme la matérialisation patente du rapprochement à tous points de vue qu’il entend développer avec le peuple dans sa diversité et ses spécificités. Aussi peut-on valablement dire de lui qu’il est un fin politique qui sait mettre à profit toutes les opportunités qui s’offrent à lui pour exalter non seulement sa passion pour le sport, mais aussi et surtout pour ce même peuple duquel il tient inéluctablement sa fierté, mais aussi sa détermination à œuvrer pour son mieux-être. En somme, il aura simplement transposé la situation que lui offre la Coupe du monde pour rallier davantage les camerounais mais aussi les Ivoiriens à la mission qui est la sienne : celle de promouvoir l’excellence à tous points de vue. Autant dire donc que le visionnaire qu’il est par ailleurs sait également être attendu au tournant, pour peu que certaines des engagements qu’il aura pris ne venaient pas à être satisfaits.

Pourfendre l’exclusion 

Analyse faite, Guillaume Soro entend en fait affirmer le bien-fondé du contact permanent  avec le peuple. Ce d’autant plus étroits seront ses liens avec celui-ci, mieux ce dernier lui concédera une adhésion spontanée à la vision qu’il entend implémenter. Or, une telle optique ne saurait être envisageable si d’aventure il s’isolait dans une sorte de tour d’ivoire en sériant aussi bien ses contacts, que les différents auditoires auxquels il doit pourtant nécessairement faire face ne serait-ce que dans le cadre des missions qui sont les siennes. Mieux, concédant aux uns aux autres un accès aisé à sa personne il développe inéluctablement chez ceux-ci un sentiment de fierté légitime en ce sens qu’il comprendront qu’il se refuse à tout distinguo aussi longtemps qu’il y va de rechercher d’accord parties des solutions mieux à même de tempérer les ardeurs vindicatives souvent à l’origine des mouvements d’humeur qui mal gérées, débouchent sur des crises sociales d’envergure. Si le triste souvenir de la crise sociopolitique n’ay autorise guère le gouvernement actuel, la meilleure manière de s’en prémunir reste encore de pourfendre l’exclusion, celle ayant exacerbé les passions politiques et enlisé la Côte d’Ivoire dans un conflit fratricide. Et tirant très certainement les leçons douloureuses de cette période, guillaume Soro ne saurait conséquemment en favoriser la résurgence de quelque manière que ce soit.

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25 juin 2014 3 25 /06 /juin /2014 19:22

Cameroun:La BAD rencontre les membres du GICAM :: CAMEROON

Gicam:Camer.beVendredi 27 juin 2014 de 10 h  à 16 h, aura lieu une rencontre entre la BAD  et les chefs d’entreprise membres du GICAM,  au siège du Groupement à Douala. La cérémonie d’ouverture sera placée sous la présidence de M. Emmanuel NGANOU DJOUMESSI, ministre de l’Economie, de la Planification et de l’Administration du Territoire.

Cette rencontre s’inscrit dans le cadre des festivités célébrant le 50ème anniversaire du Groupe de la Banque Africaine de Développement. A titre de rappel, l’accord portant création de la Banque a été signé le 04 août 1963 et est entré en vigueur le 10 septembre 1964.

Le marché camerounais du crédit est marqué par une surliquidité des banques commerciales et une extrême difficulté pour les entreprises en général  et les PME en particulier, à financer leurs différents  besoins en  trésorerie ou investissement, même si l’on observe une légère amélioration dans l’octroi des crédits entre 2012 et 2013. Ces difficultés sont davantage insurmontables lorsqu’il s’agit de start-ups, c’est-à-dire des sociétés qui démarrent leur activité.

Les solutions alternatives aux circuits traditionnels de financement mises en place par le gouvernement, telles que la création d’une  banque dédiée au financement des PME, ou encore le mécanisme de crédit-bail, mêmes si elles n’avaient pas la prétention de résoudre la totalité des problèmes de financement, tendent à se concrétiser pour les unes et à produire des résultats à la hauteur des attentes pour les autres.

L’enseignement qu’on peut en tirer est que toute autre opportunité de financement doit être étudiée avec beaucoup d’attention. La BAD, en tant qu’organisme d’aide au développement, représente à ce sujet une option sérieuse pour les entreprises.

Cette journée sera donc l’occasion idoine d’échanger et comprendre les opportunités offertes par cette institution.

A l’ordre du jour, les points suivants :

·    la présentation de la stratégie de la Banque et de son portefeuille en cours au Cameroun ;
·    les opportunités d’affaires avec le Groupe de la Banque Africaine de Développement ;
·    la présentation des produits et instruments financiers du Groupe de la Banque Africaine de Développement.

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25 juin 2014 3 25 /06 /juin /2014 19:16
CM 2014 : La Fédération ivoirienne fustige l’arbitrage

L’élimination de la Côte d’Ivoire du Mondial 2014 a du mal à passer. Au lendemain de la défaite de la sélection nationale face à la Grèce, synonyme de fin de l’aventure brésilienne, la Fédération ivoirienne s’est fendue d’une publication sans équivoque sur son site officiel. Intitulé "La Côte d’Ivoire éliminée par l’arbitrage", le texte en question pointe du doigt la décision de l’arbitre de la partie d’avoir accordé un penalty aux Grecs dans la dernière minute de jeu. "Sur l’action, Georgios Samaras se prend le pied dans la pelouse, se jette et manque même d’égratigner Sio Giovanni avec ses crampons. Vera Carlos, l’arbitre équatorien, ne verra que du feu", ’est-il indiqué. "La Côte d’Ivoire (3 pts), se classe troisième devant le Japon et est encore barrée par une décision d’arbitrage, comme au Mondial 2010 en Afrique du Sud face au Brésil." De quoi relancer le débat autour de cette dernière action, même si Giovanni Sio a reconnu : "Honnêtement, c’est lui qui vient taper sur mon pied. C’est comme ça, il a su créer une faute. Je n’ai pas l’intention de faire quoi que ce soit mais il a bien joué.

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25 juin 2014 3 25 /06 /juin /2014 19:12

Allemagne-Cameroun:Dossier spécial et exclusif de l'Histoire des Camerounais(es) en Allemagne des années 80 (Texte & Vidéo) – Part 1 :: GERMANY

Camerounais Allemagne:Camer.beL'enseignant du Realschule Dzissah Kodzo l'initiateur – fondateur du « Challenge Camerounais » à Bielefeld sort enfin de sa cachette grâce au bon soin courageux de Jérôme Monteu Nana qui décida et sous l'impulse des participant(es) au « Business and Social Forum » lors de la 22è édition dans la ville de Dortmund située à 92,97 km de Bielefeld, de dire la vérité et rien que la vérité! Car c'est l'heure de la vérité ! Pour cette raison suprême de dire la vérité et rien que la vérité, que l'équipe de Camer.be en Allemagne sous la rubrique de « Co'sαnə – Productions » s'est aussitôt rendue avec Camera à Bielefeld la semaine dernière !

Bielefeld est sans contestation la ville de naissance du « Challenge Camerounais »; située dans le Bundesland du Nordrhein – Westfalen, elle est distante de 37,37 km de Paderborn, à 90,68 km de Hannover, à 138,68 km de Braunschweig, à 196,42 km de Hamburg, à 162,32 km de Köln, à 336,47 km de Berlin. Ce sont ces villes pionnières qui s'engageaient dans ce qui est devenue aujourd'hui la plus grande rencontre sportive, culturelle, sociale & économique des Camerounais(es) résidant au pays de l'Allemand le plus célébré dans toutes les capitales africaines : Goethe ou alors Goethe institut!

C'est dans cette petite ville de 328.314 d'âmes humaines composées d'Allemand(e)s, d'Africain(e)s et camerounais(es) en particulier, et autres êtres humains venus d'autres continents que nous avons enfin retrouvé les traces de celui par qui naquît le nom bilingue « Challenge Cameroun » en 1992 ;

Cet homme est bel et bien né au Cameroun en 1958 de mère et de père d'origine ghanéenne, pays de notre ancêtre commun africain Kwamé krumah (Francis Nwia Kofi Kwame Nkrumah[1]; né le 21. Septembre 1909 in Nkroful, au Ghana, décédé le 27. April 1972 à Bukarest en Rumänien) avec sa vision fétiche « Africa must unite » prononcée en 1963.

Sans doute, le même son de cloche dans la vision futuriste qui donne raison à cet enseignant du Realschule, Dzissah Kodzo fondateur et initiateur du « Challenge Camerounais » en 1992 de « rassembler les Camerounais(e)s d'Allemagne au moins une fois par an » au tour des activités sportives et aussi de pouvoir pendant cette rencontre annuelle s'informer et s’échanger sur les nouvelles du mboa !

Incontesté et envié par d'autres pays, en réalité depuis 1992 le « Challenge Camerounais » regroupe, se déplace de ville en ville afin que de perpétuer les possibles pertes de vue jadis perdue; Hein, l'adage mondialement connu « des montagnes ne se rencontrent pas mais les hommes » ! 

Au fil des temps le « Challenge Camerounais » est devenu cette montagne baptisée « mount Cameroon facilitateur des retrouvailles » et promoteurs des mariages entre challengistes hommes et femmes! La preuve à écouter attentivement, le père des camerounais(es) d'Allemagne S.E.M Jean Marc Mpay qui le rappelle avec grande fierté teintée d'orgueil, la dernière fois à Dortmund comme à d'autres éditions, que les mariages célébrés dans les locaux de l'Ambassade de Berlin prennent leur source pendant le « Challenge Camerounais » ; De toutes les façons Pa'a Mpay, nous viendrons un de ces jours voir avec nos yeux numériques nus comme les « thomasi » si c'est vrai !

Donc, comme quoi cette idée rare comme un gaz rare et très attirante née en 1992 à Bielefeld a plus d'effets positifs ! Vive les marié(e) dont l'union sacrée prend ses racines au « Challenge Camerounais » pour un « Challenge Nuptial » pour le bien et pour le piréee! Affaire à suivre dans une autre production avec ses « mani-nyanga » qui viennent se parader avec « haut-talons » pendant la soirée de gala !

Dzissah Kodzo a bel et bien un sang ghanéen qui coule en lui, mais en réalité ô, c'est un vrai Camerounais avec grand C ! Car il parle couramment la langue nationale Bulu des habitant(e)s de la région du Sud au Cameroun, il parle Basaa, Ewondo bref, un modèle national de la haute classe des Camerounais multilingues; La langue eʋe parlée par plus de 7 millions locuteurs / locutrices le long du Sud du Togo, du Ghana, en partie en Côte d'Ivoire et au Bénin fait également partie de son patrimoine linguistique! 

Photo du stade à plus de 8 aires de jeux footballistique du tout premier tournoi en juin 1992 à Bielefeld avec quatre équipes venues de Bielefeld, Paderborn, de Hannover et de Braunschweig

Il fait comme nous autres les enfants de cette maison nationale appelée triangle nationales en Afrique en miniature ! Le jour JJ de cet entretien, il était habillé avec la tenue de nos fameux LIONS INDOMPTABLES !!!

Camerounais Allemagne:Camer.beA gauche de la photo Mr Augustin Kwamo-Kamdem, le sponsor au début du tournoi (à suivre dans la suite de l'édition spéciale)

Au milieu Lydie Seuleu à Bielefeld

A droite de la photo Mr. Dzissah Kodzo, l'initiateur – fondateur du « Challenge Camerounais »

Ensemble nous avions abordé plusieurs thèmes, la première est celle concernant la personne de   Dzissah Kodzo fondateur et initiateur du « Challenge Camerounais » en 1992, la motivation et le début de cet aventure au départ peint d'amateurisme et ayant pris un envol qui profile du professionnalisme au fil des années!

Stade Allemagne:Camer.be
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