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27 avril 2016 3 27 /04 /avril /2016 09:34

Amical U20 : le Cameroun arrache un nul au Burkina (2-2)

En tournée de rodage sur la côte ouest-africaine, les Lions Indomptables U20 ont arraché un match nul (hier Lundi 25.04.2016) face aux Étalons Juniors. Trois jours avant, les poulains d’Ashu Bessong étaient tombés (1-2) les armes à la main contre les Black Stars du Ghana.

Déjà vainqueur du Maroc en amical à Douala (1-0), le nouveau sélectionneur a eu l’occasion d’évaluer ses troupes à un mois du troisième tour des éliminatoires de la CAN 2017.

Le chronogramme des prochains matchs

  • 30 Avril à Bafoussam. Cameroun VS Racing de Bafoussam
  • 08 Mai à Douala. Cameroun VS Ghana
  • 28 Mai à Douala. Cameroun VS Ghana

La sélection nationale des moins de 20 ans (U20) rentre demain au bercail après une mini tournée en Afrique de l’Ouest.

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27 avril 2016 3 27 /04 /avril /2016 09:31

Tribunal Criminel Spécial du Cameroun

Photo: (c) Archives

africapress.com note qu’en dépit des rapports «accablants» sur la gestion de certaines personnalités du Cameroun des institutions qu’elles dirigent, elles ne font pas l’objet des enquêtes judiciaires. Ces rapports du Contrôle Supérieur de l’État (CONSUPE), de la Chambre des comptes et de la Commission Nationale Anti-Corruption (CONAC) semblent rester lettres mortes devant le Tribunal Criminel Spécial (TCS).

On se souvient qu’en date du 12 juin 2012 le Président de la République par un décret limogeait de son poste de Recteur de l’Université de Yaoundé II-SOA Jean Tabi Manga. L’acte du Chef de l’État faisait suite à un rapport du CONSUPE «qui attribuait à cet universitaire de haut vol des fautes de gestion dont certains frisaient les détournements de deniers publics», précise africapress.com.

Il faut savoir qu’en juin 2012 le Conseil de Discipline budgétaire et financière (CDBF) qui avait tenu sa session avait fait part de neuf fautes de gestion à la charge de l’Ancien Recteur de l’Université de Yaoundé II-Soa. Celui-ci l’avait même condamné à payer plus de 64 millions de Francs CFA.

C’est dans la même lancée que Bruno Bekolo Ebe avait aussi été touché par le décret suscité du Chef de l’État. Le CONSUPE demandait à l’ancien Recteur de l’Université de Douala de payer deux milliards et demi de Francs CFA. Il y’a juste quelques semaines où celui-ci a été inculpé par le TCS pour des faits présumés de crimes économiques.

S’agissant de Paul AtangaNji le Ministre chargé de Mission à la Présidence de la République Mutations constate qu’il a été «épinglé par le CONSUPE et jusqu’à ce jour, il n’est pas inquiété». Il faut dire que le Ministre a été convoqué en 2015 au TCS pour répondre «de présumées malversations au sein de la Cameroon Postal Services (CAMPOST). Une mission du CONSUPE avait soutenu qu’il a obtenu de façon irrégulière la somme de trois cent dix-neuf millions de Francs CFA». Des colonnes du journal on apprend que selon des proches du ministre, celui-ci n’avait pas à l’époque été vu au TCS parce qu’il attendait l’autorisation de sa hiérarchie à savoir le Chef de l’État.

Un autre mis en cause par le CDBF, c’est Marc Samatana l’ex-Directeur Général de la société d’expansion et de modernisation de la riziculture de Yagoua. Il avait été reconnu coupable de mauvaise gestion dans la période comprise entre 2008 et 2009. Le rapport du CONSUPE produit en 2010 le portait coupable de cinq fautes de gestion. Cependant jusqu’à ce jour celui-ci n’a jamais été inquiété.

«Lorsqu’on sait la diligence et la célérité du TCS sur certains dossiers élaborés par le CONSUPE, on est en droit de se demander ce qui commande l’enclenchement de la procédure judiciaire pour les et les autres», conclut le journal

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26 avril 2016 2 26 /04 /avril /2016 10:45

Comme lors du dernier match au Havre, Cuffaut occupe le flanc droit de la défense. Sur le premier corner, une tête de Diagne offre une occasion énorme à Robic aux six mètres. Werner détourne sa frappe d’un bel arrêt réflexe (4’). Ndy Assembe assure en détournant en corner une frappe de Mbombo (5’) puis s’interpose brillamment sur une reprise de Gibaud (6’).

Ce match démarre à cent à l’heure. L’ASNL montre beaucoup d’envie et multiplie les ballons vers la surface adverse. Un corner débloque rapidement la situation. Lenglet reprend au premier poteau le centre tendu de Pedretti. C’est imparable (12’). Sur une petite passe en profondeur de Cuffaut, Robic tente sa chance du droit mais trouve encore Werner à la parade (19’). Dalé se jette ensuite pour reprendre un bon centre de Pedretti. Sa tête plongeante passe de peu au-dessus (28’).

Les occasions se font un peu plus rares mais sont toujours nancéiennes. Werner est obligé de plonger dans les pieds d’un Muratori virevoltant (37’). La deuxième mi-temps démarre par un contre mené par Lenglet puis Lusamba. Servi en profondeur, Robic prend de vitesse son adversaire mais se fait pousser dans le dos. Il n’obtient pas le penalty réclamé par tout le stade (50’).

Face à une équipe doubiste souvent trop agressive, l’ASNL gère son avantage sans prendre de risques. Seul un coup-franc de Toko donne quelques frissons mais Ndy Assembe capte le ballon (77’). Werner est lui encore décisif sur une frappe de Busin. Il détourne le ballon du pied (83’). Dalé perd ensuite un dernier duel face au gardien sochalien (93’). Grâce à cette victoire, l’ASNL assure sa montée en Ligue 1 et s’empare de la première place du classement

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26 avril 2016 2 26 /04 /avril /2016 10:41

Directeur Général de la douane de Cote d'Ivoire

Abidjan – Le directeur général, Issa Coulibaly, anciennement colonel major, a été promu, le 21 décembre 2015, par le chef de l’Etat, Contrôleur Général des Douanes en fonction, une première en Côte d’Ivoire au sein de l’administration des douanes ivoiriennes.

Né le 12 décembre 1956 à Séguelé (S/P de Korhogo), dans la Région des Savanes, le Colonel Major Issa Coulibaly effectue de 1976 à 1979 des études supérieures et obtient une licence en lettres modernes. Il entre à l’Ecole Nationale d’Administration (E.N.A) au Cycle Supérieur en 1981, puis à l’Ecole des Douanes de Neuilly sur Seine à Paris (France).

Il débute sa carrière professionnelle à la Direction Générale des Douanes le 22 novembre 1982, en qualité de Vérificateur à la Section Visite au Bureau des Douanes d’Abidjan port. Il occupera successivement les postes de Chef de Subdivision des frontières du Sud-est à Aboisso et celui de Commandant du Groupe d’Intervention et de Recherche d’Abidjan, de 1984 à 1993.

D’avril 1993 à janvier 1994, il exerce les fonctions de Chargé d’études à la Direction de la Réglementation avant d’être nommé Directeur Régional des Douanes à Man. De 2001 à 2010, après avoir occupé les fonctions de Directeur des Services Extérieurs, Inspecteur des Services Douaniers, Conseiller Technique du Directeur Général, Directeur des Enquêtes Douanières et du Renseignement, il est promu Inspecteur Général Adjoint des Douanes.

Au titre de la Formation continue et des stages de perfectionnement, le Colonel Major Issa Coulibaly est titulaire du Certificat des Auditeurs de l’Académie de Police du Caire (Egypte) en matière de lutte contre la contrebande. Au plan Militaire, il est Officier de réserve des FANCI de la promotion 1983-1984. En effet, il suivit la formation au commandement à la Division de Formation des Officiers (D.F.O) à l’Ecole des Forces Armées de Bouaké, enrichi d’un stage d’application de six(6) mois au Bataillon Blindé d’Akouédo.

Le 06 décembre 2010, il est nommé Directeur Général des Douanes Ivoiriennes par le Président de la République SEM Alassane Ouattara et confirmé à ce poste, le 16 mars 2012. Administrateur général des services financiers, député non siégeant du département de Dikodougou, le Contrôleur Général des Douanes est maire de la commune de Djembé

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26 avril 2016 2 26 /04 /avril /2016 10:40

A la Mission d’Aménagement et d’Equipement des Terrains Urbains et Ruraux (MAETUR), «les employés sont donc déterminés à manifester leur courroux dans les prochains jours», si l’on en croit dans sa publication du lundi 25 avril 2016. Selon des informations parvenues à la rédaction du journal, le personnel de la MAETUR revendique 3 mois d’arriérés de salaires et le non-paiement des frais médicaux.

Le Directeur Général de la MAETUR Louis Roger Manga est accusé de mauvaise gestion par une grande majorité de ses employés. «Dans les couloirs de l’immeuble siège au quartier Hyppodrome à Yaoundé, il se murmure que c’est depuis des lustres que la MAETUR n’a plus versé ses cotisations à l’assureur. C’est pour cela que les employés ne bénéficient plus de l’assurance maladie et se soignent désormais à leurs propres frais», peut-on lire dans les colonnes du journal.

Les sources s’accordent également à dire que le Directeur Général de la MAETUR ne regarde pas à la dépense, et ce n’est pas toujours pour supporter les charges de l’entreprise, «mais davantage pour les petites gâteries du Directeur. Conséquence, lorsqu’il faut payer les salaires des employés, les caisses sont vides», l’accuse-t-on.

La société est actuellement en proie à un malaise. Des concertations entre cadres se multiplient «afin d’adopter une conduite à tenir». Malgré cela, «l’on s’achemine inexorablement vers un arrêt de travail, si rien n’est fait pour remédier à cette situation. L’on parle même de plus en plus du boycott de la fête internationale du travail». La célébration de la fête du Travail est donc incertaine dans cette société. Le journal n’a pas pu avoir la version de la direction de la MAETUR car, nous dit-il, toutes les tentatives de prise de contact ont été vaines. Dans son entourage, l’on estime que «le Directeur n’a pas de compte à rendre à la presse».

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26 avril 2016 2 26 /04 /avril /2016 10:38

Laurent Gbagbo, ancien Président ivoirien toujours détenu à la CPI

Reçu par son mentor par ailleurs ex-chef d’Etat de la Côte d’Ivoire, à la Cour Pénale Internationale (CPI) à la Haye, Laurent Akoun, président délégué du Front Populaire Ivoirien (FPI), a indiqué que Laurent Gbagbo n’a pas sa place en prison.

Laurent Akoun, président délégué du Front Populaire Ivoirien (FPI), a été reçu, ce vendredi 22 avril 2016 par Laurent Gbagbo à la Cour Pénale Internationale (CPI) à la Haye. A sa sortie de la prison de Scheveningen, Laurent Akoun a clairement signifié que l’ancien Président de la Côte d’Ivoire n’a pas sa place en prison.

Le président délégué du Front Populaire Ivoirien qui s’est dit heureux d’avoir revu son mentor et ami mais, a aussi confié être écœuré de voir Laurent Gbagbo dans cette situation, depuis 2011, relève Koaci.

« Je suis heureux d’avoir revu mon chef et ami (...). Mais en même temps écœuré, révolté par l’injustice qui lui ait faite depuis cinq ans. Ce n’est pas sa place, c’est tout ce que je peux vous dire ». Selon Koaci, en accordant cette audience à Laurent Akoun, l’ancien chef d’Etat ivoirien semble avoir choisi son camp entre le FPI, tendance Aboudrahamane Sangaré et celle de Pascal Affi N’Guessan.

Le site précise que Laurent Akoun poursuit son séjour en Europe ou d’autres rendez-vous avec Laurent Gbagbo sont prévus en marge de son procès qui reprendra le 9 mai prochain. Laurent Gbagbo est poursuivi pour crime suite aux violences post-électorales en Côte d’Ivoire qui ont fait plus de 3000 morts.

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26 avril 2016 2 26 /04 /avril /2016 10:36

X-Maleya fête ses 10 ans

Photo: (c) Archives

Pour ses 10 ans d’existence, le groupe de musique camerounais X-Maleya va effectuer une tournée à l’étranger. L’Allemagne figure au programme de voyage. Le trio va s’y produire deux fois : le 14 mai à Francfort et le 20 mai à Berlin. «Nous allons en Allemagne parce qu’il y avait une opportunité et aussi parce que notre public ne se retrouve plus seulement au Cameroun, mais un peu partout dans le monde. Et il est question aujourd’hui de satisfaire tout ce monde», explique le leader des X-Maleya, Roger Samnig. La préparation de l’événement se déroule en ce moment à Yaoundé. Elle a commencé par un spectacle organisé ces jours-ci à Yaoundé.

Ce sont en tout 14 personnes qui vont se mobiliser pour le voyage. Une équipe renforcée, indique Roger Samnig, «pour vendre le Cameroun, les talents camerounais en termes de musique». Les 10 ans de X-Maleya symbolisent aussi l’unité et les succès du boy band, le plus célèbre du Cameroun. «C’est ce projet d’être ensemble, d’être en groupe. Nous sommes en groupe depuis 20 ans aujourd’hui. C’est aussi l’espoir que nous avons pu transmettre aux jeunes. Dire que, quel que soit l’endroit où on vit, tout est possible quand on travaille».

Au cours de leurs 10 ans d’existence les X-Maleya ont sorti 5 albums, reporté trois trophées au cours des Canal2’Or 2012, remporté le trophée «Kundé» du meilleur artiste d’Afrique centrale et a été fait ambassadeur de bonne volonté de l’Unicef.

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26 avril 2016 2 26 /04 /avril /2016 10:34

Les confidences de Pierre Semengue à Philemon Yang

Suite à la réunion qui s’est tenue à la Primature la semaine dernière entre le Premier ministre Chef du gouvernement et le président de la Ligue de football professionnel du Cameroun, les regards sont désormais tournés vers la Fédération camerounaise de football, sommée par l’Etat de verser 410 millions de Fcfa représentant sa quote-part à la Ligue. Une décision qui semble ne pas rencontrer l’assentiment du nouvel exécutif, surpris par les « nouveaux renforts » dont dispose désormais l’homme du 06 avril 1984.

Une réunion de crise entre le Pm et le président de la Lfpc, dans l’attente de la deuxième partie des subventions promises par l’Etat pour le paiement des salaires des joueurs dans les clubs de Ligue 1 et Ligue 2 pratiquement au bord de l’asphyxie. La Fécafoot, présentée à tort ou à raison comme le bourreau de Ligue, est au banc des accusés. Entre satires, procès d’intention et abus d’autorité, les griefs portés par le général d’armée à la retraite contre le nouvel exécutif du palais de Tsinga, ne sont pas de nature à laisser à ce dernier un minimum de crédit. Les faits sous la forme de confidences tels que rapportés par le président sortant mais non moins candidat à sa propre succession, se résument en un seul mot : acharnement. A quelles fins ? A en croire l’emblématique soldat, la nouvelle équipe de la fédération dirigée par Tombi à Roko Sidiki, pour des raisons non encore élucidées, rêve de le dégager de son prestigieux trône qu’il occupe depuis la naissance de cette instance en 2011. D’un simple complot, soutient-il, c’est devenu une vraie campagne de déstabilisation contre sa personne.

Décisions de justice

Résultat de courses : au bout de plus de trois heures d’horloge au cours de laquelle l’un des thèmes au menu portait sur l’éternel problème du financement des clubs par les entreprises publiques et parapubliques, Semengue obtient le soutien du gouvernement Cameroun. Une espèce de « blindage » contre ceux qu’il appelle désormais ses ennemis. Et pour dévoiler son penchant pour le camp de la Lfpc, Philemon Yang ordonne dans la foulée à la Fécafoot de payer 410 millions de Fcfa représentant la somme que devrait verser l’instance faîtière à la Ligue pour le fonctionnement des deux championnats d’élite. Attendu depuis décembre, la contribution de la maison mère du football camerounais n’est toujours pas parvenue à la « maison blanche » du quartier Fouda. Si la Ligue a pu gérer le tiers de la saison, c’est avec des subventions du Premier Ministère, 350 millions, et du ministère des sports, 270 millions. La dernière tranche de 290 millions du ministère de tutelle sera versée sous peu. Des 410 millions que lui doit la fédération, elle n’a encore touché le moindre sou. Pour justifier cet état de choses, la fédération, par la bouche de son président, a indiqué que plusieurs de ses comptes étaient toujours bloqués dans des banques locales qui agissent à titre conservatoire après les décisions de justice contre plusieurs positions de l’actuel bureau de la Fécafoot.

Bidoung Mkpatt pour remettre la balle au centre ( ?)

Yang et Semengue vont également débattre des besoins additifs de la Lfpc en vue d’une fin sereine de la saison en cours. Malgré les tensions de trésorerie dues en grande partie par la contribution du Cameroun pour l’effort de guerre contre la nébuleuse Boko Haram, assurance est quand même faite par le premier ministre de ce que le gouvernement soutiendra le général dans sa volonté d’offrir aux camerounais, l’image d’une Ligue plus crédible et plus professionnelle dans sa gestion. D’ailleurs, apprend-t-on, un rapport a été dressé au président de la République Paul Biya dont on connaît la grande complicité entre lui et son valeureux soldat. Au sujet des mesures à prendre pour assurer le financement pérenne et autonome de la Ligue, le Pm prescrit au ministre des Sports et de l’éducation physique d’organiser des travaux de réflexion sur cet épineux problème avec autour d’une même table que la Fécafoot, les clubs et éventuellement quelques experts.

De quoi rassurer et réconforter le patron de la Lfpc qui veut profiter des réformes de la loi de Finance 2013, pour attirer les entreprises dans notre championnat. On a encore souvenance des deux séminaires organisés les 21 et 23 juillet derniers à Douala et à Yaoundé avec le ministère en charge des finances dans le dessein de sensibiliser les entreprises sur la nouvelle loi qui permet aux entreprises d’accompagner les clubs de Ligue 1. Ainsi, Semengue espère donc qu’en faisant de la vulgarisation de la loi sur la défiscalisation en faveur du football professionnel son cheval de bataille, les entreprises pourront s’investir activement dans les clubs sans oublier l’intérêt qu’elles ont d’accompagner les dits clubs.

Amélioration du traitement des joueurs

Toutefois, on est loin d’être sorti de l’auberge puisqu’à toutes ces batteries de mesures il faut ajouter la bonne gouvernance et la transparence dans le fonctionnement ; toutes choses pouvant inciter les entreprises à accompagner nos clubs dans leurs activités. Ce modèle de financement qui privilégie « l’Etat Providence » n’est pas visiblement adapté pour une préparation idéale des clubs au professionnalisme. La responsabilité de l’Etat ne devrait-elle pas davantage être orientée vers un accompagnement institutionnel et infrastructurel ? Aussi-faut-il penser à l’encadrement médical des acteurs du jeu, l’amélioration du traitement des joueurs et encadreurs. Des chantiers qui préoccupent la Lfpc et dont elle doit s’atteler à y trouver des solutions puisque cinq ans après sa naissance, on en est encore qu’au stade des perspectives ; il faut songer à passer à l’action. A suivre

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26 avril 2016 2 26 /04 /avril /2016 10:33

Direction Générale SODECOTON

Photo: (c) Archives

La Société de Développement du Coton (SODECOTON) table sur une production de 267 000 tonnes en 2016 selon des prévisions révélées lundi 25 avril 2016 par la direction de cette entreprise. Pour bon nombre d’observateurs, ces prévisions sont plutôt optimistes au regard de la gravité de la sécheresse cette année dans la partie septentrionale du pays, où la société mène ses activités.

Pour y faire face, l’entreprise, fleuron de l’agro-industrie dans la partie septentrionale du Cameroun, a recours à une technique de l'irrigation pratiquée depuis des années par les producteurs de coton. Ce caprice du climat ne devrait pas beaucoup impacter la production. «Si la SODECOTON venait à atteindre cet objectif, ce serait une réelle performance pour cette entreprise, si en plus des caprices climatiques, l'on tient compte également des défis sécuritaires avec des exactions de la secte terroriste nigériane Boko Haram à l'Extrême-Nord du Cameroun», analyse un observateur de l’économie camerounaise.

L’on se souvient que pour financer sa campagne 2016, la SODECOTON a levé en février dernier, 35 milliards de francs CFA - extensible à 40 milliards de francs CFA en fonction des besoins - auprès d'un consortium de cinq banques locales.

Les fonds ainsi mis à la disposition de la SODECOTON vont permettre de payer plus de 220 000 producteurs de coton recensés dans le Grand-Nord du Cameroun et regroupés au sein de la Confédération Nationale des Planteurs de Coton du Cameroun (CNPC-C). Ils permettront aussi de régler les nombreux partenaires de la SODECOTON que sont les fournisseurs d’intrants (engrais, pesticides, etc.), les transporteurs et les prestataires, entre autres charges.

Créée en 1974 pour gérer la filière coton, la Société de Développement du Coton a pour mission d’organiser la production et la commercialisation du coton sur l’étendue du territoire. Elle détient plusieurs sites de production à travers le Cameroun

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26 avril 2016 2 26 /04 /avril /2016 10:32

La métamorphose du stade Sangmélima va aussi coûter 780 millions Fcfa

Après Yaoundé (extension du Centre technique d’Odza), Bamenda et Bafia, le président de la Fédération camerounaise de football (Fécafoot) a procédé le 22 avril 2016 à la pose la première pierre du stade municipal de Sangmélima. L’infrastructure qui sera livré au mois de novembre prochain disposera entre autre de gradins couverts ayant une capacité d’accueil de 1200 places assises.

Tombi à Roko, le bâtisseur ! Les membres du nouvel exécutif de la Fécafoot n’ont que cette phrase au bout des lèvres. Eux qui sont convaincus que le numéro de l’instance faîtière du football camerounais qu’ils ont rebaptisé « l’homme de l’action » écrit en ce moment une page importante de son histoire, et pas des moindres. Pour joindre la parole à l’acte, le numéro 1 du palais de Tsinga a engagé depuis le mercredi 20 avril, un périple à travers le pays pour lancer les travaux de construction de nouveaux stades avec des aires de jeu en gazon synthétique. Vendredi 22 avril, en posant la première pierre du futur temple du football de Sangmélima, l’homme a rappelé au parterre d’invités présents sur le site où sera construit le futur stade moderne de Sangmélima que cet acte n’est ni plus ni moins que la matérialisation concrète du volet infrastructurel du programme quadriennal (2015-2019) de la Fécafoot articulé autour de 11 points.

« Il ambitionne à terme, non seulement l’amélioration de la qualité du spectacle lors des compétitions nationales auxquelles prendront part les clubs locaux en tête desquels se trouve le mythique oiseau du Dja et Lobo, connu sous le nom historique et désormais légendaire de « Colombe Sportive de Sangmélima, mais aussi et surtout, la recherche du bien-être du public et des visiteurs qui le fréquenteront », explique celui qui a reçu la veille les clés de la ville de Bafia dont il est désormais un citoyen d’honneur. Et de poursuivre son argumentation, : « dans la continuité de cette ambition, notre souhait est qu’avec son architecture futuriste et pluridisciplinaire constituée : - d’une pelouse en gazon synthétique de 68m de large sur 105m de long ; - d’une piste d’athlétisme aux normes olympiques ;- de gradins couverts ayant une capacité d’accueil de 1200 places assises ; - de salles multifonctionnelles pour les médias, la sécurité, la couverture médicale, les vestiaires et autres commodités d’accueil ; - d’un dispositif autonome d’alimentation en énergie électrique et en eau (…). »

Projet ambitieux

A ceux qui se montrent dubitatifs quant au délai de réalisation, Tombi répond en ces termes : « le maitre d’œuvre de cet ouvrage est astreint à l’obligation d’exécuter les travaux en conformité avec les standards internationaux et nationaux en vigueur en la matière. Le budget prévisionnel pour la réalisation de l’ensemble des travaux sus indiqués est estimé à la somme de 780 millions de Fcfa environ. Il sera entièrement financé par la Fécafoot sur fonds propres. Le défi auquel nous nous soumettons à présent est de voir cet ouvrage fonctionnel dans le délai contractuel de 06 mois ».

A tour de rôle, le maire de Sangmélima, le Chef de projet, Ben Bodo, le Président de la Fécafoot et le gouverneur de la région du Sud notamment, ont pu exprimer leur bonheur d’être sur le chantier du futur stade et de voir le projet ambitieux de toute une ville, de toute une région prendre forme, et ce malgré les obstacles. Le patron administratif de la région du Sud a souhaité voir d’autres villes de la région du Sud être doté des mêmes infrastructures. Comme dans les précédentes villes, les aménagements ainsi que l’ont rappelé les ingénieurs de la société Prime protomac Group, s’articulent en 5 volets : la démolition des anciennes installations ; l’électrification et l’adduction d’eau potable ; la construction de 4 tribunes couvertes suivie des vestiaires et enfin la pose du gazon synthétique de dernière génération. Rendez-vous en novembre pour l’inauguration. La caravane pointe le cap demain sur Bangangté

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