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30 juillet 2015 4 30 /07 /juillet /2015 01:51

eune Camerounais de 40 ans, domicilié à Liège, a perdu la vie, tôt samedi matin, vers 5 h 45, sur l'autoroute E313 Liège direction Antwerpen à hauteur de Wommelgem

Pour une raison encore indéterminée, il a alors perdu la maîtrise de son véhicule,indique la police d'Anvers dans un communiqué. Ce dernier s'est déporté sur la droite avant de heurter le filet anti-gibier et d'effectuer plusieurs tonneaux pour terminer sa course dans le canal sis en bordure d'autoroute.

Le conducteur âgé de 40 ans, originaire du Cameroun et domicilié à Liège est décédé sur place. Les deux passagers, un homme et une femme respectivement âgés de 21 et 18 ans ont été blessés et hospitalisés dans une institution hospitalière d'Anvers. Leur vie n'est pas en danger

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30 juillet 2015 4 30 /07 /juillet /2015 01:49

Un Casque bleu rwandais a tué, ce samedi, quatre de ses compagnons d’armes et en a blessé huit autres avant d’être lui-même abattu.

Un Casque bleu rwandais a tué quatre de ses compagnons d’armes et en a blessé huit autres, lors d’une fusillade au sein de leur contingent, ce samedi 8 août 2015, dans la capitale centrafricaine, Bangui, avant d’être abattu, selon plusieurs sources militaires. D’après cette source militaire, c’est la première fois qu’une telle affaire se produit entre les soldats au sein de la MINUSCA, la force de l’ONU présente en Centrafrique, aux côtés des troupes françaises et africaines.

Cette tuerie entre soldats révèle une fois de plus la vive tension qui existe en Centrafrique. Malgré la force de l’ONU, les troupes françaises de l’opération Barkhane ou encore les troupes africaines pour remettre de l’ordre dans le pays, rien n’y est fait. La Centrafrique vit toujours dans la tourmente depuis le coup d’Etat contre François Bozizé, éjecté du pouvoir par l’ancienne coalition de rebelles, la séléka. Elle était dirigée par Michel Djotodia, qui n’a pas duré au pouvoir, puisqu’il a été contraint de démissionner sous la pression venant de l’international. Les pays occidentaux avaient en effet estimé qu’il n’était pas l’homme de la situation pour redresser la Centrafrique.

Aujourd’hui, la transition est toujours en cours. Catherine Samba Panza en tient les rênes. Mais les autorités peinent à s’imposer dans un pays où une grande partie du territoire, notamment l’arrière-pays n’est pas contrôlée et est régulièrement en proie à des groupes armés qui y font la loi et terrorisent les populations. Sans compter que la capitale centrafricaine, Bangui, est toujours en proie, elle aussi, au banditisme. Des troubles et violences y éclatent régulièrement entre individus armés.

De son côté, l’Union Africaine incite la Centrafrique à préparer l’organisation d’élections pour l’année 2015. La Présidentielle est prévue pour octobre 2015. Mais de nombreux observateurs se demandent si le pays est prêt pour la tenue du scrutin

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30 juillet 2015 4 30 /07 /juillet /2015 01:07

EXPULSION DE NIGERIANS DU CAMEROUN : Est-ce la solution face à Boko Haram ? :: CAMEROON

Dans la nuit de lundi à mardi dernier, des assaillants ont perpétré plusieurs attaques contre deux localités à la frontière entre le Nigeria et le Cameroun, causant la mort d’une dizaine de personnes et la fuite de centaines de villageois. Pour les autorités camerounaises, même si ces attaques n’ont pas encore été revendiquées, il ne fait pas l’ombre d’un doute qu’elles portent la griffe de la secte islamiste nigériane, Boko Haram, nouvellement rebaptisée groupe Etat islamique en Afrique de l’Ouest. Quand on sait que ces dernières semaines, la menace terroriste s’était concentrée sur les villes frontalières de Fotokol et Maroua, et que le Cameroun a fait l’objet de plusieurs attentats-suicides, l’on n’a pas de peine à se convaincre qu’après le Nigeria, le Cameroun semble la deuxième fixation des « barbus » nigérians.

Les autorités camerounaises ont pris des mesures énergiques voire radicales

C’est dans ces conditions quasiment de psychose que depuis la semaine dernière, entre 3000 et 12 000 Nigérians ont été expulsés du Cameroun et renvoyés vers leur pays. Et point n’est besoin d’être grand clerc pour comprendre que ces expulsions « sont clairement la conséquence de l’intensification des activités des insurgés (islamistes) au Cameroun », comme l’a relevé un officiel de l’Agence nationale de secours nigérian.

Comme on le voit, dans le cadre de la lutte contre la nébuleuse, les autorités camerounaises n’ont pas fait dans la dentelle ; elles ont pris des mesures énergiques voire radicales. Et l’on peut aisément comprendre que ces expulsions participent d’un ensemble de mesures conservatoires initiées par les autorités pour faire face à un ennemi sournois, invisible et insaisissable. Dans ces conditions, on ne peut pas en vouloir aux autorités camerounaises d’user du principe de précaution, comme cela se passe généralement dans de telles situations, pour essayer de protéger au mieux leurs populations. D’autant plus que le pays a déjà subi de nombreuses attaques de la part de ces fous d’Allah, qui ont engendré d’énormes dégâts et des pertes en vies humaines. Si fait qu’entre les autorités et les populations, il y a une sorte de méfiance qui ne dit pas son nom, parce que l’on ne sait plus qui est qui. Il est donc compréhensible que les autorités camerounaises soient sur les dents et voient le mal partout, surtout si elles ont fait siennes l’adage selon lequel, « mieux vaut pécher par excès de précaution que par excès de confiance ».

Toutefois, l’on peut se demander si ces expulsions massives de Nigérians sont la solution face à Boko Haram. Surtout si elles devaient être systématiques. C’est peut-être une des solutions, mais c’est certainement loin d’être la panacée, surtout que tout porte à croire que beaucoup de ces exilés ont fui leur pays pour échapper aux exactions de la secte. Mais comment savoir qui est de Boko Haram et qui ne l’est pas, d’autant qu’il n’est inscrit sur le front de personne son appartenance ou non au mouvement. De plus, la secte a la fâcheuse réputation de profiter souvent des moindres failles pour mieux infiltrer les zones où elle désire sévir ou étendre son influence.

Attention à ne pas prendre l’ombre pour la proie

En tout cas, la visite du président nigérian Muhammadu Buhari à son grand voisin camerounais, qui était censée redynamiser les relations entre les deux pays en vue de lutter contre cet ennemi commun, risque de prendre un coup, avec ces expulsions de Nigérians. Et il faut craindre que cela ne mette à mal la collaboration entre les deux Etats, dans la lutte contre la secte. Car, comment s’entendre pour combattre un ennemi commun quand des concitoyens sont expulsés par l’autre partie ?

En attendant une réaction des autorités nigérianes, c’est Boko Haram qui peut pavoiser. Car cela fait bien son affaire. Et en la matière, il est heureux de constater que le Niger et le Tchad, deux autres pays fortement engagés dans la lutte contre Boko Haram, n’imitent pas cet exemple camerounais qui pourrait même fragiliser la coalition. D’où la nécessité de ne pas céder à la panique et de garder toute sa clairvoyance. Bien entendu, il n’est pas question de défendre des individus en situation irrégulière. Surtout que dans un tel contexte sécuritaire, quand on n’a pas de papier, on est logiquement suspect. Du reste, beaucoup de pays procèdent régulièrement à des expulsions d’individus en situation irrégulière sur le continent. Mais. Car Abubakar Shekau et sa bande de criminels ont plus d’un tour dans leur sac. Et au moment où les autorités camerounaises focalisent leurs actions sur les ressortissants nigérians, ils peuvent bien en profiter pour se faire des adeptes au sein des populations camerounaises, si ce n’est déjà fait. Alors, prudence d’accord, mais vigilance surtout.

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30 juillet 2015 4 30 /07 /juillet /2015 01:06

Le gouvernement gabonais a procédé, le 3 août 2015, au rapatriement de 460 immigrés sans titre de séjour. Parmi eux, 130 Maliens, 84 Burkinabé, 60 Sénégalais, 40 Togolais, 38 Nigérians, 20 Béninois, 8 Ghanéens et 3 Gambiens.

A Libreville,

Selon le ministre de l’Intérieur, Guy Bertrand Mapangou, « le gouvernement de Côte d’Ivoire a pris en charge les frais de transport de ses 10 ressortissants dans le cadre de cette opération ». Il ajoute que « tous ces immigrés clandestins, interpellés lors des contrôles de routine quotidiens, et ceux des prisonniers ayant purgé leurs peines, ont été hébergés dans un centre national de rétention administrative qui dispose de toutes les commodités nécessaires à la vie humaine ».

Le Gabon compte accentuer la lutte cotre l’immigration clandestine « par des actions vigoureuses à l’intérieur de son territoire comme aux frontières, pour réduire l’ampleur du phénomène à travers les opérations de reconduite aux frontières tout en procédant à la régularisation pour ceux qui doivent l’être. Tout ceci, dans le respect des normes internationales et instruments internationaux en la matière ».

Au mois de juin dernier, 428 immigrés clandestins, tous ressortissants de l’Afrique de l’Ouest, ont été expulsés également du territoire gabonais et reconduits dans leurs pays d’origine.

L’ONG sénégalaise Horizon sans frontière accuse régulièrement les autorités gabonaises d’avoir peu de respect pour les droits des migrants installés sur leur territoire. Cette accusation est récusée par le gouvernement à travers de nombreuses communications et sorties médiatiques.

Pays pétrolier, le Gabon attire et accueille de nombreux immigrés à la recherche d’un mieux-être et surtout du travail. Mais ces dernières années, la crise économique additionnée à la chute du prix du baril de pétrole est en train d’obliger les autorités à revoir leur politique en matière d’immigration. D’où les récentes reconductions aux frontières des sans-papiers.

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29 juillet 2015 3 29 /07 /juillet /2015 12:09


Un artiste ivoirien répondant au nom de José du Bonheur a tenté de s’immoler par le feu devant les locaux du Burida, selon une source proche de cette structure. Celui-ci aurait reçu 11.000 frs, comme droit d’auteur. L’auteur du fameux titre «Gah» dans les années 90, est entré dans tous ses états et a tenté de s’immoler ,pour marquer son mécontentement. N’eut été l’intervention du personnel du Burida, l’infortuné aurait vraiment mis à exécution sa menace.

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29 juillet 2015 3 29 /07 /juillet /2015 12:07

Elim. Mondial 2018 : Finke en toute confiance

À l’issue du tirage au sort de la prochaine coupe du monde, Volker Finke semble confiant. Selon lui, le Cameroun dispose de tous les atouts pour venir à bout de son premier adversaire des éliminatoires de la Coupe du monde de Russie 2018. Les Lions Indomptables affronteront au premier tour, le vainqueur du match entre le Niger et la Somalie.

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« Je suis convaincu que nous allons passer au troisième tour », rassure le tacticien allemand.

Parmi les nations africaines concernées par ce tirage au sort qui a eu lieu samedi dernier à Saint-Petersbourg en effet, le Cameroun fait partie des rares qui connaissent mieux le chemin qui mène à une phase finale de Mondial. Et son record d’invincibilité à domicile dans la compétition tient toujours. Le dernier pays à être reparti de la tanière des Lions Indomptables avec une victoire reste le Congo. C’était le 31 octobre 1976. Depuis, aucune équipe n’a réussi cet exploit. Et c’est par la main de Samuel Eto’o, assistant de ce tirage au sort préliminaire, que la sélection camerounaise a été fixée sur son sort. L’ancien capitaine des Lions Indomptables a pesé une autre fois sur le destin de son pays.

L’encadrement technique mis de côté

Or si des sources Camfoot révèlent que Volker Finke n’a pas au programme (comme plusieurs sélectionneurs nationaux, ndlr) d’assister au tirage au sort en direct de Saint-Pétersbourg, la réalité est que, aucun membre de l’encadrement technique des Lions Indomptables ne l’y a représenté. Pourtant, « Volker Finke souhaitait la présence du Team manager (Alphonse Tchami, ndlr.) ou d’un autre membre de l’encadrement technique dans la délégation qui s’est rendue en Russie pour cette cérémonie », a-t-on appris. Sa demande n’aurait pas été prise en compte. Le Cameroun aurait finalement été représenté par le professeur Joseph Owona, président du Comité de normalisation de la Fécafoot, son Directeur de cabinet, Gwet Matip, le Coordonnateur général des sélections nationales de football, Pierre Claver Oyono et un membre de la Commission des compétitions internationales.

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29 juillet 2015 3 29 /07 /juillet /2015 12:03

Selon une source de La Météo, Peter Agbor Tabi a quitté précipitamment le Cameroun en direction de Neuilly en France, le 22 juillet. L’ancien ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique a actuellement interné à l’hôpital américain de cette ville française où il y suit, rapporte notre source, des soins appropriés. Preuve si besoin en était encore qu’il n’était plus en possession de toutes ses capacités physiques nécessaires pour le plein exercice de la fonction administrative. Déjà le 3 juillet, il était apparu affaibli, amaigri et blême sur le tarmac de l’aéroport international de Yaoundé-Nsimalen, pour accueillir le chef de l’État français, François Hollande, en visite officielle au Cameroun. Ce jour, indiquent des témoins, il était particulièrement nonchalant dans ses gestes et ne s’exprimait que très peu.

En remontant l’aiguille du temps, l’on se rend compte que l’ancien chancelier de l’université de Yaoundé n’avait pas assisté au bouquet offert par le couple présidentiel au Palais de l’unité, à l’occasion de la 43è édition de la fête du 20 mai. Quelques mois plus tôt, exactement le 1er mars, « Pita » fut absent à l’aéroport international de Yaoundé-Nsimalen, où des personnalités de premier plan s’étaient rendues en masse pour souhaiter bon voyage au président Paul Biya et à son épouse, Chantal, en partance pour un court séjour privé en Europe. Le 25 du même mois, lors de la célébration, à Buea, du 30e anniversaire du Rassemblement démocratique du peuple camerounais (Rdpc), il n’a pas pu assister jusqu’à son terme au meeting organisé à cet effet dans la capitale régionale du Sud-Ouest. L’homme s’était alors écroulé, à la stupéfaction générale, devant les militants, pendant la marche de soutien au président national du parti, Paul Biya.

Mais de toutes les absences remarquées, l’on retiendra celle du 8 janvier dernier lors de la cérémonie de présentation des vœux des corps constitués de la nation au chef de l’État. Certains avaient alors invoqué un malaise subit ; d’autres des pratiques mystiques ayant conduit à une grosse fatigue. En tout cas, les problèmes de santé du Sga/Pr interviennent au moment où il est cité dans la presse parmi les candidats sérieux à la tête du gouvernement, en remplacement de Philemon Yang.La décrépitude de la santé du secrétaire adjoint de la présidence de la République (Sga/Pr) a nécessité une prise en charge à l’hôpital américain de Neuilly.

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29 juillet 2015 3 29 /07 /juillet /2015 12:01

Des documents et ordinateurs ont été emportés, pendant que le Directeur Général de la Recherche Extérieure (Dgre) Léopold Maxime Eko Eko était en visite à Maroua à la suite du ministre délégué à la présidence de la République chargé de la Défense, Edgar Alain Mebe Ngo’o. À en croire le quotidien Mutations de ce lundi 27 juillet 2015, « dans la nuit de mercredi à jeudi, des individus pénètrent par effraction dans le cabinet et le bureau d’Eko Eko. Ils emportent des documents importants et des ordinateurs ».

Ce forfait a eu lieu au 14e étage du nouveau bâtiment de la Direction Générale de la Recherche Extérieure, où des rideaux ont été démontés et laissés au sol. Chose étrange, les cambrioleurs ont aussi visité un bureau du troisième étage, qu’ils ont fouillé méticuleusement.

Le journal ajoute au sujet des suspects : « Suite à ce cambriolage, un commissaire de police serait actuellement en garde-à-vue. Des sources parlent du fils d’un ancien ambassadeur camerounais. De plus, les téléphones portables de tous les agents en service au cabinet du Dgre ont été confisqués, pour des besoins d’enquête ».

Au sein de la Direction Générale de la Recherche Extérieure, les hypothèses divergent, rapporte le journal. Pour certains, ce sont là des manifestations d’une bataille entre des collaborateurs de Léopold Maxime Eko Eko pour de « juteux avantages octroyés par la hiérarchie ».

« D’autres agents invoquent une « mise en scène » du Dgre, question de « se victimiser », conclut le journal. Pendant qu’il était en visite à Maroua à la suite du ministre délégué à la présidence de la République chargé de la Défense, Léopold Maxime Eko Eko a subi un cambriolage en règle de ses services et de son cabinet.

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29 juillet 2015 3 29 /07 /juillet /2015 11:59

Le technicien a rendu son tablier après l’humiliation subie face à Colombe du Dja et Lobo lors de la 26ème journée du championnat national Ligue 2. C’est Ndjé Biba qui s’active avec les joueurs du Racing Fc de Bafoussam à préparer la réception ce mercredi 29 juillet 2015, de Dynamo Fc de Douala au stade de Bamendzi, en match comptant pour la 27ème journée du championnat national Ligue 2.

Le 28 juillet 2015

L’entraîneur qui officiait jusque-là comme adjoint, a pris les rênes de l’équipe après le départ le weekend dernier de Jean Claude Yéréma. Celui qui officiait depuis le début de la saison comme entraineur principal des rouge et blanc de Bafoussam, a rendu son tablier au terme de l’humiliante défaite (3-0) infligée par Colombe du Dja et Lobo lors de la 26ème journée.

Depuis le début de la phase retour du championnat national Ligue 2, les relations souvent tendues entre Jean Claude Yéréma et les supporters du Tpo, se sont envenimées. La faute à une disette sévère de bons résultats. Lors de ses neuf dernières rencontres en effet, le Racing de Bafoussam affiche un bilan plutôt piètre. Soit deux victoires (2-0, face à Ngoktoundja Fc de Ndop ; 1-0, contre As Belabo). A côté de ces deux victoires, cette équipe a réalisé trois matches nuls (1-1, face à Dynamic de Buéa ; 1-1, contre National polytechnc de Bamenda ; puis 0-0 devant Université de Ngaoundéré). Les défaites, elles, sont au nombre de quatre. Le Racing est allé s’incliné à Douala devant Dac 2000 (1-0), a essuyé un autre revers face à Aigle de la Menoua à Dschang (2-1) ; puis est tombé contre Eding de la Lékié (2-1), avant la cuisante défaite concédée face Colombe du Dja et Lobo (3-0). Pour ces statistiques, le Racing a seulement engrangé 9 points sur 27 possibles. Un bilan peu reluisant qui a poussé Jean Claude Yéréma à quitter les choses avant qu’elles ne le quittent. Surtout qu’en déclarant lors d’une interview que « l’objectif du Racing cette saison c’est le maintien », il s’était attiré les foudres des supporters.

Malgré la désignation illico presto de Ndjé Biba qui avait conduit cette équipe du championnat régional de l’Ouest à la Ligue 2, les dirigeants du Tpo voudraient certainement mettre tous les moyens à sa disposition. Un congrès convoqué par le Pca Samuel Wembé, est annoncé ce dimanche 2 aout 2015 à 9 heures, dans la salle des conférences de la communauté urbaine de Bafoussam. Le principal point à l’ordre du jour, est la collecte des fonds pour étoffer les caisses du Tpo.

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29 juillet 2015 3 29 /07 /juillet /2015 11:56

Dans un communiqué rendu public par le Quotidien Cameroon Tribune, édition du lundi 27 juillet 2015, le Ministère de la Santé Publique annonce une résurgence d’épidémie de rougeole sur l’étendue du territoire camerounais. « Le Ministre de la Santé publique informe les populations que le Cameroun connait une résurgence d’épidémie de rougeole sur l’étendue du territoire national. » Indique le communiqué qui précise ensuite que la rougeole est « une maladie très contagieuse et grave, due à un virus. Elle se manifeste par une fièvre accompagnée d’une éruption cutanée, d’une toux et d’un écoulement nasal et oculaire », peut-on y lire. Le Ministre de la Santé publique invite tous les parents à conduire tout cas suspect de rougeole vers la formation sanitaire la plus proche, tout comme à faire vacciner gratuitement leurs enfants contre cette maladie, ainsi que toutes les autres évitables par la vaccination.

Le virus de la rougeole est un morbillivirus de la famille des Paramyxoviridae. La maladie atteint essentiellement les enfants à partir de l’âge de 5-6 mois. Le virus de la rougeole se transmet par les gouttelettes de salive en suspension dans l'air. Il peut également se propager par contact direct avec les sécrétions du nez ou de la gorge de personnes infectées. Le virus ainsi éjecté reste dangereux pendant au moins 30 min. Il survit peu de temps sur les objets et les surfaces.

La période de propagation du virus commence 2 à 4 jours avant l'apparition de l'éruption cutanée. Selon les chiffres du Ministère camerounais de la santé publique, la maladie a tué 16 personnes dans le pays en 2014. Au début du mois de juillet 2015, deux morts des suites de rougeole, sur 106 personnes atteintes ont été signalés dans le District de santé de Benakouma, dans la région du Nord-Ouest. Un évènement malheureux qui avait poussé Adolphe Lele L’Afrique, le Gouverneur de cette partie du pays à ordonner des autorités sanitaires locales, l’organisation d’une campagne de vaccination contre cette maladieLes parents sont appelés à conduire tout cas suspect vers la formation sanitaire la plus proche et à faire vacciner gratuitement leurs enfants.

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