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22 août 2015 6 22 /08 /août /2015 12:23

Signés sous la direction successive de Van Elk, Matthijs Boertien et Mbotto Edimo, ces contrats seraient la cause de la défaillance de l’entreprise. D’après le quotidien La Nouvelle Expression, édition du vendredi 21 août 2015, Camair-co est liée à, «150 contrats dont plus de 70 sont fictifs». Parmi ces contrats, les plus acerbes sont ceux des aéronefs et des pilotes.

En effet, souligne le journal, dès le lancement de la compagnie, les critères de recrutement fixés par le directeur général en la personne de Van Elk sont problématiques. En fait, le décret 2006/293 du 11 septembre 2006 créant Camair-co prévoit en son article 8, le recrutement prioritaire des agents de l’ex Camair. Pourtant, la réalité est tout autre. Contre toute attente, l’équipe conduite par Monsieur Alex Van Elk ne va recruter en partie que les nouveaux pilotes sans la moindre expérience.

De même, précise La Nouvelle Expression, les conditions sont montées de toutes pièces pour écarter les pilotes locaux. Les quelques pilotes camerounais, anciens de la Camair, ont été recrutés sous la pression des syndicats. De plus, alors que les pilotes immigrés sont recrutés sans consultation de la tutelle, ceux-ci sont tout aussi inexpérimentés. Par conséquent, ils vont bénéficier des formations les qualifiants aux Boeing et ceci entièrement pris en charge par la compagnie nationale. « Le cas de l’espagnol Eduardo Fairen Soria est assez indicatif. Sa qualification comme pilote de Boeing 767-300 va coûter près de 18 millions à la compagnie », indique le journal.

Au-delà de ces recrutements fantaisistes, la marge salariale entre les deux catégories, pilotes locaux et immigrés est aussi surprenante. Un tour sur les contrats des pilotes immigrés proprement dit, laisse transparaître une marge assez scandaleuse.

En effet, La Nouvelle Expression souligne que pendant qu’un commandant de bord instructeur de nationalité Camerounaise gagne autour de 2 500 000Fcfa, ceux immigrés fournis par la société Parc Aviation Limited ont respectivement 5.248.000 Fcfa pour le commandant de bord instructeur. Le commandement de bord encadreur en vol perçoit quant à lui 4. 920. 000 Fcfa. 4.592.000 Fcfa et 2.296.000 Fcfa, respectivement pour le commandant de bord et le copilote. Des montants qui connaissent 618.420 Fcfa de surplus.

Pendant près de trois ans, la compagnie a déboursé ce surplus pour les 14 pilotes immigrés recrutés. Ce qui fait près de 333.946.800 Fcfa perdu pendant toutes ces années. Ces contrats jugés inopportuns et coûteux par le Syndicat des Travailleurs des Transporteurs Aériens, restent un poids lourd sur le fonctionnement de la compagnie aujourd’hui, souligne le journal.

Selon le quotidien, la nouvelle direction a tout le mal du monde à démanteler ce réseau très solidement ancré. Il indique par ailleurs que selon des informations introduites, les syndicats n'entendent pas lâcher prise. Et envisage-même d'ester en justice. Des rebondissements en perspective.Les contrats mirobolants des pilotes immigrés seraient pointés du doigt comme l’un des handicapes à la relance de «l’Etoile du Cameroun»

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22 août 2015 6 22 /08 /août /2015 12:23

Signés sous la direction successive de Van Elk, Matthijs Boertien et Mbotto Edimo, ces contrats seraient la cause de la défaillance de l’entreprise. D’après le quotidien La Nouvelle Expression, édition du vendredi 21 août 2015, Camair-co est liée à, «150 contrats dont plus de 70 sont fictifs». Parmi ces contrats, les plus acerbes sont ceux des aéronefs et des pilotes.

En effet, souligne le journal, dès le lancement de la compagnie, les critères de recrutement fixés par le directeur général en la personne de Van Elk sont problématiques. En fait, le décret 2006/293 du 11 septembre 2006 créant Camair-co prévoit en son article 8, le recrutement prioritaire des agents de l’ex Camair. Pourtant, la réalité est tout autre. Contre toute attente, l’équipe conduite par Monsieur Alex Van Elk ne va recruter en partie que les nouveaux pilotes sans la moindre expérience.

De même, précise La Nouvelle Expression, les conditions sont montées de toutes pièces pour écarter les pilotes locaux. Les quelques pilotes camerounais, anciens de la Camair, ont été recrutés sous la pression des syndicats. De plus, alors que les pilotes immigrés sont recrutés sans consultation de la tutelle, ceux-ci sont tout aussi inexpérimentés. Par conséquent, ils vont bénéficier des formations les qualifiants aux Boeing et ceci entièrement pris en charge par la compagnie nationale. « Le cas de l’espagnol Eduardo Fairen Soria est assez indicatif. Sa qualification comme pilote de Boeing 767-300 va coûter près de 18 millions à la compagnie », indique le journal.

Au-delà de ces recrutements fantaisistes, la marge salariale entre les deux catégories, pilotes locaux et immigrés est aussi surprenante. Un tour sur les contrats des pilotes immigrés proprement dit, laisse transparaître une marge assez scandaleuse.

En effet, La Nouvelle Expression souligne que pendant qu’un commandant de bord instructeur de nationalité Camerounaise gagne autour de 2 500 000Fcfa, ceux immigrés fournis par la société Parc Aviation Limited ont respectivement 5.248.000 Fcfa pour le commandant de bord instructeur. Le commandement de bord encadreur en vol perçoit quant à lui 4. 920. 000 Fcfa. 4.592.000 Fcfa et 2.296.000 Fcfa, respectivement pour le commandant de bord et le copilote. Des montants qui connaissent 618.420 Fcfa de surplus.

Pendant près de trois ans, la compagnie a déboursé ce surplus pour les 14 pilotes immigrés recrutés. Ce qui fait près de 333.946.800 Fcfa perdu pendant toutes ces années. Ces contrats jugés inopportuns et coûteux par le Syndicat des Travailleurs des Transporteurs Aériens, restent un poids lourd sur le fonctionnement de la compagnie aujourd’hui, souligne le journal.

Selon le quotidien, la nouvelle direction a tout le mal du monde à démanteler ce réseau très solidement ancré. Il indique par ailleurs que selon des informations introduites, les syndicats n'entendent pas lâcher prise. Et envisage-même d'ester en justice. Des rebondissements en perspective.Les contrats mirobolants des pilotes immigrés seraient pointés du doigt comme l’un des handicapes à la relance de «l’Etoile du Cameroun»

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22 août 2015 6 22 /08 /août /2015 12:19

[Vidéo] Violente altercation entre Kweuke et son coach

Que s’est-il passé entre l’international camerounais et Hikmet Karaman ? Les images montrant une violente altercation verbale entre les deux hommes ont fait le tour du monde. De tempérament calme et réservé, Kweuke est sorti de ses gonds et pas pour rien.

13

africapress.com a appris que le technicien turc a été irrévérencieux envers son attaquant au moment de tirer un penalty. Contre Genclerbirligi, Rizespor est mené au score (1-2) jusqu’à la 87e minute de jeu. Pour une faute de main dans la surface, le central n’hésite pas et accorde un penalty aux visiteurs. Maître de cet exercice, Kweuke avance et prend le ballon. Ce qui n’est pas du goût de Hikmet Karaman qui désigne un autre tireur. Le technicien turc s’en prend alors à l’attaquant camerounais avec une violence verbale d’un autre temps. Très remonté, et malgré l’insistance de son coéquipier, Kweuke décide de prendre ses responsabilités. Il tire, marque et permet à son équipe de revenir dans la partie.

Ce qui ne semble pas arranger les choses puisque son entraineur (avec des gestes de la main) lui fait comprendre qu’ils vont régler cette affaire. La réponse de l’attaquant est proportionnelle. Aucun crime n’étant parfait, Kweuke marque le but de la victoire (3-2) dans les prolongations et permet à son équipe de remporter trois précieux points.

Dans un mélange de joie et de rage, on voit l’international camerounais verser quelques larmes. De tempérament calme et réservé, il a été touché dans son orgueil. Une blessure qu’il a eu du mal à contenir au moment de jubiler avec le public massé dans les gradins.

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22 août 2015 6 22 /08 /août /2015 12:19

[Vidéo] Violente altercation entre Kweuke et son coach

Que s’est-il passé entre l’international camerounais et Hikmet Karaman ? Les images montrant une violente altercation verbale entre les deux hommes ont fait le tour du monde. De tempérament calme et réservé, Kweuke est sorti de ses gonds et pas pour rien.

Le 19 août 2015

13

africapress.com a appris que le technicien turc a été irrévérencieux envers son attaquant au moment de tirer un penalty. Contre Genclerbirligi, Rizespor est mené au score (1-2) jusqu’à la 87e minute de jeu. Pour une faute de main dans la surface, le central n’hésite pas et accorde un penalty aux visiteurs. Maître de cet exercice, Kweuke avance et prend le ballon. Ce qui n’est pas du goût de Hikmet Karaman qui désigne un autre tireur. Le technicien turc s’en prend alors à l’attaquant camerounais avec une violence verbale d’un autre temps. Très remonté, et malgré l’insistance de son coéquipier, Kweuke décide de prendre ses responsabilités. Il tire, marque et permet à son équipe de revenir dans la partie.

Ce qui ne semble pas arranger les choses puisque son entraineur (avec des gestes de la main) lui fait comprendre qu’ils vont régler cette affaire. La réponse de l’attaquant est proportionnelle. Aucun crime n’étant parfait, Kweuke marque le but de la victoire (3-2) dans les prolongations et permet à son équipe de remporter trois précieux points.

Dans un mélange de joie et de rage, on voit l’international camerounais verser quelques larmes. De tempérament calme et réservé, il a été touché dans son orgueil. Une blessure qu’il a eu du mal à contenir au moment de jubiler avec le public massé dans les gradins.

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22 août 2015 6 22 /08 /août /2015 12:14

Dans la version du gouvernement publiée par notre confrère, sous le titre tonitruant: «Secousse dans le sérail: un gouvernement a avorté le 06 Août »Tous les responsables des services de défense et de sécurité sont limogés. Alors que les résultats engrangés par l’armée, la police et les services spéciaux sur le terrain de la lutte contre la secte Boko Haram sont de loin insatisfaisants !

Selon les révélations contenues dans le périodique Le Devoir N°145 en kiosque, Paul Biya avait essayé de remanier son gouvernement le jeudi 06 Août 2015. D’après les mêmes indiscrétions, le président de la république ne se serait ravisé qu’à la dernière minute.

Le Gouvernement

Photo: (c) -

Dans ce que le tabloïd de notre confrère Harris Robert Mintya Meka choisi de désigner par, le gouvernement avorté du 06 Août 2015 ( constitué de 30 sortants et de 28 entrants), on retrouve non seulement des départs fracassants, symbolisés par celui de l’actuel locataire de l’immeuble étoile Yang Philémon remplacé par Elvis Ngolè Ngolè, mais aussi des permutations significatives, à l’instar de celle du Ministre directeur du cabinet civil Martin Belinga Eboutou nommé Ministre d’Etat en charge de la justice et garde des sceaux, en lieu et place de Laurent Marie Esso nommé comme Ministre d’Etat aux finances. Ebot Ebot Enow devient le ministre des postes et télécommunications au grand malheur de Biyiti Bi Essam, lui également emporté par la bourrasque. Dans la même lancée, Fouda Séraphin Magloire remplace Luc Magloire Mbarga Atangana au ministère du commerce.

Alain-Noël Mekoulou Akame Mvondo : SG de la primature

Dans le gouvernement publié à la page 5 du périodique Le devoir, Edgar Alain Mebe Ngo’o quitte le gouvernement et le ministère de la défense où il est suppléé par Jules Marcelin Ndjaga. L’autre « fils »du président de la république, Louis Paul Motaze quitte le secrétariat général des services du premier ministre et le gouvernement, au profit de l’actuel DG de la CNPS Noël Olivier Mekulu Mvondo Akame. Entre-temps, les rênes du ministère de la communication sont confiées au journaliste émérite Charles Pythagore Ndongo, alors qu’Aminatou Ahidjo est faite Secrétaire d’Etat à la santé publique.

Benjamin Amama Amama signe son retour aux affaires comme ministre délégué à la présidence en charge du contrôle supérieur de l’Etat, strapontin occupé jusque là par Henri Eyebe Ayissi limogé. Le professeur Laurent Serge Etoundi Ngoa atterri au secrétariat général de la présidence de la république, en laissant son maroquin des petites et moyennes entreprises à l’homme d’affaires Sylvestre Ngouinchingue dit « Congelcam »- pendant que Didier Gilbert Edoa, l’actuel SG du Minepat reprend le ministère de l’agriculture des mains d’Essimi Menye, lui aussi viré. L’ancien ministre de l’enseignement supérieur des années de braise, Abouem A Tchoyi devient Ministre directeur du cabinet civil.

Au ministère des enseignements secondaires, le professeur Pierre Moukoko Mbonjo succède à Louis Bapès Bapès congédié. A la santé publique, Philippe Mbarga Mboa remplace André Mama Fouda, un autre sortant.

Dans les services de défense et de sécurité, on note le limogeage systématique de tous les responsables. En dehors du ministère de la défense ; au SED en charge de la gendarmerie nationale, Koumpa Issa remplace Jean-Baptiste Bokam éconduit. A la police, l’ancien gouverneur de province Albert Ekono Nna prend les commandes au détriment de Martin Mbarga Nguelé remercié. A la direction générale de la recherche extérieure, EKO Emile succède à son homonyme et éternel rival Léopold Maxime Eko.

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22 août 2015 6 22 /08 /août /2015 12:13

Préoccupation au menu de la concertation des douanes du Cameroun, de la Rca et du Tchad ouverte hier à Douala.

C’est un « paradoxe », selon le gouverneur de la région du Littoral. De nombreux containers en transit pour la République centrafricaine (Rca) restent bloqués au port de Douala alors que toutes les formalités douanières ont été bouclées (« plus de 3000 », d’après la douane). Joseph Beti Assomo manifestait ainsi son étonnement hier, 20 août 2015, en ouvrant, au nom du ministre des Finances, une réunion de concertation entre les directeurs généraux des douanes du Cameroun, de la Rca et du Tchad. Relevée également par le Dg des douanes du Cameroun, la situation a été qualifiée de « contreproductive » par le représentant du Minfi, qui a ajouté qu’elle « charrie des conséquences fâcheuses ». Pas bon du tout pour la coopération économique sous-régionale.

Les acteurs en concertation depuis hier ont donc été invités, entre autres choses, à réfléchir à ce problème. Le menu des travaux prévoyait d’ailleurs une présentation de la Douala international Terminal (Dit) à ce sujet. Au-delà de la solution attendue pour ce point précis, les experts et acteurs en réunion jusqu’à ce jour doivent également œuvrer à la facilitation et à la sécurisation du transit – et notamment « la fluidification du transit » sur les corridors – ainsi qu’au développement du commerce international. Evidemment, l’effort d’aller dans ce sens doit aussi être consenti par les partenaires privés de la chaîne logistique des transports et du commerce extérieur.

Des partenaires dont le Dg des douanes camerounaises, Minette Libom li Likeng a salué la participation aux travaux, rappelant qu’ils s’inscrivaient en droite ligne d’un cycle inauguré en juillet 2012 toujours à Douala. Il avait été arrêté, outre l’institutionnalisation d’un cadre de concertation périodique offrant aux administrations des douanes des trois pays la possibilité d’harmoniser leurs positions sur des sujets d’intérêt commun, l’extension du système Nexus+ aux administrations douanières de la Rca et du Tchad.

S’agissant de ce dernier pays, Minette Libom li Likeng a rappelé une réunion tenue à N’Djamena en fin mai 2015, et dont les principales résolutions ont porté sur la création de ports secs à Ngaoundéré, Belabo et Edéa, la mise en place du titre de transit rail-route, entre autres choses.

Outre les trois pays susmentionnés, il a été question de la Cemac tout entière à l’ouverture des travaux hier. Les ambitions pour une meilleure intégration ne manquent pas : interconnecter les systèmes informatiques douaniers des Etats membres, développer et professionnaliser les acteurs des transports, améliorer le réseau routier Douala/N’Djamena et Douala/Bangui, et développer le réseau ferroviaire, mettre en place un suivi des cargaisons par géo-localisation et par radiocommunication, etc

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22 août 2015 6 22 /08 /août /2015 12:09

Le quotidien Le Messager, dans sa livraison du vendredi 21 août 2015, rapporte que des escouades de policiers en civil et en uniformes ont envahis l’enceinte de la maison de la radio à Yaoundé, le jeudi 20 août 2015, suite à une rumeur de grève du personnel de la radio sis au quartier Nlongkak.

Pourtant, il n’en était rien. « Une folle rumeur a dû atteindre la police. Mais il se pose un véritable problème de renseignement à la police. Sinon, comment le Délégué général a-t-il pu autoriser le débarquement d’escouades des policiers dans l’enceinte de la maison de la radio, sans avoir la certitude d’un mouvement de débrayage », a expliqué un journaliste au reporter du journal.

« Les policiers sont arrivés et ont constaté qu’il n’y avait rien », a confié au journal un délégué du personnel de la structure. Cependant, à en croire ce dernier, l’ambiance est pesante, électrique, et empreinte de colère. de chagrin, de frustrations diverses et de morosité. « Elle est à même de faire imploser la maison », écrit Le Messager.

Aux sources du mal, les politiques sociales qui seraient mal explorées et réglementée, un grand nombre de retraités ne cache plus sa colère. En effet, le journal indique qu’il existe un malaise profond à la CRTV-Radio. Un climat délétère qui pourri la maison. A savoir : la sempiternelle question des départs à la retraite, du traitement arbitraire, indigne et frustrant des retraités. Mais surtout la discrimination sur les âges de départ à la retraite et le mauvais calcul des droits qui deviennent dérisoires à la perception.

Le Messager informe qu’il y a deux types de personnel à la CRTV. Les personnels fonctionnaires et en détachement, et les personnels directement recrutés par la direction générale. Alors que les fonctionnaires vont à la retraite à l’âge de 55 ans, l’autre catégorie atteint l’âge limite à 60 ans. « La situation s’arrangerait si on venait à appliquer la résolution du conseil d’administration qui entrevoit le départ à la retraite pour tous à l’âge de 60 ans », indique le journal.Une rumeur sur une grève que projetaient les retraités de l’office de radiodiffusion du Cameroun, indignés par le non payement de leur droit a poussé la police à débarquer illico presto sur les lieux.

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22 août 2015 6 22 /08 /août /2015 12:08

Assemblee Nationale

Photo: (c) Archives


L’Assemblée nationale vient de recevoir les factures d’électricité, de téléphone et d’internet pour le mois de juillet. Selon les quotidien de ce vendredi 21 août 2015 « si les factures d’électricité, de téléphone présentent des marges dans les limites de l’acceptables, c’est davantage la note de connexion internet qui fait bondir les quatre questeurs du palais de verre de Ngoa-Ekelle ».

« Entre 15 et 17 millions de FCFA » relève l’honorable Kamssouloum Abba Kabir ». « L’Assemblée nationale n’est pas une start-up ou une structure dans le genre qui consomme beaucoup de connexion internet pour son fonctionnement. Nous avons tout au plus besoin d’internet pour les recherches et la messagerie. Rien ne justifie un débit important », explique le député.

Qu’est ce qui explique donc que les factures internet apparaissent aussi salées ? S’interroge le journal. Le député RDPC du Logone et Chari soupçonne les personnels de procéder à des téléchargements ou au visionnage de vidéo en ligne. « Nous allons lancer une opération de recensement des appareils connectés de l’Assemblée nationale pour savoir qui consomme quoi. Il apparait évident que certains utilisent la connexion internet pour réaliser des travaux qui n’ont rien à voir avec leurs fonctions », soutient- il.

Selon le journal « pour mettre fin à ce laisser aller, et réduire les consommations du palais de verre de Ngoa ekelle, le président de l’Assemblée nationale a marqué son accord pour que soit, tout d’abord recensé le matériel connecté, et ensuite que soit menée une campagne de sensibilisation auprès du personnel. Il s’agira de faire l’inventaire de tous les appareils, publics ou privés, utilisées à l’Assemblée nationale ».

« De cette façon, nous pourront savoir qui consomme quoi, de sorte à pouvoir identifier les pics de consommation. Ce qui nous permettra de mettre en adéquation ce que nous avons, avec ce que nous devons payer », explique le député Kamssouloum.

L’autre mesure annoncée concerne l’installation dans les prochains jours d’un contrôleur de bande passanteLa facture du mois de juillet que vient de servir l’entreprise Camtel a mis en émoi la représentation nationale.

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22 août 2015 6 22 /08 /août /2015 12:06

« Le ministère ne les a pas accrédités, c’est ce que nous avons appris. Ils disent que les moyens sont limités et qu’on ne peut pas prendre tout le monde en charge », a soufflé à Camfoot une source à la Fédération camerounaise de football (Fécafoot). Dès lors, les responsables suscités n’ont pas daigné se joindre au groupe d’Enow Ngachu, en stage depuis le 11 août dernier à l’Hôtel des Députés de Yaoundé.

La trentaine de joueuses retenues par le sélectionneur national peaufine donc sa préparation en l’absence de quelques professionnelles. L’entraineur pourra néanmoins compter sur les présences de Madeleine Ngono Mani, de Falone Meffomettou, d’Annette Ngo Ndom ou encore de Christine Manie pour tenter de venir à bout du Ghana, de l’Egypte et de l’Afrique du Sud dans la poule A.Les Lionnes indomptables seront orphelines d’une partie de leur encadrement [administratif] lors des XIes Jeux africains au Congo en septembre prochain. Le Team Manager Albert Francis Dicka, la Team press officer Leocadia Bongeben, et de la Team Security Rose Vianey Kakamou, ne seront pas dans la tanière des Lionnes à Brazzaville comme ils l’ont souvent été lors des autres compétitions, pour des raisons budgetaires.

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22 août 2015 6 22 /08 /août /2015 12:05

En présence d’une foule bigarrée, Philémon Yang, le Premier ministre, a présidé la cérémonie de remise des attributs aux cinq colonels de l’armée de terre promus au grade de général de brigade le 13 aout 2015 par un décret du chef de l’Etat Paul Biya.

Bien qu’étant le représentant de Paul Biya, le chef suprême absent du pays depuis cinq jours, Philémon Yang a vécu l’événement depuis la tribune d’honneur comme les autres membres du gouvernement et autres personnalités qui ont effectué le déplacement. Les désormais généraux de brigade Ezo’o Mvondo Simon, Jacob Kodji, Valère Nka’a, Ndonkep Mehomy Fréderic et Bouba Dobekréo ont reçu directement des mains d’Edgard Alain Mebe Ngo’o, ministre délégué à la présidence en charge de la défense, leurs attributs constitués pour chacun, de deux épaulettes de couleur verte frappées de deux étoiles, d’une casquette et d’un fanion.

Après avoir reçu ces nouvelles charges dans une ambiance pleine de solennité, les heureux élus ont reçu des chaleureuses félicitations du chef du gouvernement, de leurs familles, des amis et autres connaissances. Face aux micros des médias venus en nombre pour la circonstance, les cinq officiers supérieurs désormais en plein dans le cercle très fermé des généraux, ont spontanément pris l’engagement de mettre hors d’état de nuire les insurgés de la secte Boko Haram. « Nous nous engageons résolument et fidèlement, de nous battre jusqu’au sacrifice suprême s’il le faut pour remplir notre mission » a déclaré le général de brigade Jacob Kodji, commandant de la Région militaire interarmées numéro 4 qui comprend une partie de la région du Nord et toutes l’Extrême-nord, la seule région camerounaise qui subit depuis plus d’un an les exactions de la secte Boko Haram. Et pour venir à bout des djihadistes, le général Valère Nka est pressé d’aller à Ndjamena au Tchad, rejoindre le Quartier Général de la Force multinationale mixte où il a été nommé commandant en second. «Le défi immédiat, c’est l’éradication de Boko Haam. Il faut donc très rapidement rejoindre le Poste de commandement de la Force multinationale mixte à Ndjamena la semaine prochaine pour assurer avec mes camarades, la coordination des opérations »…Il y avait du beau monde ce matin du vendredi 21 août 2015 dans la Cour d’honneur de la Brigade du quartier général de Yaoundé.

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