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25 août 2015 2 25 /08 /août /2015 21:02

Les pays impliqués dans la lutte contre Boko Haram pourront à nouveau se retrouver à Paris pour envisager des actions communes. L’annonce a été faite ce mardi 25 août 2015 par François Hollande. « Dans quelques jours, je recevrai le nouveau président nigérian (Muhammadu) Buhari et je lui confirmerai que la France est prête à réunir tous les acteurs de la lutte contre Boko Haram », a déclaré le chef de l'Etat français devant les ambassadeurs de son pays réunis à Paris. « Il s'agit, ajoute-t-il, de réunir nos services, d'échanger nos informations, mais également de pouvoir agir communément dans la région ».

A en croire le président français, « Tous les pays de la région sont concernés, le Nigeria, le Cameroun, le Tchad, le Niger. Nous leur devons une solidarité sans faille, parce que ce sont des pays amis, et parce qu'il en va aussi de l'équilibre de toute l'Afrique de l'ouest », a indiqué le locataire de l’Elysée. A travers cette initiative, la France entend certainement donner un coup de pouce à la force d’intervention conjointe multinationale composée des armées du Cameroun, du Nigéria, du Tchad et du Niger qui doit incessamment être déployée dans le Nord-est du Nigéria. Les attaques de Boko Haram ont déjà fait plus de 15 000 morts en six ans, essentiellement dans le Nord-est du Nigéria.

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25 août 2015 2 25 /08 /août /2015 21:01

Les pays impliqués dans la lutte contre Boko Haram pourront à nouveau se retrouver à Paris pour envisager des actions communes. L’annonce a été faite ce mardi 25 août 2015 par François Hollande. « Dans quelques jours, je recevrai le nouveau président nigérian (Muhammadu) Buhari et je lui confirmerai que la France est prête à réunir tous les acteurs de la lutte contre Boko Haram », a déclaré le chef de l'Etat français devant les ambassadeurs de son pays réunis à Paris. « Il s'agit, ajoute-t-il, de réunir nos services, d'échanger nos informations, mais également de pouvoir agir communément dans la région ».

A en croire le président français, « Tous les pays de la région sont concernés, le Nigeria, le Cameroun, le Tchad, le Niger. Nous leur devons une solidarité sans faille, parce que ce sont des pays amis, et parce qu'il en va aussi de l'équilibre de toute l'Afrique de l'ouest », a indiqué le locataire de l’Elysée. A travers cette initiative, la France entend certainement donner un coup de pouce à la force d’intervention conjointe multinationale composée des armées du Cameroun, du Nigéria, du Tchad et du Niger qui doit incessamment être déployée dans le Nord-est du Nigéria. Les attaques de Boko Haram ont déjà fait plus de 15 000 morts en six ans, essentiellement dans le Nord-est du Nigéria.L’annonce a été faite ce mardi 25 août 2015 par François Hollande devant les ambassadeurs français réunis à Paris.

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25 août 2015 2 25 /08 /août /2015 21:00

Les imprimés de certificat médical sont en ruptures dans les formations sanitaires de la région de l’Extrême-Nord. Les nombreux jeunes candidats aux récents concours lancés par le ministère de la Fonction publique et de la réforme administrative se voient ainsi pénaliser dans la constitution de leur dossier.

Selon la CRTV-Radio qui a relayé l’information dans son journal parlé de 8 heures ce 25 août, certains candidats sont obligés de se rendre à Garoua, chef-lieu de la région du Nord pour se faire établir ce désormais précieux sésame. Un candidat a déclaré au micro du correspondant de la radio à Maroua, capitale régionale de l’Extrême-Nord, avoir « parcouru tous les hôpitaux de Maroua. On me dit qu’il n’y a pas de certificat médical ». Un autre a avoué qu’ « il a fallu que j’appelle ailleurs, à des kilomètres pour qu’on aille me les faire signer avant de me l’envoyer ».

La situation de pénurie des imprimés de certificat médical observable en ce moment dans l’Extrême-Nord semble embarrasser les autorités locales. Alfred Deiro, Chef de service des affaires générale à la délégation régionale du ministère de la Santé publique avoue la pénurie, mais décline sa responsabilité : « Dans toutes les formations sanitaires de la région, il y a cette pénurie qui est due à la rupture que les Finances (ministère des Finances, ndlr) ont à leur niveau »

A la trésorerie générale, les responsables pensent que l’approvisionnement n’a pas été suffisant. Selon Souleyman, Chef du service de la régie des recettes : « On n’a pas eu un approvisionnement suffisant pour ravitailler l’Extrême-Nord. J’ai eu 70 carnets. Ces 70 carnets ne me permettent pas de ravitailler tout l’Extrême-Nord, mais uniquement l’hôpital régional de Maroua ».

A en croire ce dernier, la situation pourrait bien se rétablir dans les délais assez cours : « Nous sommes en train d’attendre 300 carnets de certificat médical de 900. Et les populations seront satisfaites », a-t-il déclaréLa situation qui sévit depuis un mois pénalise les nombreux jeunes candidats aux différents concours lancés par la fonction publique.

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25 août 2015 2 25 /08 /août /2015 20:59

Un jeune Somalien de 15 ans qui a pourtant été secouru ce dimanche en Méditerranée est mort sur le bateau de Médecins sans Frontières, a annoncé ce mardi l’organisation humanitaire. L’adolescent souffrait d’une maladie chronique.

Triste sort pour un jeune Somalien. Echappant à un naufrage en Méditerranée ce dimanche, l’adolescent de 15 ans est mort sur le bateau de Médecins sans Frontières qui le conduisait en Italie, a annoncé ce mardi l’organisation humanitaire. Le jeune homme souffrait d’une maladie chronique et avait été violemment battu il y a trois semaines en Libye.

Selon Médecins sans frontières, le jeune Somalien a été contraint à des travaux lourds sans avoir assez de nourriture et d’eau. « Il ne pouvait plus marcher, mais il a bien réagi aux médicaments et aux soins, avant de succomber tragiquement d’un arrête cardiaque », a indiqué l’organisation humanitaire sur Twitter. Le bateau de Médecins sans Frontières est arrivé ce mardi matin au port d’Augusta, en Sicile.

Les gardes côtes italiens n’ont pas cessé depuis samedi de porter secours aux migrants en Méditerranée. En deux jours, près de 5 000 migrants ont été sauvés en Méditerranée alors que les arrivées se poursuivent encore ce mardi en Italie. Un navire des gardes-côtes est attendu à Pozzalo, dans le sud de la Sicile, avec 466 migrants secourus ce lundi.

Depuis le début de l’année, plus de 107.000 migrants sont arrivés en Italie par la mer, tandis que 157.000 ont débarqué en Grèce, selon le décompte mardi de l’Organisation internationale pour les migrations (OIM). Plus de 2 300 autres sont morts en tentant la traversée, selon l’OIM. Face à l’affut de migrants toujours plus nombeux, l’Europe fait face à l’une des plus grande crise de son histoire. Bien que des réunions se multiplient à Bruxelles pour aborder la question de l’immigration, pour le moment l’Union européenne cherche toujours la solution. En attendant, les candidats à l’émigration en Europe, fuyant les guerres et conflits dans leur pays, sont eux toujours plus nombreux à prendre la mer.

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25 août 2015 2 25 /08 /août /2015 20:56

Le ciel est en colère contre Stéphane Mbia. Comme s’il voulait dissuader le capitaine des Lions Indomptables de se «repentir» de ses «pêchés». Depuis le scandale lié à la demande de visas qu’il a obtenu pour sa famille qui l’a rejoint en Turquie – le joueur ayant évoqué les exactions de la secte Boko Haram au Cameroun – les frasques du milieu de terrain de Trabzonspor ne font que remonter en surface. Des frasques comme l’altercation qu’il a toujours nié avoir eu avec Clinton Njié au Gabon, lors du dernier stage préparatoire de la sélection nationale pour la Coupe d’Afrique des nations (Can) de Guinée Equatoriale 2015.

«C’est notre attaché de presse qui me montre cette histoire sur internet. J'étais avec Clinton Njié. Nous avons rigolé à table. C'est vous dire les bonnes relations que j'ai avec ce joueur et avec tout le reste du groupe. Il n y a jamais eu une altercation entre Njié et moi. Je suis surpris par tout ce que j'entends ou qui se dit sur notre séjour à Malabo. Retenez donc qu'il n'y a aucun problème entre nous les joueurs», avait déclaré Stéphane Mbia le 27 janvier dernier au stade de Malabo, au cours de la conférence de presse d’avant-match entre le Cameroun et la Côte d’Ivoire. Mais ce serait un gros mensonge.

Ce qui se serait réellement passé

Des langues se sont déliées. La Nouvelle Expression a appris hier de sources internes à la sélection fanion du Cameroun que Stéphane Mbia et Clinton Njié se seraient effectivement échangés de mots violents, et qu’ils auraient même failli en venir aux mains. «La scène commence à une séance d’entraînement au Gabon. L’entraîneur avait procédé au traditionnel deux camps. Dans l’équipe qui semblait contenir les titulaires, Clinton Njié a été aligné dans le couloir offensif gauche, tandis que Benjamin Moukandjo était à droite», raconte un témoin de la scène. «Durant le jeu ajoute-t-il, Clinton Njié s’est rendu compte que Mbia préférait passer la balle uniquement à Moukandjo, même quand celui-ci était barré, alors qu’il pouvait jouer de son côté».

Mbia impose le banc à Njié ?

Très remonté «contre un petit-frère qui lui a manqué de respect», Stéphane Mbia aurait alors réussi à convaincre Volker Finke de garder Clinton Njié sur le banc de touche quelque temps, en guise de punition. «C’était Mbia ou Njié. Finke devait choisir. Et on sait tous, ce qui s’est ensuite passé», a-t-on encore appris. Est-ce donc pour cette raison que Clinton Njié est resté sur le banc de touche durant les trois matchs de poule du Cameroun ? Ce n’est pas Volker Finke qui nous le dira. «Il manque du temps de jeu à Clinton Njié. Il est resté longtemps au banc de touche avec Lyon ; il lui fallait travailler pour remonter», avait lâché le technicien allemand en conférence de presse pour expliquer la non titularisation de son attaquant pourtant très brillant durant la phase qualificative. Selon nos informations, ce ne serait pas la première fois que Stéphane Mbia tente de prouver aux plus jeunes de la sélection qu’il est le seul et unique patron de la tanière. Le gardien Fabrice Ondoua et Justin Mengolo auraient eux-aussi déjà goûté à la folie des grandeurs de l’ex joueur du FC Séville et de l’Olympique de Marseille.

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24 août 2015 1 24 /08 /août /2015 21:31

L'Unité de Communication et Relations Publiques de la Délégation Générale à la Sûreté Nationale (Dgsn) a fait concevoir et publier en milieu de semaine derniere quelques 100.000 dépliants portant divers messages de sensibilisation des populations camerounaises sur les questions de sécurité en relation avec le climat de tension qui prévaut au Cameroun depuis les multiples attentats suicides perpétrés par les combattants de la secte islamiste Boko Haram.

Selon le quotidien gouvernemental Cameroon Tribune qui relaie l’information dans sa parution du vendredi 21 août 2015, lesdits dépliants donnent aux citoyens camerounais des conseils sur les gestes et attitudes à adopter désormais en permanence dans les lieux publics, les agences de voyage et les quartiers.

Le guide conseille aux populations de rester vigilantes et d’observer attentivement tout ce qui se passe autour d’elles dans les lieux publics. Concrètement, il leur est demandé d’éviter de se rapprocher des bagages abandonnés par des tiers, mais surtout de signaler ce genre de colis aux autorités, la police notamment. Autre recommandation faite aux populations, la coopération avec les forces de sécurité et de défense qui passe par le respect strict des mesures de sécurités prises à travers le pays pour le bien de tous à l’instar de la fermeture des bars et dédits de boisson à 20h ou 19h dans certaines villes, l’interdiction de surcharger sur les moto taxi (Maroua, Ndlr), l’interdiction du port du voile intégral, la présentation de sa carte nationale d’identité lors des contrôles de routine, Etc.

Aux acteurs du secteur des transports, les agences de voyage en l’occurrence, le guide édité par la Dgsn recommande de porter sur le manifeste du véhicule tous les noms des passagers à embarquer, mais surtout d’éviter de transporter des bagages dont le contenu n’est pas identifié ni d’accepter de dons de personnes étrangères.

Mais la Dgsn ne s’arrête pas en si bon chemin. Dans les quartiers et les maisons, la population est invitée d’après l’article paru dans les colonnes de Cameroon Tribune, à s’intéresser sur les activités de leurs voisins. « Tous les propriétaires sont invités à identifier leurs locataires. Le guide pratique de la police conseille également aux chefs de famille d’échanger des numéros de téléphone avec leurs voisins pour assistance mutuelle en cas de nécessité, mais également d’éviter d'ouvrir rapidement leurs portes aux visiteurs qui font semblant d'être des pasteurs, des vendeurs et techniciens de télévision par câble », peut-on également lire dans le même article.

Dernier des conseils et attitudes à avoir, informer la police au numéro 1500 en cas d’alerte, sans toutefois prendre une quelconque initiative.

D’après le commissaire principal Cécile Mandeng, le chef de l'Unité Communication et relations publiques de la Dgsn cité par le quotidien gouvernemental, les dépliants ont été distribués à l’échelle nationale.

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24 août 2015 1 24 /08 /août /2015 21:30

Deux passeurs malgaches ont été arrêtés dans les eaux mahoraises après l’interception de leu embarcation qui contenait 12 migrants.

Deux passeurs malgaches ont été interpellés vendredi soir dans les eaux mahoraises, après l’interception de leur embarcation avec douze migrants et de la drogue à bord, ont indiqué ce lundi des sources policières à Mayotte, qui appartient toujours à la France. La brigade nautique de la police aux frontières (PAF) a intercepté ce bateau de 9 mètres fortement motorisé, en provenance de Nosy-Be, petite île au nord-ouest de Madagascar, à 330 km à l’est de Mayotte.

Les 12 passagers malgaches transportés par cette ambarcation étaient en situation irrégulière. Au moins 50 kg de cannabis d’une valeur marchande d’environ 40 000 euros ont également été découvert, selon les autorités mahoraises. L’enquête judiciaire a notamment révélé que le montant du passage des candidats à l’émigration s’élevait à 700 euros par personne. Tous ont été reconduits à Madagascar. Les deux passeurs, de nationalité malgache, font l’objet d’une convocation en justice.

Chaque année de nombreux candidats à l’émigration originaires des Comores tentent de se rendre à Mayotte dans des embarcation de fortune. Selon un rapport du Sénat français, la traversée maritime des Comores à Mayotte s’effectue au moyen d’embarcations appelées localement des « kwassas-kwassas ». Ces bateaux sont des bateaux de pêcheurs anjouanais, longs de sept mètres, équipés en général deux moteurs, relativement rapides, et suffisamment petits pour passer au-dessus de la barrière de corail qui entoure la plus grande partie des îles mahoraises.

Les « kwassas-kwassas » utilisés pour l’immigration clandestine peuvent contenir jusqu’à 45 immigrés clandestins, alors que ces embarcations sont théoriquement conçues pour ne contenir que huit passagers. Ceux-ci voyagent, par ailleurs, fréquemment avec leurs animaux, qui constituant souvent la principale richesse dont ils disposent. L’entassement des clandestins sur les bateaux conduit à ce que la coque de ces embarcations soit souvent à peine plus élevée que le niveau de l’eau. Par ailleurs, la présence de mineurs et de femmes enceintes est fréquente, celles-ci espérant pouvoir accoucher sur le sol français et ainsi permettre à leur enfant d’obtenir, à terme, la nationalité française.

Il n’y a pas que des migrants originaires du Comores qui tentent l’aventure vers Mayotte. Les candidats originaires de Madagascar sont aussi de plus en plus nombreux. Selon l’Express de Madagascar, quatre passeurs qui comptaient envoyer 18 personnes vers Mayotte ont été interpelés par les autorités malgaches et condamnés le samedi 18 juillet. Selon Mayotte Matin, déjà 10 000 personnes ont été reconduites à la frontière en juillet 2015. Un record de l’’immigration clandestine à Mayotte, en passe de dépasser les chiffres de l’année 2014.

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24 août 2015 1 24 /08 /août /2015 21:27

Alain Gouamené (ph)-

africapress.com – Lundi 24 août 2015 -Alain Gouamené a quitté l’Asec Mimosas qu’il a qualifié pour la ligue des champions 2016.

L’ex champion d’Afrique quitte le banc des jaune et noirs pour la Fédération Ivoirienne de Football (FIF), avec laquelle il est toujours sous contrat.

Joint au téléphone par un confrère, l’ex Toulousain a confirmé l’information, tous en soulignant que si l’Asec et la FIF Rechercher FIF trouvent un accord il pourrait revenir à Sol Beni.

« Ce n’est pas véritablement un départ comme j’entends déjà. J’appartiens à la Fédération Ivoirienne qui m’a prêté à l’ASEC. Alors ma période de prêt finie je repars à la disposition de la Fif, c’est aussi simple que cela », a expliqué ce dernier, avant de poursuivre.

« Oui, j’ai envie de continuer à construire une équipe pour le club. Ce n’est pas ce qui manque. Après j’appartiens à la FIF Rechercher FIF qui est mon employeur, il faudra donc que la FIF Rechercher FIF et l’ASEC s’entendent. J’ai envie de revenir mais sur ce coup-là, ça ne dépend pas de moi ».
Par ailleurs, L’Asec Mimosas a tenu dimanche son Assemblée Générale Mixte de l’année 2015.

Au cours de la rencontre à Sol Béni, Roger Ouegnin Rechercher Roger Ouegnin a défini sa stratégie allant de la période 2016 à 2021.


La présentation du Rapport Moral et Financier de l’année 2014, par Benoit YOU, le Directeur Général du club, a démontré un déficit de 91 millions de francs CFA. Un chiffre nettement meilleur à celui de l’année dernière qui était de 122 millions de francs CFA de perte.

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24 août 2015 1 24 /08 /août /2015 21:24

C

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Fortunes diverses pour les clubs mythiques relégués depuis plusieurs années dans le purgatoire de la seconde division, la Ligue 2 du championnat national de football qui en était cette semaine à sa 31e journée. Une étape disputée du lundi 17 août à hier samedi 22 août 2015.

Racing de Bafoussam: Sortie des vestiaires pour le debut du match

Photo: (c) Archives


En déplacement à Yaoundé, Racing de Bafoussam a battu Etoa-Meki sur le score de 2 buts à 1. Une victoire qui permet au Tout Puissant de l’Ouest d’avoir un pied dans le Wagon qui conduit dans le cercle très fermé de Ligue 1. Leader à moins trois journées de la fin du championnat et avec sept points d’écart sur le quatrième au classement, il faudrait un miracle pour empêcher le retour de Racing de Bafoussam en Ligue1. L’on pourrait tirer la même conclusion pour le dauphin, Aigle royal de la Menoua. En déplacement sur le terrain du grand concurrent Feutcheu FC, El Pacha est retourné dans sa base de Dschang avec le point du match nul. Après la 31e journée, tout porte à croire que la bataille pour le 3e et dernier ticket qui donne accès en première division, va opposer Eding de Yaoundé, Feutcheu de Bandjoun et AS Matelots de Douala.

Les supporters de Dynamo de Douala, un autre ancien de la première division dont le retour est très attenu en Ligue 1, sont condamnés à prendre leur mal en patience. 7e avec 40 points, il n’est plus possible pour le club des Bon Ba Job d’être admis en Ligue 1. Pis, la fin de saison sportive s’avère plutôt très triste pour la Dynamo qui a perdu deux joueurs en l’espace de deux semaines. Après le décès de son gardien de but le 10 août dernier des suites de maladie, le club phare du quartier Nkonmondo a perdu hier son avant centre Leopold Oben Ngon, âgé de 30 ans, dans des conditions effroyables lors du match gagné un but à zéro devant Colombe du Dja et Lobo. « Il a eu un choc derrière la tête pendant un duel avec un adversaire. Il a tenu quelques minutes avant de s’écrouler. On ne l’a pas vu tomber parce qu’on disputait le ballon dans le camp de Colombe. Lorsque je me suis retourné, je l’ai vu allonger presque au centre du terrain. Quand le secours est arrivé, il avait déjà les yeux révulsés. Son décès a été constaté à l’hôpital de District de Deido » raconte son coéquipier et ami Essomé Ndjangui. « Avant le match et depuis la veille, on était ensemble. Il ne soufrait apparemment de rien. Nous avons beaucoup sympathisé et il disputait son dernier match parce qu’il était prévu qu’il voyage après pour un test dans un club en Europe. Malheureusement, la mort n’a pas voulu » témoigne Essomé Ndjangui…

Résultats des matches de la 31e journée joués du 17 au 22 aout 2015

Ngoketoundja – Scorpion 0 - 0

As Belabo – Panthere 0 - 1

Etoa Meki – Racing 1 - 2

Université – Dac 0 - 0

Renaissance – Matelots 1 - 0

Eding – Dynamic 3 – 1

Feutcheu – Aigle 0 - 0

Dynamo – Colombe 1 - 0

Classement après 31e journée

1er Racing 58 points

2e Aigle 56 points

3e Eding 53 points

4e Feutcheu 51

5e Matelots 47 points

6e Panthère sécurité de Garoua 44 points

7e Dynamo 40 points

8e Colombe 38 points

9eRenaisance 38 points

10 e Etoa Meki 37 points

11e Université 37 points

12e Dac 37 points

13e 13e National 35 points

14e Dynamic 31 points

15e Ngoketoundjia 29 points

16e AS Belabo 27 points

17e Scorpion 19 points

18 Sable forfait général

Rendez-vous 32e journée

A Dschang : Aigle – Eding

Bandjoun : Feutcheu FC – AS Belabo

Bamenda: National – DAC

Douala : AS Matelots – Université

Bafoussam : Racing – Renaissance

Buea : Dynamic- Ngoketcoudjia

Garoua : Panthère security – Dynamo

Sangmelima : Colombe – Etoa-Meki

Scorpion exempt à cause forfait général Sable de Batié

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24 août 2015 1 24 /08 /août /2015 21:23

Selon les informations relayées par le quotidien Mutations dans sa livraison du lundi 24 août 2015, des tracts véhiculés par le « collectif du personnel de la Dgre » dénoncent « l’humiliation croissante » dont ils sont victimes. Le document dont Mutations a eu une copie indique, entre autres, « les montages et autres mises en scène-cambriolages-affaire Harissou-pseudo-tentative d’évasion aggravée de Polycarpe Abah Abah- des notes commanditées de Yaoundé mais signées des chefs de postes pour des besoins de manipulation ».

Le collectif dit également non aux « promotions canapés, au renseignement assis et spectacle, au clientélisme, à l’enrichissement sans cause des protégés du Dgre ». Il s’insurge contre l’affairisme (trafics impunis de notes, du carburant, etc.), les règlements de compte, la promotion des individus sans épaisseur, l’exhibitionnisme et l’imposture.

Le journal indique qu’il n’a pas pu recueillir les avis des autorités de la Direction générale de la recherche extérieure (Dgre), mais qu’au lendemain du cambriolage de juillet dernier, des sources internes à la Dgre signalaient une bataille entre des collaborateurs de Léopold Maxime Eko Eko, lesquels jouissent ou ont perdu de juteux avantages généralement octroyés par la hiérarchie.

Au sujet du cambriolage perpétré courant juillet au siège de ce service stratégique, supposé parmi les plus gardés de la République, Mutations indique que les cambrioleurs se sont introduits, « sans effraction » dans le cabinet du Dg, Léopold Maxime Eko Eko, ont désactivé les caméras de surveillance, démonté les rideaux et les ont jeté au sol, avant d’emporter des documents et ordinateurs importants. Affaire à suivre…Un collectif dénommé « collectif du personnel de la Dgre » ferait circuler des tracts pour dénoncer les agissements du Directeur général, Léopold Maxime Eko Eko.

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