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18 décembre 2013 3 18 /12 /décembre /2013 11:58

Société / La Côte d’Ivoire exhortée à mettre en place une commission des droits de l’homme "indépendante"

Publié le mercredi 18 decembre 2013  |  AIP



Activité

Activité gouvernementale : Coulibaly Gnénéma, Gardes des sceaux , Ministre de la Justice, des droits de l`Homme et des Libertés Publiques anime une conférence de presse.
Lundi 29 avril 2013. Immeuble SCIAM. Abidjan. Plateau. Coulibaly Gnénéma, Gardes des sceaux , Ministre de la Justice, des droits de l`Homme et des Libertés Publiques anime une conférence de presse sur le Thème : Les grands chantiers du Ministre de la justice, des droits de l`homme et des libertés publiques".

 

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18 décembre 2013 3 18 /12 /décembre /2013 10:57

Côte d’Ivoire : le plan anti-sida coûtera 350 milliards de francs CFA avant 2015

Publié le mercredi 18 decembre 2013  |  Xinhua



Réunion

Réunion du Conseil National de Lutte contre le SIDA : Le Chef de l’Etat préside la cérémonie
Lundi 16 décembre 2013. Palais de la Présidence. Le Président de la République, SEM Alassane OUATTARA, a présidé, une réunion du Conseil National de Lutte contre le SIDA (CNLS). Photo: Raymonde Goudou.

 

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18 décembre 2013 3 18 /12 /décembre /2013 10:54

France:OUVERTURE A SAINT-DENIS D’UN NOUVEAU NIGHT-CLUB AFRICAIN AVEC DJ RAMEAU AUX PLATINES :: FRANCE

Cesar Club Saint Denis:Camer.beLe nouveau night-club où l’Afrique peut désormais s’éclater tous les Vendredis et Samedis  à Paris   s’appelle le César Club, à 3 mn de la gare du RER et TRAMWAY, on y trouve le célèbre DJ RAMEAU aux platines dans un cadre agréable et un parking gardé où on est  assuré de ne pas se faire casser sa voiture pendant qu’on se détend, notre équipe s’y est rendue ce Vendredi  6 Décembre 2013 pour visiter les lieux, c’est sur les bords de la Seine au 17 Boulevard de la Libération 93200 Saint-Denis.

 

ER GROUP
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18 décembre 2013 3 18 /12 /décembre /2013 10:51

Cameroun,EXTRÊME-NORD:Couvre-feu à la frontière avec le Nigeria :: CAMEROON

Frontiere Cameroun Nigeria:Camer.beAugustine Awa Fonkwa, gouverneur de la région de l’Extrême-Nord, a décidé d’instaurer un couvre-feu de 19h à 5h du matin dans toutes les localités de sa région, frontalières avec le Nigeria. Cette décision est intervenue à l’issue du Comité de coordination de maintien de l’ordre (CCO) tenu les 9 et 10 décembre 2013 à Kolofata. Selon un proche collaborateur du gouverneur, cette mesure vise particulièrement à maîtriser les mouvements des motos utilisées comme moyens de locomotion
par les membres de la secte Boko Haram. 

Elle dénote de la dégradation de la sécurité aux frontières avec le Nigeria, pays en proie aux violences de la secte Boko Haram.

Autre décision arrêtée : tous les camions chargés de marchandises en transit au Cameroun et en provenance du Nigeria feront désormais l’objet d’un contrôle minutieux. Et seuls les véhicules immatriculés Cemac pourront continuer leur trajet.

Pour rendre cette mesure efficace, le patron de la région a instruit aux maires des communes frontalières avec le Nigeria, de construire des entrepôts où seront stockées les marchandises des camions n’ayant pas de plaques Cemac. «J’attends que les autorités chargées de l’exécution de cette mesure fassent leur travail. Cela y va de la préservation de notre patrimoine routier», a rappelé le gouverneur.

La rencontre de Kolofata a également permis de passer au scanner la situation politique, socio-économique et sécuritaire de l’Extrême-Nord des trois derniers mois.

Période au cours de la laquelle l’on a enregistré une montée de l’insécurité aux frontières qui a culminé avec l’enlèvement du prêtre Français Georges Vandenbeutsch, curé de la paroisse de Nguetchewé, dans la nuit du 13 au 14 novembre 2013. «Notre région subit les effets collatéraux de la guerre qui prévaut au Nigeria et qui oppose le gouvernement fédéral de ce pays aux membres de la secte Boko Haram. 

Les conséquences de cet état de chose sont nombreuses et préjudiciables à notre région», a fait remarquer Awa Fonka Augustine.

Les responsables de la région ont également relevé la circulation illégale des armes, munitions et autres effets militaires, un afflux considérable des réfugiés dans la région qui ralentit l’activité économique.

Le département du Mayo Sava compte à ce jour plus de 20.000 réfugiés nigérians et le Mayo-Tsanaga plus de 10.000. Officiellement pourtant, seulement 1.772 personnes ont été recensées.

Cependant, malgré le renforcement du dispositif sécuritaire au niveau des frontières, les Nigérians continuent à affluer au Cameroun. Que faire ? «Les mesures qui sont prises pour faire face à l’afflux des réfugiés sont d’abord des mesures de sensibilisation. Ces mesures vont être élargies à toutes nos populations frontalières pour qu’elles comprennent qu’en dépit des relations fraternelles qui existent avec les citoyens du pays voisin, il n’en reste pas moins que ce sont des étrangers qui doivent se conformer à la réglementation en vigueur dans notre pays», a indiqué Maurice Tchoffa Sah, préfet du Mayo-Tsanaga. «Nous redoublons d’effort et de vigilance pour sensibiliser les populations sur l’intolérance du désordre.

Cette sensibilisation s’ajoute à la présence de nos forces de maintien de l’ordre. Il faut que ceux qui arrivent respectent la réglementation de notre pays en matière d’immigration», a renchéri Seïni Boukar Lamine, maire de Kolofata.

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18 décembre 2013 3 18 /12 /décembre /2013 10:49

Maroc:L’ouverture des cliniques aux capitaux privés est-elle une menace à la santé des marocains ? :: MOROCCO

Sante:Camer.beL’annonce par le ministre de la Santé marocain de la publication imminente du projet de loi 10-94 sur l’exercice de la médecine - dont l’une des principales mesures est l’ouverture des capitaux des cliniques aux investisseurs privés - a soulevé un tollé chez les médecins, associations et syndicats, criant tous au scandale de la marchandisation de la santé des citoyens marocains. Y aurait-il réellement une menace ?

De prime abord, les médecins et les syndicats avancent que les investisseurs privés vont commercer avec la santé des citoyens. Peut-on dire que les opérateurs publics ne le font pas ? Quand les pauvres citoyens vont dans un hôpital public ne doivent-ils pas payer un droit d’entrée ? Ne payent-ils pas certaines fournitures de base ? Ne payent-ils pas les infirmières pour juste avoir le droit de consulter ou avoir un traitement humain ? Il n'est un secret pour personne que le secteur de la santé est parmi les plus corrompus au Maroc (sans stigmatiser ici les opérateurs honnêtes dans ce secteur). La prépondérance de la corruption et de la rente dans ce secteur n’est-elle pas la preuve qu’une bonne partie des opérateurs publics (pour ne pas généraliser, encore une fois) « commerce » avec la santé des citoyens ? La « marchandisation » décriée n’est pas le propre des investisseurs privés, elle l’est déjà dans le secteur public.

C’est le résultat du monopole et de la fermeture du marché, ainsi que le déficit de concurrence en résultant qui crée une situation de rareté, laquelle donne un pouvoir de négociation exorbitant aux praticiens de santé. Ces derniers n’hésitent pas à en abuser pour imposer leurs prix souvent majorés de rente de situation. D’ailleurs, certains médecins criant au scandale aujourd’hui, et prétendant défendre la santé des citoyens, n’hésitent pas à faire du « racolage », via des intermédiaires, à des patients désespérés d’attendre leur tour dans les établissements publics dans lesquels ils pratiquent. Cette rareté n’est pas due uniquement au manque de moyens, mais elle est souvent amplifiée par des pratiques de « tire au flanc », de détournement des équipements et des médicaments, ce qui permet à ceux travaillant dans le public d’en faire un business lucratif.

En conséquence, il est étonnant d’entendre que ce sont juste les nouveaux investisseurs privés qui vont avoir le monopole du commerce de la santé. Les pratiques déviantes et frauduleuses sont le résultat du déficit de règles et d’institutions encadrant la relation patient-médecin. Le manque d’application de lois et le flou sur les responsabilités des uns et des autres crée des brèches dans lesquelles peut s’engouffrer tout opportuniste, qu’il soit investisseur privé ou opérateur public. Et ce n’est pas le serment d’Hippocrate qui y changera quelque chose.

Un second argument avancé est que le privé n’y connaît rien dans le domaine médical. Certes, mais pourquoi des médecins s’occupent de la gestion des établissements et institutions médicales ? Connaissent-ils quelque chose dans le management ? Pas si l’on en juge par la médiocre qualité des soins dispensés et la vétusté des établissements. L’ouverture du capital aux investisseurs privés ne signifie pas qu’ils prendront en charge l’aspect médical. Cela signifie seulement qu’ils vont moderniser la gestion en la soumettant aux standards de l’efficacité et de la performance.

Justement, les détracteurs du projet disent que le souci de rentabilité va pousser ces investisseurs privés à supprimer certaines prestations de soin lorsque celles-ci ne seront plus rentables. Probablement, mais dans ce cas ne peut-on pas penser que ces prestations pourraient être prise en charge par les établissements publics dans le cadre d’une nouvelle division de travail entre le secteur public et privé ? Il est inconcevable qu’un investisseur risquant des sommes substantielles investira sans qu’il fasse appel aux compétences du corps médical. Et puis en matière médicale rappelons que c'est le secteur privé qui est en pointe (cf laboratoires et fondations suisses ou US). Et après tout, pourquoi ne pas profiter des compétences gestionnaires des investisseurs privés tout en laissant l’aspect médical aux praticiens, ne serait-ce que lors d’une période transitoire?

Un troisième argument est que l’ouverture du marché aux investisseurs privés est susceptible de précariser l’état du personnel médical et de faire perdre au médecin son indépendance. Mais, si l’on en croit  le ministère de la Santé plusieurs garanties sont prévues concernant les modalités de travail du médecin dans la clinique et de toutes les catégories du personnel de santé. De même, il est prévu la création d’un comité d’éthique et d’un comité médical d’établissement qui se chargeront du respect de la déontologie et des conditions de travail. Si l’on voit les grèves à répétition dans le secteur public, il est difficile de faire un procès d’intention aux investisseurs privés. Ces grèves prouvent que l’État est déjà responsable de la précarisation du personnel de santé. Les problématiques de conditions de travail et des rémunérations doivent être discutées au-delà du clivage public-privé.

L’ouverture du marché de la santé pourrait être très bénéfique au secteur de santé au Maroc pour plusieurs raisons. D’abord, car elle permettra l’injection de capitaux dans un secteur qui manque terriblement de financements, puisque le budget du ministère ne dépasse pas les 5% du PIB. Ces capitaux privés sont susceptibles d’apporter les équipements et les installations qui coûtent cher, mais aussi fournir des conditions de travail dignes au personnel pour les motiver à s’occuper mieux des patients. Ensuite, l’investissement privé, grâce à ses compétences managériales et à sa discipline de marché, permettra plus d’efficacité dans la gestion des établissements de santé, toujours pour une meilleure qualité. Enfin, l’intensification de la concurrence, aussi bien en matière de qualité que de prix, permettra de limiter tous les abus émanant des uns et des autres, ce qui va rééquilibrer le rapport de force entre le patient et le prestataire. Une bonne nouvelle pour tous ceux qui crient à l’exploitation des patients par les nouveaux investisseurs.

Mais pour que le marché de la santé élargi puisse apporter tous ces bienfaits, il est besoin de certains préalables et de garde-fous pour prévenir les abus et les déviances de la transition. D’abord, il faudrait assainir l’environnement des affaires afin de permettre une égalité des chances en matière d’investissement dans ce domaine. Secundo, il est primordial de mettre à niveau le cadre juridique dans ce domaine pour une clarification des droits et des responsabilités. Tertio,  l’investissement de la part du privé doit être accompagné d’un cahier des charges clair et raisonnable, ce qui facilitera le suivi et le contrôle pour des prestations de meilleure qualité. Si ces préalables sont respectés, l’ouverture à davantage de concurrence ne peut que permettre une démocratisation des soins de santé au profit de tous les citoyens.

neck for CAMER GROUP
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18 décembre 2013 3 18 /12 /décembre /2013 10:45

Cameroun,Péril sur Ya-Fé: Comment Pierre Zumbach a détourné le projet Ya-Fé qui au départ, appartenait à un jeune Camerounais :: CAMEROON

Zubach Pierre:Camer.bePierre Zumbach, un nom qui sonne faux comme un programme politique sous les tropiques. Pourtant, vu de l’extérieur, il donne l’impression d’être un homme propre. A qui, le pape, chef de l’église catholique romaine, donnerait la communion sans confession. Ce suisse « atypique », installé au Cameroun, depuis plusieurs années, semble avoir fait du détournement des projets des jeunes camerounais, son mode opératoire. De la malhonnêteté en somme.

Les faits

Il y’a un peu plus de sept (07) ans, le Camerounais Aubin Cyr Kengne Tenguemne, concevait un projet dénommé « Souk » à l’image des foires maghrébines. L’objectif général du jeune concepteur, était de créer un espace commercial, fait d’animations, où tout peut s’acheter à des meilleurs prix. La période choisie est la fin d’année. Initialement prévu pour Douala, le projet avait pour ambition de se transposer dans les autres villes du Cameroun.

Faute de moyens financiers, maquette en main, Aubin Cyr Kengne, contacte Pierre Zumbach, délégué général de la fondation Inter-Progress, qui apprécie le projet. Et, s’engage à obtenir les différentes autorisations sur le territoire camerounais.

Tout au long de la procédure l’accord entre les deux réserve la paternité du projet à Aubin Cyr Kengne Tenguemne. Malin et sûr de sa notoriété, le patron de la fondation Inter-Progress obtient facilement les autorisations pour la ville de Yaoundé. Ayant constaté quelques temps après, qu’il a été berné par le « lièvre» Pierre Zumbach, Aubin Cyr Kengne intente un procès en justice.

Le mépris des décisions de justice

Le 17 Octobre 2007, Cyr Aubin Kengne saisit le tribunal de grande instance de Yaoundé-Centre Administratif en dommage et intérêts pour réparation du préjudice à hauteur de FCFA 350.000.000 ;

Deux années plus tard, le premier juge condamne Pierre Zumbach et la Fondation Inter-Progress à payer solidairement la somme de FCFA cent millions (100.000.000) Fcfa, en réparation de tous les préjudices subis, à Cyr Aubin Kengne T.

Décision confirmée trois ans plus tard, le 05 juin 2013, en appel, après le recours interjeté par le patron de la fondation Inter-Progress, le 07 avril 2010.

Une première saisie est effectuée sur les comptes bancaires de Pierre Zumbach et de la fondation Inter-Progress, qui a permis de « cantonner » au profit de Cyr Aubin kengne, la somme de 25 984 414 Fcfa.

Pierre Zumbach a contesté cette saisie. Par ordonnance rendue le 09 juillet 2013, le juge a rejeté cette contestation. Une seconde main saisie effectuée sur les comptes des requis, permet à Cyr Aubin Kengne T. de récupérer 49 941 669 Fcfa.

Contraint par la loi, Pierre Zumbach, tente maladroitement et timidement, une négociation depuis quelques jours.

Joint au téléphone, par la rédaction de www.camer.be Pierre Zumbach n’a pas souhaité s’exprimer sur une affaire qui selon lui est encore en cours devant les tribunaux. « Je ne parle pas de cette affaire. Elle est encore pendante devant le tribunal » s’est-il empressé de dire.

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18 décembre 2013 3 18 /12 /décembre /2013 10:42

Cameroun - Coupe du Cameroun: La finale de football se joue ...enfin ce dimanche :: CAMEROON

Cameroun - Coupe du Cameroun: La finale de football se joue ...enfin ce dimancheTrêve de spéculation! La finale de la coupe du Cameroun de football opposant canon de Yaoundé à Yong Sport Academy de Bamenda aura  finalement lieu ce dimanche 22 décembre 2013 au stade Ahamadou Ahidjo de Yaoundé en présence du président Paul Biya, tant l´effervescence subite observée autour de l´évènement du  côté du cabinet civil de la présidence de la république du Cameroun s´est amplifiée.

Finalistes connus depuis près de deux semaines, Canon de Yaoundé et Yong Sport Academy de Bamenda, qui se préparent dans l´incertitude totale, mais d´arrache-pied, se disputeront Dame coupe du Cameroun ce dimanche 22 décembre 2013 dans la cuvette de Mfandena à Yaoundé, ce devant le président Paul Biya , rentré il ya  quelques jours seulement du sommet France-Afrique sur la Paix et la sécurité en Afrique. Ce qui a fait perdre le sommeil au ministre des sports et de l´éducation physique Adoum Garoua, á la direction du cabinet civil de la présidence de la république. 

La date  du dimanche 22 décembre 2013 est un impératif, sinon jouer une finale de coupe du Cameroun de football le 29 décembre 2013, c´est à dire á deux jours de la fête de la saint Sylvestre parait impensable pour chacune des parties prenantes. Une contrainte de calendrier de "14 jours " que s´est imposé le président Paul Biya, ainsi que le notait notre confrère Le Messager dans sa récente édition, "A 14 jours de la fin d’année… : Paul Biya va-t-il respecter son agenda? "

Et du coup, c´est le branle-bas chez les parties prenantes, au rang desquelles le ministère des sports et de l´éducation physique comme le cabinet civil où des réunions succèdent aux réunions, du stade Ahmadou Ahidjo qui se pare petit à petit de ses plus beaux atours. Les médailles et les trophées, dit-on, sont fin prêts; les deux équipes finalistes ont reçu le traditionnel appui du gouvernement en guise de motivation et de compensation causée par la longue attente de l´annonce de la date. Pour faire foule, l´entrée au stade sera gratuite. 

Une habitude à normaliser

Comme depuis de nombreuses années le Cameroun est le seul pays au monde où l´on connait la date du début officiel du championnat de football, mais jamais celle de la finale de la coupe de football qui marque la fin de la saison sportive, alors que les finalistes sont toujours connus longtemps à l´avance. La 54 ème édition de la finale de coupe du Cameroun n´y  déroge pas. 
Au niveau de la Confédération africaine de football, CAF, le pays de son président Issa Hayatou est réputé être un mauvais élève en matière d´affiliation de ses clubs aux principales compétitions organisées par l´instance faîtière du football africain, puisque dernier pays á communiquer les noms de ses clubs á ces compétitions et toujours sanctionné. Et pour cause par exemple , l´inconnue que représente la date de la coupe du Cameroun de football. Une mauvais habitude devenue une norme.

Au Cameroun, si le football en général, la date de la finale de la coupe de football comme les Lions indomptables Senior, en particulier sont une affaire d´Etat, il convient d´observer que les seules dates annuelles connues d´avance de tous les camerounais sont le 11 février (fête de la jeunesse), le 20 mai (fête nationale), le 08 mars (journée internationale de la femme) et la date de la rentrée scolaire. Pour le reste des dates officielles, il faut cogiter.

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18 décembre 2013 3 18 /12 /décembre /2013 10:41

USA-Cameroun:Déclaration de Conscience du Cameroun (CDC) suite à la récente humiliation de Paul Biya à Paris :: UNITED STATES

Corantin Talla:Camer.beCertains Camerounais de la diaspora, membres du Code et du Ccd et par ailleurs membres du front uni de la diaspora dont fait parti la Cdc, ont récemment  usé de leurs  droits légitimes de dénoncer la dictature  régnante au Cameroun.  Cette fois-ci cette dénonciation s’est faite de manière spectaculaire  dans le hall de l’hôtel Meurice à Paris et visait directement  le principal agent de la dictature et de la mauvaise gouvernance au Cameroun, en l’occurrence Paul Biya.

Au risque de voir de tels actes patriotiques se répéter en s’intensifiant a chaque fois que le dictateur et sa suite obèse se rendront en villégiature a l’étranger au frais du contribuable Camerounais, Paul Biya gagnerait non seulement a limiter ses voyages a l’étranger afin de s’occuper des problèmes des Camerounais mais surtout a créer promptement des conditions propices pour des reformes institutionnelles, constitutionnelles et électorales susceptibles de promouvoir une démocratie participative et la bonne gouvernance dans notre pays. Nous n’allons pas ici nous appesantir sur les chapelets de reformes qu’il faut mener afin que les Camerounais puissent  enfin voir le bout du tunnel tant  promis par Biya depuis plus de trois décennies, car elles ont déjà été a plusieurs reprises énuméré par la cdc et d’autres compatriotes. Il va sans dire que Biya est toujours reste sourd face à ces demandes légitimes des citoyens.  Ce qui l’intéresse c’est la conservation de son pouvoir et la protection des biens mal acquis par lui et son entourage constitue de kleptocrates comme lui.

C’est ici l’occasion de rappeler  que le Cameroun va mal, très mal même. En effet, le rapport  de transparency international de 2014 sur l’état de la corruption au monde indique que le Cameroun, classe 144 sur 177 pays,  reste l’un des pays les plus corrompus du monde. Les supposées stratégies de lutte contre la corruption de Mr Paul Biya, que d’ailleurs beaucoup de camerounais assimilent a des règlements de compte politiques, n’endiguent pas la montée exponentielle de la corruption dans notre pays.  Par exemple, malgré l’arrestation et l’emprisonnement des gestionnaires de fonds publiques, parmi lesquels les anciens ministres et autres créatures de Biya, d’autres gestionnaires de biens publiques continuent a voler la richesse du peuple.  Comment ça pouvait être autrement quand on sait que le suppose principal agent de la lutte contre la corruption au Cameroun, a savoir Paul Biya et sa famille , se sont illustre par le pillage de certaines banques  (dixit Messi Messi accusant Biya et sa famille de pillage de la SGBC) .  Qui plus est la plupart des institutions de lutte contre la corruption sont dirigées par des personnes corrompues.

Sur un autre plan, le Cameroun est parmi les pays a risque au monde en terme d’investissement, selon l’index d’évaluation des risques d’investissement dans les pays du monde, ‘doing business index’. Les résultats obtenus a partir de cet index en 2014 montrent que le Cameroun est l’un des pays au monde qui comporte le plus grand risque pour les investisseurs du fait des pesanteurs bureaucratiques qui favorisent les pratiques de corruption multiformes au cours du processus de création d’entreprises.

Par ailleurs, d’après l’organisation pour la coopération économique et le développement (OECD), la banque mondiale a démontré en 2010 que le Cameroun est en retard par rapport a la plupart des autres pays Africains en terme de transparence économique, administrative, et politique.  De ce fait, L’OECD recommande au gouvernement Camerounais de combattre  systématiquement les actes de corruption, favoriser la promotion du débat publique, et l’accès libre a l’information publique comme des étapes nécessaires pour l’amélioration de la transparence et de la responsabilité dans la gestion des affaires publiques afin de réaliser un développement économique, social , et politique durable dans notre pays.

Malheureusement, la corruption endémique au Cameroun est entretenue par une élite politico-administrative, économique, et militaire  prédatrice qui est  constituée des partisans du statu quo a la tête de l’état afin de préserver leurs biens mal acquis du fait du pillage des ressources du pays et du vol de la fortune publique.  Tout cela au détriment de la majorité des Camerounais paupérisés , et en particulier les segments les plus vulnérables de notre population tels que les jeunes et les femmes qui pour la plupart mènent une existence précaire pendant que ces élites s’adonnent a l’hédonisme et aux pratiques maléfiques de toutes sortes.  Les éléments de cette élite prédatrice qui sont soupçonnes a tort ou a raison d’avoir des velléités pouvoiristes susceptibles de mettre a mal ce statu quo nocif au bien-être des populations sont embastilles et jetés en prison.   Ceux des voleurs de la république qui n’ont montre aucune ambition politique susceptible de mettre a mal le pouvoir de leur créateur sont exonérés de leurs crimes économiques. Et en retour, ils continuent de travailler dans l’ombre ou ouvertement afin de renforcer le statu quo politique, dans l’espoir de revenir un jour aux affaires.

Cet état de chose ne peut que justifier le ras le bol des camerounais en général et ceux de la diaspora en particulier qui ne loupent aucune occasion d’humilier le dictateur Biya et son entourage et de réitérer leurs demandes légitimes de démocratie véritable et de bonne gouvernance.  Biya doit accéder a ces demandes afin d’éviter des humiliations multiples qui n’honorent ni la fonction présidentielle ni le Cameroun.

© Correspondance : Pour la CDC, CORANTIN TALLA
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18 décembre 2013 3 18 /12 /décembre /2013 10:38

Cameroun : L’aéroport de Yaoundé-Nsimalen rouvert :: CAMEROON

Cameroun : L’aéroport de Yaoundé-Nsimalen rouvert::CameroonRetour à la normale à l’aéroport de Yaoundé-Nsimalen depuis samedi dernier. Certains équipements d’aide à la navigation endommagés lors des récentes pluies ont été remplacés par l’Autorité aéronautique pour l’intérêt de l’aviation civile.

C’est dans la nuit du 4 novembre dernier qu’une forte pluie s’est abattue sur l’aéroport de Yaoundé-Nsimalen endommageant ainsi l’ILS, un équipement d’aide à la navigation. Trois semaines plus tard, le 29 novembre dernier,

 

 

 

 

 

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18 décembre 2013 3 18 /12 /décembre /2013 10:32

Cameroun - Lions indomptables : Changer de coach serait un vrai suicide :: CAMEROON

Cameroun - Lions indomptables : Changer de coach serait un vrai suicide::CameroonL’Ambassadeur itinérant Roger Milla demande le recrutement d’un entraîneur dit de haut niveau à 6 mois du coup d’envoi du Mondial 2014. 

Il aurait mieux fait de se taire. A peine le tirage au sort de la 20e Coupe du monde de football effectué, Roger Milla a estimé que le Cameroun a son destin en main, mais devrait quand même s’assurer d’avoir un sélectionneur à sa hauteur. Selon lui, Finke ne peut aider les Lions puisqu’il n’a pas dirigé d’équipe durant les quinze dernières années. Il espère voir l’arrivée d’un coach d’envergure pour cette compétition. Roger Milla trouble sans arrêt le calme et la sérénité des Lions indomptables. Si non, comment peut-il, à 6 mois de la phase finale d’une compétition aussi importante que le Mondial, vouloir induire le peuple et les autorités camerounaises en erreur en demandant le recrutement d’un nouveau coach ? 

Cela n’a pas de sens dans la mesure où Volker Finke a réussi, avec brio, dès sa première tentative, à qualifier le Cameroun pour la Coupe du monde 2014 au Brésil. La rigueur du technicien allemand a permis aux Lions indomptables de retrouver une certaine sérénité et la stabilité nécessaires pour venir à bout, tour à tour, de la République démocratique du Congo, du Togo, de la Libye et de la Tunisie, dans le cadre des éliminatoires du Mondial brésilien. 

Même si le public l’a adulé en tant que joueur, Roger Milla commence véritablement à agacer l’opinion publique nationale et internationale avec ses sorties médiatiques indignes d’une personnalité de son rang. Au lieu de s’attaquer aux problèmes réels du football camerounais, il fait preuve de mauvaise foi en voulant dénigrer systématiquement tous les entraîneurs étrangers recrutés au Cameroun. 

Changer de coach actuellement serait une initiative malvenue qui viendrait casser la dynamique et l’état d’esprit de groupe impulsée par le nouvel encadrement technique dirigé depuis mai par l’Allemand Volker Finke, cité récemment par France Football parmi les dix meilleurs coaches de son pays. Il a certainement oublié qu’en 1990, quand il a permis aux Lions indomptables d’atteindre pour la première fois les quarts de finale de la Coupe du monde en Italie, c’était sous l’encadrement de Valery Nepomniachi, un coach sans palmarès et totalement inconnu. 

En clair

Un changement de staff à quelques mois du Mondial serait un vrai suicide. Tout ce qu’il faut aux Lions indomptables, c’est un programme de préparation sérieux, avec des sparringpartners de poids et une discipline de fer dans les rangs et non des polémiques stériles. Le plus dur est à venir et il va falloir s’organiser, se préparer. Comme le disait le Pr Joseph Owona après la qualification du 

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