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6 janvier 2014 1 06 /01 /janvier /2014 21:32

Niger:LE CHANTAGE OBSCENE D’AREVA SE POURSUIT CONTRE LE PEUPLE IRRADIE DU NIGER MAIS TOUJOURS SANS ELECTRICITE :: NIGER

Areva:Camer.beC’est bien connu, les riches détestent payer les impôts et les multinationales encore plus, le cas d’AREVA dépasse les limites de la radinerie il relève du crime perpétuel lorsqu’on se penche sur les conditions d’exploitation de l’uranium au Niger pays qui ne bénéficie pas des retombées de son uranium ramassé au prix du sang des pauvres populations réduites à l’indigence.

La loi de 2006 qui prévoyait enfin la contribution fiscale du géant mondial AREVA n’arrive pas à être appliquée en raison du chantage obscène pratiqué contre les autorités du Niger sur l’emploi, la multinationale française menace d’interrompre son extraction d’uranium au Niger et mettre au chômage plus de 5000 emplois bien sur sous-payés et sans couverture sociale digne des risques encourus.

Dans une époque encore plus récente, toute tentative de remettre en cause ces contrats signés avec le fusil sur la tempe se terminait par un coup d’état mais cette recette semble difficile à appliquer en 2014  en raison d’une plus grande hostilité de la population à ces pratiques qui étaient toujours téléguidées par la Cellule africaine de l’Elysée.

L’uranium est considéré par les accords de décolonisation comme un produit militaire stratégique par conséquent le Niger n’a pas le droit de le proposer sur le marché mondial comme on vendrait des cacahuètes et lorsqu’on sait que les pays émergents comme la Chine et l’Inde puissance nucléaires sont prêtes à investir dans l’extraction de l’uranium au Niger pour remplacer  l’arrogant géant français, il importe de renforcer  la vigilance car il ne faut pas oublier que l’armée française n’a jamais quitté le continent africain depuis quelle y est entrée au XVIIème siècle.

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6 janvier 2014 1 06 /01 /janvier /2014 21:30

ameroun - Remaniement : Paul Biya annonce un Tsunami :: CAMEROON

Cameroun - Remaniement : Paul Biya annonce un Tsunami ::CameroonLe Chef de l'Etat a déjà concocté des mouvements de dirigeants à tous les niveaux de l'appareil d'Etat.

Les dégâts du dernier discours de vœux du Chef de l'Etat à la nation s'annoncent à la fois dévastateurs et douloureux pour beaucoup, dans le sérail. En dénonçant, de manière particulièrement vigoureuse, le règne des intérêts égoïstes au sein de l'équipe dirigeante, Paul Biya n'usait nullement de l'incantation ou de l'invective stérile. Il a évoqué «un peuple d'individualistes, plus préoccupés de réussite personnelle que d'intérêt général», d'une «administration «perméable à l'intérêt particulier», «plus souvent incompatible avec l'intérêt de la communauté nationale».
 
Il s'agit en effet, d'un cri de dépit contre une «dérive qui ne doit pas être tolérée» et qui, apprend-on, va se traduire dans les prochaines heures, par un véritable tsunami à tous les niveaux de l'appareil. Un remaniement, mieux, une réorganisation du gouvernement semble plus que jamais imminent. Avant ce coup de sang présidentiel, un fait, qui semble passé inaperçu, était pourtant déjà de nature à alerter l'opinion sur l'état d'esprit du locataire du Palais de l'unité. Le 20 décembre dernier, Paul Biya a longuement reçu le Premier ministre Philémon Yang.
 
En lieu et place de l'habituel passage en revue des faits marquants, les deux hommes ont procédé à une sorte d'inventaire de la politique des «Grandes réalisations». Pour être plus précis, le Chef de l'Etat a reproché à son interlocuteur son manque de vigueur et d'autorité. Le Pm, affirment des témoins, a quitté les lieux la queue (presque) entre les jambes, sentant clairement arriver une sanction attendue cette semaine, et qui est appelée à s'étendre jusqu'à des strates insoupçonnables.
 
Autre indice, et non des moindres: soucieux de repartir avec une nouvelle équipe, le Président de la République a fait reporter la traditionnelle cérémonie de présentation de vœux des corps constitués. Initialement prévue vendredi 3 janvier 2014, elle devrait finalement se tenir ce jeudi au Palais de l'unité. Ce report confirme ainsi les informations que nous donnions déjà, en exclusivité, dans notre édition du 30 décembre 2013.
 
Au départ de cet échec ressenti, Paul Biya dispose actuellement de notes de renseignements qui pointent des détournements de marchés publics et autres projets par certains dirigeants, au profit de leur intérêt personnel. Il y a cette curieuse inertie à monter des projets, à les attribuer et à en suivre la réalisation alors que des financements existent et ne demandent qu'à être utilisés. La preuve en est donnée dans cet extrait du discours: «Comment expliquer qu'aucune région de notre territoire ne puisse afficher un taux d'exécution du budget d'investissement public supérieur 50% ?». Et le Président de s'interroger sur «l'utilité de certaines commissions de suivi de projets, qui ne débouchent sur aucune décision».
 
En clair, rien ne va parce que les «Grandes réalisations» sont compromises. Autre démonstration de ce sabotage généralisé: le taux de croissance est resté coincé à 4,8%, là où le gouvernement tablait sur 6,1%. L'alerte est pourtant donnée depuis des mois, à travers les rapports successifs de la Banque mondiale (Bm), de la Banque africaine du développement (Bad) et du Fonds monétaire international (Fmi) qui ont régulièrement déploré l'immobilisme, la sous-consommation des crédits ainsi que les dérapages budgétaires.

Soigner les maux par des mots

Une question vient directement à l'esprit, après le discours de Nouvel an de Paul Biya et le constat d'échec de la mise en œuvre de la politique des «Grandes réalisations»: comment en est-on arrivé là ? La réponse est contenue dans cet extrait du discours du Chef de l'Etat: «Nous avons encore, sans aucun doute, des marges de progression pour améliorer l'efficacité de notre politique économique. Nous disposons d'une stratégie pour la croissance et l'emploi qui indique la voie à suivre pour atteindre nos objectifs. Mais d'où vient-il donc que l'action de l'Etat, dans certains secteurs de notre économie, paraisse parfois manquer de cohérence et de lisibilité? Pourquoi, dans bien des cas, les délais de prise de décisions constituent-ils encore des goulots d'étranglement dans la mise en œuvre des projets»?
 
En faisant l'effort de sortir de la logique démagogique, on peut se permettre quelques explications rationnelles. Il s'agit, d'abord, de constater que le Cameroun veut aller à l'émergence avec un gouvernement pléthorique, avec parfois des départements dont les missions se chevauchent et deviennent la première cause des blocages. Et donc de l'inertie. Cet état de choses dure depuis 10 ans, là où l'obligation d'efficacité commande une équipe ramassée; un gouvernement de combat nullement compatible avec un contingent hétéroclite.
 
En plus, et ainsi que les observateurs avertis le déplorent, le ronronnement de l'équipe Yang se traduit, tous les mois, par un communiqué des plus soporifiques sanctionnant les sessions du Conseil de cabinet. En réalité, rien de déterminant, démontrant ou montrant un collectif engagé à sortir le Cameroun du bourbier.

A côté de ceci, les fameuses «feuilles de routes» ministérielles, annoncées à grand renfort de publicité et censées faciliter la cohésion dans l'action, sont tombées dans l'oubli après avoir alimenté les espoirs les plus fous. Sans oublier que le Conseil ministériel, connu pour être l'organe d'évaluation, de sanction et de redécolle, ne s'est plus tenu depuis plus d'un an. Comment, dans ce cas, compter atteindre des performances avec des responsables qui ne sentent aucune obligation de rendre compte?

 

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6 janvier 2014 1 06 /01 /janvier /2014 21:26


 


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La rougeole a attaqué deux camps de Bangui, en République centrafricaine. L’OMS a en effet recensé huit (8) cas confirmés de rougeole. Et depuis vendredi, une vaste campagne de vaccination est en cours.

Huit cas de rougeole ont donc été confirmés par l’Organisation mondiale de la Santé, dans deux camps de réfugiés de la capitale centrafricaine, Bangui. L’un des camps abritant les cas signalés est proche de l’aéroport, l’autre se trouve dans le quartier de Damala.

« Notre préoccupation majeure se résume en la promiscuité des déplacés et à l’insuffisance d’hygiène individuelle et collective sur le site. Ceci fait craindre une propagation rapide de la maladie si rien n’est entrepris en urgence pour enrayer la flambée en cours », explique le Dr Evariste Pabingui, en charge du centre de Damala, qui indique qu’une vaste opération de vaccination a été mise en place compte tenu du risque extrêmement élevé de diffusion de la maladie.

« Les activités d’immunisation vont concerner 60 000 enfants âgés de 6 mois à 15 ans, dont 40 000 pour le site de l’aéroport, et plus de 20 000 en ce qui concerne le deuxième, le Centre de Don Bosco de Damala », indique l’OMS.

La rougeole est une maladie virale très contagieuse, et est une des causes de décès chez enfant. Selon l’OMS, en 2011, la maladie a causé la mort de 158 000 personnes, dont une majorité d’enfants de moins de cinq ans.

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6 janvier 2014 1 06 /01 /janvier /2014 21:24

MEROUN::POLITIQUE

Cameroun - Remaniement : Paul Biya annonce un Tsunami :: CAMEROON

Cameroun - Remaniement : Paul Biya annonce un Tsunami ::CameroonLe Chef de l'Etat a déjà concocté des mouvements de dirigeants à tous les niveaux de l'appareil d'Etat.

Les dégâts du dernier discours de vœux du Chef de l'Etat à la nation s'annoncent à la fois dévastateurs et douloureux pour beaucoup, dans le sérail. En dénonçant, de manière particulièrement vigoureuse, le règne des intérêts égoïstes au sein de l'équipe dirigeante, Paul Biya n'usait nullement de l'incantation ou de l'invective stérile. Il a évoqué «un peuple d'individualistes, plus préoccupés de réussite personnelle que d'intérêt général», d'une «administration «perméable à l'intérêt particulier», «plus souvent incompatible avec l'intérêt de la communauté nationale».
 
Il s'agit en effet, d'un cri de dépit contre une «dérive qui ne doit pas être tolérée» et qui, apprend-on, va se traduire dans les prochaines heures, par un véritable tsunami à tous les niveaux de l'appareil. Un remaniement, mieux, une réorganisation du gouvernement semble plus que jamais imminent. Avant ce coup de sang présidentiel, un fait, qui semble passé inaperçu, était pourtant déjà de nature à alerter l'opinion sur l'état d'esprit du locataire du Palais de l'unité. Le 20 décembre dernier, Paul Biya a longuement reçu le Premier ministre Philémon Yang.
 
En lieu et place de l'habituel passage en revue des faits marquants, les deux hommes ont procédé à une sorte d'inventaire de la politique des «Grandes réalisations». Pour être plus précis, le Chef de l'Etat a reproché à son interlocuteur son manque de vigueur et d'autorité. Le Pm, affirment des témoins, a quitté les lieux la queue (presque) entre les jambes, sentant clairement arriver une sanction attendue cette semaine, et qui est appelée à s'étendre jusqu'à des strates insoupçonnables.
 
Autre indice, et non des moindres: soucieux de repartir avec une nouvelle équipe, le Président de la République a fait reporter la traditionnelle cérémonie de présentation de vœux des corps constitués. Initialement prévue vendredi 3 janvier 2014, elle devrait finalement se tenir ce jeudi au Palais de l'unité. Ce report confirme ainsi les informations que nous donnions déjà, en exclusivité, dans notre édition du 30 décembre 2013.
 
Au départ de cet échec ressenti, Paul Biya dispose actuellement de notes de renseignements qui pointent des détournements de marchés publics et autres projets par certains dirigeants, au profit de leur intérêt personnel. Il y a cette curieuse inertie à monter des projets, à les attribuer et à en suivre la réalisation alors que des financements existent et ne demandent qu'à être utilisés. La preuve en est donnée dans cet extrait du discours: «Comment expliquer qu'aucune région de notre territoire ne puisse afficher un taux d'exécution du budget d'investissement public supérieur 50% ?». Et le Président de s'interroger sur «l'utilité de certaines commissions de suivi de projets, qui ne débouchent sur aucune décision».
 
En clair, rien ne va parce que les «Grandes réalisations» sont compromises. Autre démonstration de ce sabotage généralisé: le taux de croissance est resté coincé à 4,8%, là où le gouvernement tablait sur 6,1%. L'alerte est pourtant donnée depuis des mois, à travers les rapports successifs de la Banque mondiale (Bm), de la Banque africaine du développement (Bad) et du Fonds monétaire international (Fmi) qui ont régulièrement déploré l'immobilisme, la sous-consommation des crédits ainsi que les dérapages budgétaires.

Soigner les maux par des mots

Une question vient directement à l'esprit, après le discours de Nouvel an de Paul Biya et le constat d'échec de la mise en œuvre de la politique des «Grandes réalisations»: comment en est-on arrivé là ? La réponse est contenue dans cet extrait du discours du Chef de l'Etat: «Nous avons encore, sans aucun doute, des marges de progression pour améliorer l'efficacité de notre politique économique. Nous disposons d'une stratégie pour la croissance et l'emploi qui indique la voie à suivre pour atteindre nos objectifs. Mais d'où vient-il donc que l'action de l'Etat, dans certains secteurs de notre économie, paraisse parfois manquer de cohérence et de lisibilité? Pourquoi, dans bien des cas, les délais de prise de décisions constituent-ils encore des goulots d'étranglement dans la mise en œuvre des projets»?
 
En faisant l'effort de sortir de la logique démagogique, on peut se permettre quelques explications rationnelles. Il s'agit, d'abord, de constater que le Cameroun veut aller à l'émergence avec un gouvernement pléthorique, avec parfois des départements dont les missions se chevauchent et deviennent la première cause des blocages. Et donc de l'inertie. Cet état de choses dure depuis 10 ans, là où l'obligation d'efficacité commande une équipe ramassée; un gouvernement de combat nullement compatible avec un contingent hétéroclite.
 
En plus, et ainsi que les observateurs avertis le déplorent, le ronronnement de l'équipe Yang se traduit, tous les mois, par un communiqué des plus soporifiques sanctionnant les sessions du Conseil de cabinet. En réalité, rien de déterminant, démontrant ou montrant un collectif engagé à sortir le Cameroun du bourbier.

A côté de ceci, les fameuses «feuilles de routes» ministérielles, annoncées à grand renfort de publicité et censées faciliter la cohésion dans l'action, sont tombées dans l'oubli après avoir alimenté les espoirs les plus fous. Sans oublier que le Conseil ministériel, connu pour être l'organe d'évaluation, de sanction et de redécolle, ne s'est plus tenu depuis plus d'un an. Comment, dans ce cas, compter atteindre des performances avec des responsables qui ne sentent aucune obligation de rendre compte?

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6 janvier 2014 1 06 /01 /janvier /2014 21:21
Le torchon brûle entre Kader Keita et la presse ivoirienne

La dernière sortie médiatique de l’international ivoirien témoigne du désamour profond entre lui et les médias de son pays.

Dans des déclarations rapportées par nos confrères de Sport-ivoire, l’ancien Lyonnais prévient les journalistes : "Je mets tout journal au défi, celui qui écrit sur moi, qu’il ne mette pas son nom en bas (Ndlr qu’il ne signe pas de son nom), sinon je vais le ni... Je ne parle plus à la presse." Le ton se veut clair et témoigne de la rupture entre le joueur et une partie de la presse ivoirienne.

On se rappelle de la bagarre déclenchée par l’ailier de 32 ans contre un journaliste de la presse people dans une boîte de nuit d’Abidjan en septembre 2012 après la rencontre Côte d’Ivoire-Sénégal (4-2) dans le cadre des éliminatoires de la CAN 2013. L’Eléphant reprochant à sa victime d’avoir dévoilé au grand jour une supposée relation extra-conjugale.

"Celui qui parle encore de moi, je vais le tuer"

Le dernier fait en date - rapporté par le quotidien Le Sport - s’est déroulé en marge de la rencontre de Ligue 1 ivoirienne entre Stella et Gagnoa (10e journée). Les propos tenus par le joueur, actuellement sans contrat, sont sans équivoques : "Vous avez fini d’entrer dans ma vie privée. Vous avez fini de m’insulter [...]. J’attends le journaliste qui va parler de moi encore, je vais le tuer."

Si Keita s’est montré une nouvelle fois virulent envers la presse locale, le natif d’Abidjan n’en oublie pas la sélection et la Coupe du monde 2014 au pays des Ronaldinho, Garrincha et Roberto Carlos. Effectivement, l’ancien joueur d’Al Sadd au Qatar compte se "donner les moyens de faire partie de cette aventure." même s’il reconnaît que "le dernier mot revient au sélectionneur national."

- La meilleure période de la carrière de Keita, à Lille (2005-2007) :




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6 janvier 2014 1 06 /01 /janvier /2014 21:20

roun : un ancien footballeur de Canon assassine son cousin avec un tire-bouchon à Anguissa  :: CAMEROON

Cameroun : un ancien footballeur de Canon assassine son cousin avec un tire-bouchon à Anguissa ::CameroonLes populations de ce quartier pimenté sont à mille lieues de revenir de  leur consternation. En effet, dans la nuit du 29 au 30 septembre 2013, à 24 heures, tapantes, Ndomo Mbida alias « Olivier Dacourt » « Broks », ancien sociétaire du Canon de Yaoundé. Aujourd’hui reconverti en entraineur, a refroidi son voisin à l’aide d’un objet contondant.

Ce jour-là, Ayémé, la victime câblodistributeur dans le coin, est déjà dans les bras de Morphée. A quelques encablures de son domicile, se trouve un débit de boisson. Dont l’originalité se trouve dans le fait qu’il y est planté en pleine cour, un manguier.

Dans le dit lieu de détente, exercerait la dulcinée d’Ayémé. Voulant faire absolument de l’alpinisme sous son mont de venus, « Mbido », cousin du bourreau M. Ndomo Mbida, se met à arroser sa nouvelle conquête de bière. La mayonnaise ne prenant toujours pas, il opte pour l’argument de la force. C’est ainsi que dépassée par les évènements, et la forte pression, la tenancière ira tirer Ayémé de son sommeil.

Une fois sur les lieux, courroucé, il aurait balancé un verre de bière sur sa copine, sans se laisser dicter, « Mbido » et Ayémé, auraient commencé à se crêper le chignon. 
Dans la panique, la petite aurait fondu dans la nature. Sans demander son reste. Ndomo aurait tenté de mettre un terme à ce pugilat. 

Il aurait alors pris le parti de son cousin Mbido. Les deux gaillards se seraient mis à molester le jeune. Pris entre deux feux, Ayémé parvient momentanément à sortir des griffes de ces prédateurs à la forme humaine. Il se rend ventre à terre, pas loin de là, plus précisément au bar de Yannick, le cousin des bourreaux, situé à côté du stade Malien.

Ceux-ci l’y rattrapent et rebelote. Armés de machettes et de gourdins, ils somment les riverains de ne pas intervenir de peur d’être assommés par iceux. 
Mû par les idées sataniques, Ndomo aurait transpercé le cœur d’Ayémé, à l’aide d’un tire-bouchon, sous le regard médusé des témoins de la scène. Les deux bourreaux vont plus loin, en menaçant de mort quiconque irait chercher un taxi pour conduire à l’Hôpital ce jeune homme déjà dans un état critique.

C’est Yannick, déjà à l’ombre qui parviendra à faire appel au corps des sapeurs-pompiers, qui tenteront de sauver Ayémé en vain. Il était déjà passé de vie à trépas. Comme des héros d’un film d’horreur, Ndomo et Mbido rentreront chez eux, portés en triomphe par leurs parents.

Quelques instants plus loin, ils seront cueillis comme des mangues mûres par les éléments  du commissariat central du 4e arrondissement de Nkolndongo. Ils seront déférés plus tard à la prison centrale de Kondengui, où ils méditent sur leur sort. À Anguissa cependant, les jeunes sont sur leurs dents, ils veulent en découdre avec ces assassins qui ternissent l’image de leur cher et beau quartier. 

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6 janvier 2014 1 06 /01 /janvier /2014 21:18
Coupe de France : Ntep et Ngando buteurs

 

On a joué les matches comptant pour les 32es de finale de la Coupe de France de football ce week-end. Pas de grande surprise pour les internationaux camerounais engagés dans cette compétition qui ont tous validé leurs tickets pour les seizièmes de finale. Tous sauf un : Vincent Aboubakar. L’ancien attaquant de Cotonsport de Garoua et ses coéquipiers de Lorient sont tombés (1-0) à Yseure, club de CFA, sur un but d’un autre Camerounais, Steve Mbida (25e).

 
 
commentaires

Il faut dire que pour la première fois de la saison, Vincent Aboubakar n’a joué la moindre minute de ce match. Blessé au ménisque, il a dû observé un repos.

Les autres Internationaux camerounais évoluant en France s’en sont bien tirés.

Dans un choc entre club de Ligue 1, Jean II Makoun, Armel Kana-Biyik et Rennes sont venus à bout de Valenciennes à la séance des tirs au but (8-7), après un match nul d’un but partout (1-1). Les Rennais auraient même pu remporter le match avant la prolongation, mais la tentative de Kana-Biyik échouait sur la barre de portier Valenciennois, Novaes (80e).

Avec un Landry Nguémo ayant véritablement retrouvé ses marques, les Girondins de Bordeaux se sont imposés à Raon-L’Etape (2-1). Pendant que Guingamp validait sa place en seizièmes de finale sur la pelouse de Bourg-Péronnas (2-0). L’international gardien camerounais, Guy-Roland Ndy-Assembe est resté sur le banc guingampais, durant toute la rencontre.

Victoire 2-0 également pour Nicolas Nkoulou et Marseille qui ont dû attendre la prolongation, pour arracher leur qualification devant Reims. Malgré une première mi-temps pas trop difficile, le défenseur central camerounais a su rehausser son niveau de jeu et son équipe a terminé en trombe.

Victoire écrasante de l’Olympique Lyonnais avec Henri Bédimo, mais sans Umtiti (6-1) face au club de La Suze.

Autre victoire écrasante, celle de l’Auxerre (6-2) contre le petit poucet, Marcq-en Baroeul (Promotion d’honneur). Dans une rencontre très animée et pleine d’occasions, les Auxerrois s’en tirent bien grâce notamment à des réalisations signées Paul-Georges Ntep (9e) et Axel Ngando (58e), deux pépites camerounaises à suivre de prêt.


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6 janvier 2014 1 06 /01 /janvier /2014 21:18
Coupe de France : Ntep et Ngando buteurs

 

On a joué les matches comptant pour les 32es de finale de la Coupe de France de football ce week-end. Pas de grande surprise pour les internationaux camerounais engagés dans cette compétition qui ont tous validé leurs tickets pour les seizièmes de finale. Tous sauf un : Vincent Aboubakar. L’ancien attaquant de Cotonsport de Garoua et ses coéquipiers de Lorient sont tombés (1-0) à Yseure, club de CFA, sur un but d’un autre Camerounais, Steve Mbida (25e).

 
 
commentaires

Il faut dire que pour la première fois de la saison, Vincent Aboubakar n’a joué la moindre minute de ce match. Blessé au ménisque, il a dû observé un repos.

Les autres Internationaux camerounais évoluant en France s’en sont bien tirés.

Dans un choc entre club de Ligue 1, Jean II Makoun, Armel Kana-Biyik et Rennes sont venus à bout de Valenciennes à la séance des tirs au but (8-7), après un match nul d’un but partout (1-1). Les Rennais auraient même pu remporter le match avant la prolongation, mais la tentative de Kana-Biyik échouait sur la barre de portier Valenciennois, Novaes (80e).

Avec un Landry Nguémo ayant véritablement retrouvé ses marques, les Girondins de Bordeaux se sont imposés à Raon-L’Etape (2-1). Pendant que Guingamp validait sa place en seizièmes de finale sur la pelouse de Bourg-Péronnas (2-0). L’international gardien camerounais, Guy-Roland Ndy-Assembe est resté sur le banc guingampais, durant toute la rencontre.

Victoire 2-0 également pour Nicolas Nkoulou et Marseille qui ont dû attendre la prolongation, pour arracher leur qualification devant Reims. Malgré une première mi-temps pas trop difficile, le défenseur central camerounais a su rehausser son niveau de jeu et son équipe a terminé en trombe.

Victoire écrasante de l’Olympique Lyonnais avec Henri Bédimo, mais sans Umtiti (6-1) face au club de La Suze.

Autre victoire écrasante, celle de l’Auxerre (6-2) contre le petit poucet, Marcq-en Baroeul (Promotion d’honneur). Dans une rencontre très animée et pleine d’occasions, les Auxerrois s’en tirent bien grâce notamment à des réalisations signées Paul-Georges Ntep (9e) et Axel Ngando (58e), deux pépites camerounaises à suivre de prêt.


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6 janvier 2014 1 06 /01 /janvier /2014 21:12

eroun : Qui sont les quatre soldats tués par la Séléka :: CAMEROON

Cameroun : Qui sont les quatre soldats tués par la Séléka ::CameroonLes corps de deux de ces militaires abattus en fin d’année 2013 ont été levés vendredi dernier à la morgue de l’hôpital régional de Bertoua.

Les corps inanimés de Dieunedor Baring Kollo, né le 05 janvier 1983 à Ndobiang par Nkondjock dans le département du Nkam, marié, père de 05 enfants, et de Jean-Baptiste Mamoudou, né le 10 août 1985 à Banguéré dans l’Extrême-nord, marié et père de 07 enfants ont pris le chemin de leurs villages respectifs le week-end pour les cérémonies d’inhumation de ces sergents en service au 2è bataillon d’intervention rapide (Bir) basé à Letta, localité située à une soixantaine de kiomètres de Bertoua, chef-lieu de la région de l’Est.

Ces deux sous-officiers de cette unité d’élite, tous issus de la promotion de 2006, étaient tombés sous les balles des bandes armées en provenance de la République centrafricaine (Rca). Pour Dieunedor Baring Kollo, c’est le 17 novembre 2013 qu’il était passé de vie à trépas alors qu’il faisait partie des troupes allées repousser une attaque des hommes en armes centrafricains qui, la veille, avaient fondu sur la localité de Gbitti, située dans l’arrondissement de Ketté, département de la Kadéy, juste à la frontière avec la Rca. En effet, c’est aux environs de 18 heures que cette attaque surprise a eu lieu. Selon des sources locales, « ce sont environ 1.000 miliciens centrafricains qui avaient pris d’assaut Gbitti ».
 
Après avoir pillé quelques habitations et molesté quelques familles camerounaises, une grande partie de ces bandits ont replié vers leur base de Banga, premier village centrafricain après la rivière Bombé qui sépare les deux pays, village à partir duquel, affirment certains riverains, « ils envoyaient des ultimatums sous forme d’attaques au cas où le Cameroun ne libèrerait pas leur chef Abdoulaye Miskine, interpellé à Bertoua en septembre 2013 ». C’est au petit matin du 17 novembre 2013 que les renforts de l’armée camerounaise ont retrouvé le petit nombre de pillards qui voulaient continuer leurs exactions. C’est au cours des échanges de tirs entre ces derniers et les éléments du 2è Bir que Dieunedor Baring Kollo va succomber à ses blessures par balles.
 
Pour le second, Jean-Baptiste Mamoudou, en détachement à Ngoura, dans le Lom-et-Djerem, des sources dignes de foi relatent que « c’est le 30 novembre 2013 qu’une femme est venue lui signaler la présence de malfrats qui retenaient trois enfants en otage ». C’est alors qu’il suit cette dernière pour intervenir qu’il aura été visiblement surpris par les hommes armés qui l’ont froidement abattu.

Encore à la morgue

La Saint-Sylvestre 2013 a été fatale pour Joël Simo et Ewititus, des soldats de 2è classe appartenant au 11è bataillon d’appui de Bertoua et en détachement dans la zone comprise entre Gbitti et Ketté, précisément au village Oundiki. Ces soldats camerounais âgés de moins de 25 ans ont été surpris, selon des sources sécuritaires par « près de 300 hommes armés qui ont attaqué la base d’un détachement militaire à Oundiki ». Après avoir abattu deux de nos militaires du 11è bataillon d’appui et le chef de la communauté de ce village, affirment nos sources, « ils ont également emporté 4 armes de guerre, deux caisses de munitions, des effets vestimentaires militaires et des lits de campement ». Les corps des deux militaires criblés de balles ont été déposés à la morgue de l’hôpital régional de Bertoua le 31 décembre 2013 au soir.
 
Bon à savoir, Oundiki est un village de la Kadéy situé à environ 37 km de Kétté, chef-lieu de l’arrondissement éponyme, et à 18 km de Gbitti côté nord. L’attaque d’Oundiki intervenait cinq jours après une descente de Samuel Dieudonné Ivaha Diboua, gouverneur de l’Est, à Kentzou, Bombé-Bakary, Gbitti et Ondiki, et quatre jours après un affrontement entre l’unité anti-terroriste du Bir de Letta et une bande armée au village Kana, près d’Oundiki qui a laissé un assaillant sur le carreau. La communication du gouverneur de l’Est sur les antennes des radios locales était une fois de plus truffée d’imprécisions corrigées par le communiqué du Mindef, en harmonie des faits révélés par le quotidien privé « Mutations » dans son édition du 02 janvier 2014.

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5 janvier 2014 7 05 /01 /janvier /2014 17:16

Intronisé dans son costume de nouveau sélectionneur du Mali, Henry Kasperczak est revenu sur les objectifs qui lui ont été fixés par la Fédération malienne. Si l’instance a définit la qualification à la CAN 2015 comme un impératif, le technicien franco-polonais a indiqué qu’il comptait bien emmener les Aigles le plus loin possible dans la compétition et, pourquoi pas, la gagner. "Avec la Fédération malienne, on est tombé sur un objectif commun : remporter la Coupe d’Afrique. C’est un défi intéressant. Avec les moyens dont dispose le Mali, des joueurs de qualité, on peut réussir", a-t-il indiqué.

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