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14 septembre 2014 7 14 /09 /septembre /2014 18:06
    Premier contrat pro pour Zacharie Lionel Enguene avec le FC Barcelone

     

    L’un des milieux de terrain les plus prometteurs de la cantera du Barça, a signé ce samedi après-midi son premier contrat professionnel avec le FC Barcelone. Il est maintenant lié à l’équipe de Lionel Messi jusqu’au 30 Juin 2018. Il a exprimé sa satisfaction par l’intermédiaire des médias sociaux : "Très heureux de rester connecté à ce grand club et de signer mon premier contrat professionnel. Merci Barça pour votre confiance. Je vais maintenant tout donner ! "écrit-il.

     
     
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    Zacharie Lionel Enguene est né à Bertoua, le 7 Janvier, 1996. Il est arrivé au club grâce à la Fondation Samuel Eto’o au printemps 2007 et en 2008, il a excellé en aidant le club à remporter des tournois prestigieux, tels que Brunete et Maspalomas ,tout en étant le meilleur buteur.

    Le milieu de terrain a excellé dans toutes les catégories la saison dernière et a été le chef de file de la formidable machine à gagner du Juvenil A qui a remporté la Ligue des Jeunes à Nyon contre Benfica (3-0).

    Enguene est reconnu pour sa technique exquise dans tous les concepts du jeu : contrôle, passe courte, passe longue, avec l’intérieur et l’extérieur du pied, le dribble et le tir.

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    14 septembre 2014 7 14 /09 /septembre /2014 18:03
    Barça : Premier contrat pro pour Zacharie Enguene

    Arrivé au FC Barcelone en 2007, Zacharie Lionel Enguene vient de définitivement lier son avenir avec le club catalan. Le jeune camerounais a signé son premier professionnel avec les Blaugrana. Passé par la Fondation Eto’o, le milieu de terrain de 18 ans s’est engagé jusqu’en juin 2018.

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    14 septembre 2014 7 14 /09 /septembre /2014 18:01

    Battu samedi par le Ghana lors du dernier tour aller des éliminatoires de la CAN des moins de 17 ans, le Cameroun soupçonne son adversaire d’avoir aligné des joueurs bien plus âgés. Des réserves ont été déposées par la délégation camerounaise. Son homologue ghanéenne en a fait de même.

    Le continent africain rattrapé par ses vieux démons ? Disputée samedi au stade Ahmadou Ahidjo de Yaoundé, la rencontre entre le Cameroun et le Ghana comptant pour le dernier tour aller des éliminatoires de la CAN 2015 des U17 s’est déroulée sous un fort parfum de suspicion. Si sur le terrain les Camerounais ont mordu la poussière non sans démériter (2-1), leur délégation n’a pas dit son dernier mot et compte récupérer la victoire sur tapis vert.

    La raison ? Sept réserves déposées auprès de la Confédération africaine de football au sujet de joueurs ghanéens, qui seraient bien plus âgés et donc n’auraient pas dû prendre part au match. Une procédure qui a retardé le coup d’envoi d’une bonne heure, les hôtes de la partie prenant le soin de déposer leurs recours auprès de la commission arbitrale, prenant notamment des photos des joueurs pointés du doigt en compagnie des officiels.

    Risque d’une suspension de deux ans

    Ainsi soupçonnée, la sélection ghanéenne a également déposé des réserves au sujet de quatre Camerounais. La CAF va désormais devoir se saisir du dossier et étudier les cas de chaque joueur incriminé, avec le cas échéant des tests a radiographie du poignet et l’Imagerie par résonance magnétique (IRM) afin de déterminer l’âge des 10 joueurs ciblés au total.

    Un cas qui rappelle celui du tour précédent : le Togo et le Sénégal s’étant tristement illustrés, avant le match cette fois-ci, avec le renvoi de 38 joueurs des deux sélections. En cas de fraude avérée, en plus d’une défaite sur tapis vert (3-0) qui mettrait les fautifs en position délicate avant le match retour, les coupables s’exposeraient à de lourdes sanctions, à l’image de celle infligée par la CAF à la Gambie, coupable d’avoir aligné des joueurs plus âgés lors des éliminatoires de la CAN 2015 des moins de 20 ans : deux ans de suspension. De quoi faire réfléchir..

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    14 septembre 2014 7 14 /09 /septembre /2014 18:00
    Cameroun – Ghana : Des Black Starlest, « aspect trop vieux »

    Des réserves de qualification ont été formulées par le Cameroun contre sept joueurs ghanéens visiblement âgés de plus de 17 ans.

     

    La question de morphologie s’est encore posée ce samedi au stade Ahmadou Ahidjo de Yaoundé à l’occasion de la rencontre aller Cameroun – Ghana, comptant pour le dernier tour qualificatif pour la CAN Cadets 2015. Le coup d’envoi de la rencontre a connu un retard du fait des réserves de qualification portées par le Cameroun sur sept joueurs de l’équipe du Ghana. Pour les responsables de l’équipe du Cameroun, sept joueurs adverses devront subir des tests médicaux de la CAF. Visiblement, selon eux, « ce sont des papas », qui devraient au moins jouer chez les juniors.

    Le 14 septembre 2014
     
     
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    Une séance de photo a été faite avant le coup d’envoi. Chaque joueur à morphologie douteuse a fait une photo avec les officiels et le capitaine du Cameroun. A la suite de ces réserves du Cameroun, les Ghanéens ont aussi porté des réserves sur quatre Camerounais. « Ils ne veulent pas seulement se plier comme ça. Ils savent bien que plusieurs de leurs joueurs sont de vieux. Or, chaque joueur de l’équipe du Cameroun est passé par la radiographie du poignet et l’Imagerie par résonnance magnétique (IRM). Et les résultats ont exclu pratiquement six joueurs du Cameroun, selon les exigences de la CAF. Donc, ce sont des biberons que le Cameroun a alignés. La CAF, suivant les réserves du Cameroun devra faire la contre-expertise du fait que les Ghanéens, en principe ont déposé le dossier de chaque joueur », nous a confié une source médicale proche des équipes nationales.

    En attendant le match retour, le Cameroun ne voudrait plus tomber dans le piège de 2012. Le Cameroun coaché par Richard Towa avait été éliminé par le Mali. Or, les joueurs maliens visiblement, étaient plus âgés, donc dépassaient 17 ans et c’est lors de la phase finale qu’ils avaient été débusqués par la CAF et disqualifiés. Pourtant, si le Cameroun avait porté des réserves, il aurait obtenu la qualification sur tapis vert. Et sur le terrain ce samedi, il était clair que les Lionceaux avaient en face des adversaires plus âgés, plus mûrs. Ils étaient soufflés dans tous les duels comme des feuilles de papier. A la Fécafoot de suivre ce dossier, en attendant le match retour.


     

     

     

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    14 septembre 2014 7 14 /09 /septembre /2014 17:56

     






























    Cameroun - Exclusif - Révélations: Le Capitaine Guérandi Mbara gardé au secret ou assassiné et enterré par la DGRE ?

     

     


    Selon le magazine panafricain Jeune Afrique en kiosque ce 14 Septembre 2014, l’ancien officier subalterne auteur du coup d’Etat manqué du 06 Avril 1984 aurait été enlevé par les services secrets Camerounais alors qu’il essayait d’entrer en contact avec un marchand d’armes.

    Jeune Afrique en Kiosque - 14/09/2014
    Photo: © JA


    L’histoire remonte à fin 2012. Les barbouzes Camerounais de la DGRE -Direction Générale de la Recherche Extérieure- sont informés de la présence de l’ex capitaine de la garde républicaine, auteur du fameux coup d’Etat manqué du 06 Avril 1984, à Paris.

    Selon les informations en leur possession, l’ancien putschiste qui voudrait armer 2000 hommes, serait sur le point d’entrer en contact avec Georges Starkman un important marchand d’armes basé sur la place Parisienne. Aussitôt, un stratagème est mis sur pied par la DGRE et c’est un ancien colonel Portugais José Alberto Fernandès (qui travaille avec la DGRE) que l’on charge de le ferrer.

    Une fois en contact avec Guérandi Mbara, celui-ci lui propose de l’emmener en Russie pour prendre les armes. Dans l’avion qui décolle de Porto au Portugal, un puissant sédatif est administré à l’ancien capitaine qui s’endort profondément pendant que l’appareil prend la direction du Cameroun.
    D’après l’auteur de l’enquête, le colis aurait été livré aux agents des services secrets Camerounais entre Pouma et Edéa, sur l’axe lourd reliant Douala à Yaoundé le 25 janvier 2013.

    Pour mémoire, c’est après l’échec du coup d’Etat du 06 Avril 1984 que l’ex capitaine de la garde républicaine condamné à mort par contumace, avait quitté le Cameroun pour le Burkina-Faso où il a depuis lors vécu sous la protection du président Blaise Compaoré, diplômé de l’école militaire interarmes (EMIA) de Yaoundé comme lui. Titulaire d’un passeport diplomatique Burkinabé, Guérandi Mbara aurait un temps poursuivi des études à Paris, avant d’y ouvrir un cabinet d’expertise. Véritable globe-trotter et ennemi acharné du régime de Yaoundé, l’ancien capitaine était aussi connu pour ses tribunes enflammées, publiées dans certains tabloïds Camerounais.

     

     

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    13 septembre 2014 6 13 /09 /septembre /2014 19:42


















    Cameroun - Réaction: Sam Mbende répond à Ama Tutu Muna

     

     

    Le président du Conseil d'administration de la CMC corrige des «insuffisances» et «omissions» contenues dans l'interview du Minac.
    "Dans son édition N° 3725 du lundi 08 septembre 2014, le journal Mutations a accordé une grande interview à la ministre des Arts et de la Culture en pages 14 et 15. En ma qualité d'artiste musicien, d'homme de culture, de président du conseil d'administration de la Cameroon Music Corporation (CMC), organisme de gestion collective de droit d'auteur du domaine musical, et de président de l'Alliance panafricaine des auteurs et compositeurs de musique (PACSA), j'ai lu ladite interview avec attention. Et il me semble qu'il y a lieu d'apporter quelques éléments d'analyse aux insuffisances et autres omissions contenues dans les propos de Son Excellence Ama Tutu Muna.

    J'ai noté la sagacité de la ministre des Arts et de la Culture à vouloir justifier la crise actuelle dans la gestion collective du droit d'auteur en général et dans la gestion collective du droit d'auteur du domaine musical en particulier:

    «Dix ans après la loi N°2000/011 du 19 décembre 2000 relative au droit d'auteur et aux droits voisins du droit d'auteur, on s'est rendu compte d'un certain nombre de dysfonctionnements. Nous nous disons qu'il faut d'abord sécuriser les droits qui constituent le principal problème car c'est l'argent qui est au centre de la crise... »


    Parce que les Camerounais ont le droit de savoir toute la vérité sur l'imbroglio et l'amalgame entretenus dans la gestion collective du droit d'auteur depuis Mai 2008, il convient de relever que lorsque Son Excellence Ama Tutu Muna accède à la tête du ministère des Arts et de la Culture le 7 septembre 2007, la paix et la sérénité règnent dans le milieu artistique. Les sociétés de gestion collective du droit d'auteur et des droits voisins du droit d'auteur existent et fonctionnent à peu près convenablement, bien qu'elles souffrent logiquement de maladies infantiles. Les répartitions sont régulièrement faites. Les barèmes de perception sont clairement établis et l'assiette de recouvrement du droit d'auteur et des droits voisins du droit d'auteur est, conformément à la loi, élargie et approfondie. Des mesures de sécurisation des recettes sont prises avec la création du Compte de dépôt spécial (qui reçoit toutes les sommes perçues au titre du droit d'auteur et des droits voisins du droit d'auteur. Il ne peut être mouvementé qu'avec les signatures des PCA et celle du président de la Commission permanente de médiation et de contrôle des sociétés de gestion collective du droit d'auteur - CPMC)... Pour les témoins avisés de l'évolution du droit d'auteur au Cameroun, qui oserait penser, dire ou écrire aujourd'hui que le droit d'auteur gisait dans la fange et la nébuleuse ?

    En témoigne l'interview télévisée sur la chaîne française "France 24", en octobre 2007, du Président de la République, Son Excellence Paul Biya, qui avait alors qualifié de "révolutionnaire" le travail fait par l'ex ministre d'Etat en charge de la Culture, son Excellence Ferdinand Léopold Oyono. Dissimulation de l'information ou manœuvre consciente d'intoxication ? Le problème de fond à l'origine du blocage actuel du fonctionnement des organismes de gestion collective du droit d'auteur ne relève pas de «l'argent qui est au centre de la crise», mais bel et bien des approximations dans l'application de la loi N°2000/011 du 19 décembre 2000 relative au droit d'auteur et aux droits voisins du droit d'auteur et au décret N°2001/ 956/PM du 1er novembre 2001 fixant les modalités d'application de ladite loi. Des insuffisances dues à l'ignorance et au mépris de la législation en vigueur par les décideurs, notamment le ministère des Arts et de la Culture et la Commission permanente de médiation et de contrôle des sociétés de droit d'auteur (CPMC).

    Bien plus, il ne faut pas oublier les problèmes structurels et de gouvernance des organismes de gestion collective du droit d'auteur. Contrairement à leur mode de constitution qui est malheureusement dans un déphasage complet avec leur fonctionnement, les sociétés de gestion collective du droit d'auteur camerounaises, loin de s'affirmer comme de véritables institutions, se révèlent plutôt curieusement par leur éloignement des dispositions règlementaires (notamment leurs statuts, la loi N°2000/011 du 19 décembre 2000 relative au droit d'auteur et aux droits voisins du droit d'auteur et le décret N°2001/ 956/PM du 1er novembre 2001 fixant les modalités d'application de la loi susvisée) qui disposent pourtant des concepts, des règles et des principes.
    Ce changement, qui se comprend mal dans un contexte général de la réforme du droit de la propriété littéraire et artistique motivée par la loi N°2000/011 du 19 décembre 2000, est pourtant imprimé, chose paradoxale, par le ministère des Arts et de la Culture.

    Ainsi donc, que ce soit dans l'affaire opposant la CMC au ministère des Arts et de la culture ou encore dans celle opposant l'ex SOCAM, version Ndedi Eyango, au même ministère, malgré que toutes les décisions de justice aient été prises
    en faveur de la CMC concernant le premier litige, nonobstant les incongruités qui ont entouré la curieuse convocation de l'assemblée générale extraordinaire du samedi 02 novembre 2013 par la ministre des Arts et de la Culture avec toutes les conséquences fâcheuses qui en ont découlé à propos du second démêlé, la controverse n'a guère faibli sur les décisions prises régulièrement par Son Excellence Ama Tutu Muna.

    C'est ainsi qu'on est arrivé à se focaliser, non plus sur les conditions de fond et les exigences de forme qui réglementent la gestion collective du droit d'auteur au Cameroun d'une part et les incompétences de ceux qui sont supposés veiller au respect de l'orthodoxie en la matière d'autre part, mais pour les problèmes d'argent, les problèmes d'égo, les discours pompeux, les calomnies, les persécutions et les mensonges éhontés, sources de conflits de toutes sortes et présentement appréhendés comme facteurs principaux du blocage, sinon de paralysie de la gestion collective du droit d'auteur et des droits voisins du droit d'auteur au Cameroun.

    La seule évocation de l'argent et de sa sécurisation par la ministre des Arts et de la Culture suffit à révéler la vraie fausse affaire des cent millions de FCFA des Brasseries du Cameroun soi-disant "détournés" par le président du conseil d'administration de la CMC en 2008. En effet, on est loin mais alors très loin de la réalité. Au total, à ce jour, aucun élément matériel n'a été recueilli qui puisse justifier des allégations dans ce sens. Et même lorsqu'il en existerait, il eut fallu attendre la décision finale d'un juge, pour se répandre en commentaires aussi péremptoires. D'autant que la plainte adressée au délégué général à la Sûreté nationale le 8 mai 2008 par Son Excellence Ama Tutu Muna n'a réussi qu'à révéler une opération à tête chercheuse.

    Sur le rôle de la Commission permanente de médiation et de contrôle des organismes de gestion collective du droit d'auteur (CPMC) qui «ne devrait pas exister» selon la ministre des Arts et de la Culture, je note que cette autorité administrative a été créée conformément à l'article 78 de la loi N°2000/011 du 19 décembre 2000 et confortée par l'article 79 de la même loi qui dispose que «le ministre chargé de la Culture ou son représentant peut recueillir, sur pièces ou sur place, les informations sur les organismes de gestion collective». Par conséquent, même s'il est vrai que la CPMC n'est nullement mentionnée dans la loi N°2000/011 du 19 décembre 2000, encore moins dans le décret N°2001/ 956/PM du 1er novembre 2001, relever une entorse à sa légitimité organique et fonctionnelle est un raccourci facile. Cela, en négligeant d'observer que l'infrastructure en vigueur représente un fort investissement intellectuel et physique ! On pourrait alors se demander pourquoi, sept ans après sa nomination à la tête du ministère des Arts et de la Culture, son Excellence Ama Tutu n’a pas dissout cette Commission.

    Dans ce contexte, il faut sans doute rappeler que le 16 octobre 2007, la ministre des Arts et de la Culture a mis sur pied un Comité d'évaluation de l'application de la loi N°2000/011 du 19 décembre 2000 relative au droit d'auteur et aux droits voisins du droit d'auteur. Et ce Comité d'évaluation a confirmé la légalité et l'opportunité de la CPMC. Ce qui a justifié la nomination de nouveaux membres, sur la base des textes anciens, c'est-à-dire ceux légués par Son Excellence Léopold Ferdinand Oyono. Par ailleurs, ledit Comité a préconisé le maintien de la CPMC, moyennant l'affichage de sa fonction de régulation, le renforcement de ses pouvoirs et son organisation par un décret primo ministériel ou présidentiel. On ne l'a jamais dit publiquement mais poussant à l'extrême l'inconséquence, ce Comité d'évaluation avait également pour mission de vérifier la constitutionnalité de la CPMC. Véritable délire parce que le contrôle de constitutionnalité est un contrôle juridictionnel pour s'assurer que les normes de droit interne (loi, règlement), mais également externe (traité) respectent la Constitution. Laquelle est placée au sommet de la hiérarchie des normes.

    Si la loi N°2000/011du 19 décembre 2000 a posé le principe de la gestion collective, elle a également réglementé la création des organismes qui ont la charge de cette activité. Non sans subordonner leur création à de nombreuses conditions prévues par la loi et son décret d'application N°2001/ 956/PM du 1er novembre 2001. Malheureusement, quatorze ans après, cette loi et son décret d'application demandent à être révisés aux fins de leur arrimage, à l'ère du numérique, aux standards internationaux. Néanmoins, on ne saurait parler de leur caducité ou de leur désuétude aujourd'hui car n'y relever que des points appendiculaires de discorde ne confine pas moins au pernicieux et à une critique pyromane. La loi N°2000/011 du 19 décembre 2000, qui ne doit en aucun cas être abrogée, demande tout simplement à être amendée dans certaines de ses dispositions.

    La critique est aisée et l'art difficile. Aussi, importe-t-il avant tout de se demander si le ministère des Arts et de la Culture a traduit dans les faits toutes les dispositions réglementaires de la loi N°2000/011 du 19 décembre 2000 relative au droit d'auteur et aux droits voisins du droit d'auteur et du décret d'application N°2001/956/PM du 1er novembre 2001. Que non. C'est le développement de la production artistique au Cameroun qui en pâtit. Et la sonnette d'alarme a été régulièrement tirée dans ce sens par mes soins à travers mes tribunes régulièrement publiées par la presse* camerounaise ces dernières années.

    Quelques exemples pour étayer mon propos. Une condition du succès du décret N°2001/389 du 5 décembre 2001 portant création d'un Compte spécial d'affectation pour le soutien de la politique culturelle, qui est un acte révolutionnaire de Son Excellence Paul Biya dans le cadre de la subvention et du développement des industries culturelles au Cameroun, serait pourtant que les dirigeants du ministère des Arts et de la Culture saisissent cette opportunité pour mettre en branle toutes les décisions d'approbation qui entrent dans le Compte spécial d'affectation pour le soutien de la politique culturelle et qui doivent logiquement générer des milliards de FCFA.

    Il en est ainsi des redevances dues au titre de la représentation ou de la fixation du folklore conformément aux dispositions de l'article 2 du décret N°2001/ 956/PM du 1er novembre 2001 fixant les modalités d'application de la loi N°2000/011 du 19 décembre 2000 relative au droit d'auteur et aux droits voisins du droit d'auteur d'une part, des modalités de versement de la taxe sur les spectacles au Compte d'affectation spéciale pour le soutien de la politique culturelle conformément aux dispositions de l'article 10 du décret susvisé d'autre part, de la rémunération pour copie privée du phonogramme et de vidéogramme conformément aux dispositions de l'article 13 du décret susdit de troisième part et de la décision constatant la composition de la commission d'arbitrage conformément aux dispositions de l'article 12 du décret susvisé de quatrième part.

    Alors que nous sommes désormais à l'ère du numérique, alors que le Chef de l'Etat camerounais, dans le décret N°2001/389 du 5 décembre 2001, anticipait en faisant allusion à la copie privée numérique, notamment aux supports d'enregistrement amovibles, afin d'établir les montants applicables au support des matériels du type HI-FI intégrant les disques durs ou décodeurs enregistreurs, le Cameroun reste malheureusement la traîne.

    L'article 4 du décret N°2001/389 du 5 décembre 2001 garantit par exemple les prêts consentis par les établissements de crédit. Et cette disposition n'est pas littérature, Cela implique donc d'aménager aux entreprises culturelles un espace économique favorable-pour produire et se consolider car les produits culturels contribuent à la création des emplois et des richesses.

    La loi N°2004/001 du 21 avril 2004 portant régime des spectacles, bien qu'elle- ait été promulguée depuis plusieurs années, n'a jamais été appliquée. La réalité du spectacle vivant au Cameroun demeure donc malheureusement aux antipodes de la législation, des charlatans se réclamant d'une activité du spectacle sans en connaître les tenants et les aboutissants. Résultat des courses : les spectacles sont hors de tout contrôle et de toute autorité. Cela étant dit, on ne fera pas offense aux hauts cadres «appréciés» et «appréciables» du ministère des Arts et de la Culture et de la Commission permanente de médiation et de contrôle des sociétés de droit d'auteur en disant que la plupart des dispositions prises par ladite administration présentent des insuffisances ou des ambiguïtés. Et pour ces raisons, elles constituent, globalement, des sources permanentes de conflits et de blocage du fonctionnement des organismes de gestion collective du droit d'auteur et des droits voisins du droit d'auteur. Les incompétences, les insuffisances et les incongruités l'emportent, et de très loin, sur quelques actions de façade mal suggérées à l'exemple de cette fameuse répartition dite «spéciale» que vient curieusement de faire le ministère des Arts et de la Culture en faveur des artistes musiciens.

    Madame la ministre des Arts et delà Culture affirme que «du fait de la crise, les autres sociétés de droit d'auteur ont reçu leur montant dans le compte de dépôt spécial. Et non dans le compte d'affectation du ministère... ». En d'autres termes, seuls les artistes musiciens ont bénéficié des fonds provenant du Compte spécial d'affectation pour le soutien de la politique culturelle.
    Cette considération conduit à deux questions fondamentales : au-delà de l'octroi des aides financières ou matérielles par le ministère des Arts et de la Culture à la création artistique et à sa diffusion, l'action sociale de prise en charge de la rentrée scolaire des enfants des artistes musiciens s'inscrirait-elle aussi dans les missions du Compte spécial d'affectation pour le soutien de la politique culturelle ? Sauf à vouloir afficher sa rageuse envie de faire davantage table rase du droit en matière de gestion collective du droit d'auteur, le ministère des Arts et de la Culture, comme par maternalisme, peut-il, sauf connivence particulière, se substituer à l'organisme de gestion collective du droit d'auteur du domaine musical pour organiser des répartitions ? Tout ceci s'illustre par la puissance d'égarement dudit ministère aujourd'hui. C'est dans ce climat d'illégalité criarde que certaines indiscrétions révèlent, contrairement aux propos tenus par la ministre des Arts et de la Culture dans Mutations, que les fonds mis à contribution pour la fameuse «répartition spéciale» proviennent, non pas du Compte spécial d'affectation pour le soutien de la politique culturelle mais bel et bien du Compte de dépôt spécial. Son Excellence Ain; Tutu Muna, qui était accompagnée de deux artistes musiciens, aurait ainsi personnellement, apprend-on, prélevé 205 millions de FCFA du Compte de dépôt spécial polir un versement à Express Union aux fins de la fameuse «répartition spéciale». Et à cet égard, les signataires du Compte de dépôt spécial soutiennent mordicus que les fonds attribués à l'art musical au cours de la «répartition inter sociale» du 19 août 2014 ne sont plus dans ledit Compte. D'où cette question simple : Si ces fonds n'ont pas été mis en répartition, où seraient-ils alors logés ? Au ministère des Arts et de la Culture d'apporter la preuve du contraire.

    Plus grave, alors que les fonds ayant fait l'objet de cette fameuse «répartition, spéciale» proviennent de la Cameroon Radio and Télévision (CRTV), le ministère des Arts et de la Culture, 'au mépris des conventions internationales qui régissent le droit d'auteur et les droits voisins du droits d’auteur, n'a pas cru devoir protéger les droits des titulaire de droit d'auteur et des droits voisins du droit d'auteur étrangers en prélevant leurs intérêts. C'est tout dire ! En ma qualité de président de l'Alliance panafricaine des auteurs et compositeurs de musique (PACSA), je ne peux Mie condamner de telles répartitions faites sans bases juridiques et au détriment de l'auteur et compositeur de musique car l'événementiel ne saurait prendre le pas sur le développement véritable et durable du droit d'auteur au Cameroun.
    Et dans ce contexte regrettable, il faut sans doute le dire avec force: les sociétés de gestion collective du droit d'auteur sont des sociétés civiles soustraites, c'est-à-dire non soumises, à quelque tutelle que ce soit du ministère des Arts et de la Culture. Pour être plus éclairant à la suite des propos de la ministre des Arts et de la Culture, laquelle qualifie les redevances de droit d'auteur versées par les usagers du droit d'auteur aux organismes de gestion collective du droit d'auteur de «deniers publics», lesdites redevances ne sont, ni plus ni moins, que des fonds sociaux appartenant aux associés d'une entité strictement privée et civile dans laquelle l'Etat n'a aucun intérêt pécuniaire si l'on s'en tient à l'article 184 du Code pénal camerounais.

    De ce fait, l'argumentaire de la ministre des Arts et de la Culture est donc très spécieux. C'est un faux procès appuyé sur des arguties ou des raisonnements de mauvaise foi car la régulation des organismes de gestion collective du droit d'auteur par, elle évoquée dans le cadre de son interview ne saurait lui accort der un pouvoir autre en dehors de celui conféré par les dispositions législatives et réglementaires en matière de droit d'auteur au Cameroun. Au-delà, une question mérite d'être posée : peut-on en effet sérieusement imaginer le ministre des Finances, sous le prétexte de réguler le secteur bancaire privé, faire des dépôts des épargnants des « fonds publics » ou encore se révéler par une immixtion dans la gestion quotidienne des banques ? Une réponse positive créerait un tollé au sein de l'opinion.

    Il ne faut pas lire la loi N°2000/011 du 19 décembre 2000 relative au droit d'auteur, le décret N°2001/956/PM du 1er novembre 2001 fixant les modalités d'application de ladite loi et les statuts des sociétés de gestion collective de droit d'auteur de manière extractive, partielle ou partiale. Il faut les appréhender dans toute leur cohérence et leur globalité. Ainsi appréhendés, ils intègrent bien les attributions du ministère des Arts et de la Culture d'une part et celles des organismes de gestion collective du droit d'auteur d'autre part. Toute chose qui devait logiquement mettre un terme à l'instrumentalisation de l'ignorance, aux manipulations de toutes sortes, aux amalgames et aux Interprétations tendancieuses des dispositions législatives et règlementaires qui régissent le droit d'auteur au Cameroun.

     


    Publicite

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    13 septembre 2014 6 13 /09 /septembre /2014 19:36









    Cameroun - Whisky en sachets et en bidons: 24 mois pour écouler tous les stocks

     

     

    Cette recommandation est du gouvernement camerounais, dont les ministres en charge du Commerce, de la Santé et du Développement technologique ont procédé ce vendredi 12 septembre 2014 à la signature d’un arrêté conjoint.
    L’arrêté conjoint signés par Luc Magloire Mbarga Atangana, Emmanuel Mbondé et André Mama Fouda rend obligatoire l’application de la norme NC 210: 2014-48 sur les boissons spiritueuses. De manière générale, on entend par boisson spiritueuse, le liquide alcoolique destiné à la consommation humaine ayant des caractères organoleptiques particuliers, un titre alcoométrique minimal de 15% vol sauf dans le cas de la liqueur à base d’œufs pour laquelle le titre alcoométrique normal est de 14 % vol.

    Les boissons spiritueuses doivent être conditionnées dans des récipients autres que les sachets ou les bouteilles en plastique. Les récipients doivent être fabriqués avec des matériaux sans danger et convenant à l’usage auquel ils sont destinés. Diverses institutions, les parlementaires, les responsables administratifs, les associations de consommateurs voire des particuliers ont à moult occasions depuis 2010 attiré l’attention des pouvoirs publics. Ils ont souligné les conséquences dramatiques liées à la consommation abusive de l’alcool et la prolifération des whiskies de mauvaise qualité conditionnés en sachets et en bidons sur l’ensemble du territoire national. Plusieurs concertations visant à lutter efficacement contre le fléau décrié ont été organisées. Au regard d’énormes dégâts engendrés, on a procédé à la révision de la norme sur les boissons spiritueuses, assortie de l’arrêté qui la rend d’application obligatoire.

    On a mis en exergue les contrôles qualité dans les entreprises productrices ainsi que des contrôles à l’importation et dans les marchés. Les importateurs et les producteurs locaux concernés disposent d’un délai de 24 mois, à compter de ce jour pour écouler leurs stocks de produits finis. Il n’est donc pas question d’importer les matières premières, ni de produire des whiskies en sachet. Cette marchandise devra impérativement avoir disparu de nos marchés dans ces délais.
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    13 septembre 2014 6 13 /09 /septembre /2014 19:32

    Le Chef de l’Etat à la journée citoyenne de reconnaissance de la commune de Cocody à ses actions

     
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    Le Président de la République, S.E.M. Alassane OUATTARA, a pris part, ce samedi 13 septembre 2014, à la journée citoyenne de reconnaissance de la commune de Coocdy à ses actions de développement.
    Dans son intervention à cette cérémonie, le Chef de l’Etat a réitéré sa volonté de poursuivre les importants travaux d’infrastructures déjà entrepris en faveur de Cocody, une commune qui occupe une place prépondérante, afin de lui permettre de retrouver son lustre d’antan.
    A cet égard, le Président Alassane OUATARA a rappelé travaux de réhabilitation de l’université Félix HOUPHOUËT-BOUGNY, la construction de l’échangeur de la Riviera II, la construction du pont Henri KONAN BEDIE, les travaux de réfection de la voirie et les travaux d’adduction d’eau potable dans la commune de Cocody.
    Le Chef de l’Etat a également rappelé les actions menées en faveur des populations déguerpies des zones à risque, suite aux pluies diluviennes d’une intensité sans précédente; avant de faire mention de la construction de l’hôpital général d’Angré et de la réhabilitation du Lycée international Jean-Mermoz qui vient d’ouvrir ses portes.
    Pour le Président Alassane OUATTARA, nous devons rendre hommage au Président Félix HOUPHOUËT-BOIGNY, pour sa vision, qui a fait de Coocdy, une ‘’belle commune’’ et continuer de renforcer cette oeuvre, à travers notamment la poursuite des travaux d’infrastructures, des oeuvres sociales et l’octroi de moyens conséquents aux Forces de Défense et de Sécurité de la Commune.
    Pour terminer, le Président de la République a indiqué que la présente cérémonie de Cocody doit être considérée comme la première étape de ses visites d’Etat dans le District d’Abidjan; avant de rassurer le Maire, le Conseil Municipal et les populations de la Commune de Cocody sur sa volonté de tenir tous ses engagements.
    L’honorable TOURE Aboulaye, Député de Cocody et porte-Parole des populations et le Maire N’GOUAN Aka Mathias, ont, pour leur part, rendu hommage au Président Alassane OUATTARA pour les travaux d’infrastructures dont leur commune a bénéficié depuis son accession à la magistrature suprême.
    Ils ont ajouté que de par ses actions de développement reconnues de tous, le Président Alassane OUATTARA est ‘’l’une des figures emblématiques d’une Afrique émancipée’’.
    Notons que le Chef de l’Etat a offert onze (11) véhicules de patrouille au District de police de Coocdy et fait également des dons en numéraire au Corps préfectoral et aux Autorités Municipales.
     

    Journée citoyenne de reconnaissance de la commune de Cocody au Président de la République, S.E.M. Alassane OUATTARA
    Samedi 13 septembre 2014. Abidjan.Cocody. Le chef de l`Etat, S.E.M. Alassane OUATTARA, a pris part,à la journée citoyenne de reconnaissance de la commune de Cocody à ses actions de développement.
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    13 septembre 2014 6 13 /09 /septembre /2014 19:27

     

     
     
    Côte d'Ivoire: Cambriolage à western union, des biens emportés
     
    Dans la nuit du jeudi au vendredi 5 septembre à Abobo, des personnes Rechercher personnes non identifiées se sont introduites dans une agence western Rechercher western union et ont fait main basse sur tout ce qu' elles pouvaient emporter, comme a pu le constater sur place koaci.com ce lundi.

    Si les cambrioleurs n'ont pas trouvé la forte somme d'argent qu'ils espéraient, au moins ce sont des ordinateurs portables, des smartphones, des complets de pagnes de valeurs et la somme de 44.750 frs Cfa qu'ils ont pu emporter dans la nuit du jeudi au vendredi 05 septembre, comme cela a pu être rapporté.

    C'est très tôt le matin que le responsable de l'agence western Rechercher western union située non loin de la gendarmerie d'Abobo-gare s'est rendu compte de cette visite inopinée. Pour entrer et accomplir leur sale besogne, les bandits ont du fracturer pas moins de six portes. Ensuite ils ont eu le temps de tout emporter.

    La police criminelle et la police économique qui se sont rendues sur les lieux vont ouvrir une enquête. Mais déjà, l'hypothèse privilégiée reste l’œuvre des microbes. En effet pour les quartiers environnant l'endroit constitue un véritable nid à microbes. Et constamment combattus par les brigades spécialisées ces derniers ont modifié leurs stratégies.

    A Abobo, procéder à des cambriolages de magasins est fréquent. Celui de l'agence western Rechercher western union vient s'ajouter à une liste déjà longue.

     

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    13 septembre 2014 6 13 /09 /septembre /2014 19:14

     

     
     
     
     
     
     
     
     
     
    Côte d'Ivoire: Après la défaite au Cameroun, Un homme monte une vidéo pour pleurer Drogba
     

     (ph) - 
    Abidjan le 13 septembre 2014 africapress.com Depuis quelques jours, la vidéo Rechercher vidéo d'un jeune garçon pleurant le départ de Didier Drogba Rechercher Didier Drogba chez la sélection ivoirienne est devenue une véritable attraction sur la toile, comme constaté par Koaci.com.


    En cause la récente raclée infligée aux éléphants par les lions indomptables du Cameroun; 4-1 à Yaoundé. Un jeune ivoirien a décidé de pleurer le départ de Didier Drogba Rechercher Didier Drogba dans une parodie de Stromaé dont le titre ''papaoutai''.

    Si on a vu pal mal d'ivoiriens réagir après le départ de Didier Drogba Rechercher Didier Drogba de la sélection ivoirienne, c'est la première fois qu'un appel de ce genre est lancé pour signifier tous les regrets du retrait du capitaine courage.

    Au début, le réalisateur de cette video insolite de deux minutes répondant au nom de '' Mr Levy'' semble accuser le nouveau capitaine Yaya Touré. Lui reprochant de ne pas fournir assez d’efforts, grâce aux paroles sous-titrées, on entendra l'auteur chanter ''' Yaya tu faisais ton malin.. les camerounais ne nous ont pas raté.. 4 à 1.. ça me fait mal '''.

    La suite, on verra le jeune garçon dans ses pleurs, entrain de pleurer, réclamant son Didier Drogba.

    Sans doute, les paroles et la mélodie ne sont harmonieusement pas au top. Et la réalisation n'est pas aussi plaisante. Mais postée seulement jeudi dernier sur les réseaux sociaux, cette vidéo Rechercher vidéo connaitra une vogue extraordinaire.

    Sur facebook, C'est déjà plus de 800 partages, et 400 commentaires qui accompagnent cette vidéo Rechercher vidéo qui n'a pas encore fini son tour sur le web

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