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16 mai 2015 6 16 /05 /mai /2015 13:59

Malgré l’offensive de l’armée nigériane qui a considérablement affaibli l’organisation depuis plusieurs semaines, Boko Haram continue à lancer des assauts macabres. Elle a attaqué la ville de Maiduguri, au nord-est du Nigeria, faisant neuf morts.

Lors de son offensive dans la forêt de Sambisa, au nord-est du pays, l’armée nigériane avait annoncé, le 22 avril dernier, se lancer dans l’attaque du dernier bastion de Boko Haram. Grandement affaiblie, la secte islamiste reste dangereuse. Elle a attaqué, mercredi, la ville de Maiduguri, faisant neuf morts.

Un commando du groupe rebelle a pris d’assaut un quartier de cette localité, la plus grande ville du nord-est du Nigeria. Deux femmes kamikazes, qui se sont fait exploser, ont tué six membres de milices locales, tandis que trois soldats de l’armée ont été tués au cours des combats qui ont suivi, selon Le Figaro.

Manque de coordination

Les affrontements auraient duré près de 40 minutes, selon certains témoins. Il y a deux semaines, près de 700 femmes et filles otages de Boko Haram ont été libérées par l’armée nigériane.

Depuis deux mois, des forces armées du Tchad, du Cameroun, du Niger et du Nigeria font face aux combattants du groupe terroriste Boko Haram. Le Président tchadien, dont l’armée est particulièrement active contre la secte islamiste, a récemment déploré le manque de coordination entre l’armée du Nigeria et celle du Tchad qui opèrent « séparément » sur le terrain, ce qui n’aide pas à atteindre leurs objectifs. Le Tchad a en outre décider de prolonger son engagement militaire contre le groupe terroriste Boko Haram

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16 mai 2015 6 16 /05 /mai /2015 13:51

CAMEROUN :: Quelques causes de l'échec des Lions Indomptables pendant la CAN 2015 :: CAMEROON

La Coupe d'Afrique des Nations 2015 qui s'est déroulée en Guinée équatoriale a été un échec pour les Lions Indomptables du Cameroun qui n'ont pas pu se qualifier pour le deuxième tour de cette compétition.

Une élimination qui, à la vérité, ne devrait surprendre que ceux qui refusent de faire les constats selon lesquels la sortie prématurée sur blessure du milieu défensif Eyong Enoh Tarkang (du standard de Liége ) fût l'un des handicaps majeurs de Volker Finke qui avait techniquement misé sur ce métronome pour ce rendez-vous au point ou son absence a du finalement se transformer en fatalité pour la suite de la compétition.

Autres problèmes rencontrés par le patron du banc de touche des Lions, le manque de discipline et de sérieux avec lequel certains hommes de Média (Camerounais) qui ont couvert la CAN 2015 ne pouvait qu'être déploré quand on se souvient que la veille du match crucial (3ème match de poule) contre la Côte d'Ivoire quelques journalistes au cours de la conférence de presse d'avant match n'avaient pas manqués de poser des questions visant à nuire gravement à la sérénité du coach ,et du capitaine qui se sont des fois sentis choqués, voir outragés par des questions sur des faits inventés du genre "suite à la bagarre avec Njié Cliton l'ambiance est-elle revenue au sein du groupe ...?" Bagarre qui n'a eu lieu que suite à des affabulations pour ce qui vivaient quotidiennement l'équipe du Cameroun.

Comment dans ce type d'ambiance peut on croire que le coach aurait pu avoir la tête sur les épaules puisse qu'après ces faits au lieu d'une critique acerbe contre ceux qui menaient une campagne de déstabilisation contre lui et par ricochet l'équipe tout entière du Cameroun beaucoup se sont mis à en rigoler. Situation qui pourtant ne pouvait que plonger l'ensemble du groupe dans une psychose de déconcentration avancée.

Ceux qui veulent absolument faire croire que Volker Finke avait plusieurs atouts pour aller loin avec son équipe au cours de cette 30 ème édition de la Coupe d'Afrique des Nations se trompent parce que les problèmes qu'il a rencontrés ne lui étaient pas toujours favorables.

R

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14 mai 2015 4 14 /05 /mai /2015 09:32

Le service de sécurité camerounais a arrêté, ce mercredi matin, un membre présumé de la secte islamiste Boko Haram dans un camp de réfugiés nigérians, à l’extrême nord du pays.

Un membre de moins du groupe terroriste Boko Haram. En effet, selon Xinhua, les forces de sécurité camerounaises ont procédé, ce mercredi 13 mai 2015 au matin, à l’arrestation d’un membre de la secte Boko Haram, dans un camp de réfugiés nigérians au nord du pays. Cette arrestation s’est faite après que les forces de sécurité aient été alertées par des occupants du camp de réfugiés.

Selon une source sécuritaire en service dans la région, « l’individu a été reconnu par certains réfugiés du camp de Minawawo comme un chauffeur de Boko Haram, il détenait une kalachnikov démontée, dissimulée dans un sac lors de la descente des forces de sécurité sur le site ». Auditionné après son arrestation, le membre de Boko Haram aurait avoué que sa présence dans le camp de réfugiés servait d’infiltration en vue de la préparation d’une attaque du groupe terroriste nigérian dans la zone.

Il a par ailleurs annoncé d’autres infiltrations de combattants islamistes. De ce fait, une fouille systématique a été entreprise sur le site. Le camp de réfugiés de Minawawo, accueille des ressortissants nigérians ayant fui les exactions de Boko Haram. Ce camp se trouve sous l’administration du Haut Commissariat des Nations Unies pour les réfugiés (HCR) et des autorités camerounaises.

Actuellement, plus de 45 000 personnes sont recensées sur ce camp placé sous la surveillance de près de 20 membres des forces de sécurité camerounaises

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14 mai 2015 4 14 /05 /mai /2015 09:30

Le Tout Puissant Mazembe endeuillé. La formation congolaise a appris la nouvelle du décès de Léonard Saidi, survenu mardi en Belgique. Ancien pensionnaire du TPM de 1962 à 1973, Saidi faisait à l’époque partie des rares joueurs à avoir enfilé un maillot d’un club professionnel, celui du club belge de Berchem Sport de 1964 à 1966. Le milieu de terrain des Corbeaux avait pris part à quatre finales interclubs de la CAF, pour deux sacres à la clé. Il était âgé de 73 ans.

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14 mai 2015 4 14 /05 /mai /2015 09:28

Le Cameroun vient de lancer une campagne de vaccination dans deux régions des dix que compte le pays. Durant six jours, les populations sont invitées à se rendre dans les formations sanitaires et certains postes temporaires choisis à cet effet. La dose de vaccin administrée est gratuite.

La fièvre jaune est une maladie hémorragique virale aiguë transmise par des moustiques infectés. Le terme « jaune » fait référence à la jaunisse présentée par certains patients. Une fois que l’on a contracté le virus, la période d’incubation dans l’organisme est de 3 à 6 jours et est suivie de la maladie, qui peut présenter une ou deux phases. La première, aiguë, provoque en général de la fièvre, des douleurs musculaires au premier plan desquelles des dorsalgies, des céphalées, des frissons, une perte de l’appétit, des nausées ou des vomissements. L’état de la plupart des patients s’améliore ensuite et leurs symptômes disparaissent au bout de 3 à 4 jours.

Toutefois, 15% des patients présentent une deuxième phase plus toxique dans les 24 heures suivant la rémission initiale. Une fièvre élevée se réinstalle et plusieurs systèmes organiques sont touchés. Le patient présente rapidement une jaunisse et se plaint de douleurs abdominales accompagnées de vomissements. Des saignements peuvent apparaître au niveau de la bouche, du nez, des yeux ou de l’estomac. Lorsque c’est le cas, on voit apparaître du sang dans les vomissures et les fèces. La fonction rénale se détériore. La moitié des malades présentant cette phase toxique meurent dans les 10 à 14 jours, et les autres se remettent sans lésion organique importante.

Selon l’Organisation mondiale de la Santé (OMS), près de 50% des personnes gravement atteintes de fièvre jaune qui ne sont pas traitées vont en mourir. On estime chaque année à 200 000 le nombre de cas de fièvre jaune et à 30 000 le nombre de décès dus à cette maladie dans le monde, dont 90% se produisant en Afrique. Le virus amaril est endémique dans les zones tropicales d’Afrique et d’Amérique latine, totalisant une population de plus de 900 millions d’habitants.

Bon à savoir : il n’y a pas de traitement spécifique de la fièvre jaune. Le traitement en est symptomatique et vise à réduire les symptômes pour le confort du patient. La vaccination est la principale mesure préventive contre la fièvre jaune. Le vaccin est sûr, administré gratuitement et très efficace, une seule dose suffit à conférer une immunité durable et une protection à vie contre la maladie, et aucune dose de rappel n’est nécessaire. Il donne en 30 jours une protection immunitaire efficace à 99% des sujets vaccinés.La campagne de vaccination contre la fièvre jaune lancée depuis le 12 mai dans les deux régions s’achève le 17 mai prochain. Sont concernées, les personnes âgée de 9 mois et plus.

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14 mai 2015 4 14 /05 /mai /2015 09:27

Les relations entre la Fédération ivoirienne (FIF) et les clubs de l’élite n’étaient déjà pas au beau fixe, la rencontre programmée mardi entre les deux partie n’a rien arrangé. Sur les 14 présidents de clubs de Ligue 1 attendus par le président de la FIF, Sidy Diallo, seuls 5 ont fait acte de présence (Africa Sport, JCA-T, Bouaké FC, CO Korhogo et AS Denguelé). S’ils se sont fait représenter, les autres dirigeants n’ont pas souhaité se rendre à cette réunion en signe de protestation compte tenu du différend qui les oppose à l’instance sur la question des subventions à verser aux clubs.

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14 mai 2015 4 14 /05 /mai /2015 09:25

Une célébration qui survient dans un contexte bien particulier. Le pays est engagé dans la guerre contre la secte islamiste Boko Haram dans la partie septentrionale. Ce qui explique bien le choix de la ville de Maroua où les manifestations ont été officiellement lancées lundi dernier, au nom du chef de l’Etat, par le vice-Premier ministre, ministre délégué à la présidence chargé des Relations avec les Assemblées, Amadou Ali. A Yaoundé, comme dans les autres chefs-lieux de région, l’heure est aux préparatifs de cet événement qui va encore marquer la solidarité du peuple camerounais avec les forces de défense déployées et les populations victimes des exactions de la secte islamiste dans la région de l’Extrême-Nord et même contre les bandes armées à l’Est.

Une solidarité qui s’est manifestée depuis la déclaration de guerre faite à Paris le 17 mai 2014 par le président Paul Biya. Depuis lors, le peuple camerounais, sans distinction de chapelle politique, d’ethnie ou de religion, s’est mobilisé comme un seul homme pour soutenir les militaires engagés au front dans le cadre de la préservation de l’intégrité territoriale de notre pays. Traduisant bien par là, le concept même de défense populaire en vigueur dans notre pays. En effet, il ne se passe plus un jour sans que des collectes de fonds ou des remises de denrées ne soient organisées dans quelque partie du Cameroun. Toutes choses qui ont amené le président de la République à créer le Comité interministériel ad hoc de gestion des dons destinés aux populations et aux forces de défense dans le cadre de la lutte contre Boko Haram pour une meilleure coordination de ces actions.C’est sur le thème « Forces de défense en synergie avec les forces vives de la Nation, pour relever les défis sécuritaires et préserver la paix au Cameroun et en Afrique Centrale » que va se célébrer la 43e édition de la fête de l’Unité nationale.

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14 mai 2015 4 14 /05 /mai /2015 09:22

Manifestation contre le président Pierre Nkurunziza

La situation est toujours confuse au Burundi. Alors que les tractations pour tenter de trouver une solution ont échoué, militaires putschistes affirment, ce jeudi, contrôler la capitale burundaise, Bujumbura, après de violents affrontements avec les loyalistes pour le contrôle de la télévision et de la radio nationales.

Plus rien ne va au Burundi. Les transactions entamées, mercredi soir, entre les deux parties ont échoué. Les militaire putschistes affirment, ce jeudi, contrôler la capitale burundaise Bujumbura après de violents combats dans la matinée avec les loyalistes pour le contrôle de la télévision et de la radio nationales, à Bujumbura.

Pour le moment, il est toujours impossible d’affirmer s’il y a véritablement un coup d’Etat ou non contre le Président Pierre Nkurunziza. C’est une véritable bataille de l’information entre les deux parties. Le général Niyombare, ancien chef des services de renseignements, a annoncé, mercredi, la destitution du Président Pierre Nkurunziza. La Présidence, elle, de son côté a affirmé que cette tentative avait échoué.

Quant au chef d’état-major burundais, le général Prime Niyongabo, il a affirmé, dans la nuit de mercredi à jeudi, que la tentative de coup d’Etat avait échoué. « La tentative de coup d’Etat sous la conduite du général major Godefroid Niyombare a été déjouée », a-t-il déclaré dans une allocution à la radio nationale, revendiquant le contrôle de « la présidence de la République et le palais présidentiel ». « La Force de défense nationale appelle les mutins à se rendre », a-t-il ajouté sur les ondes de la radio, restée sous le contrôle des militaires loyalistes à Pierre Nkurunziza depuis l’annonce de sa destitution par le général Niyombare.

Préoccupation à l’international

De son côté, le porte-parole des putschistes, le commissaire de police Vénon Ndabaneze, a balayé ces déclarations : « Le message du chef d’état-major Prime Niyonganbo ne nous surprend pas parce qu’il s’est rallié aux forces du mal depuis longtemps et au mensonge », a-t-il dit. Selon lui, « la présidence et la radio nationale sont restées sous le contrôle des loyalistes parce que le camp putschiste avait voulu "éviter l’effusion de sang ».

A l’international, la situation au Burundi préoccupe. Le Conseil de sécurité de l’ONU a prévu une réunion d’urgence sur la situation au Burundi, ce jeudi. Beaucoup d’observateurs craignent que cette crise se transforme en guerre civile entre loyalistes et putschistes.

De son côté, le chef d’Etat burundais n’a toujours pas pu regagner le Burundi. Après avoir tenté, mercredi, de rentrer, il est finalement retourné en Tanzanie, à Dar es-Salaam, après la fermeture de l’aéroport. Il s’était rendu en Tanzanie pour un sommet des chefs d’État pour tenter de résoudre la la crise politique dans son pays.

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14 mai 2015 4 14 /05 /mai /2015 09:19

L’Organisation mondiale de la santé (OMS) considère comme maladies tropicales négligées, des maladies longtemps négligées alors qu’il existe un traitement pour les combattre. Au rang de celles-ci, on peut citer : l’onchorcecaisis, la filariose, la lèpre, le pian, le trachome, la trypanosomiase, l'ulcère de Buruli et la leishmaniose, entre autres.

« L’objectif de cette campagne est d'inciter les populations sur la nécessité de mieux se protéger contre les maladies tropicales négligées. Depuis 2009, le gouvernement a été engagé dans la réalisation de solutions pour les maladies tropicales négligées à travers cinq programmes nationaux tels que le Programme national de lutte contre le Onchosechaisis (PNLO), le Programme national de lutte contre les helminthiases et Schistosomiases en charge du trachome et le Programme national de lutte contre la trypanosomiase. Les résultats obtenus jusqu’ici sont encourageant. » a indiqué à l’occasion le ministre de la santé publique André Mama Fouda.

Le Minsanté a ensuite saluer les efforts des partenaires nationaux et internationaux qui ont énormément contribué à la lutte contre les maladies tropicales négligées, avant d’annoncer que le gouvernement avait pris la résolution de lancer un nouveau programme de lutte contre les maladies tropicales négligées, qui s’étendrait de 2015 à 2020.

Le représentant de l'Organisation mondiale de la Santé (OMS), Jean Baptiste Roungou, a quant à lui déclaré : « La lutte contre les maladies tropicales négligées est la responsabilité de tous. Nous appelons tous les partenaires au développement à aider le gouvernement dans la lutte contre les maladies tropicales négligées ».

L'événement a pris fin avec un exercice de déparasitage pour les jeunes lycéens et collégiens ainsi que les élèves venus de divers établissements scolaires à travers la ville. Le Minsante a personnellement administré des traitements à quelques élèves, geste suivi par les autres invités de marque qui étaient à ses côtés pour cet évènement à savoir des diplomates, des ministres, des représentations des Organismes inter gouvernementaux, des maires et représentant du patron de la région.Le lancement de la seconde édition de la campagne de lutte contre les maladies tropicales négligées s’est déroulée le vendredi 08 mai 2015 au Lycée bilingue de Yaoundé à Essos dans le Mfoundi, région du centre. La cérémonie était présidée par André Mama Fouda, le Ministre de la santé publique (Minsante).

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14 mai 2015 4 14 /05 /mai /2015 09:17

Les populations de la ville de Mbalmayo ont eu l’insigne honneur d’accueillir le samedi 02 mai dernier, le tout premier Hydrovolts installé au Cameroun.

Conçu aux Etats Unis d’Amérique, cet appareil installé samedi dernier sur le fleuve Nyong à Mbalmayo par l’Ong américaine Seal of Hope et arrivé au Cameroun grâce à son partenaire local « Mon beau village » que dirige Emmanuel Bondo, l’Hydrovolts est un appareil qui possède de multiples fonctions très utiles pour les communautés vivant dans les pays en développement et notamment au Cameroun.

Capable de traiter et de purifier simultanément de l’eau de mer, de rivière, fleuve et même de l’eau de puits avec une capacité de sortie de 10 litres d’eau potable par minute soit 2 000 litres d’eau potable par jour ; l’Hydrovolts sert également à dessaler l’eau de mer ou encore à évacuer les eaux lors des inondations. Dernière spécificité de cet appareil qui pourrait être très utiles aux collectivités territoriales décentralisées, l’Hydrovolts qui fonctionne au gasoil, peut également servir de groupe électrogène.

Seul bémol, le coût d’acquisition de cette merveille technologique qui s’affiche comme un excellent produit pour pallier aux innombrables problèmes de qualité et de disponibilité d’eau potable dans les villes camerounaise. L’Hydrovolts coûte la bagatelle somme de 27 000 dollars US H.T, soit environ 13,6 millions de francs CFA. Un prix quelque peu excessif pour le citoyen lambda, mais abordable pour ceux pour qui il a été conçu en priorité à savoir les groupes ou collectivités qui pourraient l’acquérir en mutualisant leurs ressources… sous réserve de sa durée de vie et du coût des pièces de rechanges en cas de panne éventuelle.

Georges Kotchou, le responsable de l’Ong Américaine Seal of Hope, explique que « Cette machine a beaucoup servi dans la lutte contre l’épidémie Ebola au Liberia. C’est grâce à elle que les communautés les plus touchées par cette maladie ont pu accéder à l’eau potable sans problème».

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