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9 mai 2013 4 09 /05 /mai /2013 19:18


Attendu des amateurs du ballon rond, le classement des sélections nationales de la FIFA pour le mois de mai a été dévoilé. Au niveau mondial, pas de modification de la hiérarchie l’Espagne reste sur la plus haute marche devant l’Allemagne et l’Argentine. Côté africain, la Côte d’Ivoire fait toujours figure de référence, devant le Ghana et le Mali.

Comme tous les mois, la FIFA a dévoilé son classement mondial des sélections nationales. En l’absence de rendez-vous majeur ou de match éliminatoire, à l’exception de quelques rencontres amicales, celui-ci est resté très proche du dernier classement. Ainsi, l’Espagne reste la référence au niveau mondial devant l’Allemagne et l’Argentine.

Au niveau du continent africain, la Côte d’Ivoire conserve son statut de nation pharz. Les Eléphants, première nation africaine, restent à leur 12e rang mondial, juste devant la Grèce et la Suisse. Les hommes de Sabri Lmouchi ne sont qu’à 44 points de la Russie qui ferme la marche dans le top 10.

Le Ghana, 4e de la CAN 2013 occupe la place de dauphin des Ivoiriens, alors que le Mali campe sur la 3e place du podium. Grâce au 3e titre continental de son histoire, le Nigeria (4e, plus 22) a atteint son meilleur classement depuis août 2010. Le Burkina Faso, finaliste, a quant à lui progressé de 37 rangs et pointe actuellement à la 55e place.

- Le top 10 mondial :

1 Espagne
2 Allemagne
3 Argentine
4 Croatie
5 Portugal
6 Colombie
7 Angleterre
8 Italie
9 Pays-Bas
10 Equateur

- Le top 20 africain :

1 Côte d’Ivoire (12e)
2 Ghana (22e)
3 Mali (26e)
4 Nigeria (28e)
5 Algérie (35e)
6 Tunisie (41e)
7 Zambie (46e)
8 Burkina Faso (50e)
9 Afrique du Sud (56e)
10 Guinée Equatoriale (61e)
11 Cameroun (62e)
12 Centrafrique (64e)
13 Libye (65e)
14 Sierra Leone (67e)
15 Egypte (68e)
16 Guinée (70e)
17 Togo (72e)
18 Maroc (74e)
19 Cap Vert (75e)
20 Sénégal (76e)

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9 mai 2013 4 09 /05 /mai /2013 19:17

Pan Afrique - Commerce - Conflit - Développement - Diplomatie - Guerre - Droits de l’Homme - Conflit social - Consommation - Démocratie

Comment ne pas rater le tournant de la démocratisation en Afrique ?

Après l’ère des Etats mobilisateurs, quel est le modèle de démocratie que le cours de l’histoire impose actuellement en Afrique ? S’agit-il de la démocratie de la souveraineté populaire ou de la démocratie de la liberté de commerce et de consommation ? S’agit-il plutôt d’une démocratie de la limitation du pouvoir, de la citoyenneté, du respect des identités, des besoins et des droits personnels ? Quelles sont la logique et les finalités du type de démocratie que le remodelage du monde prescrit à l’Afrique en cette aube du 21e siècle ?

Répondre de manière précise à ce questionnement est essentiel pour éviter de répéter les pratiques qui conduisirent au dévoiement des Etats mobilisateurs en Afrique. En effet la transformation des Etats mobilisateurs africains en Etats démobilisateurs ne fut pas seulement provoquée par des causes exogènes. La continuité du pacte colonial ne fut pas la cause exclusive de l’échec de l’Etat volontariste en Afrique. Au-delà de la dépendance structurelle des économies africaines à celles des anciennes puissances coloniales, la faillite de l’Etat mobilisateur en Afrique s’explique surtout par le détournement délibéré de ses finalités modernisatrices et par la réadaptation autochtone de son fonctionnement bureautique et de sa logique interne.

Or, cette tendance qui consiste à réadapter les innovations institutionnelles importées de l’étranger pour les soumettre à des logiques endogènes qui permettent de reproduire et de pérenniser les anciens rapports socio-économiques et politiques autochtones, semble menacer le processus de démocratisation des régimes politiques africains. A première vue, cette stratégie de blocage qui s’apparente à une forme de résistance passive à l’acculturation semble légitime. Obligés de prendre le train en marche, forcés de nous inscrire dans des innovations institutionnelles et technologiques initiées de l’extérieur, nous sommes sommés d’adopter les nouveautés où d’être déclassés ! Il semble alors que la question qui se pose à nous est celle-ci : Comment adopter ces innovations contraignantes sans perdre notre âme, nos traditions et notre culture ? La réponse pertinente à cette question existentielle semble être d’introduire les logiques traditionnelles et les modes fonctionnels des cultures locales dans les institutions et les systèmes technologiques venus de l’étranger.

Or, cette réponse à la question posée par les contraintes de l’acculturation est fondamentalement contreproductive comme le montre le bilan économique social et politique désastreux des années d’Indépendance dans l’Afrique postcoloniale. Il est par ailleurs éclairant de souligner ici que cette culturalisation de la modernisation fut une stratégie prisée par le colonisateur qui s’efforça dès le début, au moyen de l’administration indirecte, d’endogénéiser sa domination en introduisant dans les institutions modernes importées des modes traditionnels d’exercice du pouvoir. Cette instrumentalisation de l’autochtonie par le colonisateur occidental lui-même en dénonce les effets pervers et indique clairement la voie dans laquelle doit se poser la question pertinente requise par le transfert des institutions et des technologies étrangères en Afrique.

La question vitale que pose ce transfert est en réalité celle-ci : Comment nous approprier l’esprit et la logique interne de ces institutions et de ces technologies pour les utiliser au mieux afin de les mettre au service de notre émancipation collective en maîtrisant les contours des mutations historiques ? Pour pouvoir surmonter le problème dû aux transferts d’institutions et de technologie il ne s’agit donc pas tant d’y insérer, comme on l’a souvent cru, des logiques et des principes autochtones que de maîtriser parfaitement l’esprit de ces institutions et technologies, de s’approprier leurs logiques internes et leur finalités pour finir par les utiliser dans le sens d’un développement endogène inspiré par le génie culturel des peuples africains. De même qu’une royauté ou une aristocratie guerrière traditionnelle ne saurait s’administrer selon le principe moderne de l’égalité et de l’indépendance des sujets par rapport au pouvoir central, un Etat moderne fondé sur le principe impersonnel de la bureaucratie administrative et sur le principe juridique de la propriété privée et de la responsabilité individuelle, ne peut s’administrer selon le principe traditionnel de la dépendance personnelle de type lignage et selon le principe de la responsabilité et de la propriété collectives. Chaque système institutionnel possède une logique particulière, une finalité déterminée et requiert un mode de fonctionnement qui doit être maîtrisé par ses utilisateurs. L’Etat mobilisateur et volontariste monopartite qui fut adopté en Afrique comme moyen incontournable de la modernisation à l’aube des indépendances, possédait une logique et une finalité spécifiques de même que la démocratie représentative de la nouvelle modernité qui naît sur les décombres des totalitarismes des dictatures, Etats populaires dans un monde désormais globalisé aux systèmes de production et de communication internationalisés.

De nos jours la démocratie se définit par la limitation du Pouvoir et par le respect des droits civiques, sociaux et culturels, des individus et des peuples et non pas par le gouvernement du peuple. En passant de la démocratie des Etats républicains et de celle des Etats populaires à la démocratie contemporaine des droits de l’homme, on passe comme l’écrit Alain Touraine « de l’idée unificatrice de souveraineté populaire à celle de la défense des droits et en premier lieu du droit des gouvernés à choisir leur gouvernants ». Le sens de la démocratie dans la nouvelle modernité procède donc d’un renversement de l’idée de démocratie : « qui passe de l’idée d’une conquête par la force de la souveraineté populaire à celle du respect des libertés, de la personne humaine et des minorités ». La démocratie « repose aujourd’hui à la fois sur le libre choix des dirigeants et sur la limitation du pouvoir politique » par le principe non politique du droit naturel. La nouvelle conception de la démocratie est donc l’antithèse de la démocratie de l’Etat populaire qui a été expérimentée en Côte d’Ivoire avec le FPI de Laurent Gbagbo qui s’accommodait de la négation des droits personnels, de la confiscation des élections populaires et du refus du verdict des urnes.

La démocratie actuelle des droits de l’homme se constitue contre les nouveaux régimes totalitaires, les fascismes, les intégrismes religieux et les ethno-nationalismes. Elle n’est plus le régime du pouvoir du peuple et de l’Etat populaire, du gouvernement de la majorité au détriment des minorités. C’est au contraire le régime qui défend les minorités et qui permet aux acteurs sociaux de se former et d’agir librement. Son objectif principal est de protéger les personnes contre l’arbitraire du pouvoir de garantir des espaces de contestation et de libérer les initiatives. Mais en tant que régime de la défense des droits sociaux elle met aussi des limites au pouvoir des administrations et des entreprises autant qu’à un individualisme extrême. La démocratie contemporaine repose donc sur l’autonomie des acteurs sociaux par rapport aux systèmes de pouvoir et de production. Elle se fonde sur la limitation du pouvoir politique, sur une citoyenneté jointe à la défense d’une identité culturelle, et sur la représentation politique des intérêts des acteurs de la société civile. Elle n’est donc ni une démocratie de la souveraineté populaire ni une démocratie de la gestion politique de l’économie de marché.

Ses principes cardinaux sont la liberté de choisir les dirigeants, la reconnaissance des droits de la personne humaine, le respect de la créativité personnelle et de l’aptitude de chaque individu à être le sujet de sa propre vie. Sa logique est la limitation du Pouvoir, l’indépendance de la société politique et de la société civile par rapport à l’Etat, et la liberté des acteurs sociaux par rapport aux systèmes de pouvoirs et de production. Elle fonctionne sur la capacité des personnes à ne pas se définir par la collectivité où elles sont nées et selon leurs intérêts particuliers. Sa force motrice est leur conscience d’appartenance à une société politique unie autour d’un bien commun et leur sens de la citoyenneté. Sa finalité est de produire des individus autonomes qui sont les maîtres souverains de leurs existences personnelles, se sentent responsables d’eux-mêmes et d’autrui ainsi que d’un bien commun, et dont l’identité se fonde autant sur des valeurs universelles que sur une mémoire culturelle. Elle assigne au système politique et aux partis une tâche de médiation qui est de représenter politiquement les intérêts sociaux, de formuler les choix politiques, d’exprimer clairement une politique économique, sociale et internationale, afin de permettre aux citoyens de choisir les gouvernants avec une idée aussi claire que possible des implications et des conséquences de ce choix.

La nouvelle démocratie des droits de l’homme vise donc à permettre à une collectivité plurielle de se réapproprier pleinement sa destinée en tant que communauté politique autonome consciente de son unité dans sa diversité. Elle est destinée à lui permettre de se produire comme une subjectivité politique, dont l’identité se fonde autant sur l’universel que sur la mémoire et les particularismes culturels, et qui est donc capable de mettre en œuvre un développement endogène procédant de cette synthèse de l’universel et du particulier. Cette nouvelle démocratie des droits de l’homme peut être corrompue et déformée par la non- reconnaissance des droits de la personne humaine, par l’absence de contrôle du Pouvoir, par le maintien du pouvoir absolu de la souveraineté populaire contre les minorités et les dissidences. Elle peut être pervertie par la soumission des individus à leur communauté, par le maintien du contrôle communautaire qui réprime le choix individuel et la responsabilité personnelle. Elle peut être altérée par la fragmentation ethnique de la société, par l’inégalité sociale et la soumission de la société à l’Etat. Au niveau des partis elle peut être corrompue par le maintien de l’emprise des candidats et des appareils sur les forces sociales et par la subordination des citoyens aux dirigeants des partis. Elle peut être dépravée par la confusion ou par l’absence de programme politique économique et sociale, par la corruption de la représentativité et par le clientélisme politique. Elle peut être détruite par sa réduction au libéralisme économique et à l’économie de marché qui font disparaître l’autonomie du politique au profit de l’impérium des systèmes de production, de communication et de consommation.

La solution au problème des transferts technologique et institutionnels et plus généralement de la diffusion de modèles culturels étrangers est donc loin de se trouver dans le repli identitaire et dans le recours à l’autochtonie. Elle se trouve plutôt dans l’ouverture à la différence et dans le métissage et le dialogue interculturel. Une conversation productive et compréhensive doit s’amorcer entre les héros mythiques des cultures qui se rencontrent sous les différentes latitudes de ce monde ouvert de l’ère de la communication et des échanges. Il faut que le Forgeron Dogon et l’Araignée Ashanti arraisonnent le Prométhée européen contempteur des dieux, l’Oedipe sacrilège, le Confucius ou la Shiva orientale ! Autrement dit le génie culturel africain, qu’il faut retrouver par delà les traditions, est tenu de maîtriser la rationalité instrumentale et les génies culturels étrangers en dialoguant avec les maîtres spirituels de l’Occident et de l’Orient dont les méditations inspirent ces innovations institutionnelles dont elles constituent l’âme !

Il s’agit pour les Africains de se détacher des traditions pour retourner réflexivement aux forces de spontanéité des cultures vivantes africaines, occidentales et orientales, à l’âme de ces cultures pour inventer le présent en élaborant des stratégies efficientes correspondant aux situations nouvelles. Il ne s’agit en aucun cas de résoudre les problèmes du présent avec les traditions qui sont partout des réponses fossilisées que les peuples ont élaborées à des moments déterminés de leur existence pour résoudre des problèmes ponctuels maintenant dépassés. En tant que squelettes construits, puis abandonnés au cours d’une dynamique évolutive, les traditions pourrissent en effet les cultures comme le souligne Roger Bastide. Et un certain nombre de protagonistes du présent africain peuvent exploiter les forces du passé pour figer le temps au profit de leurs intérêts particuliers.

Pour réussir à négocier le tournant de la démocratisation en Afrique, il ne faut donc pas africaniser la démocratie des droits de l’homme au moyen du rapatriement des valeurs de la tradition africaine. Il faut au contraire respecter les principes cardinaux de la démocratie des droits de l’homme, pour la mettre au service de la liberté des individus et des peuples africains.

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9 mai 2013 4 09 /05 /mai /2013 19:08

procès FRCI:Camer.beCes soldats de la force républicaine de la Côte d'Ivoire (FRCI) sont accusés notamment de meurtres prémédités, d’homicides volontaires et involontaires et de vols . Procès qui  s’est ouvert devant un tribunal militaire à Abidjan la capitale commerciale au mois d'avril 2013. Deux soldats ont été condamnés à des peines d’emprisonnement le 2 mai dernier. Il est fort probable que d’autres poursuites contre des éléments des FRCI aient lieu dans les jours à venir. Synthèses de la Radio télévision Ivoirienne

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9 mai 2013 4 09 /05 /mai /2013 18:45
à fond »

L’ancien attaquant du Tonnerre de Yaoundé et des Astres de Douala, mais surtout de la sélection nationale Espoirs du Cameroun, de passage à Yaoundé, nous dévoile sa destination depuis quelques années. En même temps qu’il nourri de cette ambition d’apporter quelque chose chez les Lions Indomptables, si l’occasion est offerte au petit gars bien connu à Bamenda. Lisez plutôt.

Camfoot.com

8 mai 2013 Augmenter police | Diminuer police |

 

Camfoot.com : Depuis la victoire du Cameroun aux Jeux africains en 2007 où vous avez participé activement à la victoire finale, on ne vous a plus vu. Où êtes-vous passé depuis ?

Otobong Ene Edet : Immédiatement après cette compétition, je suis parti du Cameroun pour la Syrie, puis en Egypte en 2010 pour une saison, avant d’aller au Soudan dans Al Hilal, avant de retourner en Egypte, à Al Ittihad d’Alexandrie, en 2012. Puis j’ai été prêté pour six mois à Al Nasser de Libye pour disputer la Champions League. Et là, je suis de retour en Egypte.

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Buteur avec les Lions Espoirs en 2007

Gardez-vous encore un souvenir de ces Jeux africains de 2007 ?

C’était un grand moment dans ma vie, parce que nous avons remporté le trophée pour la troisième fois consécutive. Mais, surtout, parce que c’est grâce à mon but que le Cameroun a remporté cette finale contre la Zambie. J’avais appelé un ballon en profondeur et je me suis retrouvé face à un défenseur que j’ai battu et je me suis retrouvé devant le gardien. J’ai placé le ballon au fond des filets. J’ai aussi remporté la Can militaire avec le Cameroun en 2007 avant mon départ du Cameroun.

Qu’est-ce qui justifie votre présence au Cameroun en ce moment ?

Il y a la trêve du championnat et j’en ai profité pour prendre une permission de 72 heures pour venir laisser ma famille au pays. Après, je dois retourner.

Quel est votre bilan de la saison qui vient de s’achever en Egypte ?

En 2011, j’ai été deuxième meilleur buteur du championnat. J’ai marqué 10 buts cette saison qui s’achève. Je vais recommencer la saison avec mon club, Al Ittihad d’Alexandrie.

Avez-vous gardé les mêmes capacités du passé aujourd’hui dans votre jeu ?

Je suis resté le même. Au contraire, avec mes multiples voyages dans de grandes équipes, j’ai accumulé une somme d’expérience. Je suis plutôt prêt à apporter ce que j’ai appris dans toutes les équipes.

Quelles sont vos ambitions au moment où vous retournez en Egypte ?

Mon équipe est en difficulté et elle a besoin de moi. J’ai encore un an de contrat avec cette équipe. Mon ambition principale est de la maintenir, si possible avoir un bon classement au terme de la prochaine saison.

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Avec Al Ittihad d’Alexandrie dans le championnat égyptien
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Vous ne rêvez pas d’autres choses en dehors de la bonne santé de votre club ?

Je suis persuadé que si je refais une bonne saison, comme celle qui vient de s’achever, je pourrais décrocher un contrat ailleurs, surtout en Europe où j’ai des sollicitations. Permettez que je ne cite pas les clubs qui m’ont contacté.

Comment êtes-vous resté distant du Cameroun et de ses différentes sélections nationales ?

J’ai souvent eu des contacts avec les entraîneurs nationaux. Je suis bien les prestations de l’équipe nationale fanion, comme patriote. Mais, surtout, j’ai mes amis dans cette équipe, comme Nocolas Nkoulou, Benjamin Moukandjo et Stéphane Mbia.

Vous rêvez de les rejoindre aussi …

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Otobong répondant à nos questions

Bien sûr. En tant que footballeur camerounais, je travaille intensément, sachant que si on me donne une chance dans cette équipe, je l’exploite à fond. J’essaye à ce moment de mettre au service de cette équipe du Cameroun, l’expérience que j’ai acquise, comme je l’ai fait par le passé avec l’équipe Espoirs.

Qu’est-ce qui fait la force d’Otobong sur un terrain de football ?

Je suis un attaquant rapide, qui aime solliciter les ballons en profondeur. En plus j’ai de l’adresse devant les buts, comme mes joueurs modèles que sont : Thierry Henry, Samuel Eto’o et Didier Drogba.

Entretien mené par Antoine Tella à Yaoundé

Fiche Personnelle :

- Nom : Ene Edet Otudor Otobong
- Age : 27 ans
- Lieu : Douala
- Poste : Attaquant
- Taille : 1,80m
- Formation : Kadji sport academy
- Clubs successifs :

  • 2001 : As Babimbi
  • 2002 – 2006 : Tonnerre kalara club de Yaoundé
  • 2007 : Les astres de Douala
  • 2008 – 2010 : Al Ittihad de Syrie
  • 2010 : Al Ittihad d’Alexandrie
  • 2011 : Al Hilal du Saoudan
  • Depuis 2012 : Al Ittihad d’Alexandrie
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6 mai 2013 1 06 /05 /mai /2013 10:43
base en Afrique à Abidjan

 

La BAD organise un atelier sur les dérivés et les marchés des produits de base en Afrique à Abidjan

TUNIS, Tunisie, 6 mai 2013/African Press Organization (APO)/ — La Banque africaine de développement (http://www.afdb.org) organise un atelier panafricain sur les produits dérivés et les marchés des matières premières à l’intention des régulateurs africains. Cet atelier se déroulera à Abidjan, en Côte d’Ivoire, du 6 au 10 mai 2013.

Logo: http://www.photos.apo-opa.com/plog-content/images/apo/logos/african-development-bank.jpg

L’atelier de formation fera le suivi de la première conférence panafricaine des régulateurs africains des marchés des matières premières, organisée l’année dernière à Gaborone, au Botswana. Il dotera les bourses des valeurs et les marchés de capitaux en Afrique des compétences stratégiques et techniques requises pour concevoir un cadre juridique et réglementaire des produits dérivés et bourses des matières premières répondant aux normes internationales en vigueur.

A la fin de l’atelier de Gaborone l’an dernier, les participants avaient identifié les tâches qui attendent les gouvernements, les banques centrales et les agences de régulation, s’ils veulent relever les défis en matière de réglementation et de renforcement des capacités pour soutenir l’innovation, le développement ainsi que l’intégration des dérivés et des marchés des produits de base en Afrique.

La formation de cette année devrait faire l’état des lieux des bourses des produits de base en Afrique, et évaluer l’environnement politique, juridique et réglementaire dans lequel les échanges s’opèrent. L’atelier analysera également ce que font les donateurs et les banques multilatérales de développement, ainsi que les initiatives menées aux niveaux national, régional et continental pour développer les échanges de produits dérivés.

S’inspirant des leçons de la crise financière mondiale, le discours sur les politiques internationales voit dans les produits dérivés des instruments de gestion des risques d’une importance cruciale pour les chaînes de produits de base, les entreprises, les banques, les institutions financières et les investisseurs. Ces instruments peuvent améliorer la liquidité, la stabilité et la solidité des systèmes financiers, tant qu’ils sont structurés et réglementés de manière appropriée. Dans cette perspective, la réforme de la réglementation mondiale s’appuie sur la négociation des contrats de dérivés par l’échange, d’une part, et de l’autre par l’apurement des obligations liées aux dérivés, à travers les chambres centrales de compensation de contrepartie (central counterparty clearinghouses, CCP).

Sur le continent, en dehors de l’Afrique du Sud, il n’existe encore ni échanges de dérivés ni de chambres centrales de compensation de contrepartie. Cependant, on reconnaît de plus en plus que des marchés efficaces de produits financiers et de matières premières sont une condition préalable à un développement équitable, inclusif et durable. Cette exigence a été exprimée dans des documents de politique importants, entre autres, le Plan d’action d’Arusha et la Déclaration sur les produits de base africains de l’Union africaine, de 2005, ainsi que dans le communiqué final du sommet tripartite des chefs d’Etat et de gouvernement COMESA-EAC-SADC, de 2008.

Distribué par l’Organisation de la Presse Africaine pour la Banque Africaine de Développement.

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6 mai 2013 1 06 /05 /mai /2013 10:40
Coupe de la Confédération Orange : L’ASEC et le WAC au tapis

 

StarAfrica

Le WAC a été éliminé de la Coupe de la Confédération Orange - Copyright : StarAfrica

L’aventure africaine s’est arrêtée au stade des 8èmes de finale de la Coupe de la Confédération Orange de la CAF pour l’ASEC Mimosas et le Wydad Athlétic Club (WAC) de Casablanca.

Les 8èmes de finale de la Coupe de la Confédération Orange ont fait deux grosses victimes. Il s’agit de l’ASEC Mimosas et du Wydad Athlétic Club. Après s’être compliqué la tâche à Abidjan en se contentant du strict minimum (1 – 0) face à Lydia Ludic, les Mimosas n’ont pas survécus à Bujumbura. Battus d’abord sur le même score dans le temps réglementaire, les Ivoiriens se sont ensuite montrés maladroits aux tirs au but en réussissant que deux tirs contre quatre. Les Burundais se qualifient ainsi pour le tour de cadrage à la surprise générale. Surprise, il y en a également eu du côté de Casablanca. A l’instar de l’ASEC, le WAC n’a également pas réussi à sauver sa peau. Défait 2 – 0 à Maputo par la Liga Muçulmana, le Wydad a certes fait l’effort d’inscrire les trois buts de la qualification, mais malheureusement n’a pas pu s’empêcher d’encaisser le but assassin. Quoique vainqueur 3 à 1, les Casablancais quittent donc la compétition au profit des Mozambicains.  

Tous les résultats des 8è de finale retour

Vendredi 3 mai

Ismaily (Egypte) vs Al Ahly Shandy (Soudan) 0 – 0, 4 tab 3 (0 – 0, aller)

Samedi 4 mai

Supersport (Afrique du Sud) vs Enppi (Egypte) 1 – 3 (0 – 0 aller)

Lydia Ludic (Burundi) vs ASEC Mimosas (Côte d’Ivoire) 1 – 0, 4 tab 2 (0 – 1 aller)

Etoile du Sahel (Tunisie) vs Recreativo Caàla (Angola) 6 – 1 (1 – 1 aller)

AS FAR (Maroc) vs Azam (Tanzanie) 2 – 1 (0 – 0 aller)

US Bitam (Gabon) vs USM Alger (Algérie) 3 – 0 (0 – 0 aller)

Dimanche 5 mai

Diables Noirs (Congo) vs CS Sfaxien (Tunisie) 1 – 1 (1 – 3 aller)

WAC (Maroc) vs Liga Muçulmana (Mozambique) 3 – 1 (0 – 2 aller)

Les équipes qualifiées participeront à un tour de cadrage face aux clubs éliminés en 8es de finale de la Ligue des champions Orange de la CAF.

Le tirage au sort de ce tour de cadrage aura lieu le 7 mai 2013 au Caire.

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6 mai 2013 1 06 /05 /mai /2013 10:30

de l'Unité 2013 est lancé

Comme chaque année depuis 2007, la fête nationale du Cameroun sera également célébrée à Bruxelles par l'association SOLINOSU ASBL. Le tournoi de football de l'Unité se déroulera en effet dans la capitale de l'Union européenne avec 16 équipes seniors ainsi que 8 équipes vétérans. Les tout petits ne seront pas oubliés puisqu'un TOURNOI U6 ET U7 est au programme.

ASSOCIATION DE SOLIDARITE NORD-SUD

SOLINOSU ASBL

TOURNOI DE L’UNITE 2013

PROGRAMME DES MATCHES SENIORS DU 25/05/2013 (20 MINUTES FOIS 2)

Les 4 Premières Equipes de chaque poule qualifiées pour ½ et Finale le 26/05

POULE A

-10H30   CONGO-BURUNDI (20*20)   (TERRAIN A)

-11h15   SÉNÉGAL-  CHARLEROI (20*20)  TERRAIN B

POULE B

-10H30  GALACTIQUE-COTE IVOIRE (TERRAIN B)

-11H15  TURQUIE -   GUINEE (TERRAIN A)

POULE C

-9H30   ASBL FREEDOM SPORT-FC ITALIA (TERRAIN B)

10H15-  MAROC- EQUIPE 4(RD CONGO) (TERRAIN A)

POULE D

-9H30 BXL ACADEMY-ANDERLECHT MILAN (TERRAIN A)

-10H15- NAMUR-MONS   (TERRAIN B)

PROGRAMME MATCHES VETERANS (Une FOIS 30’) LES DEUX PREMIERES EQUIPES DE CHAQUE POULE  JOUENT 1 /2 et FINALE  LE MEME  JOUR

POULE A

-11h   CONGO RDC- ASV Cologne (A)

-11h   Smets United- Maroc(B)

POULE  B

-11 h 30 Veterans CMR Bel-Selection Reds (A)

-11h30 Turquie-Portugal(B)

-16h  DEMI FINALES VETERANS

17h MATCHE 3eme et 4eme PLACE

18H30  FINALE

20H REMISE DES TROPHEES AVEC ENTRACT MUSICAL

JOURNEE DU 26/05

-TOURNOI U6 ET U7 (RUDY DESCHAMPS COMMUNIQUERA LE PROGRAMME BIENTOT SE JOUERA DE 8H30 A 13H TERRAIN  A

-13H DEBUT  ½ FINALE SENIORS  TERRAIN A ET B (25’.2)

-14H MATCH 3eme et 4 eme PLACE

-16H  MATCH DE GALA vs AFRIQUE RESTE DU MONDE

-17H CONCERT GRATUIT STEPHY LEMAIRE

-18H FINALE SENIORS

-19H REMISE DES TROPHEES


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6 mai 2013 1 06 /05 /mai /2013 10:29

FINALISTE DE LA COUPE DE CROATIE


Mathias Chago  nage sur une belle série avec son nouveau club Lokomotiv Zagreb. Deuxième au classement à quatre journées de la fin de la saison, le milieu de terrain camerounais  du Lokomotiv Zagreb a également obtenu son ticket pour la finale de la coupe de Croatie  en s’imposant 3-0 au match retour contre Cibalia (1-1 au match aller).

Chago a rejoint le Lokomotiv Zagreb au mois  de Janvier sous forme de prêt et a rapidement retrouvé une place de titulaire dans l’ effectif de Tomislav Ivkovic.

«  J’étais venu au Lokomotiv reprendre gout au jeu après une année et demie passée à l’ écart à cause d’une blessure. Je suis finalement très content de mon choix car dans tous les cas, nous jouerons l’ Europa League l’année prochaine »

La dernière convocation de Chago en équipe nationale date de l’ ère Javier Clemente à Vichy lors du stage des lions. Chago est cependant un habitué des tanières avec une dizaine de convocation à son actif.
En s’imposant face à Hadjuk Split ce 08 Mai en finale, Chago rajoutera un nouveau titre au palmarès  déjà riche de l’ international camerounais qui a été à cinq reprises champion de Croatie, remporté quatre fois la coupe de croatie et deux fois la supercoupe.


 

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6 mai 2013 1 06 /05 /mai /2013 10:28
EXCLU – Denis Lavagne : « C’est le Ministre qui doit partir »

 

StarAfrica

Copyright : StarAfrica

Actuellement à l’Etoile du Sahel (Tunisie), Denis Lavagne estime que ce sont les politiques qui nuisent au rayonnement des Lions indomptables. Il a beau dire qu’il est loin, ses mots sont toujours marqués de son passage à la tête de la sélection camerounaise lorsqu’il commente l’appel à candidatures pour diriger les coéquipiers de Samuel Eto’o.

StarAfrica aimerait savoir en peu de mots, comment réagissez vous à la décision du Ministre des sports de recruter un nouvel entraineur pour les Lions indomptables?
Il faudrait d’abord changer le Ministre car c’est lui qui est la cause de tous les problèmes actuels. Une nouvelle dynamique était en train de se mettre en place en juin 2012  avec une équipe jeune et il a tout chamboulé pour faire plaisir à ses amis Akono, Milla et Bell.
Pensez-vous que Akono qui a manœuvré dans l’ombre pour votre limogeage, paie aujourd’hui le prix de cet écart de comportement?
Lui… Il paie d’abord son incompétence notoire, il est plus fort sur les plateaux de télévision ou de radio que sur les terrains

Allez vous postuler?
Non merci. Je suis très bien à l’Etoile du Sahel en Tunisie ou je peux travailler comme je l’entends avec professionnalisme et compétence.

Avez-vous un profil du coach que vous aimeriez voir à la tête du staff technique des Lions?
Ce n est plus mon problème.

Quel sentiment éprouvez vous face à ce changement régulier des coaches de Lions?
Un énorme gâchis. Mais tant que les politiques et fonctionnaires auront la main mise sur l’équipe nationale, rien n’avancera. Mais j’espère pour certains joueurs qu’ils se qualifieront pour le Mondial.

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6 mai 2013 1 06 /05 /mai /2013 10:20
Domenech, presque réglé ?

Le technicien français serait selon des sources proches de la Fécafoot, le prochain sélectionneur de l’équipe nationale fanion du Cameroun. La signature du contrat serait prévue pour ce mercredi.

Camfoot.com

6 mai 2013 Augmenter police | Diminuer police |

 

Raymond Domenech devrait officiellement prendre les commandes de l’encadrement technique des Lions Indomptables ce mercredi, 8 mai 2013. Selon des sources proches de la Fédération camerounaise de football (Fécafoot), la candidature du technicien français au poste d’entraîneur-sélectionneur de l’équipe nationale fanion aurait été validée, parmi les trois candidats encore en lice. Une délégation conduite par le secrétaire général de la Fécafoot, Tombi A Roko, est d’ailleurs allée le rencontrer ce week-end à Paris, en France.

D’après nos informations, le but de cette visite viserait pour l’Etat du Cameroun, à se rassurer que le technicien français serait prêt à respecter les clauses du contrat qui lui sera présenté mercredi prochain. Les deux parties se seraient accordées, et Raymond Domenech devrait en principe se rencontre à Yaoundé, mardi. « Je l’ai eu au téléphone. Il m’a dit qu’il recevait la délégation camerounaise pour les modalités d’usage, liée au contrat. Et que, si tout se passe bien, il sera au Cameroun mardi, dans la soirée », raconte notre informateur. Selon ce dernier, la signature du contrat devrait se tenir un jour après l’arrivée de l’entraîneur français, au ministère des Sports et de l’éducation physique. Un choix piloté depuis le sommet de l’état camerounais, que la Fecafoot s’emploi donc à exécuter.

Palmarès d’entraîneur

C’est un 24 janvier 1952 à Lyon, que Raymond Domenech a vu le jour. Après une brève carrière de footballeur professionnel, Domenech se reconverti en entraîneur de football. Sans doute pour gagner ce qu’il n’a pas pu, en tant que joueur. A la tête de l’équipe nationale de France, il sort finaliste du Mondial 2006, éliminé par l’Italie aux tirs au but. Mais le technicien a livré plus de compétition avec la sélection espoirs. Il termine finaliste de l’Euro en 2002, demi-finaliste en 1994 et 1996, vainqueur du Tournoi de Toulon en 1997 et 2004, quart de finaliste des Jeux Olympiques 1996, vainqueur du Tournoi de Casablanca en 1999, et quart de finaliste du Mondial 2001. Le Cameroun devrait être la première sélection nationale africaine, qu’il va entraîner.

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