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20 septembre 2014 6 20 /09 /septembre /2014 10:42

 

 


L’Allemagne et la France vont construire un pont aérien pour transporter des médicaments en Afrique de l’Ouest où le virus Ebola a déjà fait plus de 2 600 morts.

L’Allemagne et la France ont mis en place un pont aérien pour fournir de l’aide aux pays d’Afrique de l’Ouest confrontés à l’épidémie de fièvre Ebola, qui a déjà fait plus de 2 600 morts.

L’opération pourrait débuter dans les quarante-huit heures, a annoncé le ministère allemand de la Défense, soulignant que l’Allemagne va dépêcher jusqu’à cent soldats à Dakar, au Sénégal, d’où deux avions de transport Transall de la Luftwaffe achemineront de l’aide aux pays touchés par l’épidémie comme le Liberia, la Sierra Leone et la Guinée.

« Cela permettra de transporter plus de 100 tonnes par semaine », a indiqué le ministère allemand de la Défense, ajoutant que la France engagerait également des avions dans ce dispositif. Les avions transporteront notamment des médicaments, du matériel médical, des couvertures et des tentes. Français et Allemands prévoient aussi d’ouvrir deux centres de soins, chacun de 50 lits. Le centre français sera installé en Guinée, l’allemand au Liberia.

La ministre allemande de la Défense, Ursula von der Leyen, et son homologue français, Jean-Yves Le Drian, se sont entendus pour lancer ce pont aérien lors d’une réunion, ce vendredi, à Paris.

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20 septembre 2014 6 20 /09 /septembre /2014 10:37

 

 
 
 
 
 
 
Côte d'Ivoire: 15000 FCFA pour pratiquer le sport à L'INJS, le DG fait des précisions
 
Côte d'Ivoire: 15000 FCFA pour pratiquer le sport à L'INJS, le DG fait des précisions
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Habib Sanogo, le DG de l’INJS et l’INJS (ph2) -

Cliquez pour Agrandir

Côte d'Ivoire: 15000 FCFA pour pratiquer le sport à L'INJS, le DG fait des précisions
Abidjan le 19 septembre 2014 africapress.com –Les rumeurs les plus folles ont indiqué ces derniers jours, que le Directeur General, de l’institut National de la Jeunesse et des Sports (INJS), exigeait la somme de 15 000 FCFA, à tout individu qui voudrait pratiquer le sport dans l’enceinte dudit institut basé à Marcory.

Une auditeur de la Radio commerciale « Nostalgie » a enfoncé le clou jeudi, sur les antennes, en confirmant cette information, qui a d’ailleurs été relayée via les réseaux sociaux par la Directrice générale, du Centre d’Information et de Communication Gouvernementale (CICG) , Madame Anne Marie Konan Payne.

Le DG de l’institution sportive, Habib Sanogo Rechercher Habib Sanogo a tenu à rétablir faire des précisons sur cette question ce vendredi.

Selon ce dernier, deux cas de décès et des Accidents Vasculaires Cérébraux (AVC) ont été constatés sur les terrains de sport de l’INJS.

Et pour que ,des cas pareils ne se reproduisent plus , il a en tant que premier responsable de l’institut , exigé que toute personne voulant avoir accès aux terrains de sport dans l’enceinte du site, devra désormais présenter un certificat d’aptitude physique, délivré par le centre de Médecine du Sport de l’INJS . La consultation revient à 10 000 FCFA au lieu de 18 000 FCFA et valable pour un an , et ensuite avoir une carte d’accès renouvelable annuellement à 5000 FCFA.

« Les infrastructures de l’INJS sont destinées à la formation académiques des étudiants. Malheureusement, ce lieu est devenu le lieu de privilégié des habitants de Marcory, Treichville, Koumassi et Port –Bouët pour leurs activités physiques et sportives. Une situation qui a causé la dégradation des aires de jeux, et la perturbent les cours » , a expliqué le Directeur à koaci.com, avant de révéler les cas de décès sur les terrains de sport. « De nombreux accidents par AVC ont été également constatés ici. Regardez, pour la seule année actuellement en cours (2014), nous avons eu déjà deux cas de décès. L’un en janvier et l’autre en juin dernier. Nous avons décidé de réglementer l’accès de nos installations aux usagers, en exigeant un Certificat d’aptitude physique qui est délivré par le Centre de Médecine du Sport de l’INJS, qui coute 10 000 FCFA au lieu de 18 000 FCFA et la présentation d’une carte d’accès renouvelable par an à 5000 FCFA. Et n'oubliez pas que nous devons entretenir ses infrastructures et aires de jeux dégradés par les usagers.»

L’Institut National de la Jeunesse et des Sports (INJS) est une institution placée sous les ordres du Ministère de la Promotion de la Jeunesse, des sports et des Loisirs.

Sa principale mission est de mettre en œuvre la politique de vulgarisation de la pratique des activités physiques et sportives et également promouvoir les sports de masse.

L’INJS est classée parmi les Établissement Public National (EPN) de l’enseignement Supérieur, professionnel et technique. Elle est chargée de la formation des cadres de la jeunesse et des sports.
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20 septembre 2014 6 20 /09 /septembre /2014 10:34

Cameroun - Sanctions dans le Rdpc : Quelques militants sacrifiés pour éviter la saignée :: CAMEROON

Cameroun,Cameroon - Sanctions dans le Rdpc : Quelques militants sacrifiés pour éviter la saignéeAvec 08 militants définitivement exclus de cette formation politique, elle inaugure une nouvelle ère sans que pour autant, elle règle le problème .

TEL EST LE SENTIMENT largement partagé dans les rangs du Rdpc au sortir des sanctions prises par la hiérarchie dudit parti mardi dernier. En fait, en concédant un sursis indu aux cadres de cette formation politique pourtant à l’origine des cas d’indiscipline soumis à la commission ad hoc érigée fort à propos le 05 décembre 2013, on aura guère pansé les plaies béantes laissées par les frustrations légitimes des militants de la base qui dénoncèrent en leur temps, les passe-droits des cadres et autres personnalités ressources commis pour diligenter les opérations d’investitures des candidatures pour les consultations électorales couplées du 30 septembre 2013.

Si à l’occasion on put mesurer les dysfonctionnements de ce parti tant en ce qui concernait les investitures des candidats aux consultations électorales que la désignation des maires, les sanctions qui en sont issus ont laissé sur leur faim bon nombre de militants dudit parti. En effet, aucun cadre ne semble avoir été coupable d’indiscipline alors qu’il a été formellement établi les passe-droits qu’ils s’étaient autorisés en opérant des tripatouillages des listes et pire en foulant aux pieds els dispositions de la lettre circulaire du président national à ce propos.

Aussi se serait-on attendu de voir ces cadres, subir au même titre que les militants de base sanctionnés, les foudres de la hiérarchie du parti. Mais au lieu de cela, on ne fait même pas cas des récriminations à leur encontre. Au contraire, ils semblent plutôt avoir bénéficié de non-lieu de fait. Dans un tel registre, on comprend après coup pourquoi les militants de la base en étaient à dénoncer le fait pour certains desdits cadres d’avoir été juges et parties dans le cadre de la commission ad hoc alors que les faits graves relevés à leur encontre en faisaient des militants qualifiés pour passer par-devant ladite commission.

Du coup, on en vient à croire qu’en sa qualité d’excroissance du gouvernement le Rdpc obéisse à s’y méprendre à la même selon laquelle, le Cameroun c’est le Cameroun avec ses contradictions et incohérences. Sinon que représentent les illustres inconnus exclus définitivement de cette formation politique ? Pas grandchose, surtout qu’une exclusion de cadres aurait pu engendrer la saignée dudit parti dont le mode opératoire est essentiellement au clientélisme institutionnel.

Ce qui a fait dire à plus d’un observateur de la scène sociopolitique nationale que le président dudit parti, par ailleurs président de la République, a exclu les petits récalcitrants et a évité les poids lourds du Rdpc. Dès lors, il devenait plus aisé à la commission ad hoc de trouver des boucs émissaires et à s’enliser dans des faux-fuyants. Ainsi en est-il de la création de nouvelles sections, sans qu’on en connaisse le nombre de militants effectifs. Pire encore, en choisissant d’exclure des militants de l’unique circonscription du Moungo, on pourrait croire qu’elle est la seule où sévit l’indiscipline dans ledit parti.

Ce qui est loin d’être une réalité, si l’on s’en tient aux batailles d’autres entités politiques, notamment dans ce qu’on considère à tort ou à raison comme bastions imprenables du Rdpc. Dès lors, que les cas d’indiscipline relevés ne sauraient être le seul fait des militants de la base. N’empêche qu’au sortir des enquêtes de la commission ad hoc de discipline, seuls ces derniers auront été sacrifiés.

Conséquence, le Rdpc entérine le caractère élitiste qui est le sien et court le risque de voir sa base militante se rétrécir, elle qui sait désormais qu’elle ne compte en réalité que pour du beurre. Surtout que les sanctions semblent avoir été prises à tête chercheuse. Et quand bien même elles vont des lettres d’observation avec rappel à l’ordre, à l’exclusion définitive, on comprend mal que cela n’ait été observé que pour 165 militants.

Cassure

C’est dire qu’on aura fortement élagué les mis en cause pour des cas graves d’indiscipline. Au final, 12 militants ont reçu des lettres d’observation assorties de rappel à l’ordre ; 38 ont été avertis, alors que 35 militants du Rdpc ont été blâmés. Quant aux exclusions, elles concernent 44 militants qui sont temporairement exclus pour une durée allant de 6 à 18 mois. En outre, 8 ont été définitivement exclus et 8 autres ont été acquittés. Enfin, 19 militants mis hors de cause et 1 seul a reçu la lettre d’encouragement.

Les décisions prises par le président du Rdpc, ne sont pas susceptibles de recours. Ainsi donc, le Rdpc rejoint désormais le Sdf dans la radiation des militants récalcitrants. Au-delà des sanctions, il y a également eu la création de 167 nouvelles sections au sein du parti au pouvoir. Elles sont ainsi reparties : 2 hors du triangle national, notamment, au Tchad et en Italie et les 165 autres, sont respectivement logées comme suit : 09 pour la région de l’Adamaoua, 34 dans le Centre, 23 à l’Est, 30 (l’Extrême- Nord), 26 (Littoral), 11 pour le Nord, Nord-Ouest (10), Sud (15), et 07 pour le Sud-Ouest.

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20 septembre 2014 6 20 /09 /septembre /2014 10:31


La France a autorisé trois traitements expérimentaux qui sont susceptibles de guérir la maladie Ebola dont souffre une infirmière française qui a été contaminée au Liberia lors d’une mission de Médecins sans Frontières, à Monrovia.

Ebola a fait son entrée sur le sol français, et c’est par le canal d’une d’une volontaire française de Médecins sans frontières qui officiait au Liberia. Elle a été rapatriée dans la nuit de jeudi à vendredi dans un avion médicalisé.

Aujourd’hui, l’objectif premier du gouvernement français est de tout faire pour aboutir à la guérison de cette patiente qui a été rapatriée illico pour assurer son assistance. C’est dans ce cadre que la France a autorisé trois traitements expérimentaux qui sont susceptibles de guérir la maladie Ebola dont souffre cette infirmière.

Selon les spécialistes français, les risques de propagation de la maladie sont quasiment nuls. Pour les hommes de santé, « une contamination a peu de chance de se produire », car les mesures de sécurité sont exceptionnelles.

L’infirmière victime du virus Ebola est internée à l’hôpital militaire Begin à Saint-Mandé, près de Paris. Le Président français, François Hollande, a confié que la patiente est hospitalisée dans des conditions très optimales et dans deux chambres à pression négative.

Le virus Ebola est apparu en Afrique de l’Ouest, en janvier 2014, en Guinée, avant de se propager au Liberia et en Sierra Leone. A ce jour, la maladie a fait plus de 2 400 morts, selon les derniers chiffres de l’Organisation mondiale de la Santé.

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20 septembre 2014 6 20 /09 /septembre /2014 10:26

 

 
 
 
 
 
 
 
Gabon: Louis Gaston Mayila dans les mains de la PJ pour une affaire de fausse monnaie
 
Gabon: Louis Gaston Mayila dans les mains de la PJ pour une affaire de fausse monnaie
 

Louis Gaston Mayila (ph) -

Libreville le 19 Septembre 2014 africapresscom- L’information vient d'être confirmée  par un agent de la police Rechercher police judiciaire dans leurs locaux du Komo.

L’Ancien ministre, ancien président du conseil économique et sociale et opposant Rechercher opposant actuel au régime d’Ali Bongo Ondimba est soumis à un interrogatoire Rechercher interrogatoire par les Officiers de police Rechercher police Judiciaire (OPJ).

Même si les agents que nous avons rencontrés n’ont pas précisé le motif de cette arrestation, L’homme politique serait détenu pour une affaire de fausse monnaie.

Selon une source judiciaire, le président de l’Union pour la nouvelle République (UNPR) qui était en tractations douteuses avec des faux-monnayeurs devait miser une somme de 30 millions de francs CFA.

Ne les ayant pas, il s’est résolu à mettre en gage son automobile de marque Range Rover et un acompte de 3 millions.

L’affaire dont les contours et scenarios ne sont pas encore bien connus, semble avoir mal tourné et le Grand Officier dans l’Ordre national du mérite qu’est Mayila a porté plainte pour vol de voiture avec perte d’une somme de 3 millions de francs CFA.

L’enquête menée à ce sujet à conduit les limiers de la Police à retrouver le Range Rover «recherché» auprès d’un magistrat du nom d’Edzo-Edzo.

Se trouvant être le prêteur auprès de qui Me Mayila avait gagé sa voiture et son argent «en échange d’une protection.

Ce magistrat a été contraint de passer aux aveux et, de fil en aiguille, l’enquête a mené à l’arrestation des complices de Me Mayila et à la saisie de l’outillage et de toute la machinerie nécessaire à la fabrication de fausses coupures de banque.

En attendant plus de détails dans cette affaire, il faut tout de même rappeler que depuis déjà un certain moment au Gabon les personnalités ayant exercé des hautes fonctions dans l’administration, ont des soucis à se faire avec la justice

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20 septembre 2014 6 20 /09 /septembre /2014 10:23

Côte d’Ivoire : le camp militaire d’Akouédo attaqué, six personnes interpellées

 
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Comment


Abidjan (Côte d’Ivoire) - Six personnes ont été interpellées tôt, jeudi matin, après une attaque du plus grand camp militaire de Côte d’Ivoire (Akouédo à l’Est d’Abidjan) par des individus armés non identifiés.

Selon un haut gradé de l'armée ivoirienne contactée par APA, « l'attaque a été perpétrée aux environs de 3h10, (heure locale et Gmt)» par des « assaillants habillés en tenues militaires ».

« Les échanges de tirs ont duré 1 heure et ils (assaillants) se sont retirés de leurs positions. Six d'entre eux ont été interceptés dans les environs du camp» lors d'une opération de ratissage, a poursuivi cet officier supérieur.

Le Commissaire du gouvernement Ange Kessi et le Chef d'Etat Major général des Forces républicaines de Côte d'Ivoire (FRCI), le Général Soumaïla Bakayoko se sont rendus sur le théâtre des opérations pour constater les faits.
 
© AFP
Le général Soumaïla Bakayoko, chef de l`armée ivoirienne
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20 septembre 2014 6 20 /09 /septembre /2014 10:19

 


Penthouse, l’un des leaders du marché pornographique dans le monde, lance sa chaîne porno "black" en France.

"Penthouse Black", une chaîne pornographique hardcore avec une majorité d’acteurs noirs, débarque sur la télévision payante en France. Le groupe américain Penthouse, présent dans une quarantaine de pays, est l’un des leaders du marché du X dans le monde et a pour ambition de renforcer sa présence sur l’Hexagone. Et pour cause, c’est en France, où il existait déjà trois chaîne Penthouse (une soft et deux hard), que le groupe génère le plus de recettes, selon Nathanael Kalfa, directeur des activités audiovisuelles en Europe, rapporte l’AFP. Le groupe compte « plusieurs centaines de milliers d’abonnés » français, affirme M. Kalfa, contre « plusieurs millions d’abonnés » dans le monde. Penthouse est aussi célèbre pour son magazine créé en 1965.

"Penthouse Black" en Afrique

Avant d’arriver en France, "Penthouse Black" avait été lancé l’an dernier sur le bouquet de Canal+, Canal Overseas (Afrique), et y compte déjà plusieurs dizaines de milliers d’abonnés. Il faudra compter encore quelques jours pour que la chaîne soit définitivement active à partir de la box de Free, avec 80% de films joués par des acteurs noirs et 20% de films multi-ethniques.

Selon M. Kalfa, "Penthouse Black" doit répondre à une demande insistante de la communauté noire en France qui ne « qui ne se reconnaissait pas dans les films érotiques » tournés souvent uniquement avec des acteurs blancs ou parfois asiatiques, mais avec peu d’acteurs noirs. Les films produits aux Etats-Unis avec des acteurs noirs-américains ne conviendraient pas non plus au public africain, raison pour laquelle Penthouse est allé démarcher quelques producteurs de films X en Afrique.

Penthouse a démarré la production de films X au milieu des années 2000 et a lancé ses propres chaînes avec des images HD à partir de 2009

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20 septembre 2014 6 20 /09 /septembre /2014 10:15

Cameroun - Affaire Guerandi Mbara : Le gouvernement prépare sa réplique :: CAMEROON

Cameroun,Cameroon - Affaire Guerandi Mbara : Le gouvernement prépare sa répliqueUne réunion s’est tenue mercredi à Yaoundé pour organiser un plan de communication au moment où des voix s’élèvent pour demander que la lumière soit faite.

L’affaire Gueérandi Mbara embarrasse le pouvoir de Yaoundé au plus haut point. Selon des informations exclusives du Jour, une réunion s’est tenue mercredi à Yaoundé avec tous les services concernés. Un mémo a été rédigé par les auteurs de l’opération ayant abouti au rapt de l’ancien capitaine, et un plan de communication a été élaboré et devrait être déployé dans les prochains jours.

L’embarras du gouvernement vient de ce que, soutiennent certaines sources proches du dossier, Guérandi Mbara serait mort. Plusieurs doses de sédatif lui auraient été administrées entre Sofia et Douala afin d’empêcher qu’il se réveille en plein vol. L’officier rebelle n’a pas pu tenir et a succombé à une overdose. La source du Jour confirme une hypothèse qui était déjà avancée par Jeune Afrique, qui suggérait que le capitaine Guerandi était mort entre Edéa et Pouma et enterré à la hâte par les hommes de la Dgre venus récupérer le « colis » à l’entrée de la ville de Douala. Toutes ces informations ont non seulement été livrées à JA, mais en plus aux services secrets français par José Fernandès Abrantes, le mercenaire portugais recruté pour la mission et qui n’avait pas été totalement payé.

Si cette source se veut formelle, une autre croit savoir que Guerandi serait détenu en lieu sûr. Quoiqu’il en soit, le plan de communication élaboré pour cette délicate affaire devrait permettre d’en avoir le coeur net. En attendant, certains hommes politiques commencent à lever le ton et exigent d’avoir des preuves que le capitaine putschiste est vivant. La première salve est venue du député Sdf, Jean-Michel Nintcheu. Dans un texte parvenu à la rédaction du Jour, il affirme que, connaissant les accointances passées entre Jeune Afrique et le régime, « il est difficile de donner du tort à ceux qui pensent que l’information relative à l’assassinat de M. Guérandi Mbara est crédible ».

Il s’étonne que le gouvernement n’ait pas cru bon de devoir communiquer ou tout au moins donner sa version des faits au sujet de « l’enlèvement assassinat de ce compatriote qui, comme bien d’autres, a pourtant bénéficié de la loi d’amnistie de 1990 ». « Le silence assourdissant des rossignols habituels du régime est fort inquiétant », ajoute Nintcheu.

Violation des droits de l’Homme

plus loin : « (…) Si par extraordinaire il a été exécuté par les tortionnaires du régime, les responsables de ce crime d’Etat doivent être immédiatement traduits devant les tribunaux du pays. Dans les deux cas de figure, le régime de M. Biya a violé de façon flagrante et intolérable la Constitution de notre pays qui dispose dans son préambule que : la liberté et la sécurité sont garanties à chaque individu dans le respect de ses droits ; tout prévenu est présumé innocent jusqu’à ce que sa culpabilité soit établie au cours d’un procès conduit dans le strict respect des droits de la défense ; toute personne a le droit à la vie et à l’intégrité physique et morale. Elle doit être traitée en toute circonstance avec humanité.

En aucun cas elle ne doit être soumise à la torture, à des peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants. » Dans une autre tribune adressée au Jour et à d’autres médias, le comité exécutif du Conseil national pour la résistance - Mouvement Umnyobiste (Cnr-Mun), qui dit entretenir « depuis de nombreuses années des  relations individuelles et politiques avec le Capitaine Guerandi et les Nouvelles forces patriotiques (NFP) dont il est le président-fondateur », reconnait avoir effectivement perdu ses traces depuis la première quinzaine du mois de janvier 2013.

Sous la plume de Tené Sop, le comité exécutif du Cnr-Mun formule des exigences non seulement au gouvernement camerounais, mais français également : « Nous exigeons du gouvernement liberticide de Paul Biya qu’il sorte de son mutisme suspect pour répondre des graves accusations sur l’enlèvement et l’assassinat d’un patriote camerounais dont il est accusé. Nous réclamons du gouvernement français, l’arrestation de Georges Starckmann, l’homme par qui tout a commencé, et de clarifier son propre rôle dans la disparition du docteur Guérandi.

Nous appelons tous les démocrates camerounais de l’intérieur et de l’extérieur, de même que tous les amis du Cameroun, à se mobiliser pour exiger la lumière et situer les responsabilités sur la disparition inacceptable de notre compatriote Guerandi Mbara Goulongo. » En rappel, Guérandi Mbara, 60 ans est un ancien capitaine de l’armée camerounaise. Il avait participé au coup d’Etat manqué du 6 avril 1984 contre le président Biya avant de se réfugier au Burkina Faso où il vivait depuis 30 ans, sous la protection du président burkinabé, Blaise Compaoré dont il fut le camarade de promotion à l’école militaire de Yaoundé.

Selon les révélations faites par le magazine Jeune Afrique dans son édition de lundi, l’ex-putschiste serait tombé dans un traquenard tendu par les services secrets camerounais, grâce à un ancien colonel portugais du nom de José Fernandès Abrantes. Celui-ci a fait croire à Guerandi qu’il le conduisait de Sofia en Bulgarie à Moscou en Russie où ils étaient supposés acheter des armes de guerre... Mais, en plein vol, le mercenaire a injecté du sédatif à sa cible pour ensuite la livrer pieds et poings liées à la Dgre. C’était en janvier 2013.

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19 septembre 2014 5 19 /09 /septembre /2014 16:36

Akah Fogwe Jonathan est un jeune Camerounais de 39 ans, diplômé en ingénierie électrique de la Kaduna polytechnic School au Nigeria. Natif de l’arrondissement de Mbengwi dans le département de la Momo, région du Nord-Ouest, l’inventeur vient de mettre au point une application qui permettra aux Camerounais de communiquer à moindre coût.


Pour ce faire, il suffira au futur utilisateur du produit, d’acquérir un téléphone Androïd, une tablette électronique ou un Ipad pour pouvoir télécharger l’application et communiquer au Cameroun ou à l’étranger. Pas besoin d’être un abonné MTN, Orange, Camtel, etc.


Dans un second temps, l’application d’Akah F Jonathan devrait également améliorer de façon qualitative les procédures d’envoi et de réception des fonds (par transfert ou par téléphone), tout en créant des milliers de nouveaux emplois pour les jeunes Camerounais. Selon l’inventeur, l’application qui est disponible sur Google Play Store ou www.mysupercall.net, permettra aux techniciens et à d’autres tiers où qu’ils soient, de l’acheter et de la commercialiser .


Depuis quelques mois, les utilisateurs de ce mode de communication par VOIP (Voice over internet Protocol) se comptent par dizaines, au quartier Mendong à Yaoundé où le promoteur de la Globallinks communications company tient ses bureaux. Avant le lancement du projet, l’inventeur dit avoir sollicité et obtenu tous les brevets nécessaires auprès de l’organisation Africaine de la propriété intellectuelle (OAPI). Seulement, l’utilisation de son application aux États-Unis pourrait rencontrer quelques écueils, à cause de la législation qui serait plus restrictive en la matière dans ce pays-là.

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19 septembre 2014 5 19 /09 /septembre /2014 16:31
Cameroun - Audio - Candidature Organisation CAN 2019 - Adoum Garoua depuis Addis Ababa: «Le Combat est difficile mais nous croyons que nous allons gagner la partie»

 

 


 

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Depuis Addis-Abeba en Ethiopie ou le Cameroun doit défendre sa candidature pour l’organisation de la 32e édition de la CAN en 2019 devant le Comité exécutif de la Confédération africaine de football, le Ministre de Sports, Adoum Garoua parle de la stratégie Camerounaise pour gagner la partie.
















Dans cette course à l’organisation de la CAN 2019, le Cameroun sera face à la Zambie et à la Côte d’Ivoire puisque l’Algérie et la République Démocratique du Congo se sont retirés. Le gagnant sera connu demain Samedi 20 septembre 2014.

 

Ci-dessous, l’extrait de l’interview du ministre Garoua, invité du 13h sur la CRTV poste national:

 




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