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7 mars 2015 6 07 /03 /mars /2015 13:16

 

Une information encore non confirmée par la Fédération camerounaise de football, mais qui suscite déjà le débat parmi les spécialistes du football.

Après le désistement de l’Espagne et de l’Australie qui avaient sollicité le Cameroun pour deux matches amicaux pendant la période FIFA du mois de mars, la Fédération camerounaise de football travaille en ce moment dans le but de ne pas priver les Lions Indomptables de cette période FIFA à venir. Et déjà, le choix des prochains adversaires des lions alimente les débats sur les radios locales. Dans son l’édition du « Sport en plus » sur la Crtv-Radio ce vendredi, Raphaël Nkoa annonce que le Cameroun jouera le Sultanat d’Oman, un pays du Moyen-Orient au sud de la péninsule d'Arabie, et le Royaume de Bahreïn, petit pays insulaire d'Arabie situé près de la côte ouest du golfe Persique au Moyen-Orient.

Invité de ce programme, Joseph Antoinne Bell pense que « ce sont des matches exotiques ». Le consultant de la radio Rfi explique qu’au lendemain de la CAN foireuse des Lions Indomptables, le Cameroun ne peut pas se permettre ce genre de villégiature. « Il en faut aussi de temps en temps, mais je ne suis pas sûr honnêtement qu’aujourd’hui le Cameroun puisse se permettre ce genre de matches. C’est des choses qui existent dans le parcours d’une sélection, mais il y a des périodes pour çà, je crois ».

Pour ces deux prochaines rencontres, Raphaël Nkoa annonce que la Fécafoot empochera un chèque de 300 000 dollars. Un pactole qui aurait poussé selon lui à faire ces choix. « Dans la vie chacun a son prix, il faut qu’on fixe le nôtre. Il faudrait savoir si on peut dévier les Lions Indomptables de leur trajectoire pour 300 000 dollars. C’est un choix, je n’ai pas à l’approuver ou à le critiquer, c’est le choix de ceux qui sont en place. Maintenant, il y a aussi d’autre raisons qui peuvent pousser à aller là-bas, argumente Joseph Antoine Bell avant d’ajouter normalement après une compétition comme celle-là [La CAN 2015, ndlr], on redéfini un peu les choses, on dit ce qui a marché et ce qui n’a pas marché, et ce vers quoi on veut aller. Et, à ce moment-là, matches qu’on choisit doivent correspondre à quelque chose. Alors que là, si on a rien dit, évidement on peut choisir d’aller sur Mars, on peut choisir d’aller à Bahreïn et faire quatorze heures d’avion pour y aller… »

Joint au téléphone par Cameroun-info.net, Laurence Fotso, responsable de la communication à la Fécafoot dément : « l’information est incorrecte, les communications se feront dès finalisation... », nous a-t-elle répondu. On retient cependant que le Cameroun ne sera oisif entre le 23 et 31 mars prochain. Et déjà, la FIFA annonce sur son site que Stéphane Mbia et ses camarades affronteront l’Indonésie le 25 mars et la Thaïlande le 28 mars prochain.Le Cameroun pourrait jouer deux matches amicaux respectivement contre le Sultanat d’Oman et le Bahreïn pendant les deux prochaines dates FIFA du mois de mars 2015, entre le 23 et le 31.

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7 mars 2015 6 07 /03 /mars /2015 13:13

Il ne fait aucun doute pour les autorités tchadiennes: l'armement utilisé par Boko Haram est bien de fabrication française, «40% des armes utilisées», précise Hassan Sally Ben Bakary, ministre de la Communication de la République du Tchad en  visite de travail et d'amitié au Cameroun. Alors qu'il donnait, avec son homologue camerounais, un point de presse mercredi dernier à Yaoundé, Hassan Sylla Ben Bakary a fait projeter par sa délégation, un mini reportage sur la ville nigériane de Gambaru libérée par l'armée tchadienne de l'emprise de Boko Haram. Le matériel militaire récupéré, chars, mitrailleuses, munitions et autres blindés, à la grande surprise des soldats tchadiens sont de «marque française». Devant la surprise que cette révélation a provoquée chez les hommes de médias, le ministre de la Communication  du Cameroun Issa Tchiroma Bakary va tenter de nuancer en expliquant que cela «ne veut rien dire». Mais il sera repris par son homologue tchadien qui va réitérer ses révélations, en précisant qu'il n'accusait aucun pays mais que cela relevait des faits et que chacun pouvait dès lors en faire l'interprétation qui lui convient.

Rappelons que pour une opinion camerounaise, la France est le bras invisible derrière Boko Haram destiné à déstabiliser le Cameroun. Plusieurs fois, sur les réseaux sociaux, les internautes prennent à partie l'Hexagone, l'accusant d'armer l'insurrection islamiste du Nigéria. Ces accusations que Laurent Fabius, le ministre français des Affaires étrangères et du développement international en visite au Cameroun le 21 février dernier, avait rejetées en bloc. Pour la France, avait-il alors indiqué, l'armement utilisé par Boko Haram provient en grande partie du matériel laissé par l'armée nigériane en déroute face à Boko Haram. C'est la première fois qu'une voix officielle établit un rapport (direct ?) entre la France et Boko Haram.Le ministre tchadien de la Communication a indiqué que 40% du matériel de guerre utilisé par les combattants islamistes nigérians est de fabrication française.

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7 mars 2015 6 07 /03 /mars /2015 13:07

 

 

CAMEROUN :: Fecafoot : Joseph Owona chasse un enquêteur du TCS :: CAMEROON

cameroun,fecafoot,joseph,owona,chasse,enqueteur,tcs,cameroon,CAMEROUN :: Fecafoot : Joseph Owona chasse un enquêteur du TCS :: CAMEROONLe président du comité de normalisation a laissé entendre à celui-ci que l’argent versé par la FIFA à la Fecafoot ne peut pas faire l’objet d’un contrôle par l’Etat du Cameroun.

La réunion de concertation annoncée a finalement eu lieu mardi au siège de la Fecafoot à Tsinga, la réunion a tourné court à cause de l’absence des principaux participants. En effet John Begheni Ndeh, David Mayebi et Jules Fréderic Nyongha n’ont pas cru devoir marquer de leur présence cette concertation. Pour eux, il n’était pas question de venir à une réunion au siège de la Fecafoot.

Ils ont souhaité que cette concertation se tienne en terrain neutre et c’est pourquoi ils n’ont pas trouvé intéressant d’effectuer le déplacement du siège de la Fecafoot. Ils se sont d’ailleurs demandé comment c’est celui qui est à l’origine des problèmes de la Fecafoot qui préside la réunion. Le Premier ministère et le ministère des Sports n’étaient pas représentés non plus. Comme quoi, il ne faut vraisemblablement rien attendre de cette concertation.

En dehors des membres de la Fecafoot, Joseph Antoine Bell et le Sénateur Alioum Alhadji ont pris part à la réunion de mardi à Tsinga. Le seul point inscrit à l’ordre du jour était la révision des textes. Le problème Tombi A Roko Sidiki s’est une fois de plus posé, certains protagonistes souhaitant qu’il abandonne son poste de secrétaire général pour aller préparer ses élections comme tous les autres candidats, hors de la Fecafoot. Une fois de plus, Joseph Owona a refusé, affirmant qu’il peut à la rigueur lui donner un congé technique de 6 mois.

Le président du comité de normalisation a d’ailleurs réitéré ce qu’il avait déjà dit lors de la dernière réunion au Premier ministère, à savoir que l’assemblée de 2009 que les opposants à son comité de normalisation appellent de tous leurs vœux n’est pas différente de l’assemblée de 2014 qui a validé les textes querellés. Pour lui, il y a juste une différence de cinq personnes. L’honorable Alioum Alhadji lui a demandé de lui expliquer par quelle alchimie une assemblée de 2009 qui comptait 144 membres peut être pareille à une assemblée de 2014 composée uniquement de 76 membres.

En réalité Joseph Owona qui est sensé enseigner tous ceux qu’il a trouvé au siège de la Fecafoot, répète malheureusement tout ce qu’on lui raconte là bas sans chercher à en comprendre le sens. C’est la raison pour laquelle à chaque fois il se plante. Joseph Owona, le prince de Mvengue, regrette que le Tribunal criminel spéciale le perturbe depuis un moment, il a de manière inconsciente parlé de cette affaire au cours de la réunion de mardi alors que ce n’était pas à l’ordre du jour.

Vendredi dernier, l’auditeur envoyé par le tribunal criminel spécial est arrivé au siège de la Fecafoot pour faire le travail pour le quel il a été désigné. Joseph Owona s’est catégoriquement opposé en lui disant que l’Etat n’a pas le droit de contrôler l’argent que la FIFA donne à la Fecafoot. L’envoyé du TCS lui a présenté son ordre de mission, mais Joseph Owona a été catégorique et lui aurait simplement indiqué la porte de sortie.

Lundi dernier, au lieu d’un seul, le TCS a envoyé huit auditeurs à Tsinga. Une véritable démonstration de force ce qui a obligé le professeur de droit constitutionnel à obtempérer. Selon nos sources à Tsinga et au TCS, la plupart des documents produits par la Fecafoot ne sont pas en conformité avec les déclarations des responsables de la Fecafoot qui sont passés au TCS.

De plus, une commission rogatoire est allée hors du pays et leurs rapports sont utilisés pour confronter les dires des hommes de Tsinga. Joseph Owona est désormais perturbé par cette affaire du TCS puisque Tombi A Roko Sidiki n’est plus le seul concerné par la justice. Il devra désormais lui-même s’y présenter pour répondre de sa gestion.

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7 mars 2015 6 07 /03 /mars /2015 13:05

 

CAMEROUN :: Soutien pour les militaires et jamais pour les enseignants et autres ... :: CAMEROON

cameroun,soutien,pour,les,militaires,jamais,pour,les,enseignants,autres,cameroon,CAMEROUN :: Soutien pour les militaires et jamais pour les enseignants et autres ... :: CAMEROONLa mode actuellement au Cameroun est à la  collecte de vivres pour  les militaires au front  contre Boko Haram. Pourquoi pas ? Mais en même temps, comment ne pas  relever  qu’il n’y a jamais eu , dans notre pays , de  mobilisation quelconque  pour les  enseignants par  exemple ou toute autre catégorie sociale ?

Et pourtant,  nos gosses  se retrouvent  actuellement à 150 voire 200 dans des salles de  classes où nous, leurs  parents, étions à  ... 32 ! !! dans l’indifférence
générale. Au lycée Leclerc où j’ai effectué l’essentiel de ma scolarité dans le secondaire, nous ne dépassions pas les 35 élèves au temps des Blancs, c’est - à - dire jusqu’en 1974 (le premier proviseur noir ayant été nommé cette année-là)

De  même, une hospitalisation à l’hôpital central, le plus vieil hôpital de Yaoundé (il datede 1953) est un calvaire. Vous achetez tout. En 1967, j’y avais été interné. Mes parents n’avaient rien déboursé comme argent.

Nous avions même droit, nous les malades, à trois repas de qualité par jour. Petit-déjeuner, déjeuné, dîner. Aujourd’hui, plus rien de cela. A quand une marche pour cessituations désastreuses

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7 mars 2015 6 07 /03 /mars /2015 13:02









Terrorisme:  "Au moins 40% des armes de Boko haram sont françaises"

 

 

La déclaration a été faite par le porte-parole du gouvernement d'ldris Deby à Yaoundé.

La déclaration a sonné comme une provocation, pour l'auditoire, notamment la presse, venue témoigner de la signature des accords de partenariat entre les ministres  camerounais  et tchadien de la Communication, ce 4 mars 2015, dans le cadre de la lutte contre la secte islamiste Boko Haram: «40% des armes que nous avons saisies entre les mains de Boko haram», a déclaré le Mincom tchadien, en commentant les images brutes venues du front, après une des récentes batailles menées par l'armée tchadienne. Et l'assistance s'est mise à murmurer: «Vous êtes étonnés ? C’est bien ce que j'ai dit; au moins 40% des armes que nous avons déjà saisies entre les mains de Boko Haram sont de fabrication française; maintenant, à vous journalistes de rechercher l'origine de ces armes et comment Boko Haram s'approvisionne», a-t-il insisté, en assignant à la presse la mission de faire l'éclairage nécessaire sur ce qui sonne comme un argument de poids à la décharge de la France, accusée au sein de l'opinion publique comme un soutien de la secte islamiste.

Lors de sa visite au Tchad et au Cameroun les 21 et 22 février derniers, Laurent Fabius, le ministre français des Affaires étrangères et du développement international, a nié  toute implication de la France dans la guerre, aux côtés de la secte islamiste: «J'ai été très surpris d'apprendre par madame l'ambassadrice que certaines personnes ici pensent et disent que la France ne lutte pas contre la secte Boko Haram. Il s'agit de déclarations nées de leur imagination. Car s'il y a une nation... une grande nation dans le monde qui lutte contre Boko Haram c'est la France et j'espère avoir été, clair», avait-il répondu lors de la conférence de presse qu'il avait donnée au soir du 22 février à la Résidence de France à Yaoundé. Et d'insister: «La France supporte complètement les actions contre Boko Haram qui est un énorme danger Nous sommes aux côtés de tous les pays qui ont décidé de lutter contre Boko Harem.  Nous supportons la lutte contre Boko Haram à tous les niveaux».

Il reste que les images diffusées par le ministère tchadien de la Communication ne vont pas aider l'hexagone à convaincre les plus sceptiques et les extrémistes. «Preuves à l'appui», la délégation tchadienne qui vient de séjourner au Cameroun, souhaiterait voir la presse des deux pays de la ligne de front, s'engager dans la recherche de la vérité dans ces informations de nature à pouvoir jeter le discrédit sur la France et achever de détruire la confiance envers la France comme partenaire dans la cette guerre asymétrique  où François Hollande qui a d'abord pris de la distance, avant de revenir sur ses positions de départ, pour jouer sa partition  à travers le renseignement. Dans un combat qu'il a gagné: celui de passer les images que la  partie camerounaise  souhaitait censurer.

Quoi qu'il en soit, «les armes saisies à ces terroristes n'ont appartenu ni à l'armée camerounaise, ni à l'armée tchadienne», a-t-il  d'office tranché. Il est désormais clair que le Tchad qui est devenu l'allié militaire de la France dans la zone sahélienne ces dernières années, semble émettre des doutes et des réserves sur la foi que  l'ancienne  puissance coloniale peut brandir dans la recherche de la paix dans cette région, voire même en Afrique. «Lorsque nous sommes allés sur le terrain, les journalistes français qui étaient avec nous, ne semblaient pas admettre ce que nous leur disions, ils ont eux-mêmes découvert la réalité sur le terrain», peut jubiler presque, Hassane Sylla. En commentant les images des descentes de la presse après des combats. En insistant sur la nécessité de l'Afrique à se prendre en charge.

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7 mars 2015 6 07 /03 /mars /2015 12:59

 

 

cameroun,defense,9000,soldats,prepares,front,cameroon,CAMEROUN :: Défense : 9000 soldats préparés au front :: CAMEROONIls sont en formation ou viennent d’y être admis. Ils pourront être déployés dans les unités récemment créées. Des équipements de dernière génération bientôt livrés.

Le Cameroun renforce ses moyens militaires au jour le jour. Mercredi dernier, le ministre délégué à la Présidence de la République chargé de la défense a publié un communiqué. Edgard Alain Mebe Ngo’o a donné les listes des candidats aux recrutements au sein des forces de défense. En tout, près de 9.000 jeunes Camerounais sont en formation au sein de nos centres d’instruction des armées ou vont y être admis ces prochains jours. Le Mindef dans ses listes a appelé : 320 jeunes hommes et femmes qui ont passé le concours pour devenir élèves sous officiers de gendarmerie ; 2140 ont réussi à celui d’élèves gendarmes. Dans les armées, les lauréats aux concours sont eux aussi connus.

420 jeunes hommes et femmes sont admis à la formation d’élèves sous-officiers et 4120 à celle de soldats. Ces 7.000 jeunes camerounais vont rejoindre dans les centres d’instruction : les 1700 recrues du Bir qui sont en formation depuis le mois de décembre 2014 ; les près de 300 élèves officiers et la soixantaine de militaires qui se perfectionnent pour constituer le bataillon des forces spéciales en gestation. Certains observateurs se demandent déjà, si de nouveaux centres d’instruction vont être ouverts pour accueillir toutes ces recrues. Si on n’a pas de réponses exactes à ce questionnement, on sait tout au moins, que ces jeunes gens, une fois formés vont principalement être affectés dans les unités activées samedi dernier par le chef de l’Etat.

Paul Biya a ce jour-là, nommé des commandants des 21ème et 22ème brigades d’infanterie motorisées. Les Brim selon un acronyme cher aux militaires, sont en réalité les plus grosses unités de notre armée de terre. La Brigade d'Infanterie Motorisée est une grande unité tactique de combat. Installée dans un ou plusieurs secteurs militaires terrestres, en général une Région militaire, elle peut agir indépendamment du découpage territorial. Elle est composée de : un bataillon de commandement et de soutien ; un bataillon d'appui ; trois bataillons d'infanterie motorisée.

Leurs tailles en hommes oscillent entre 6.000 et 7500 hommes, formés à la manipulation des canons sophistiqués qui les équipent. Le Cameroun depuis samedi dernier, a parachevé le maillage de son territoire avec l’activation de ses deux Brim. Désormais cinq Brim sont actives. Autre mesure de quadrillage du territoire, la création de la légion de gendarmerie du Logone et Chari. Cette unité chargée du maintien de l’ordre et de la collecte du renseignement comporte trois compagnies (Waza, Kousséri et Makary) et des dizaines de brigades.

Nos sources révèlent par ailleurs que d’importants moyens logistiques vont être déployés ces tout prochains jours. Le public sait que des armes ont été promises par la fédération de Russie. Ce qu’il sait moins, c’est que des blindés, des lance-roquettes multiples des engins de déminage et des hélicoptères d’attaque avec équipages vont faire leur apparition ces « prochaines semaines », trahissent nos sources. Dans ses engagements aux fronts de l’Extrême-nord contre Boko Haram, de l’Est pour prévenir des débordements de rebelles centrafricains sur son territoire et de l’Ouest au large de Bakassi où des pirates et autres groupes rebelles ne se sont jamais totalement assagis , l’armée camerounaise a, de plus en plus besoin d’hommes bien formés.

De plus, pour que ceux engagés sur ces fronts ne soient pas épuisés par « l’usure de la guerre », il faut roter les effectifs. Mais, c’est un militaire qui résume au mieux ce renforcement des effectifs : Pendant plus de 10 ans, on n’a pas recruté des troupes. Les partenaires du Cameroun nous le déconseillaient. On s’est retrouvé avec un personnel vieillissant et peu motivé. Il va falloir tout refaire très vite. Nous n’allons pas toujours appeler le Tchad pour faire la guerre pour nous »

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7 mars 2015 6 07 /03 /mars /2015 12:56


A homeless man who was shot to death by police during a confrontation over the weekend was identified under his true name — not the stolen French identity he had used for years.
Charly Keundeu Keunang
Photo: (c) AFP


Charly Keundeu Keunang
, a native of Cameroon, was identified Thursday. He was listed as being indigent and homeless, and he died from multiple gunshot wounds, according to the Los Angeles County coroner's office.

Keunang, 43, was known on the streets as "Africa." He was killed on Sunday by police officers answering a robbery report. Officers said he became combative, made a grab for the gun of a rookie policeman and was shot by three other officers.

The shooting was captured on video and prompted several protests.

Keunang's path to Skid Row, a rough area of Los Angeles where many homeless live, was marked by mistakes and miscommunication by three governments on three continents over nearly 20 years.

The problems began in the late 1990s when French officials gave him a passport under what turned out to be a stolen name — Charley Saturin Robinet. He came to the U.S., robbed a bank and then was convicted and imprisoned under the same false name.

U.S. immigration officials wanted to send him back to Cameroon, but that country never responded to requests to take him. So he was released from a halfway house last May, and U.S. probation officials lost track of him in November.

It took three failed monthly check-ins for a warrant to be issued on a probation violation, and it's unclear whether anyone actually looked for him. He apparently was living the entire time on Skid Row, roughly 50 square blocks of liquor stores, warehouses, charitable missions and a few modest businesses.

Many of the estimated 1,700 people who sleep each night on the sidewalks are mentally ill, like Keunang.

Peter Nunez, a former U.S. attorney in San Diego who is chairman of the Center for Immigration Studies in Washington, D.C., said the case points to multiple failures by government.

He criticized France for not being more diligent in investigating the man's background before issuing a passport and U.S. authorities for not realizing he was a "fraud" before the end of his prison term and then not putting more effort into finding him once he disappeared.


"Shame on all of them," said Nunez, whose group advocates for stricter immigration policies and enforcement.

Axel Cruau, France's consul general in Los Angeles, said the system for checking backgrounds was vastly different when the man duped French officials.

"Let's remember 20 years ago we didn't have the same databases we have today, the same rules, we didn't have biometric design. It was before 9/11," he said.

Using the false name, the man was believed to be a French citizen in 2000 when convicted of robbing a Wells Fargo branch in Los Angeles and pistol-whipping an employee in what he told authorities was an effort to pay for acting classes at the Beverly Hills Playhouse.

In 2013, as he was nearing his release from a federal prison in Minnesota, French officials found the real Robinet in France, Cruau said. U.S. Immigration and Customs Enforcement then determined the impostor actually was from Cameroon, but the agency said the African country ignored repeated requests for travel documents, hampering efforts to deport him.

The U.S. Supreme Court ruled in 2001 that immigration authorities cannot detain people indefinitely just because no country will take them.

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Spagat reported from San Diego. Associated Press writer Alicia Caldwell in Washington, D.C., contributed to this report.

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7 mars 2015 6 07 /03 /mars /2015 12:52
CAMEROUN :: 39 soldats victimes de Boko Haram décorés à titre posthume :: CAMEROON

cameroun,soldats,victimes,boko,haram,decores,titre,posthume,cameroon,CAMEROUN :: 39 soldats victimes de Boko Haram décorés à titre posthume :: CAMEROON« Ils ont courageusement sacrifié leur vie sur le champ d’honneur, en défendant l’intégrité territoriale du Cameroun face aux attaques et actes terroristes du groupe Boko Haram » ; a précisé Didier Badjeck ; responsable de la communication au ministère camerounais de la défense.

Fin de matinée vendredi, 06 mars 2015 à la cour d’honneur du « Quartier général ». Sur les tribunes : familles, camarades de corps, personnalités civiles et militaires …venus en masse , rendre un dernier hommage aux 39 soldats tombés dans le cadre des opérations « ALPHA » et « Emergence » en cours dans les régions septentrionales du Cameroun.

« Les 39 militaires et gendarmes ont courageusement sacrifié leur vie en défendant l’intégrité territoriale du Cameroun, face aux attaques et actes terroristes de la secte islamique Boko Haram » ; a précisé le colonel Didier Badjeck ; chef de division de la communication et des relations publiques au MINDEF.

Certains des 39 soldats sont tombés sur le champ d’honneur les 13, 16, 17,27 et 28 décembre 2014 dans les localités de Limani,Amchidé,Achigachia,Doublé.
D’autres sont morts les 05 et 12 janvier 2015 au cours des affrontements qui ont lieu à Makari et Kolofata. Et certains ont été abattus les 04, 06,16 et 25 février 2015 à Fotokol, Mora,Waza et Limani.

Dans le cadre de la Mission des Nations pour le maintien de la paix en République Centrafricaine, le Cameroun a perdu l’adjudant Messi Ambroise, tombé sur le champ d’honneur. Messi Ambroise faisait partie du contingent camerounais de la MINUSCA en Centrafrique.
Au nom du président camerounais Paul Biya, le ministre camerounais délégué à la défense a décerné à titre posthume à chacun des 39 soldats morts, la « médaille de la vaillance à l’ordre de l’armée camerounaise».

© Alwihda Info : Nestor Nga Etoga
LE DéBAT
actuellement sur le site
L'éQUATION
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7 mars 2015 6 07 /03 /mars /2015 12:48
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7 mars 2015 6 07 /03 /mars /2015 12:44

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Des instructeurs de l’armée française sont à Ngaoundéré, chef lieu de la région de l’Adamaoua, pour une formation des militaires camerounais.

 

 


Militaires camerounais en formation
Photo: (c) Ambassade de France au Cameroun


Selon un communiqué de presse publié par l’Ambassade de France au Cameroun, cette formation qui se tient du mardi 03 mars au vendredi 13 mars 2015, est axée sur l’enseignement du tir de combat.

Les autorités françaises précisent que cette formation, inspirée par un partenariat de défense entre la France et le Cameroun, est leur part de contribution dans la guerre contre le groupe terroriste Boko Haram. Il y a deux mois, au fort des critiques contre l’attitude passive de Paris vis-à-vis de cette guerre qui dure depuis huit mois, Christine Robichon, Ambassadrice de France au Cameroun avait fait savoir que le soutien de son pays aux pays attaqués par les insurgés se limitait au niveau du renseignement et l’échange d’informations.

Ci-dessous, le Communiqué de presse qui parle de cette formation des moniteurs de tir




Communiqué de presse


Formation avancée au tir de combat à Ngaoundéré par un détachement de l’armée française

Dans le cadre de l’accord du 21 mai 2009 instituant un partenariat de défense entre la France et le Cameroun, une formation avancée au tir de combat sera organisée par la France du 3 au 13 mars 2015 à Ngaoundéré au profit des forces armées camerounaises.


Un détachement d’instruction opérationnelle composé de dix instructeurs des Eléments français au Gabon (EFG) sera ainsi chargé pendant dix jours de sélectionner et de former une trentaine de moniteurs de tir au profit des unités de combat camerounaises.


Cette action de coopération opérationnelle s’inscrit aussi dans le cadre de l’appui apporté par l’armée française à l’armée camerounaise dans sa lutte contre le groupe terroriste Boko Haram. /.

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