Les premières estimations sont tombées en Allemagne. A l´issue de l´élection législative de ce dimanche 22 septembre 2013, Angela Merkel, CDU, chancelière sortante est assurée de conserver son poste pendant 4 ans encore, sauf que faute de majorité absolue, elle devra se trouver un nouveau partenaire politique pour former son gouvernement. Le FDP, son précédent partenaire, a connu une déculottée historique qui l´écarte du parlement pour la première de l´histoire de cette institution.
La CDU, parti de Angela Merkel et la CSU, son parti frère bavarois ont récolté 42,5% , tandis que le parti socialiste, SPD, et son candidat, Peer Steinbrück arrivent en 2ème position avec 26,5%. Les Verts 8% et l ´extrême gauche, Linke, complètent la liste des 4 partis qui seront représentés au Bundestag. Le parti anti-euro AfD (4,8%) et les Autres partis politiques (5,2%) devront attendre la prochaine élection législative pour entrer au parlement.
L´un des faits à retenir est que si la CDU/CSU est déclarée victorieuse de l´élection, c´est que 38% des électeurs contre 13% en 2009 ont d´abord plébiscité Angela Merkel et sa politique.
Mais le plus marquant dans cette élection, est que, si ces résultats se confirment, le FDP, ne pourra renouveler sa coalition avec la CDU de Angela Merkel, faut d´avoir atteint les 5% requis pour entrer au parlement. Ce sera une grande première.
Longévité en vue
"En gagnant, comme Merkel, trois élections générales consécutives, en 1979, 1983 et 1987, Margaret Thatcher avait occupé le poste de Premier ministre britannique du 4 mai 1979 au 28 novembre 1990, soit 4.227 jours. Un total qu'Angela Merkel dépassera, sauf accident de parcours d'ici là (du genre de celui qui était arrivé à Thatcher, évincée en cours de mandat par sa propre majorité...), le 19 juin 2017, soit trois mois avant les prochaines élections législatives outre-Rhin. Elle sera en revanche encore loin, dans son propre pays, d'Helmut Kohl, chancelier pendant seize ans et quasiment un mois".
Angela Merkel reste la seule dirigeante d´une grande puissance européenne qui aura échappé à la crise économique.
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La fin de l’esclavage au Cameroun viendra-t-elle du contribuable français, permettez moi d’en douter car pour briser ses chaînes il faut déjà avoir conscience que l’on est enchaîné, le Cameroun est un pays dirigé par des esclaves de maisons avec à leur tête le Président de la République en chef des esclaves car il est lui-même le premier des esclaves, quand aux « opposants politiques » ce sont des marionnettes qu’il fabrique lui-même pour distraire le peuple les élections municipales et législative de cette fin septembre 2013 dont lui seul avait l’agenda secret vont finir de le démontrer dans quelques jours, attendons seulement les résultats… 
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Ce retard à l’allumage du président de la commission communale de campagne pour le Dja-et-Lobo permet au SDF d’avancer sur le terrain. 
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On l’avait vivement souhaité et c’est désormais chose faite. Le Tchad vient d’envoyer un contingent de quatre cents hommes en Centrafrique pour aider le président Michel Djotodia à désarmer la Séléka, du nom de cette force rebelle coalisée qui a renversé François Bozizé, le 24 mars dernier. Une décision, somme toute salutaire, ce d’autant que la dissolution prononcée de la Séléka par le président Djotodia ne pouvait être effective, tant que le Tchad, faiseur de roi dans la sous-région, ne s’y impliquait pas. La situation sécuritaire est si délétère en Centrafrique qu’elle exige que l’on prenne le taureau par les cornes. C’est ce que semble avoir compris le président Idriss Déby, lui qui a toujours considéré la Centrafrique comme son arrière-cour. La preuve est que du défunt Ange-Félix Patassé à Michel Djotodia en passant par François Bozizé, chacun a bénéficié à un moment donné, du soutien du Tchad pour parvenir au pouvoir. C’est dire que le Tchad de Déby a toujours soufflé le froid et le chaud en Centrafrique, suivant que ses intérêts sont menacés ou pas. Cela dit, on peut se demander pourquoi le président Déby a tant attendu avant d’envoyer des troupes pour appuyer les autorités centrafricaines dans la restauration de la paix et de la sécurité dans leur pays. Pourquoi avoir attendu que la situation pourrisse avant d’aller y jouer les pompiers ? Déby aurait dû envoyer ses troupes plus tôt, surtout au moment où les éléments de la Séléka faisaient la pluie et le beau temps en rackettant et en pillant les populations centrafricaines.
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Le drame s’est produit le 19 septembre dernier au quartier Emana. 
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20 jours après sa disparition avec huit autres bambins, Eugène Mouamianguel n’a toujours pas donné signe de vie.
S’il est parfois difficile de se retenir, mieux vaut parfois chercher un endroit approprié en cas de petite envie pressante. Le cas contraire pourrait vous coûter cher.Uriner en rue peut vite vous coûter cher si vous êtes surpris par la police pendant votre délit. Il s’agit évidemment d’une infraction, mais d’une commune bruxelloise à l’autre les tarifs peuvent varier du simple au double, voir plus.Un petit pipi du côté d’Anderlecht ne vous coûtera «que » la modique somme de 40€. À Auderghem, Forest et Ixelles vous devrez débourser 250 € si vous êtes pris sur le fait. Dans le centre de Bruxelles, s’il vous venait l’idée de vous soulager sur la Grand-place par exemple, vous risquez une amende de 100 €, selon Sudpresse.
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