Ces chiffres sont ceux de l'Institut national de la statistique (Ins). Dès lors, une question se pose : que s'est-il passé pour que la tendance s'inverse radicalement plus de trente ans après ? Le fait c'est que la Société d'expansion et de modernisation de la riziculture de Yagoua (Semry), la Société de développement de la riziculture dans la plaine des Mbo (Soderim) dans la région de l'Ouest, l'Upper Wun Valley Development Authority (l'Unvda) dans la province du Nord-Ouest et des riziculteurs privés produisaient et commercialisaient le riz.C
Ces chiffres sont ceux de l'Institut national de la statistique (Ins). Dès lors, une question se pose : que s'est-il passé pour que la tendance s'inverse radicalement plus de trente ans après ? Le fait c'est que la Société d'expansion et de modernisation de la riziculture de Yagoua (Semry), la Société de développement de la riziculture dans la plaine des Mbo (Soderim) dans la région de l'Ouest, l'Upper Wun Valley Development Authority (l'Unvda) dans la province du Nord-Ouest et des riziculteurs privés produisaient et commercialisaient le riz.
Ces chiffres sont ceux de l'Institut national de la statistique (Ins). Dès lors,
Toutes les sociétés ci-dessus citées ne fonctionnent plus
La Soderim, s'est éteinte après le désengagement de l'Etat.
Avec l'avènement de l'ajustement structurel, l'Etat s'est désengagé de la Soderim. Et comme c'était un projet piloté conjointement par le Cameroun et la Chine, les Chinois sont partis.
L'ex-ministre de l'agriculture, Jean Baptiste Yonke, directeur de cette société, a résisté quelques années après le désengagement de l'Etat, mais a fini par se lasser et a abandonné ", raconte Pascal Nkwe Makongo à un confrère du quotidien le Jour.
Entre temps, le Cameroun poursuit de belle les importations de riz à des centaines de milliards par an ; allez savoir les prix sur les comptoirs dans les marchés, avec des hausses du jour au lendemain
es chiffres sont ceux de l'Institut national de la statistique (Ins). Dès lors, une question se pose : que s'est-il passé pour que la tendance s'inverse radicalement plus de trente ans après ? Le fait c'est que la Société d'expansion et de modernisation de la riziculture de Yagoua (Semry), la Société de développement de la riziculture dans la plaine des Mbo (Soderim) dans la région de l'Ouest, l'Upper Wun Valley Development Authority (l'Unvda) dans la province du Nord-Ouest et des riziculteurs privés produisaient et commercialisaient le riz.
- Camer.be : Yolande Tankeu
- vendredi 06 novembre 2020 16:02:00
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Ces chiffres sont ceux de l'Institut national de la statistique (Ins). Dès lors, une question se pose : que s'est-il passé pour que la tendance s'inverse radicalement plus de trente ans après ? Le fait c'est que la Société d'expansion et de modernisation de la riziculture de Yagoua (Semry), la Société de développement de la riziculture dans la plaine des Mbo (Soderim) dans la région de l'Ouest, l'Upper Wun Valley Development Authority (l'Unvda) dans la province du Nord-Ouest et des riziculteurs privés produisaient et commercialisaient le riz.
Toutes les sociétés ci-dessus citées ne fonctionnent plus
La Soderim, s'est éteinte après le désengagement de l'Etat.
Avec l'avènement de l'ajustement structurel, l'Etat s'est désengagé de la Soderim. Et comme c'était un projet piloté conjointement par le Cameroun et la Chine, les Chinois sont partis.
L'ex-ministre de l'agriculture, Jean Baptiste Yonke, directeur de cette société, a résisté quelques années après le désengagement de l'Etat, mais a fini par se lasser et a abandonné ", raconte Pascal Nkwe Makongo à un confrère du quotidien le Jour.
Entre temps, le Cameroun poursuit de belle les importations de riz à des centaines de milliards par an ; allez savoir les prix sur les comptoirs dans les marchés, avec des hausses du jour au lendemain
Toutes les sociétés ci-dessus citées ne fonctionnent plus
La Soderim, s'est éteinte après le désengagement de l'Etat.
Avec l'avènement de l'ajustement structurel, l'Etat s'est désengagé de la Soderim. Et comme c'était un projet piloté conjointement par le Cameroun et la Chine, les Chinois sont partis.
L'ex-ministre de l'agriculture, Jean Baptiste Yonke, directeur de cette société, a résisté quelques années après le désengagement de l'Etat, mais a fini par se lasser et a abandonné ", raconte Pascal Nkwe Makongo à un confrère du quotidien le Jour.
Entre temps, le Cameroun poursuit de belle les importations de riz à des centaines de milliards par an ; allez savoir les prix sur les comptoirs dans les marchés, avec des hausses du jour au lendemain