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7 février 2014 5 07 /02 /février /2014 08:26

Cameroun - Grève : Les enseignants mettent le président de la République en garde :: CAMEROON

Cameroun - Grève : Les enseignants mettent le président de la République en garde::CameroonA l’occasion d’une conférence de presse donnée mercredi 5 février 2014 à l’hôtel Mérina de Yaoundé, les enseignants réunis autour d’une plate-forme, ont signifié leur mécontentement à l’endroit du président de la République du Cameroun, suite au traitement de leurs dossiers qui piétinent.

L’intégration des enseignants d’Eps dans le corps des fonctionnaires de l’éducation nationale, le rééchelonnement indiciel des personnels enseignants, l’attribution des palmes académiques, l’intégration des professeurs et instituteurs contractuels à la fonction publique, la valorisation et le paiement immédiat de leur prime de documentation et de recherche, la signature d’une convention collective de l’enseignement privé et la tenue d’un forum aux fins d’arrimer l’éducation nationale au train de l’émergence. 

Voilà, brièvement recensées, les revendications des enseignants, unis au sein de leurs différents syndicats. De toutes ces revendications, depuis la phase de négociation entreprise il y a deux années (plus précisément le 6 février 2012), seule la revalorisation de la prime de documentation et de recherche a été prise en compte.

Face à la presse mercredi 5 février 2014, les représentants du Snieb, du Snuipen, du Snaef, du Monicam, du Snaes, de l’Oneeps, du Tac et du Cattu, ont pris à témoin les hommes et femmes de médias, pour les actions qu’ils comptent mener dans les prochains jours. De la bouche de leur porte-parole, Roger Kaffo du Snaes, ils ont rappelé leurs doléances et les démarches entreprises pour avoir solutions à leurs problèmes. En effet, soucieux des problèmes posés par les enseignants, le président de la République, avait, quelques années plus tôt, décidé de mettre sur pied un comité ad hoc comprenant près de 7 ministres de la République, chargés d’étudier consciencieusement les problèmes des enseignants et d’y apporter des solutions. Seulement, après près de 9 sessions à l’issue desquelles des textes ont été élaborés, discutés et adoptés, au sujet de 4 problèmes principaux, lesdits textes ont été soumis à la validation des services du Premier ministre qui à leur tour, ont transféré le dossier au niveau de la présidence de la République pour signature.

Inertie et manque de volonté

Pourtant, 09 mois après, toujours pas de réponse. Les enseignants ont alors décidé de suspendre les négociations avec le gouvernement, tant que les textes déjà adoptés en vue de la résolution de leurs problèmes ne seront pas validés par le président de la République. Comme conséquence de cette décision, deux grands dossiers à traiter au sein de la commission ad hoc restent en suspens. Il s’agit de la convention collective de l’enseignement privé et du forum national de l’éducation. «Cette situation décrédibilise le processus de négociation aux yeux des travailleurs et discrédite la parole présidentielle. Le chef de l’Etat ne saurait s’engager devant la nation à la légère. Avant d’aborder ces dossiers fondamentaux, les syndicats exigent la signature dans les meilleurs délais des textes déjà adoptés et la mise en œuvre des décisions ayant fait l’objet d’accords avec le gouvernement », réitèrent les enseignants.

Afin de manifester leur mécontentement et au cas où, d’ici là, le gouvernement n’a toujours pas donné, par des décisions, une suite concrète aux problèmes examinés, les syndicats appellent les enseignants tant de l’éducation de base et des enseignements secondaires, des salles de classe comme des bureaux, à des actions de grève par deux arrêts de travail au cours des périodes du 17 au 22 février et du 28 avril au 02 mai 2014. A la rétention des notes d’évaluation pour les 4ème, 5ème et 6ème séquences ainsi que le refus de confection de tout autre document administratif pendant ces périodes. Ils précisent par ailleurs que, « des actions spécifiques seront décidées en temps opportun pour les examens officiels de la session 2014 ».

 
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7 février 2014 5 07 /02 /février /2014 08:24

Cameroun : Sans salaires, des députés de Assemblée nationale assiègent l'agent comptable :: CAMEROON

Cameroun : Sans salaires, des députés de Assemblée nationale assiègent l'agent comptable::CameroonLas d’attendre le salaire qu’ils sont supposés avoir «touché » depuis une dizaine de jours, agacés par les dotations de véhicules et carburant qui ne viennent toujours pas, des députés sont allés faire savoir leur colère et mécontentement à l’agent comptable au 3ème étage du palais des verres de Ngoa-Ekele.

Hôtel des députés, hier jeudi. Il est un peu plus de 14 heures 30 minutes. Le site qui, continuellement grouille de monde (pendant les périodes de sessions parlementaires ou non), est presque vide. Pas l’ombre d’un « honorable ». En contre-bas où se trouvent : le bar, le balcon et le restaurant, des espaces qui s’apparentent aux salles d’attente des députés, il n’y a pas de quoi fouetter un chat. « Les rares députés qui séjournent à l’hôtel, se sont repliés dans leurs chambres où ils ruminent leur colère et indignation, à cause du salaire mensuel du mois de janvier qui n’est toujours pas payé» lance le secrétaire particulier d’un député. 

Visiblement indigné. Selon des sources dignes de foi, il y a des députés qui ont l’âme en peine, le cœur brisé et la désolation au comble. « Nous percevons le salaire, tous les 25 du mois. Beaucoup parmi nous, en provenance de tous les coins et recoins du pays, avons fait le déplacement de Yaoundé, pour quelques heures ; le temps de toucher le salaire. Voici bientôt une douzaine de jours que celui-ci n’est pas viré» s’indigne un député.

« L’ambiance est pesante et explosive ; le désenchantement affligeant et écœurant. Nous avons tout fait à notre niveau, mais sans donner des explications crédibles, le ministère des Finances n’a pas décaissé l’argent pour payer les députés et même les employés en service à l’Assemblée nationale» confie une source bien introduite à la direction des affaires générale. L’on comprend pourquoi depuis lors, les députés piaffent d’impatience et expriment leur courroux. Il n’y a pas que le salaire du mois de janvier qui fait l’objet d’une longue attente. Les élus du peuple attendent également les frais de dotation en véhicules et carburant qui auraient du être payés depuis la session de plein droit. Comme sur le dossier des salaires, sur celui-là aussi, le ministère des Finances n’a pas libéré de l’argent requis. «Nous végétons et survivons comme des oisifs. En l’absence de la bouffée d’oxygène que représente le salaire, on est obligé de vivre caché. Heureusement qu’ici à l’hôtel des députés, on peut manger et faire manger; en estampillant simplement au bas de la note» confie un élu de la nation.

Sit-in chez l’agent comptable

Impuissants et indignés, des députés ont assiégé le bureau de l’agent comptable à qui, ils ont dit leur mécontentement et désarroi. Pris comme souffre douleur, ce dernier a eu du mal à trouver des mots justes, pour se tirer d’affaire. « L’agent comptable ne peut pas vous recevoir. Il dit qu’il est très occupé » lance Valérie en plein visage du reporter du Messager, parti en savoir davantage sur l’indisponibilité des salaires des élus de la nation. Le visage buriné et le regard fuyant, le personnel du ministère des Finances en détachement au poste d’agent comptable, à l’Assemblée nationale, non plus, n’a pas des réponses au retard de salaire. Dans ses va et vient entre son bureau et le secrétariat, transformé en restaurant, on l’entendait répondre au téléphone : « Je suis encore en train de chercher de l’argent… Honorable».

Alors que dure l’attente, les langues se délient. Certaines sources pensent qu’en grattant le verni, il y a là une volonté manifeste de pourrir la vie et le mandat du président Cavaye Yégué Djibril. « En faisant mousser la colère et la grogne des députés, l’on accentue le malaise et la pression enfle davantage. Les débordements et les risques de soulèvement que la situation peut provoquer, sont de nature à faire douter ou même à porter un coup au président de l’Assemblée nationale dont le maintien au perchoir ne tient que sur un fil. 

Si on agace les députés, leur vote devient incontrôlable» explique un député. Comme lui, il y a d’autres élus de la nation qui craignent et redoutent le péril dans les prochains jours. «Si les caisses sont vides et que l’on ne peut pas parvenir à payer le salaire et les arriérés des indemnités, la situation va aller s’aggravant parce que d’ici peu, on serait rendu à la session délicate de tous les enjeux, du mois de mars. Tout peut alors arriver… », souligne une source en service à la direction des affaires générales. Ce qui renforce la crainte des députés sur des lendemains qui déchantent.

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7 février 2014 5 07 /02 /février /2014 08:22

 

 

Ligue 1

UMS : Pierre Kwemo veut la tête d’Engelbert Mbarga

 

Les signaux sont au rouge à l’UMS de Loum. Le patron de l’encadrement technique du club, Engelbert Mbarga derait être le premier entraîneur de Ligue 1 à être limogé cette saison. Et ceci ne saurait tarder, puisse que le président de l’équipe, Mr. Pierre Kwemo n’a pas digéré l’humiliation de sa formation à Douala par New Stars (3 – 0). Selon certaines indiscrétions, le maire de Bafang se serait d’ailleurs écroulé à l’hôtel après le match. Quand la passion nous tient…

 
 
commentaires

Le Président fait le coaching

A la mi-temps du match qui opposait New stars de la capitale économique à UMS lors de la deuxième journée de Ligue 1, c’est le président de l’UMS, Pierre Kwemo qui a tenu le discours à ses joueurs dans les vestiaires. Le coach Mbarga désabusé, a préféré retourner sur le banc de touche. « A partir du moment qu’il a pris ma place, je n’avais plus de place là (vestiaire). Je suis allé m’asseoir sur le banc de touche. Je ne sais pas si ça explique la suite mais… C’est le propriétaire de l’équipe, le grand financier, c’est un passionné. Je le comprends, mais je crois humblement et modestement que chacun doit rester à sa place. Je ne vais plus accepter ce genre d’interférence avant, pendant ou après le match. » A-t-il Promis. Aura-t-il le temps de se faire respecter ? Certainement non, car rien ne garantit sa présence sur le banc de touche à la troisième journée lors de la réception de Renaissance de Ngoumou.

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Une rupture imminente… pour un « blanc » !

La collaboration entre Pierre Kwemo, le président de l’Union des Mouvements Sportifs de Loum ne pourrait tenir que sur un fil. Après un nul (UMS – Sable, 1 – 1) et une défaite (New Stars – UMS, 3 – 0) le principal pourvoyeur de fond d’UMS a manifesté son mécontentement. Son coach qu’il a tout récemment recruté à prix d’Or pourrait être démis de ses fonctions, les tous prochains jours. Le malaise entre le président et son entraîneur, déjà existant après le premier match de la saison (UMS – Sable, 1 – 1), s’est extériorisé au stade de la réunification de Douala après l’écrasante défaite du champion de l’Elite two la saison dernière face aux poulains de Bonaventure Djonkep coach de New stars de Douala. « Il doit partir. Demandez-lui (coach) de ne pas monter dans mon bus. » Ordonnait le maire de Bafang, pourtant ramené à de meilleurs sentiments par un président de club, proche de lui. L’homme public et passionné du football a de grandes ambitions pour son club et souhaite avoir des résultats à la hauteur du recrutement effectué à l’inter-saison.

Tout compte-fait, Mr Kwemo ne voudrait pas poursuivre l’aventure avec son actuel entraineur et voudrait un expatrié : « Il doit se séparer de Mbarga, c’est sûr. Il m’a demandé de lui chercher un blanc. » Nous a confié un de ses proches.

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7 février 2014 5 07 /02 /février /2014 08:20

Cameroun:Contradictions ou faiblesses de l'État face sa propre vision d'intégration nationale? :: CAMEROON

Lydie SDeuleu:Camer.beLa pléthorique des groupes ou complexes scolaires bilingues face à la promotion des langues et cultures nationales.La Loi N° 98/004 du 14 avril 1998 d’Orientation de l’Éducation au Cameroun se fixe comme premier objectif de l’éducation « la formation de citoyens enracinés dans leur culture, mais ouverts au monde et respectueux de l’intérêt général et du bien commun »

Constat :
Lorsqu'on traverse toute la ville de Yaoundé, à tous les 100 mètres des grandes banderoles avec estampilles «Groupe scolaire bilingue » ou « complexe scolaire bilingue »

Or, en matière de protection et de promotion des langues et des cultures camerounaises, la vision politique de S.E. Paul BIYA, Président de la République du Cameroun, est consignée dans son ouvrage intitulé : Pour le Libéralisme communautaire (1987 : 116-117) : «Les linguistes camerounais ont dénombré 236 langues parmi lesquelles une centaine de langues standardisables. 

D’aucuns ont tenté de se servir de cette diversité pour diviser le Cameroun. Je considère plutôt notre diversité linguistique comme un privilège culturel. Face à cette richesse linguistique, l’on choisit deux niveaux de travail : le niveau ethnique et le niveau national. Au niveau ethnique, il faut encourager le développement de toutes les langues nationales, véhicules privilégiés des cultures ethniques. Il importe de ce fait que chaque langue exprime la culture qu’elle véhicule. Ainsi produits, ces joyaux culturels seront transférés sur la scène nationale au grand bénéfice de la collectivité. Il convient donc de laisser épanouir toutes nos fleurs linguistiques, phase historique nécessaire et indispensable à la confection du bouquet culturel national. Option est ainsi prise pour l’intégration de chaque Camerounais dans sa communauté ethnique par le biais de sa langue maternelle, étant entendu qu’elle n’est qu’une étape stratégique pour une meilleure intégration dans la communauté nationale : l’on ne sera descendu au fond de sa personnalité ethnique que pour en remonter avec ce que l’ethnie détient d’excellent et dont la nation entière doit bénéficier, à travers les langues nationales et à travers les langues officielles ».

Interrogation ?

Comment peut-on parler de «la formation de citoyens enracinés dans leur culture, mais ouverts au monde et respectueux de l’intérêt général et du bien commun » tout en promouvant seulement « l'ouverture au monde » ?
Ces banderoles avec des estampilles sur « Bilingue » le long des rues de Yaoundé ne prouvent-elles pas par là que l'État se contredise et affiche sa faiblesse face à la vision ?

 
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7 février 2014 5 07 /02 /février /2014 08:17

Cameroun

Eto’o Télécom, il y a de la friture sur la ligne

           

L’entreprise de télécommunications lancée en 2012 par Samuel Eto’o présente une situation financière inquiétante. Les conséquences d’un mauvais management et d’une stratégie peu lisible.

Petit saut dans le temps. Septembre 2012 à Douala, la capitale politique du Cameroun, Samuel Eto’o lance officiellement sa marque de téléphonie mobile Eto’o Télécom, via l’opérateur de réseau virtuel (MVNO). L’ambition du joueur est grande, il espère atteindre les 3% de parts de marché à l’horizon 2014 et un chiffre d’affaires de près de 20 millions d’euros.

Sauf que depuis ce lancement en grandes pompes, avec un concert géant, les choses ne se passent pas tout à fait comme prévu pour la société du sportif camerounais. Pour preuve, elles sont encore bien loin les fameuses 3% de parts de marché, pour un opérateur qui peine à exister face aux deux leaders que sont MTN et Orange Cameroun, qui loue d’ailleurs son réseau à Eto’o Télécom.

Un opérateur plus cher que ses concurrents

Première raison de ce couac, le prix. Pour une minute de communication depuis le réseau de l’ancien Barcelonais, le tarif est de 70 francs cfa (approximativement entre 8 et 9 centimes d’euros) avec la puce Set’Mobile, marque d’Eto’o. Soit bien plus que les deux concurrents, qui proposent des prix allant de 50 à 60 francs la minute. Difficile d’inciter les Camerounais à consentir à payer leurs communications plus chères, aussi fans soient-ils du capitaine des Lions Indomptables.

Ce n’est que plus d’un an après que le prix ne sera baissé, mais le mal est déjà fait. Le slogan de Set’Mobile, "Ensemble pour gagner", est loin de faire recette et Jeune Afrique indique que la société de téléphonie mobile de l’attaquant de Chelsea a de sérieux problèmes. La faute notamment au management de la structure et à la stratégie de communication.

Les négociations avec Orange piétinent

"Le principal péché de Set’Mobile réside dans son manque de lisibilité par le marché. Il a voulu jouer sur le même terrain que les leaders alors qu’il aurait pu se positionner sur des niches intéressantes (ethnies, jeunes...)", confie ainsi Robert-Martin Silo-Samé, cofondateur de Sisaroma, cabinet spécialisé dans les télécommunications, au magazine panafricain. Résultat, l’entreprise ne décolle pas et les 300 000 abonnés annoncés au début semblent bien moins désormais.

Rien ne va non plus avec Orange, par qui passe le réseau Eto’o Télécom. La filiale du groupe français attend toujours les 300 millions de francs (environ 461 000 euros), que lui doit la société de la star camerounaise. Un passif qui bloque les négociation entre les deux entités afin de poursuivre leur partenariat.

L’une des solutions pouvant être une entrée d’Orange Cameroun dans le capital de Set’Mobile, mais là aussi, la discussion bloque. La société d’Eto’o craint d’être absorbé par le géant des télécommunications. "Samuel estime que c’est son bébé, et il n’est pas question de le céder à quiconque", fait savoir son entourage. Il va pourtant falloir trouver un terrain d’entente si le natif de Douala ne veut pas voir sa première expérience en tant qu’entrepreneur se solder par un cuisant échec.

 

 

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7 février 2014 5 07 /02 /février /2014 08:14
Lions Indomptables : Des bi-nationaux auraient dit oui

 

Cinq des six binationaux ciblés par la mission de la Fécafoot chargée de les convaincre de rejoindre le Cameroun auraient donné leur accord de principe. Parmi ces jeunes, certains se retrouveront certainement au Brésil en compagnie du capitaine Samuel Eto’o en juin prochain. Le dernier n’aurait toujours pas pris de décision, mais le Cameroun ne désespère pas. Le sélectionneur Volke Finke pourra t-il retenir quelques-uns pour le match amical du mois prochain contre le Portugal ? Ça va bientôt se savoir.

 
 

Bonnes nouvelles

La mission conduite en France la semaine dernière par David N’Hannack Tonyè, membre du comité de normalisation de la Fécafoot, avait en effet pour mission de négocier et de convaincre ces footballeurs camerounais dits « binationaux » de rejoindre la sélection nationale fanion du Cameroun, en vue de la préparation du Mondial brésilien. Les émissaires camerounais qui se sont notamment rendus en France, reviennent donc avec de bonnes nouvelles. « Dans l’ensemble ça va. Nous avons rencontré six joueurs. Nous sommes sous de bons auspices. Nous avons deux joueurs qui ont déjà signé un engagement à rejoindre les Lions, et trois autres joueurs qui ont signé pour l’obtention de la nationalité camerounaise. Ce n’est que lorsque la nationalité sera établie, qu’on pourra les avoir dans notre sélection nationale. Pour le moment, nous ne pouvons donner les noms des concernés », confie sous anonymat une source proche du dossier.

Dans les coulisses, la procédure est presqu’entamée. « Nous travaillons pour l’accélération du processus d’obtention de la nationalité camerounaise de ces joueurs afin que l’entraîneur national puisse avoir sous la main, le moment venu, tous les joueurs susceptibles d’apporter leur contribution à la bonne participation du Cameroun à cette Coupe du monde », ajoute une autre source, qui pense cependant que rien n’est gagné d’avance. « Dans le football, tout peut changer en l’espace d’une seconde. Surtout que ces joueurs sont aussi courtisés par la France. Nous ne devons pas nous vanter tant que ces fils du pays n’auront pas acquis la nationalité camerounaise », ajoute notre informateur.

Bayebeck, Ntep, Umtiti, Axel Ngando, et compagnie en maillot des Lions Indomptables ? Pourquoi pas ?


 

 

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7 février 2014 5 07 /02 /février /2014 08:10

Cameroun - Remaniement ministériel : Le Gouvernement qui vient de Mvomeka'a :: CAMEROON

Cameroun - Remaniement ministériel : Le Gouvernement qui vient de Mvomeka'a ::CameroonAprès le coup de gueule du 31 décembre dernier, le retour du Chef de l'Etat suggère une recomposition du gouvernement attendu depuis bientôt trois mois.

Le Président Paul Biya a finalement regagné la cité capitale hier soir, après s'être enfermé seul, en bossant durement. Parti du palais de l'Unité depuis le 10 janvier, le Président de la République ne s'est donc pas pour autant tourné les pouces dans son Mvomeka'a (région du Sud) natal. Bien que retranché dans sa résidence privée, il a mis ce temps à profit et procédé à la signature d'importants textes engageant la vie de la nation, dont les plus récents concernent les nominations à la police et dans les universités d'Etat.
 
Du coup, l'on pense qu'en renvoyant dit-on à plus tard (mars-avril) la recomposition annoncée du gouvernement, tant attendu depuis la publication des résultats du double scrutin du 30 septembre 2013, il a profité de sa retraite pour former son gouvernement dont il garde précieusement, en ce moment, la dernière mouture. Tout porte d'autant plus à croire qu'il aurait mis à contribution, une fourchette d'experts, réputés neutres et aguerris, pour les besoins de la cause. Des sources crédibles font allusion à deux conseillers français, aperçus dans le sillage de Meyomessala depuis plus d'une semaine. On rapporte que l'un d'entre eux a effectué de nombreux allers-retours entre Mvomeka'a et le palais de l'Unité, tandis que l'autre se serait plus consacré à la nouvelle nomenclature gouvernementale. Ce nouveau rythme de travail, ainsi que l'intervention des sherpas venus de l'Hexagone, ne manquent pas de laisser songeurs, les habitués des allées du pouvoir: aussi curieux que cela puisse paraître, Paul Biya est rarement porté vers ce genre de consultations.

A la fin, même si rien n'a filtré de ces conciliabules, une source généralement crédible laisse entendre que ce travail, qui va certainement continuer à Genève (Suisse), où le Chef de l'Etat est attendu en début de semaine et devrait déboucher sur une réduction drastique du nombre de portefeuilles ministériels. De même, confie une autre source, on devrait s'attendre à ce que le non moins leader du Rassemblement démocratique du peuple camerounais (Rdpc) lance dans l'arène, de jeunes loups compétents, rompant ainsi avec le débat animé actuellement par certains idéologues.
 
Guerre de tranchées. En s'écartant ainsi des canaux habituels, certains analystes soutiennent que Paul Biya a pris le temps de décrypter la guerre de tranchées nouée autour du rajeunissement de l'équipe gouvernementale. Une situation qui a même exacerbé la bataille successorale dans le sérail, avec son cortège de vrais et faux dauphins, non sans attiser les convoitises et autres appétits mal contenus, décriés par le Chef de l'Etat dans son adresse à la nation le 31 décembre et qui ont généralement débouché sur des «éliminations» politiques.
 
Paul Biya sera-t-il emballé par une telle idée? Rien n'est moins sûr. Toujours est-il que, selon les tenants de l'idée du rajeunissement de l'équipe gouvernementale, à défaut d'injecter du sang neuf, l'échéance de l'émergence à l'horizon 2035 ne constituerait qu'une simple vue de l'esprit. En tout cas, au nom du nouveau sursaut patriote auquel il convie désormais les Camerounais, il est clair que le Chef de l'Etat, qui a plusieurs fois rappelé aux ministres que les objectifs fixés à travers la politique des «Grandes réalisations» sont et demeurent le développement du Cameroun et l'amélioration des conditions de vie des citoyens, aura le dernier mot.
 
Pour le reste, on constate que le retour du Chef de l'Etat à Yaoundé coïncide avec le débat qui enfle sur l'instauration ou non, de la vice-présidence qui passerait forcément par la modification de la Constitution, à l'occasion de la session parlementaire de mars prochain et qui suscite déjà moult appétits dans les salons feutrés de la République. En attendant le remaniement, Paul Biya pourrait bien nommer d'ici à la, une dame soit au Conseil constitutionnel, à la Cour suprême, ou au Conseil économique et social.

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5 février 2014 3 05 /02 /février /2014 08:13

Cameroun : Les jokers du Grand-Nord pour la vice-présidence :: CAMEROON

Cameroun : Les jokers du Grand-Nord pour la vice-présidence::CameroonLa perspective de l’instauration d’une vice-Présidence aiguise les appétits dans le Grand-Nord.

Inédit. Depuis le retour du multipartisme avec l’organisation des élections pluralistes en 1992, c’est la première fois que Paul Biya tarde à redistribuer les  cartes après une élection municipale ou législative. Généralement, deux mois au plus après les échéances électorales, il réaménage le gouvernement, récompense ses «généraux » qui ont bien mouillé le maillot, se sépare d’autres qui n’ont plus rien à apporter. A la même occasion, il convie d’autres alliés politiques - officiellement de l’opposition - à ce banquet national. C’est dans ce cadre que le Mdr, l’Undp, l’Upc etc se sont retrouvés dans des gouvernements successifs du Renouveau, assumant ainsi son bilan. Dans tous les cas, ce partage du gâteau après un scrutin est devenu au Cameroun, une tradition politique, un rendez-vous très attendu par l’opinion convaincue qu’il s’agit là d’une loi non écrite. Chacun attend la fumée blanche qui sortira d’Etoudi. C’est sans compter sur un Paul Biya jaloux de son statut de faucon et de maître incontestée du jeu politique au Cameroun. Le suspense dure depuis plus de cinq mois. Trop au goût de beaucoup.  

SUPPUTATIONS

Et comme la scène politique a horreur du vide, le débat politique est actuellement alimenté dans les coulisses par le projet d’instauration d’un poste de vice-président de la République. Ces soupçons, prêtés au chef de l’Etat, montrent que, quels que puissent être ses efforts, il lui sera difficile d’évacuer la problématique de sa succession jusqu’au jour où, il aura définitivement quitté le pouvoir. Il montre que, bien qu’il lui reste encore des années de mandat et beaucoup de projets pour le Cameroun, toutes les réflexions politiques sont orientées vers l’après-Biya. 

Autrement, quelques mois seulement après l’installation du Sénat dont le président est le dauphin constitutionnel du chef de l’Etat, pourquoi supputer encore sur une éventuelle instauration d’une vice-présidence ? «S’il avait un nom en tête, pourquoi ne l’avoir pas mis à la tête du Sénat ? La vice-Présidence va alourdir le fonctionnement du pays», regrette un ancien ministre. Peut-être que dans ce cas, le vice-président aura la lourde charge de terminer le mandat présidentiel si jamais l’indisponibilité du chef de l’Etat, pour une raison ou une autre, venait à être constatée. Donc, plus de période transitoire. 

Les analystes politiques ne savent plus où donner de la tête. Plus d’une fois, ils ont été pris à revers par le chef de l’Etat. Ils ont pronostiqué un remaniement avant la fin de l’année 2013 et toujours rien. Déjà, peu de temps avant, personne n’avait vu venir Marcel Niat Njifenji à la tête du Sénat… «Avec Biya, rien n’est impossible. C’est d’ailleurs ce qui est impossible qui devient possible chez lui. Si vous cogitez pour essayer de donner un sens à ses actions, vous aurez tout faux. La seule logique politique qui vaille, est la sienne. Il ne se soucie pas de ce qu’en dira-t-on. A partir de là, il peut très bien instaurer cette vice-présidence», explique un de ses anciens collaborateurs aujourd’hui incarcéré dans le cadre de l’Opération épervier. 

En distillant dans l’opinion ce projet d’instauration d’un poste de vice-Président, le chef de l’Etat aiguise les appétits et s’assure de la docilité d’une classe politique friande des titres et des avantages divers. L’idée d’un poste de vice- Président, avancée lors de la modification de la Constitution en 2008, avait par exemple créé de graves agitations dans la classe politique du Grand-Nord, d’abord réticente en privé à toute modification avant d’opérer un volte-face intéressée. Elle croyait non seulement que cette vice-Présidente allait effectivement être instaurée mais mieux, que ce titre, antichambre du pouvoir pensaitelle alors, allait échoir à un originaire de cette région… Hélas, la récompense n’a pas suivi. Depuis, le chef de l’Etat a montré qu’il se méfiait des hommes politiques du Grand Nord qu’il tient désormais à distance. Il a brisé la colonne nordiste avec une telle efficacité que sa classe politique est réduite à miser sur la chance. 

«Le Président ne peut pas choisir un originaire du Grand Nord à ce poste s’il venait à demander sa création. Il s’acharne à nous éloigner le plus loin possible du pouvoir, pourquoi nous mettre dans son anti-chambre. Tous ceux qui avaient une certaine épaisseur politique sont hors-jeu. Avant que Sadou Hayatou ne sombre dans la maladie, il l’avait déjà marginalisé. Marafa, il l’a embastillé. Ali ou Cavaye sont aujourd’hui en proie au doute. Il fait émerger Alamine et autres Abba Sadou pour leur compétence mais il sait très bien que ce ne sont pas des politiques qui peuvent rassembler au-delà de leur propre département», analyse un proche de Marafa Hamidou Yaya. 

CANDIDATURES

Nonobstant ces considérations, certains ne désespèrent pas de voir non seulement le poste instauré, mais encore qu’il tombe dans l’escarcelle d’un fils ou d’une fille du Grand Nord. L’expérience de Niat Njifenji montre que le chef de l’Etat n’est pas partisan d’un dauphin en bonne santé, à l’énergie débordante. En s’appuyant sur cette donnée, l’homme dont la candidature aurait le plus de chance de prospérer est Hamadjoda Adjoudji. Proche du chef de l’Etat depuis de longues années, l’actuel secretaire général adjoint du comité central du Rdpc est un des fidèles parmi les fidèles. Son poids politique n’est pas considérable et, avantage suprême, cet originaire de Mayo-Banyo dans l’Adamaoua est depuis quelques années un grand malade. 

Le chef de l’Etat peut aussi, dans une pirouette dont seul il a le secret, se tourner vers la région de l’Extrême-Nord, une de ses meilleures gâchettes électorales depuis plusieurs années. Amadou Ali, vice-Premier ministre et Ayanc Luc, président du conseil économique et social ont les faveurs des pronostics. Il peut aussi, dans sa quête permanente de surprendre l’opinion, se tourner vers un homme expérimenté, en réserve de la République depuis de nombreuses années : le ministre d’Etat Youssoufa Daouda. Handicapée par «l’affaire Marafa Hamidou Yaya», la région du Nord ne se fait pas beaucoup d’illusions sur la place qui est la sienne dans le coeur du chef de l’Etat. Toutefois, elle mise sur la candidature de Mme Yaou Aïssatou, au cas où le Président décidait de jeter son dévolu sur une femme. 

Cameroun : Les jokers du Grand-Nord pour la vice-présidence

 

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Nous traquerons désormais des réactions comportant des injures et, à chaque réaction malveillante, nous n'hésiterons pas à bannir définitivement et sans recours les auteurs tout en les excluant sans réserve de notre base de données.

 
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5 février 2014 3 05 /02 /février /2014 08:07

Afrique: Rapatrier les capitaux illicites pour une renaissance de l’Afrique :: AFRICA

Afrique:Camer.beLes transactions financières illégales (IFT) du continent africain demeurent un obstacle au développement. Certains de ces capitaux sont empesés dans des comptes bancaires à l'étranger avec la complicité de fonctionnaires corrompus du gouvernement des Etats africains. Selon la Fondation Mo Ibrahim, dans une publication de 2013 : de 1980 à 2009, l'Afrique était un créancier net au monde, avec une perte de capitaux à hauteur d'environ 1400 milliards de dollars. 

L’Afrique centrale, l’Afrique du Nord et l’Afrique de l'Ouest ont connu une fuite annuelle de 30,4 millions de dollars durant la période de 2000 à 2009. Il est essentiel de regarder le top 5 des États d'Afrique avec le plus grand IFT par habitant. Il est également important d'examiner en termes de volume, le top 5 des États africains avec le plus grand IFT cumulé au cours de la période de 2000 à 2009. En pourcentage du produit intérieur brut (PIB), il est aussi important d'examiner les cinq Etats avec le plus grand IFT cumulatif 1980-2009, avant de suggérer comment les IFT peuvent être freinées pour rendre le continent plus développé en 2014.

L’indice d’Intégrité Financière Globale en 2013 de la Banque africaine de développement (BAD) indique que les cinq principaux États africains avec le plus grand IFT par habitant sont le Botswana, la Guinée équatoriale, le Gabon, la Libye et les Seychelles. En termes de volume, le top 5 États africains avec le plus grand IFT cumulé au cours de la période 2000-2009 étaient l'Algérie, l'Egypte, la Libye, le Nigeria et l'Afrique du Sud. En pourcentage du PIB le top 5 des pays avec le plus grand IFT cumulatif 1980-2009 étaient le Tchad, le Congo, Djibouti, la Guinée équatoriale et les Seychelles. 

Dans la plupart de ces États, en particulier les pays riches en ressources naturelles, le secteur des ressources naturelles se trouve être la principale source des IFT. L’exploration de pétrole et de gaz ainsi que les industries minières et forestières en Afrique sont touchées par les IFT. Dans les États africains pauvres en ressources naturelles, IFT émane généralement de la mauvaise évaluation du commerce par les entreprises de toutes tailles. La corruption dans le secteur des marchés publics reste aussi un facteur qui alimente l'IFT. Ces pratiques frauduleuses comprennent des activités graves de blanchiment d'argent. Les administrations centrales des États africains sont généralement au courant de ces transactions illicites, surtout que les plus hauts fonctionnaires du gouvernement sont impliqués dans ces malversations. Ceux qui sont les plus touchés par l'IFT sont les masses de pauvres d'Afrique qui n'ont pas un mot à dire dans ces opérations. La majorité des pauvres africains se trouvent obligés d’en payer le prix en subissant un lourd fardeau fiscal.

Il est donc essentiel qu’en 2014, la communauté internationale, les gouvernements nationaux en Afrique et à l'étranger, le secteur privé à l’intérieur du pays et dans la diaspora, les universités et les groupes de réflexion, prennent le taureau par les cornes et changent le statu quo. Repenser soigneusement, à travers une stratégie, la façon dont les fonds portés disparus dans des comptes bancaires à l'étranger, particulièrement les comptes suisses, peuvent être rapatriés vers l'Afrique peut être une première étape à franchir.  

Les suggestions de politiques pour mettre fin aux IFT peuvent également inclure des accords pour éviter la double imposition (DTAA) et d’autres pour les échanges automatiques de renseignements fiscaux (AEI). L'Afrique a besoin aussi d'une réforme complète de ses services de douane et des initiatives sérieuses de lutte contre le blanchiment d'argent. Il est également important que la corruption soit freinée dans la gestion des marchés publics. Les activités des multinationales impliquées dans l'exploration de pétrole et de gaz ainsi que dans les secteurs des mines et de la foresterie en Afrique doivent être encouragées, mais pas au détriment des Africains ignorants et pauvres. Il est donc essentiel pour les gouvernements centraux de s’assurer que ces multinationales ne sont pas impliquées dans le blanchiment d'argent et des IFT. Outre les suggestions mentionnées ci-dessus, la décentralisation administrative et financière efficace des ressources financières et humaines dans les États africains est également pertinente pour freiner les IFT. Si les gouvernements africains prennent certaines de ces suggestions en considération alors freiner les IFT peut devenir une réalité sur le continent.

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5 février 2014 3 05 /02 /février /2014 08:04

Cameroun:MTN baisse le prix des communications téléphoniques à 45 FCFA la minute :: CAMEROON

MTN Cameroon:Camer.beLe leader des télécommunications rend la téléphonie mobile encore plus accessible pour tous.MTN Cameroon, leader du marché camerounais des télécommunications annonce le lancement le 04 février 2014, de la nouvelle offre de valeur qu’elle propose à ses abonnés. Cette nouvelle offre de valeur est constituée de plans tarifaires révolutionnaires qui permettront aux abonnés MTN de téléphoner plus longtemps et à moindre coût.

L’offre MTN Elite est le premier plan tarifaire dévoilé au public dans le cadre de cette nouvelle proposition de valeur. Elle baisse le prix des communications à 45FCFA la minute sur le réseau MTN ; portant ainsi le coût de la téléphonie mobile à un niveau très accessible et défiant toute concurrence sur le marché camerounais des télécommunications.

L’offre MTN Elite est simple d’utilisation. Elle propose de nombreux avantages aux abonnés notamment:

* des Tarifs dégressifs. Le coût de la minute pour les appels MTN vers MTN baisse au fur et à mesure que le temps d’appel augmente. La première minute d’appel de la journée coûte 90F/mn vers les numéros MTN ; toutes les autres minutes d’appel de la journée sont facturées à 0,75F/seconde ;

* des Appels internationaux à 0,75F/seconde vers 15 destinations: Chine, USA, Canada, Inde, Angleterre, France, Nigeria, Espagne, Brésil, Portugal, Malaisie, Corée du Sud, Suède, Belgique, Allemagne ;

* la réception gratuite d’appels à l’étranger en roaming sur le réseau MTN ;

* un Bonus data. L’abonné reçoit gratuitement 100MB de connexion internet lorsqu’il a consommé un minimum de 7500FCFA de crédit de communication le mois. Ce bonus offert est valable 30 jours ;

Le plan tarifaire MTN Elite est conçu pour répondre aux besoins de communication des abonnés habitués à émettre des appels locaux de longue durée et des appels internationaux. Les abonnés MTN Elite peuvent bénéficier de l’accès gratuit au service de conciergerie et au programme de fidélité MTN Prestige.

Le plan tarifaire MTN Elite est libre et facilement accessible ; il suffit juste de composer le numéro *170*6#.

D’autres plans tarifaires viendront très bientôt compléter cette nouvelle offre de valeur qui permet aux abonnés MTN d’entrer dans le Nouveau Monde.

Selon Ibrahim Abba Gana, Directeur Marketing de MTN Cameroon, « avec cette nouvelle Proposition de Valeur, MTN renouvelle sa promesse d’offrir aux Camerounais des solutions simples, innovantes et accessibles pour répondre à leurs besoins de communication. L’année 2014 sera pleine d’heureuses nouvelles pour les abonnés MTN ».

A propos de MTN Cameroon. Fournisseur de solutions de communication et de services de paiement mobile installé au Cameroun depuis février 2000, suite au rachat de Camtel Mobile. MTN Cameroon comptait 8,2 millions d’abonnés au 30 septembre 2013 avec près de 57% de parts de marché, et se classe parmi les 5 entreprises les plus importantes du Cameroon.

En 13 années d’activité, MTN Cameroon a investi près de 500 milliards de francs CFA dans le développement d’un réseau de télécommunications moderne et étendu constitué d’un millier de stations relais qui lui assure une présence ininterrompue dans les 10 régions du pays.

Contact presse: Massey Bongang, Corporate Communication Manager, MTN Cameroon, Tél + 237 77551115 E-mail: njiti_n@mtncameroon.net

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