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24 juillet 2014 4 24 /07 /juillet /2014 20:25

Crash de l'avion Air Algérie : 116 passagers, dont 1 Camerounais :: ALGERIA

Air Algérie:Camer.beUn responsable de l’aviation algérienne vient d’annoncer sur une chaîne de télévision d'Etat algérienne que l’avion s’était écrasé. Pour le moment, le lieu du crash n’a pas été précisé. La chaîne de télévision privée algérienne Elnahar quant à elle annonçait que l’avion se serait écrasé au Niger. A l’inverse, selon certaines sources onusiennes basées à Tombouctou relayées par l’agence presse DPA, l’avion se serait écrasé au centre du Mali. C’est cette piste qui est privilégiée selon une carte rendue publique par des reponsables burkinabés qui montre le lieu précis du crash.

Selon des données révisées, l'avion transportait 116 passagers.

Cet avion d'Air Algérie effectuant un vol conjoint avec l'espagnol Swiftair a disparu des écrans radars 50 minutes après son décollage d'Ouagadougou, au Burkina-Faso.

La télévision algérienne a ensuite annoncé à 15h 30, heure belge que l'avion s'était écrasé près de la capitale du Niger, sans laisser de survivants.

Une dizaine de nationalités différentes étaient à bord de cet avion dont 50 Français, 24 Burkinabè, 6 Espagnols, 4 Allemands, 6 Algériens, 5 Canadiens, 2 Luxembourgeois, 1 Malien, 1 Nigérien, 1 Camerounais, 8 Libanais, 1 Ukrainien, 1 Roumanie, 1 Belge

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24 juillet 2014 4 24 /07 /juillet /2014 20:21

 

 


La compagnie aérienne nationale Air Algérie a annoncé, ce jeudi, avoir perdu le contact avec l’un de ses avions parti vers 7 heures du matin de Ouagadougou.

Après Air Malaysia, c’est au tour d’Air Algérie de perdre le contact avec l’un de ses avions. L’appareil avait décollé ce jeudi matin de Ouagadougou, au Burkina Faso, et devait rejoindre Alger. Mais pour une raison inconnue, moins d’une heure après son décollage, la compagnie aérienne nationale Air Algérie a annoncé avoir perdu contact avec le vol AH5017.

« Les services de navigation aérienne ont eu leur dernier contact avec le vol AH 5017 assurant la liaison Ouagadougou-Alger ce jour 24 juillet à 1 heure 55 minutes GMT, soit 50 minutes après son décollage », a annoncé Air Algérie dans un communiqué, selon l’agence APS.

Un « plan d’urgence » a été mis en place, selon la compagnie. Une source au sein de la compagnie a indiqué que l’appareil en question est un DC9, affrété par Air Algérie auprès d’une compagnie espagnole dont elle n’a pas divulgué le nom.

Selon un membre de la compagnie, 110 passagers et 6 membres d’équipage se trouvaient à bord de l’appareil

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24 juillet 2014 4 24 /07 /juillet /2014 20:18

Abidjan - Le chef du Haut-conseil d’administration de "SOS Etranger MIDH" (Mouvement international des droits humains) a appelé la communauté internationale à plus d’assistance en faveur des étrangers prisonniers dans les pays d’accueil, lors d’une conférence prononcée mercredi au Centre de recherche et d’action pour la paix (CERAP), à Cocody, en présence du directeur de l’Administration pénitentiaire.

"Nous pensons qu’à partir du moment où la survie des organisations humanitaires des Nations Unies, notamment le PAM (Programme alimentaire mondial), MSF (Médecins sans frontières), le CICR (Croix-Rouge et Croissant rouge), dépend des cotisations des Etats membres, ces structures sont redevables aux ressortissants de ces pays en situation de d’étranger-prisonnier. Elles se doivent donc d’apporter plus d’assistance", a déclaré Elimane Mario Ndecky.

M. Ndecky qui a estimé que le recouvrement de la dignité de l’étranger-prisonnier qui souffre du "mal d’être un étranger", répond au tryptique social, judiciaire et moral, a annoncé la création d’un logiciel Ndecky, en vue de répertorier "tous les citoyens d’un Etat, prisonniers dans un autre Etat".

"Nous avons besoin de 34 ordinateurs pour doter les prisons ivoiriennes à ce sujet", a-t-il ajouté.

Saluant la collaboration "franche" des autorités ivoiriennes, le HCA de "SOS Etranger MIDH" entend faire de la Côte d’Ivoire, le point de départ d’une chaîne de solidarité au bénéfice des étrangers en difficulté.

"Au regard des difficultés rencontrées ailleurs, Abidjan va servir d’exemple pour booster la sensibilisation sur la responsabilité des pays dans la résolution des problèmes de leurs ressortissants résidents dans les autres pays", a-t-il conclu.

"SOS Etranger MIDH" qui a pour objectif de défendre la cause des étrangers dans le monde, vise, à travers son programme MAEFP (Mission d’assistance à l’étranger fait prisonnier), à créer un contact direct et permanent avec tous les étrangers prisonniers tout en leur portant une assistance sociale, judiciaire et morale.

Le thème de la conférence était "L’avenir des étrangers dans nos nations au regard de la mondialisation".


 

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24 juillet 2014 4 24 /07 /juillet /2014 20:14

 

 






Alors que les autorités algériennes ne communiquent toujours pas à propos de la disparition d’un avion d’Air Algérie, la théorie de l’attentat est évoquée en France, même si celle du crash reste la principale piste.

Des observateurs français s’étonnent de la rapidité avec laquelle le vol AH5017 de la compagnie nationale Air Algérie a disparu ce jeudi matin, 50 minutes après son décollage de Ouagadougou, au Burkina Faso.

« Les services de navigation aérienne ont eu leur dernier contact avec le vol AH 5017 assurant la liaison Ouagadougou-Alger, ce jour 24 juillet, à 1 heure 55 minutes GMT, soit 50 minutes après son décollage », indique un communiqué de la compagnie aérienne.

Alors que pour l’heure la thèse météorologique est la plus envisageable, certains observateurs français évoquent la thèse de l’attentat, à l’image de Jean Serrat, ancien commandant de bord qui s’exprimait ce jeudi sur I-Télé. « A titre personnel, je trouve très peu crédible l’histoire d’un nuage particulièrement actif », a-t-il déclaré. Cet ancien commandant de bord est perplexe face à la soudaineté avec laquelle les contacts radios ont été coupés.

Selon une carte météorologique peu précise, Jean Serrat remarque une masse nuageuse au dessus du Burkina Faso, mais pas de front tropical très actif dans la zone de Gao, où se serait écrasé l’avion. Il se murmure qu’un attentat pourrait avoir eu lieu à l’intérieur de l’appareil.

« Malgré des recherches intensives, aucune trace de l’appareil n’a encore été retrouvée. L’avion s’est probablement écrasé. Les recherches se concentrent à ce stade sur une vaste zone du territoire malien, dans la région de Gao », a indiqué pour sa part le chef de la diplomatie française, Laurent Fabius. Deux mirages 2000 de l’armée française au Mali effectuent actuellement des vols de reconnaissance dans cette zone.

Côté Algérien, le gouvernement ne communique que très peu, comme à chaque situation de crise d’ailleurs. Les informations ne filtrent que toutes les 2 à 3 heures, et de façon partielle.

L’avion transportait 116 passagers, dont six membres d’équipage. Au total, 14 nationalités voyageaient à bord de ce vol, parmi lesquelles une cinquantaine de Français et au moins six Algériens.

 

 

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24 juillet 2014 4 24 /07 /juillet /2014 20:07

Algérie:Air Algérie a perdu le contact avec le vol AH5017 :: ALGERIA

Air Algerie:Camer.beL'appareil était parti ce jeudi de Ouagadougou, au Burkina Faso, et devait rejoindre Alger. Mais moins d'une heure après son décollage, la compagnie publique algérienne a perdu son contact. Air Algérie a perdu ce jeudi le contact avec un de ses avions parti de Ougadougou, capitale du Burkina Faso, et devant rejoindre Alger. Pour une raison pour l'instant inconnue, les services de navigation aérienne n'ont plus eu de liaison avec l'appareil 50 minutes après son décollage.
 
"Air Algérie informe que les services de navigation aérienne ont eu leur dernier contact avec le vol AH 5017 assurant la liaison Ouagadougou-Alger ce jour 24 juillet à 1 heure 55 minutes GMT (3 heures 55, heure française), soit 50 minutes après son décollage", précise un communiqué. L'avion aurait dû atterrir ce jeudi depuis 4 heures 40 (6 heures 40), si l'on se fie aux informations du site Flightradar24.
 
La compagnie a mis en place un "plan d'urgence", selon le texte. Selon son site internet, Air Algérie assure quatre vols par semaine vers Ouagadougou, dont un jeudi au départ de la capitale. 

Une source au sein de la compagnie a indiqué que l'appareil en question est un DC9, affrété par Air Algérie auprès d'une compagnie espagnole dont elle n'a pas divulgué le nom. Aucune information sur le nombre de passagers n'a encore été divulguée. 

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23 juillet 2014 3 23 /07 /juillet /2014 20:28

Cameroun - Raymond Kalla Nkongo : “Les dirigeants sont les premiers responsables” :: CAMEROON

Cameroun,Cameroon - Raymond Kalla Nkongo : “Les dirigeants sont les premiers responsables”Le double champion d’Afrique 2000 et 2002 pose le diagnostic de la situation des Lions Indomptables et fait des propositions pour un meilleur avenir du football camerounais.

Vous êtes un ancien Lion Indomptable des années 2000, avec tout ce que vous avez remporté comme titres. Quelle appréciation faites-vous de la prestation des Lions Indomptables à la dernière Coupe du Monde ?
Quand on me pose certaines questions sur le football camerounais, ça me fait rigoler. Ce n’est pas aujourd’hui que le football camerounais va mal. Ça date de longtemps. Les défaites récentes font que les gens se rendent compte que le football va mal. A l’époque, les victoires masquaient les tares du football camerounais. Aujourd’hui, le mal est visible et tout le monde le voit. Il y a des choses à faire et beaucoup à faire d’ailleurs pour que notre football puisse aller de l’avant (…) J’ai eu très mal. On a été déçu. Mais, il ne faut pas lancer la pierre aux joueurs. Ce n’est pas que je les dédouane complètement. Ils ont leur part de responsabilité aussi, parce que c’est eux qui sont sur le terrain. Mais, les premiers responsables de cette situation, ce sont les dirigeants, ceux qui dirigent le football camerounais.

Vous ne pouvez pas me dire qu’une équipe se qualifie sept à huit mois avant la compétition et pendant tout ce temps on ne parvient pas à discuter pour arrêter les différentes primes. Et on attend la veille de la compétition pour évoquer la question des primes. Cette affaire des primes a suffisamment affecté les joueurs et je pense que ce sont les dirigeants qui sont les premiers responsables de ce qui est arrivé en Coupe du Monde.

Que faut-il, selon vous, faire pour que ce football camerounais se relève ?
Il y a beaucoup de choses, sur le plan administratif, de l’organisation et techniquement. Tout le monde se focalise sur l’équipe nationale en oubliant que l’équipe nationale commence par le football de base, le football des jeunes à organiser. C’est le socle. Il faut bien se demander par qui va-t-on remplacer ceux qui jouent à l’équipe nationale aujourd’hui. Il va falloir reconstruire par le football des jeunes sans avoir forcément besoin que les résultats suivent immédiatement comme avant. Il faut commencer par cette base et se dire qu’on se donne quatre voire six ans pour que ce football puisse retrouver son niveau d’hier.

A la suite de cette débâcle des Lions, le chef de l’Etat a demandé qu’on lui fasse la lumière et des propositions pour la relance du football camerounais. Avez-vous été approché pour cela ?
C’est le premier supporter des Lions. C’est un monsieur qu’il faut féliciter, parce que même à notre époque il était toujours présent. Et c’est encore le gouvernement qui  est intervenu pour que les joueurs partent au Brésil. Il est de son droit de demander des comptes, parce que l’image qu’on a laissée n’a pas été bonne et c’est notre pays qui a été mal vu de par le monde.

Le problème est-il celui des clans, des dirigeants ou de l’environnement de cette équipe ?
J’entends dire que le championnat camerounais est professionnel. Je dis non. Et ces dirigeants ont affaire à des joueurs qui sont dans un environnement professionnel dans de grands clubs, qui voient les choses autrement. Et lorsqu’ils se retrouvent dans cet amateurisme, ils sont gênés. En 2000 ou 2002, nous avions encore cet amour pour le pays. Rien que chanter l’hymne national de notre pays, nous ajoutait un plus. Je sais d’où je viens, parce que j’ai d’abord joué au pays et je pouvais m’accommoder à cet amateurisme. Aujourd’hui, c’est un peu différent, parce qu’il y en a qui n’ont pas joué au pays et une fois arrivé ici, ils trouvent que rien n’a changé. On ne peut pas continuer comme ça. Il faut que les gens qui dirigent ce football changent pour qu’on aille de l’avant.

Qu’est-ce qui faisait la force des joueurs de votre époque, qui ont gagné deux Coupes d’Afrique et qui ont été finalistes de la Coupe des Confédérations 2003 ?
Si je prends mon cas particulier, je dois dire qu’il y avait de grands talents à l’époque. Et quand on est appelé à jouer pour son pays, on essaye d’oublier tous les problèmes personnels pour donner le maximum de soi. Je dirais aussi qu’à l’époque, beaucoup parmi nous jouaient ici au pays avant d’être appelés en équipe nationale. Ce qui  est le contraire aujourd’hui. Nous avons joué au quartier d’abord avant de jouer en championnat et certains stades faisaient 15 à 20 000 spectateurs pour un match. Et quand vous regardez le championnat d’aujourd’hui, vous voyez des matchs avec 200 spectateurs. Je pense qu’il y a beaucoup à faire pour retrouver le football d’antan.  

Depuis que vous avez quitté l’équipe nationale, avez-vous gardé des contacts dans cette sélection ?
Je n’ai pas d’ennemi. Même quand je jouais. Je suis ami avec tous ceux qui ont joué avec moi, les aînés aussi. On s’appelle constamment. Je suis toujours en contact avec tous ces joueurs.

S’il faut trouver un médicament pour guérir ce grand malade qu’est le football camerounais, que proposeriez-vous ?
J’ai eu honte pour mon pays de voir ce que produisaient les joueurs en Coupe du Monde. Peut-être que les joueurs faisaient des efforts et ça ne donnait rien. Au regard  de l’environnement de cette équipe, il y a beaucoup à faire. Il faut commencer par le football de base. Il faut mettre sur pied des projets à long terme.

Pour revenir à ce qui s’est passé avant la Coupe du Monde, les joueurs ont refusé de prendre le drapeau. Comment avez-vous perçu ça ?
Je n’étais pas au Cameroun. Et chacun dit ce qu’il pense. Mais, personnellement, je ne refuserais pas de prendre le drapeau de mon pays. Je ne veux pas rentrer dans ce débat, parce que je ne sais pas ce qui a précédé cela. Je n’aime pas dire des choses que je ne connais pas.

Qu’est devenu Raymond Kalla après le football ?
Je suis resté la même personne. Je suis là. Je ne connais que le football. Je ne peux pas vous dire que je suis médecin. Aujourd’hui, je fais dans le management. Et il y a quelques années, j’ai passé mes diplômes d’entraîneur de football.

Et pourquoi n’entraînez-vous pas ?
Pour le moment, je prends un peu de recul pour deux ou trois ans encore. Entraîner nécessite du temps. Pour le moment, je passe du temps avec ma famille.  

Quel est votre avis sur la débat qui a cours où on dit qu’il faut laisser le football être géré par les footballeurs ?
Le football pas seulement aux footballeurs. Vous voyez que dans notre championnat, ce sont les présidents de clubs qui souffrent en mettant de leur argent sans rien avoir en retour. C’est vrai que certains parmi nous ont été en Europe et ont du vécu. Et donc, il faut les associer. Mais, ces anciens footballeurs sont divisés avec une multitude d’associations et évoluent en rangs dispersés.

Quelle est la position de Raymond Kalla à ce sujet ?
Je ne vois pas pourquoi on devrait se batailler entre nous. Il y a un syndicat de footballeurs qui existe où il faut adhérer pour aller tous dans la même direction pour discuter et sauver notre football. Qu’on arrête de se lancer les pierres.

Seriez-vous prêt si on vous sollicitait pour apporter votre expertise pour relever ce football sur le plan technique ou administratif ?
Je dois vous dire que le Cameroun m’a beaucoup apporté et tout donné. J’ai eu la chance de jouer dans cette équipe nationale et d’apporter à mon pays des lauriers. J’ai pu signer des contrats à l’étranger pour avoir joué avec cette équipe nationale. Si aujourd’hui je suis appelé à rendre tout ce que j’ai reçu de ce pays, donner aussi la possibilité aux jeunes qui ont choisi le football d’avancer, je ne vais pas réfléchir.

Quels conseils donnez-vous aux jeunes qui veulent progresser dans le football ?
Le métier de footballeur est très difficile. Il faut des sacrifices énormes. Etant ici au pays, j’ai tellement galéré ; j’habitais Bonabéri et j’allais à pied m’entraîner à la Base Elf avec l’espoir d’avoir 50F à la fin de l’entraînement. Parfois les dirigeants ne donnaient pas ces 50F et j’étais obligé de retourner à pied avec toute la fatigue et sans être sûr de trouver à manger à la maison. Il fallait se sacrifier. Je n’allais pas en boîte de nuit, je n’avais pas de « petites », comme les jeunes footballeurs d’aujourd’hui. Tout cela a payé, parce que j’ai eu la chance de jouer en Europe. Et aujourd’hui, je peux sortir quand je veux, aller où je veux, m’amuser quand je veux, faire ce que je veux parce que je n’ai pas fait cela étant jeune et j’ai des possibilités pour le faire. Je demande aux jeunes de ne pas mettre dans leur esprit l’argent quand on veut jouer au football. Celui qui le fait ne réussira pas. Sauf qu’en se sacrifiant, il faut aussi savoir que dans le football, il y a le facteur chance, parce qu’on peut être bon sans réussir, être mauvais et avoir la chance d’évoluer. La meilleure des choses est de beaucoup travailler aux entraînements, être discipliné et avoir une bonne hygiène de vie.

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23 juillet 2014 3 23 /07 /juillet /2014 20:24

Cameroun: Incident majeur sur le réseau électrique la nuit dernière : AES-SONEL précise. :: CAMEROON

Communique:camer.beDurant la nuit dernière, une partie  de la ville de Douala a été plongée dans le nuit. Cette situation a duré pendant près de 4 heures d’horloge  et a crée des désagréments graves au sein des ménages .  La panique s’est emparée de la ville. A  Deido, l’un des quartiers les plus chauds de la ville, les populations on vidés les maisons vers la  rue de la joie par crainte d’agressions  nocturnes. Les Bars et les gargottes ont été pris d’assaut. On a même redouté le pire et spéculé sur une prise de la ville par le Boko Haram Dans un communiqué parvenu à la rédaction,  AES-SONEL donne des précisions sur la situation.

AES-SONEL  précise

«  AES-SONEL informe son aimable clientèle qu'un incident technique d'origine non localisée,  survenu mardi nuit à 20h25 sur l'une des principales lignes de transport Haute tension qui relie  le barrage hydroélectrique de Songloulou au centre de commandement de son réseau à Mangombe, a provoqué une rupture générale du service dans le réseau inter connecté Sud du Cameroun.  Afin d'assurer un retour progressif à la normale, les équipes des centrales hydroélectrique d'Edea et thermiques de Dibamba et de Kribi se sont mobilisées rapidement pour réalimenter en priorité les villes de Douala et de Yaoundé,  notamment les services sensibles.  

Les Directeurs du réseau et de la Gestion du réseau de transport animent depuis mardi nuit une cellule de veille en vue de s'assurer de la maitrise totale de la situation et de déterminer les causes exactes des deux incidents majeurs enregistrés en 48h sur cette ligne Songloulou-Mangombe N° 1. La ligne a ainsi été placée sous  vigilance renforcée.  AES-SONEL présente ses profonds regrets à ses clients pour cette situation inconfortable et s'engage à tout mettre en œuvre pour assurer la continuité du service sur l'ensemble du territoire.  Pour plus d'informations, visiter le site web www.aessoneltoday.com ou appeler la ligne d'assistance d'AES-SONEL au numéro court et unique 8010 »

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23 juillet 2014 3 23 /07 /juillet /2014 20:21

Gabon - Etat-civil d’Ali Bongo : le «Front de l’opposition pour l’alternance» entend saisir la justice :: GABON

Gabon - Etat-civil d’Ali Bongo : le «Front de l’opposition pour l’alternance» entend saisir la justiceEstimant que lors de la présidentielle d’août 2009, le président de la République avait présenté «un acte de naissance dont l’authenticité et la sincérité sont sujettes à caution», la toute nouvelle plateforme de l’opposition annonce vouloir porter la question devant les tribunaux.

Ils étaient nombreux, jeunes, moins jeunes et personnes âgés à répondre présent et à accompagner Benoît Mouity Nzamba, Jean Marcel Malolas, Fulbert Mayombo, Albert Mba-Ndong, Pierre Amoughe Mba, Luc Bengono Nsi, Jean Ntoutoume Ngoua, Jean Pierre Rougou, Pierre André Kombila, Paulette Missambo, Casimir Oyé Mba, Zacharie Myboto, Jean Eyéghé Ndong, Jacques Adiahénot, Jean Ping, dans leur souscription à libérer le Gabon de «l’imposture» d’Ali Bongo Ondimba.

Selon l’unique orateur du jour, Jacques Adiahenot, le Gabon est victime de la forfaiture d’Ali Bongo Ondimba un homme qui, selon lui, réécrit régulièrement lorsqu’il ne falsifie pas son histoire personnelle et politique.

«Cette personnalité, dont chacun doit se souvenir qu’elle œuvra en 1986, sous le prétexte d’Akoma-Mba, pour transformer la République Gabonaise en une monarchie dont elle aurait été le prince héritier, et ensuite le roi, n’a de leçon à donner à personne, car cette démarche entreprise par lui, à l’époque, n’a rien de républicaine !», a-t-il lancé, soulignant : «Né en 1959 à Brazzaville, à l’époque capitale du territoire de l’Afrique équatoriale française, Ali Bongo Ondimba a produit en 2009 un extrait d’acte de naissance avec la mention République gabonaise, alors que le Gabon n’était pas encore une République, mais un territoire de l’AEF». Et d’annoncer : «Nous sommes fondés à porter l’affaire de cet extrait de naissance en justice pour ne pas avoir sous notre conscience un forfait aussi grave». «Notre action de ce jour doit être comprise comme un acte de foi dans un Gabon nouveau, débarrassé d’un passé peu glorieux et dans lequel nous nous sentirons tous impliqués et concernés», a-t-il encore dit.

Quelques minutes avant, Jacques Adiahenot, invitant la population à un sursaut patriotique, a martelé : «Notre pays se trouve dans une situation d’une extrême gravité qui interpelle sans exclusive toute les Gabonaises et tous les Gabonais. Nous ne devons pas continuer à nous comporter et à agir comme si cette situation était normale. Notre responsabilité à tous, celle de chacun de nous est de nous lever comme un seul homme pour faire échec à ce chaos déjà perceptible».

En énumérant ce qui constitue pour l’opposition gabonaise les exactions du parti au pouvoir depuis octobre 2009 et qui participent progressivement au basculement du pays vers la «monocratie», il est revenu sur la modification de l’article 4 de la Constitution. Selon lui, aux termes de la nouvelle formulation, la Cour constitutionnelle peut dorénavant «proroger pour une durée laissée à sa discrétion la durée du mandat du président de la République». Il a aussi évoqué la dissolution de l’Union Nationale, la modification de la loi 24/96 sur les partis politiques, «la campagne médiatique haineuse orchestrée par le pouvoir contre une communauté ethnique en réaction aux démissions de Jean Ping et de Jacques Adiahénot».

Selon le porte-parole du Front uni pour l’opposition, les prochaines heures seront mises à profit pour l’organisation d’une tournée nationale d’explication et d’échange, mais aussi pour s’accorder sur un planning d’action, réfléchir sur un modèle de structuration de ce bord politique tout en tenant compte de ses forces et de ses nombreuses faiblesses, dans l’optique de parvenir à une stratégie commune et une candidature unique à la présidentielle de 2016. «Il y a urgence à agir pour donner au Gabon toutes les chances d’éviter le drame qui le guette.

Plus que jamais, la mobilisation, le rassemblement et l’unité des filles et des fils de notre pays sont une impérieuse nécessité. La proximité des prochaines élections présidentielle et législatives nous commande d’agir dans l’urgence car, le risque est grand que l’organisation de celles-ci, comme les précédentes, présente de grands dangers pour la stabilité du Gabon, si rien n’est fait pour leur donner un caractère démocratique», a-t-il lancé. Pour lui, «la prochaine élection présidentielle prévue pour 2016 sera mal organisée et volontairement bâclée avec pour seul objectif d’assurer le maintien du pouvoir établi».

Désireux de donner un sens nouveau à leur démarche, l’ancien secrétaire général du PDG, passé à l’opposition, s’est voulu prospectif : «Ce que nous faisons aujourd’hui à la lumière de ce Front, est un témoignage pour les générations passées et un horizon nouveau pour les générations actuelles et les générations futures.

C’est une exigence historique, un commandement de l’Histoire. Il nous faut l’observer scrupuleusement», a-t-il expliqué, ajoutant : «Le Gabon, ce pays, est notre Patrie. Nous n’en avons pas d’autre et nous ne pouvons en avoir d’autre. Libérons-le et construisons-le toutes et tous, avec détermination, abnégation et patriotisme, pour le triomphe du Front de l’opposition pour l’alternance». Les jours à venir s’annoncent électriques…

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23 juillet 2014 3 23 /07 /juillet /2014 20:18

Audimat : Les médias français consolident leurs positions dominantes à Abidjan (Etude TNS-Sofres/Africascope)

 
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L’offre médiatique française et francophone à travers France 24, Radio France internationale (RFI) et TV5 Monde Afrique enregistre d’excellents résultats à Abidjan, la capitale économique ivoirienne, sans perdre sa position dominante et en renouant avec des records d’audience et de notoriété jamais égalés, selon une étude TNS-Sofres/Africascope menée en mai auprès de 1163 personnes dont l’AIP a obtenu copie, mercredi.

France 24 conforte son rang de leader de chaîne internationale la plus connue et la plus regardée, tant par le grand public que par les cadres et les dirigeants. RFI reste la radio la plus écoutée à Abidjan et enregistre des performances à la hausse sur tous les indicateurs d’audience et de notoriété, tandis que TV5 Monde Afrique augmente sa durée moyenne d’écoute, l’une des plus fortes de toutes les chaînes satellitaires, indique cette étude réalisée entre le 14 et le 27 mai.

Depuis son lancement, France 24 reste la chaîne d’information internationale la plus suivie à Abidjan, et creuse encore l’écart avec des performances en hausse. Chaque semaine, elle est suivie par 68,1% de la population (+7,3 points) et par 74,9% des cadres et dirigeants (+26,2 points), tandis que sa durée d’écoute continue d’augmenter.

Dans la capitale ivoirienne, France 24 reste aussi la chaîne d’information internationale la plus connue, avec une notoriété de 96,6% sur l’ensemble de la population et 99,4% chez les cadres et dirigeants. Dans les nouveaux médias (site Internet fixe, mobile et applications) France 24 enregistre une moyenne de 340.000 visites mensuelles, en augmentation de +20% en un an.

Ces très bons résultats font suite à la mise à l’antenne, cette année, de nombreuses nouveautés dans la grille de France 24 qui propose notamment deux journaux Afrique, chaque soir.

RFI consolide sa position de première radio à Abidjan, tant en termes d’audience que de notoriété. 29,3% des Abidjanais écoutent RFI chaque jour (+8,9 points). Il en est de même pour 44% des cadres et dirigeants (+16,6 points). Ces excellents résultats sont complétés par une augmentation de sa durée d’écoute quotidienne à 54 minutes (+12 minutes).

RFI reste également la radio la plus connue dans la capitale économique ivoirienne, avec une notoriété maximale de 97,9% des habitants qui déclarent la connaître (+1 point) et 100% des cadres et dirigeants (+3,6 points). Sur Internet, RFI comptabilise en moyenne 200.000 visites chaque mois, en hausse de +5% en un an.

En plus du renforcement éditorial de son antenne Afrique, RFI a renforcé sa proximité avec ses auditeurs ivoiriens depuis plusieurs mois, et a notamment organisé une délocalisation de ses émissions phare à Abidjan en public en mai dernier qui a connu un grand succès populaire. La radio française a inauguré, à la même date, deux nouveaux émetteurs FM dans le pays, à Yamoussoukro et à San Pedro.
Grâce à un réaménagement de sa grille, à l’allongement de 50% de son journal télévisé Afrique quotidien, à la mise à l’antenne d’une nouvelle émission de société, « Africanités », TV5 Monde Afrique augmente sa durée moyenne d’écoute de 11 minutes par rapport à 2013, soit 52 minutes par jour.

Actuellement diffuseur exclusif panafricain, tous les mercredis à 21 h (locale et GMT) de l’édition ivoirienne du célèbre programme « Intervilles » coproduit par la Radiodiffusion télévision ivoirienne (RTI) dans le cadre de la réconciliation nationale, TV5 Monde Afrique enregistre une notoriété globale de 96,8% chez les 15 ans et plus, 99% chez les cadres et dirigeants.

Par ailleurs, sur la cible des 15 ans et plus, l’audience cumulée hebdomadaire progresse de 5 points en un an et l’audience cumulée quotidienne de 4,5 points.

Elle occupe ainsi la troisième place dans le top cinq des chaînes satellitaires. Sur la cible des cadres et dirigeants, elle enregistre également une forte croissance de plus de 20 points en audience cumulée hebdomadaire, résultat qui en fait la deuxième chaîne satellitaire la plus regardée.



 
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23 juillet 2014 3 23 /07 /juillet /2014 20:17

Le gouvernement autorise le chef de l’Etat à ratifier le traité de New York sur la commercialisation des armes

 
Activités
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Le conseil des ministres, réuni ce mercredi, a adopté un projet de loi autorisant le président de la République, Alassane Ouattara, à ratifier le traité de New York sur la commercialisation des armes, a annoncé, au terme de la réunion, le porte-parole du gouvernement, Bruno Nabagné Koné.

Il s’agit ainsi pour la Côte d’Ivoire de "participer plus résolument à l’action internationale contre la dissémination incontrôlée des armes classiques", a expliqué M. Koné Nabagné, lors de son point de presse hebdomadaire.

Adopté le 02 avril 2013, le traité de New York est le premier instrument de droit international qui met en place un régime universel qui régule le commerce mondial des armes, signale-t-on.

Le texte a notamment la particularité d’engager, le cas échéant, la responsabilité de l’Etat vendeur, alors que jusqu’à présent, seule la responsabilité de l’Etat acheteur était engagée, a relevé le porte-parole du gouvernement.

"Ce traité accorde une prépondérance aux droits de l’Homme et au droit humanitaire et insiste sur la transparence nécessaire dans les transferts d’armes. Il prévoit notamment une interdiction absolue de vente et toute exportation d’armement s’il existe un risque que les matériels exportés vers un pays pourraient être utilisés pour commettre des actes de génocide ou de crime contre l’humanité", a-t-il ajouté.

Les armes tuent, chaque année dans le monde, quelque 500 mille personnes, soit une moyenne de 1500 à 2000 par jour. "D’où le besoin d’en réguler la commercialisation", a-t-il conclu


 

Activités gouvernementales : Conseil des Ministres
Mercredi 11 décembre 2013. Fondation Félix Houphouët-Boigny. Yamoussoukro. Son Excellence Monsieur Alassane OUATTARA, Président de la République, Chef de l’État a présidé le conseil des ministres. Photo : Bruno Nabagné KONE Ministre de la Poste et des TIC, Porte-parole du Gouvernement
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