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28 août 2020 5 28 /08 /août /2020 20:11
e président national du Front des Démocrates Camerounais, qui s’oppose au boycott des élections régionales annoncées, a réagi ce 28 aout 2020 à la dernière sortie du leader du MRC.

Les réactions de la classe politique se multiplient après les récentes déclarations du président du Mouvement pour la Renaissance du Cameroun (MRC). Maurice Kamto qui a menacé de déloger Paul Biya du pouvoir s’il venait à organiser les élections régionales sans au préalable résoudre la crise dans les régions du Nord-Ouest et du Sud-Ouest et procédé à une révision consensuelle du Code Electoral.

Dans une déclaration publiée ce 28 aout 2020, le président National du Front des Démocrates Camerounais (FDC), Denis Emilien Atangana, sans mentionner le nom de Maurice Kamto, estime que «la tendance d’une certaine opposition est de faire une fixation sur Paul Biya et déterminer son agenda politique en fonction de Paul Biya», écrit-il.

Selon lui, ces opposants semblent être «plus dangereux que Paul Biya pour le Cameroun. Je repète M Biya n’est pas l’Etat du Cameroun. Ceux et celles qui veulent à tout prix entrer à Etoudi en prenant Paul Biya comme prétexte pour déstabiliser ce pays doivent savoir qu’ils nous trouveront sur le chemin avant de satisfaire leur soif du pouvoir».

Après moult échecs, poursuit Denis Emilien Atangana, «l’accent est mis actuellement sur le boycott des élections régionales. Or, ces élections marquent la concrétisation de la mise en place des institutions prévues par la Constitution de 1996».

Il estime que demander aux Camerounais de ne pas aller aux régionales, «c’est jouer le rôle du régime en place qui est de bloquer l ‘instauration d’une véritable démocratie. L’alternance est déjà là et c’est à la jeune génération que nous sommes de prendre la relève. Il n’est pas question que des gens qui ont déjà pris leur retraite se reconvertissent en hommes politiques pour parachever leur projet de destruction de la jeune génération», martèle Dénis Emilien Atangana, qui ajoute que le FDC «qui reste fidèle à son idéologie continuera à défendre la République contre les apôtres du chaos et du désastre».

Denis Emilien Atangana, président du FDC
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28 août 2020 5 28 /08 /août /2020 20:09
Le siege de la Beac a Yaounde Archives
Elle s’est tenue le 26 août 2020.

La Banque des Etats de l’Afrique Centrale (BEAC) et le cabinet Price Waterhouse Cameroun, ont organisé une rencontre virtuelle à laquelle ont pris part diverses institutions telles que: les autorités monétaires nationales, les établissements de crédit, les représentants des associations professionnelles des acteurs du marché financier, la COSUMAF, la BVMAC et bien d’autres. Elle s’est tenue le 26 août 2020.

Il était question pour cette rencontre, «de passer en revue les avancées déjà enregistrées dans le processus d’unification des bourses ainsi que les différentes étapes d’introduction des entreprises en bourse, afin d’en garantir le succès. Tout ceci pour mieux contribuer à la diversification des économies de la CEMAC», rapporte le quotidien d’Etat Cameroon Tribune en kiosque ce 28 août 2020.

Ainsi, l’état des lieux du marché financier régional «unifié au 31 juillet 2020 fait état de ce que quatre sociétés sont cotées, pour une capitalisation boursière de 149,5 milliards de FCFA. Il s’agit de SEMC, SAFACAM, SOCAPALM et SIAT Gabon. On apprendra aussi d’Aboubakar Salao, gestionnaire de la Cellule de règlement et de conservation des titres par ailleurs responsable de la fusion des marchés financiers de la CEMAC, que douze lignes obligataires sont cotées, pour un encours de 748,7 milliards de FCFA et que près de 13,5 milliards d’opérations d’achats-ventes d’obligations ont été réalisées depuis juillet 2019», lit-on.

Alors, la seconde phase du projet de fusion des marchés de la CEMAC qui consiste «en la réforme du cadre réglementaire relatif aux activités de marché dans la CEMAC, la viabilisation des nouvelles structures de marché et la dynamisation du marché financier unifié à travers des innovations et actions visant son approfondissement, se poursuit», peut-on lire.

Comme perspectives pour la finalisation de cette deuxième phase du projet, Aboubakar Salao, parle de «l’approfondissement du marché des valeurs du Trésor et l’opérationnalisation des structures du marché financier unifié et la dynamisation des activités de ce marché», note le reporter.

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28 août 2020 5 28 /08 /août /2020 20:07
Le ministre des Travaux Publics indique par ailleurs que plus 3457 km de routes sont en construction.

Emmanuel Nganou Djoumessi a récemment accordé une interview à la CRTV, l’opérateur national de l’audiovisuel. Au cours de cet entretien accordé à nos confrères, le ministre des Travaux Publics à lever le voile sur le kilométrage exact du réseau routier dont dispose le Cameroun, en précisant également le nombre de kilomètres de routes qui viendront dans les prochains mois, gonfler le patrimoine routier actuel. A en croire le membre du gouvernement, le pays dispose à ce jour, de 123 223 km de routes, dont moins de la moitié (11 %),  sont complètement revêtues. En outre, le pays est en train de construire un peu plus de 4357 kilomètres de routes, qui  pour certains, vont être livrés dans les prochains mois.

«Nous avons exactement 123 223 km de routes au Cameroun. 11% de routes qui sont revêtues .Et nous avons en construction, un peu plus de routes» a-t-il déclaré.

Au sujet de la construction de certains axes routiers majeurs, comme celui de Sangmelima-Ouesso, devant rapprocher par voie terrestre le Cameroun et la République du Congo, dont la livraison est retardée par la partie camerounaise, alors même que les congolais ont déjà achevé la construction du tronçon routier dont la réalisation leur incombait,  l’ingénieur de l’Etat affirme que le niveau d’exécution est plutôt satisfaisant au regard des difficultés rencontrées tout au long du processus.

«Notre relief est plus accidenté. La mise en place du financement dédié au Cameroun a connu un petit retard. Nous avons eu un rythme d’exécution plutôt satisfaisant», pense-t-il.

A ceux qui parlent de chantier routier abandonné au Cameroun, Emmanuel Nganou Djounessi, les rassurent qu’il n’en est rien. Selon lui, «Il n’y a pas à proprement parler des chantiers que l’on peut dire abandonnés. Si y a un contrat à réaliser sur 6 mois, et que 18 mois après, nous nous rendons compte que vous êtes encore sur le chantier, alors on désactive votre contrat», a-t-il  révélé.

Autoroute Kribi-Lolabé(c)
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28 août 2020 5 28 /08 /août /2020 20:05
Vers Ambam, dans la Vallee du Ntem Archives
Les populations autochtones de ce département de la région d’origine du chef de l’Etat, Paul Biya, sont d’ores et déjà sur le pied de guerre. Elles se disent prêtes à faire usage des mesures les plus extrêmes et radicales, pour empêcher l’expropriation illégale d’un peu plus de 66.430 hectares de leur forêt, au profit d’un projet agro-industriel piloté par des sociétés de droit privé aux grands desquelles figure Neo Industry SA.

L’affaire fait grand bruit depuis quelques temps au point  d’occuper une place de choix dans les colonnes de plusieurs supports d’information, aussi bien physiques que numériques. Elle expose clairement au grand jour le conflit désormais ouvert entre, d’une part, les collectivités coutumières Ntoumou et Mvae du département de la vallée du Ntem et, d’autre part, l’Etat du Cameroun (primature-ministère des domaines) et Neo-Industry SA. Mais, comment en est-on arrivé à une situation aussi critique?

 

Les origines de la discorde…

L’histoire se situe dans l’intervalle de temps allant de 2012 à 2020. Elle a pour point de départ, l’arrêté n°000258/MINDCAF du 03 juillet 2012,  signé de Jacqueline Koung A Bessiké, l’ancienne ministre des domaines, du cadastre et des affaires foncières. Cet arrêté porte « déclaration d’utilité publique, les travaux de construction de la réserve foncière pour l’agro-industrie et  les logements sociaux, dans le département de la Mvila, de l’Océan et de la Vallée du Ntem». Et, c’est justement sur la base de cet arrêté que 05 titres fonciers ont été établis par l’administration des domaines au profit de l’Etat du Cameroun. Il s‘agit, dans les détails, des titres de propriétés n°578/VNT, n°579/VNT, n°580/VNT, n°581/VNT et n°582/VNT.   

Quatre années plus tard et, plus précisément le 11 août 2016, Philémon Yang, le premier ministre de cette époque, a signé un décret portant incorporation au domaine privé de l’Etat, des terrains nécessaires aux travaux de constitution des réserves foncières (….) et indemnisation des personnes, victimes de destruction de cultures. Les dépendances du domaine national concernées par cette opération d’incorporation étant situées notamment à Messama, Meyo-centre, Nkoroveng, Abang-minko’o, Nlono et ainsi que dans les arrondissements de Ma’an, d’Ambam, d’Olamze et de Kye-Ossi, tous dans le département de la Vallée du Ntem, région du Sud. Soit, au total, une superficie cumulée de 66430 hectares 10 ares 20 centiares.

Arrivé au ministère des domaines, du cadastre et des affaires foncières à la faveur du remaniement ministériel du 04 janvier 2019, Henri Eyebe Ayissi a procèdé le 27 mai 2020 à la signature de contrats de concession avec des sociétés de droit privé, parmi lesquelles figurent en bonne place, Neo Industry SA, PAC et BET ITIS. Dans le cas particulier de Neo Industry SA, il s’agit d’une unité de transformation des fèves de cacao du Cameroun. Elle est située à Kekem dans la région de l’ouest et est bâtie sur une superficie de 5 hectares. Avec à sa tête l’industriel Emmanuel Neossi, cette société a été inaugurée le 26 avril 2019 par les soins de Joseph Dion Ngute, l’actuel premier ministre, chef du gouvernement.

Après la signature de ces concessions, des géomètres ont été déployés sur le terrain à l’effet « d’implanter des bornes dans les plantations des collectivités Mvae et Ntoumou composant le département de la Vallée du Ntem et couches minoritaires dans la région du Sud Cameroun». Cette intrusion à la fois barbare et inélégante a, de toute évidence, entraîné la colère et l’indignation des peuples de cette partie du pays. D’où la levée de boucliers et la riposte musclée et énergique érigée sous la bannière du mouvement « Mobilisons nous pour mettre un stop à la braderie de nos terres », et traduite dans les faits par des démarches administratives et un déploiement tous azimuts dans les médias et réseaux sociaux.

 

Une affaire entachée d’irrégularités flagrantes et criardes

Blessées dans leur amour propre, au regard de ce «néocolonialisme» d’un autre genre, les populations de la vallée du Ntem, dans leur écrasante majorité, sont tout de même choquées de constater autant d’incongruités et d’irrégularités dans la gestion de cette affaire. La plus criarde, est sans l’ombre d’un doute, le caractère caduc de l’arrêté du 03 juillet 2012 sur la base duquel ont été établis les cinq titres fonciers querellés à ce jour, en raison de leur nullité. A côté de cela, il faut bien déplorer l’attitude très irresponsable de Quetong Handerson Kongeh, le préfet de l’époque (2012-2019). Notifié par le MINDCAF, cette ancienne autorité admini

rter à la connaissance des concernés. Du coup, il n’y a jamais eu la descente sur le terrain d’une commission de constat et d’évaluation chargée d’effectuer les travaux relatifs aux opérations d’expropriation. Auditionnés à ce sujet les 07, 08, 09, et 10 juillet 2020, les chefs traditionnels des villages concernés ont formellement démenti leur implication dans ce processus d’expropriation imaginaire. Bien plus, les titres de propriétés établis par l’administration des domaines « englobent non seulement les mises en valeur des populations des villages concernés, mais en plus, ces titres fonciers englobent des rivières et des routes bien délimités », ce qui est évidemment contraire à la législation en vigueur.

Autant d’éléments et bien d’autres bavures aussi graves les unes que les autres qui ont conduit les populations de la Vallée du Ntem à saisir le premier ministre et le ministre des domaines. Par l’entremise d’un conseil d’avocats constitué à cet effet et regroupés au sein de la société civile professionnelle d’avocats dénommée Nkoa-Engo and Partners, des recours gracieux en annulation du décret du 11 août 2016 et de l’arrêté du 03 juillet 2012 ont été déposés en date du 16 juillet 2020.

Une campagne de collecte de fonds destinés à soutenir les différentes démarches administratives et judiciaires a été lancée sur la plateforme GoFundMe, par quelques forces du Département.

 

Un risque d’embrassement qui inquiète

Depuis le déclenchement de cette affaire, c’est peu de dire que le département de la vallée du Ntem est en ébullition. Pour obtenir gain de cause, les fils et filles (y compris ceux vivant à l’étranger, Ndlr) de cette partie du pays sont prêts à faire feu de tout bois. Pas étonnant d’entendre, ça et là, des déclarations lapidaires telles : « ils vont seulement marcher sur nos cadavres pour obtenir nos terres. » Encore que, beaucoup ont la ferme conviction que, dans l’une des clauses de la concession signée entre l’Etat du Cameroun et Neo Industry SA, il est précisé que « l’Etat s’engage à faire intervenir les forces de l’ordre, si les populations de la Vallée du Ntem essayent d’empêcher Neo Industry de faire son travail ». Qui plus est, le silence de certaines élites de ce département laisse songeur. Et même, l’indifférence notoire et la condescendance des responsables de Neo Industry qui ne se dérangent pas à fournir plus d’informations sur ce dossier.

Si rien n’est fait, la Vallée du Ntem a donc de fortes chances d’être vidée de ses habitants, vivant pour la plupart des fruits de leurs activités agricoles (culture du cacao et du plantain). Ces derniers «seront ainsi jetés en pâture par ce pouvoir exécutif censé garantir le respect de leurs droits», et obligés de «se refugier au Gabon et en Guinée Equatoriale».

Par ailleurs, bâti sur une superficie totale de 730.300 hectares, soit 7303 km carrés, ce département a déjà cédé une bonne partie de son espace à des projets gouvernementaux d’intérêt général. Parmi eux, on note, entre autres, le barrage hydro électrique de Memve’Ele et la construction de la route Ebolowa-Ambam-Kye-ossi-Abang Minko, Meyo Centre-Nyabizan.

L’arbitrage du chef de l’Etat et originaire de cette région du Cameroun est donc vivement attendu pour éviter le pire. Une chose est sûre, en tout cas, c’est que personne ne souhaiterait créer une autre crise en plus de celle du NOSO qui est aujourd’hui à l’origine de nombreuses et effroyables pertes en vies humaines et dégâts matériels.

En attendant, une intervention de «la très haute hiérarchie» du pays, Bouba Haman, le préfet de ce département, a convié depuis le 30 juillet 2020, les autorités traditionnelles de sa circonscription administrative à «une importance réunion de concertation». Celle-ci sera personnellement présidée par lui, le samedi 08 août 2020, dans la salle des délibérations de la commune d’Ambam. On croise les doigts !

 

strative, après investigation, a délibérément choisi de laisser moisir ce dossier dans les tiroirs de l’oubli, au lieu de le po

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28 août 2020 5 28 /08 /août /2020 20:01
Il a été désigné ce vendredi 28 août 2020 par un décret du président de la République, Paul Biya, et remplace à cette fonction Lazare Mpouel Bala

Le Président de la République, Paul Biya, a signé un décret ce vendredi 28 août 2020, nommant un nouvel Ambassadeur Plénipotentiaire du Cameroun en République de Guinée Equatoriale. Il s’agit de Son Excellence Jean-Claude Désiré Owono Menguelé.

Il remplace à cette fonction Lazare Mpouel Bala, qui était en poste dans ce pays voisin depuis 2008. Le nouvel ambassadeur a officié comme Directeur des Nations-Unies au ministère des Relations Extérieures. A ce titre, il a défendu la position du Cameroun sur les questions de désarmement lors de la 67ème session de l’Assemblée Générale des Nations-Unies le 12 octobre 2012 à New-York.

En service au ministère des Finances, il officiait également comme président de la commission de passation des marchés au sein de ce département ministériel.

Nomination Ambassadeur du Cameroun en Guinée Equatoriale
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28 août 2020 5 28 /08 /août /2020 19:59

Manifestation d'ex-employés de CORA SA (archive)

CÔTE D'IVOIRE SOCIÉTÉ
 
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Côte d'Ivoire : 17 ans après la fermeture de la société mobile CORA SA, les 164 ex-employés attendent toujours le paiement de leurs droits
 

Côte d'Ivoire : 17 ans après la fermeture de la société mobile CORA SA, les 164 ex-employés attendent toujours le paiement de leurs droits

 

Rebondissement dans l’affaire de la société de téléphonie mobile CORA SA fermée en 2003 suite à une crise entre les différents actionnaires et dont la licence a été cédée en 2006 au groupe Arable Comium.

 

Les 164 ex employés de ladite société ne sont toujours pas entrés en possession de leurs droits dont le montant a été calculé à 35 mois de salaire.

 

Voilà exactement 17 ans que ces derniers attendent le versement des sommes qui devraient leur revenir comme convenu entre les différentes

Selon nos informations, en juillet 2019, leur conseil aurait confirmé que le dossier avait été validé par toutes les Instances de la république et qu’il se trouverait à cette période sur le bureau du  Ministre de l’économie et des finances de l’époque pour paiement.

 

En janvier 2020 une Assemblée Générale Extraordinaire (AGE) s’est tenue à la Cathédrale St Paul d’Abidjan en présence de leur l’Avocat. Lors de son intervention l’avocat du collectif aurait affirmé être en possession de l’OP et attendait une entrée d’argent dans les caisses de l’Etat pour être payé. Sept (07) mois après l’obtention de l’OP les employés attendent toujours leurs paiements.

 

Les souffrances des ex employés se traduiraient par : cinq décès ; Difficultés d’obtenir des soins appropriés en cas de maladies ; Difficultés de se nourrir convenablement ; L’expulsion des logements pour cause de loyers impayés ; La dislocation de cellules familiales par suite de divorce ; La non scolarisation des enfants ; Des humiliations de toutes sortes (saisie de biens, impossibilité de respecter les engagements pris,…) ; L’impossibilité de chercher un nouvel emploi par manque de certificat de travail étant donné que le contrat de travail avec CORA SA n’a été rompu à aucun moment ; Travail au rabais, etc...

 

Ne sachant plus à quels saint se vouer, les 164 ex-employés de CORA SA se tournent désormais vers le chef de l’Etat, Alassane Ouattara, le  premier ministre Ahmed Bakayoko et son gouvernement, pour qu’ils s’impliquent dans le dossier et soient leur porte-parole auprès des institutions de la République afin qu’une solution définitive soit trouvée à cet épineux problème qui perdure depuis dix-sept (17) ans.

parties. Pour mieux se faire entendre, les ex employés ont mis en place un collectif.

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28 août 2020 5 28 /08 /août /2020 19:57
 
 
 
 
 

Cérémonie

 
Le préfet du département d’Abidjan, Vincent Toh Bi a officiellement annoncé sa démission (présentée à sa hiérarchie le 26 août dernier), ce vendredi, via une publication sur sa page Facebook.

"Pour l’honneur et pour le respect de ma conscience, j’ai décidé de quitter mes fonctions de Préfet du Département d’Abidjan", explique Vincent Toh Bi, dans cette publication intitulée "MERCI ET... AU REVOIR".

"Au moment où j’aborde volontairement un autre pan de ma vie , je voudrais vous dire à tous : Merci et... au revoir", conclut le texte.

Dans la foulée de cette démission des rumeurs ont annoncé le préfet démissionnaire à la primature où il aurait été nommé directeur de Cabinet du premier ministre, or il n’en est rien.

Vincent Toh Bi Irié, né le 17 novembre 1969, a été de août 2018 à août 2020 Préfet d’Abidjan. Avant cette date, il était Directeur de Cabinet au Ministère ivoirien de l’Intérieur.

Vincent Toh Bi Irié est un adepte du numérique, avec une forte présence sur l’ensemble des réseaux sociaux. Il a longtemps animé un blog, où il partageait des analyses et réflexions sur presque que toutes les thématiques.
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28 août 2020 5 28 /08 /août /2020 19:54

A Bamako, après le coup d'Etat du 18 aout 2020

 

C'était une crainte. Le coup d'Etat militaire au Mali a épargné les banques, dont la première la BCEAO qui, de fait, après une fermeture de situation, a rapidement réouvert ses agences maliennes.

Les rapports d'enquête avaient révèlé qu'une grande partie de ces sommes avaient été transférées au Ghana voisin.

De sources de premier plan, nous apprenons que les militaires qui ont chassé le Président IBK le 18 aout dernier, ont donné ordre de ne pas s'en prendre aux banques. Selon nos informations de sources proches de la junte, ils ont souhaité éviter de reproduire le scénario ivoirien survenu en 2010 lors de la crise post-électorale.

 

Un braquage de banque et de la banque centrale qui avait, par la suite, valu des poursuites et des condamnations au delà de sanctions internationales et des indignations nationales.

Enquêtant sur ce dossier, nous avions eu accès à des documents confidentiels qui nous avaient permis de mesurer l'ampleur des événements d'alors survenus sur l'ensemble du territoire ivoirien.

 

 

Nous apprenions que la BCEAO avait subit un préjudice de plus de trois cent milliards (300.000.000.000) de Francs CFA.

 

Au delà de la banque centrale, les agences avaient elles aussi été vidées. Nous relevions que la BNI avait été pillé d'1 milliard trois cent millions (1.300.000.000) de francs CFA, la SGBCI d’un milliard (1.000.000.000) de francs CFA, la CNCE, de deux milliards trois cent vingt-six millions cent soixante-sept mille trois cent cinquante-trois (2.326.167.353) francs CFA, la BICICI, de sept milliard trois cent millions (7.300.000.000) de francs CFA, VERSUS BANK de trente-cinq millions cinq quarante-deux mille neuf cent seize (35.549.916) francs CFA, la BIAO devenue N’SIA BANQUE, de trois milliards (3.000.000.000) de francs CFA et enfin la BHCI, avec un préjudice deux milliards huit cent quatre-vingt-seize millions cinq cent quatre-vingt-six mille (2.896.586.111) francs CFA.

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28 août 2020 5 28 /08 /août /2020 19:52
Le président français, Emmanuel Macron, était en Côte d’Ivoire du 20 au 22 Décembre 2019. Le prétexte, célébrer avec les troupes françaises basées à Port-Bouët les fêtes de Noël. Une tradition respectée chaque année par les Chefs d’Etat qui se sont succédé jusqu’à nos jours à la tête de la grande France. Le président Emmanuel Macron n’a pas donc failli à cette tradition. Et a fait d’une pierre deux coups. En marge de ce traditionnel réveillon de Noël avant l’heure avec les soldats français, l’élu des Français a posé un acte de haute portée financière certes, mais surtout économique : la première pierre du marché de gros de Bouaké, deuxième ville du pays. Le plus grand marché ou espace commercial de toute l’Afrique. Un manque criant de site commercial dans cette ville qui fut hier la capitale de la rébellion ivoirienne de 2002 à 2011 a été comblé, Bouaké s’est donc débarrassée le 20 Décembre 2019 de ses oripeaux, du qualificatif combien sombre de capitale de la rébellion pour devenir capitale de la paix et des échanges commerciaux inter-états. Les présidents Alassane Ouattara et Emmanuel Macron y ont pensé et l’ont réalisé. Débaptiser cette seconde ville de la Côte d’Ivoire, effacer de triste mémoire ce passé douloureux de la tuerie de neuf (9) soldats français avec le bombardement de la caserne des militaires de l’ancienne puissance tutélaire qui servaient de tampon entre les Forces de Défense et de Sécurité (FDS) et les Forces Armées des Forces Nouvelles (FAFN) placées hier sous le commandement de l’ex-chef rebelle Guillaume Kigbafori Soro. Les populations souffraient du manque d’un marché digne de ce nom et ne savaient pas à quel saint se vouer. Cette absence de lieu d’échanges des produits vivriers et autres marchandises contre monnaies sonnantes et trébuchantes est depuis le 20 Décembre 2019 qu’un lointain mauvais souvenir. Les présidents Ouattara et Macron viennent de pallier à ce besoin qui n’a que trop duré. Bouaké renaît de ses cendres. C’est la renaissance, la réhabilitation. Un acte de haute portée économique vient d’être posé par les deux Chefs d’Etat pour l’émergence de la ville de Bouaké et partant de toute la Côte d’Ivoire et son hinterland. Vive donc l’amitié ivoiro-française, vive les présidents Ouattara et Macron pour que vive le développement harmonieux de la Côte d’Ivoire et son émergence à l’horizon 2020, telle que prévue par le président Alassane Ouattara.
 

 

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28 août 2020 5 28 /08 /août /2020 19:50

 

Nouveau rebondissement dans la course à la présidence de la Fédération ivoirienne de football (FIF). Après l’éviction de Didier Drogba jeudi 27 août, la Fédération internationale de football (Fifa) demande, selon nos informations, l’arrêt immédiat du processus électoral et ce jusqu’à nouvel ordre.


Selon nos informations, la Fifa demande à la FIF de suspendre immédiatement le processus électoral pour l’élection du nouveau président prévu le 5 septembre prochain et ce jusqu’à nouvel ordre. La Fifa pointerait du doigt le climat délétère de la dernière assemblée de la Commission électorale qui n’aurait pas eu l’occasion de reprendre les travaux en toute quiétude. Elle s’était terminée avec la démission du président de la Commission, l’ancien ministre des Sports René Diby.

La FIFA veut obtenir une vue d’ensemble du processus électoral Election

© Abidjan.net par Atapointe
Election à la FIF: Dépôt du dossier de candidature de Didier Drogba
Abidjan le 01 Août 2020. Le candidat à la Présidence de la Fédération Ivoirienne de Football, Didier Drogba (Photo) a déposé ce samedi son dossier de candidature
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