Face à la précarité des moyens et face à la dégradation de leurs conditions de vie, ne sont pas restés les bras croisés les paysans d'Afrique face à leurs multiples problèmes. faisant appel au diction populaire "L'Union fait la force", ou encore "Aide toi et le ciel t'aidera", la masse paysanne africaine n'a pas tardé à comprendre que c'est de la solidarité et de la cohésion que peuvent surgir des solutions adaptées et durables à leurs problèmes de survie et de croissance.
En efet les paysans africains doivent faire face à toutes sortes dimpondérables : le manque de formation, d'informations ; la mondialisation et ses enjeux , les institutions et leurs mécanismes complexes, les pertubations climatiques, l'évolution des pandémies du VIH/SIDA et le paludisme, l'enclavement des zones agricoles, l'évolution galopante des technologies, la faible pouvoir d'achat des paysans, le faible accès aux ressources de production et le faible développement infrastructurel.
un déficit permanent de ressources humaines compétentes, stables, responsables, bien organisées, rémunérées en fonction de leur compétence et souvieux des résultats a été diagnostiqué comme l'une des principales causes d'échec de nos programmes et projets. Or les investissements des Etatsz et des partenaires au développemnt ne peuvent et etre conséquents et efficace que s'ils sont planifiés, mis en oeuvre, suivis et évaluées par des hommes et de femmes bien formées bien informés, bien équipés et bien orgqnisés.
La participation des Organisation Paysannes dans l'élaboration des politiques, programmes et projets et leur mise en oeuvre nous exige de parler d'une seule voix pour se faire entendre et se comprendre. Aussi ont-ils la ferme conviction qu'un développemnt durable en Afrique, a besion d'un appui supplémentaire qui doit venir des Organisations Paysannes, qui sont la clé de voute de la souveraineté et de la sécurité alimentaire et du développement rural.
