12 octobre 2017
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Côte d'Ivoire: La Banque Mondiale invite les pays africains à freiner leur endettement
africapress.com- Jeudi 12 Octobre 2017- « Les pays se doivent de freiner leur endettement, surtout qu'on n'arrive pas encore à mettre en place des mécanismes de mobilisations des recettes et des ressources domestiques pour pouvoir assurer le service de la dette », sur l’une des importantes phrases que l’on retient de la vidéo conférence mercredi de l’économiste en en chef de la Banque mondiale Rechercher Banque mondiale pour l'Afrique Albert Zeufack, lors de la publication de la dernière édition d'Africa's Pulse, un rapport semestriel de son institution qui analyse l'état des économies africaines.
Selon l’expert , de nombreux pays sont passés de faible risque à un taux modéré concernant l’endettement .
« Nous ne voulons surtout pas que nos pays soient dans une situation où toutes les taxes qu'on collecte sont orientées à payer les dettes. Cela nous empêchera d'investir dans l'éducation, les infrastructures, de créer des emplois », a fait observer Mr Zeufack, avant d’ajouter . « Naturellement au-delà de 70% du Produit intérieur brut (PIB) du pays, la dette devient à haut risque. Même les pays qui sont en-dessous de ce taux devraient commencer à revoir leurs stratégies d'endettement. Il faut créer un espace fiscale pour diversifier nos économies. »
En ce qui concerne la Côte d’Ivoire sur les dettes, le directeur général du Trésor et de la comptabilité publique, Assahoré Konan Jacques indiquait en juin dernier que, le pays ne « court pas un risque de surendettement car notre ratio endettement Rechercher endettement rapporté au Pib est dans la norme ; il est de 41,9%. Or, le seuil communautaire dans l’Uemoa est de 70% du Pib, et à l’international, elle est de 49%. » "On s’endette bien et l’endettement est bien orienté ” , avait-il martelé
Selon l’expert , de nombreux pays sont passés de faible risque à un taux modéré concernant l’endettement .
« Nous ne voulons surtout pas que nos pays soient dans une situation où toutes les taxes qu'on collecte sont orientées à payer les dettes. Cela nous empêchera d'investir dans l'éducation, les infrastructures, de créer des emplois », a fait observer Mr Zeufack, avant d’ajouter . « Naturellement au-delà de 70% du Produit intérieur brut (PIB) du pays, la dette devient à haut risque. Même les pays qui sont en-dessous de ce taux devraient commencer à revoir leurs stratégies d'endettement. Il faut créer un espace fiscale pour diversifier nos économies. »
En ce qui concerne la Côte d’Ivoire sur les dettes, le directeur général du Trésor et de la comptabilité publique, Assahoré Konan Jacques indiquait en juin dernier que, le pays ne « court pas un risque de surendettement car notre ratio endettement Rechercher endettement rapporté au Pib est dans la norme ; il est de 41,9%. Or, le seuil communautaire dans l’Uemoa est de 70% du Pib, et à l’international, elle est de 49%. » "On s’endette bien et l’endettement est bien orienté ” , avait-il martelé
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