30 juillet 2017
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Cameroun: Crise anglophone, l'ancien avocat général près la cour suprême saisit l'ONU
Ayah Paul Abine
africapress.com- Dimanche 30 Juillet 2017- Ayah Rechercher Ayah Paul Abine, ancien avocat général près la cour suprême, -mis à la retraite récemment, par le dernier conseil supérieur de la magistrature-, vient de saisir le groupe de travail, du Haut-commissariat pour les droits de l'homme, de l’Organisation des nations Unies (ONU), sur la détention arbitraire.
Interpellé à son domicile le 21 janvier 2017, dans le cadre des enquêtes ouvertes après les manifestations de la partie anglophone, qui ont débouché sur la revendication du fédéralisme pour les uns et de la sécession par les autres, Ayah Rechercher Ayah Paul Abine, dit être victime de détention « arbitraire ».
Dans la correspondance qu’il adresse au groupe de travail de l’Onu, l’ancien avocat général près la cour suprême, accuse de « kidnapping », les forces de sécurités, et dit avoir essuyé une tentative de meurtre dans les geôles du secrétariat d’Etat à la Défense (Sed), -quartier général de la gendarmerie nationale-, où il est détenu.
A cet effet, il réclame… 50 milliards FCFA à l’Etat du Cameroun.
Dans une lettre qui a fait le tour des médias locaux, quelques trois mois après son incarcération, Ayah Rechercher Ayah Paul Abine s’est dit « victime d’une machination », aux relents de règlements de compte politique.
Candidat à la présidentielle de 2011, Ayah Rechercher Ayah Paul Abine, est soupçonné d’être proche des sécessionnistes anglophones. Les autorités lui reprocheraient des appels à la sécession et des actes de terrorisme. Il est considéré par les partisans du fédéralisme et de la sécession du Cameroun, comme un résistant au régime de Yaoundé.
En effet, l’ancien avocat général près la Cour suprême, n’a pas caché son soutien aux manifestants de Bamenda Rechercher Bamenda (Nord-ouest) et Buea Rechercher Buea (Sud-ouest), dont les appels à la désobéissance civile et aux villes mortes, ont paralysé les activités, scolaires, socio-économiques et professionnelles, dans la partie anglophone du pays.
africapress.com- Dimanche 30 Juillet 2017- Ayah Rechercher Ayah Paul Abine, ancien avocat général près la cour suprême, -mis à la retraite récemment, par le dernier conseil supérieur de la magistrature-, vient de saisir le groupe de travail, du Haut-commissariat pour les droits de l'homme, de l’Organisation des nations Unies (ONU), sur la détention arbitraire.
Interpellé à son domicile le 21 janvier 2017, dans le cadre des enquêtes ouvertes après les manifestations de la partie anglophone, qui ont débouché sur la revendication du fédéralisme pour les uns et de la sécession par les autres, Ayah Rechercher Ayah Paul Abine, dit être victime de détention « arbitraire ».
Dans la correspondance qu’il adresse au groupe de travail de l’Onu, l’ancien avocat général près la cour suprême, accuse de « kidnapping », les forces de sécurités, et dit avoir essuyé une tentative de meurtre dans les geôles du secrétariat d’Etat à la Défense (Sed), -quartier général de la gendarmerie nationale-, où il est détenu.
A cet effet, il réclame… 50 milliards FCFA à l’Etat du Cameroun.
Dans une lettre qui a fait le tour des médias locaux, quelques trois mois après son incarcération, Ayah Rechercher Ayah Paul Abine s’est dit « victime d’une machination », aux relents de règlements de compte politique.
Candidat à la présidentielle de 2011, Ayah Rechercher Ayah Paul Abine, est soupçonné d’être proche des sécessionnistes anglophones. Les autorités lui reprocheraient des appels à la sécession et des actes de terrorisme. Il est considéré par les partisans du fédéralisme et de la sécession du Cameroun, comme un résistant au régime de Yaoundé.
En effet, l’ancien avocat général près la Cour suprême, n’a pas caché son soutien aux manifestants de Bamenda Rechercher Bamenda (Nord-ouest) et Buea Rechercher Buea (Sud-ouest), dont les appels à la désobéissance civile et aux villes mortes, ont paralysé les activités, scolaires, socio-économiques et professionnelles, dans la partie anglophone du pays.
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